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Sur ce blog nous racontons notre vie de libertins. Nos récits parlent de nos sorties et de notre vision du libertinage... Les lieux et endroits sont "améliorés", les repas "enrichis", l'histoire est parfois romancée afin que toute ressemblance avec la réalité ne puisse qu'être fortuite. Bonne lecture.
Caresse et Alpha
On this blog we are unveiling our swinger lifestyle. Our stories tell about our swinger parties and develop our vision of this particular way of life.
Places and meals are sometimes "improved", names are changed and the story itself may be "adapted" or even fully invented...
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Caresse (she) and Alpha (him)

samedi 20 décembre 2014

Un show lesbien excitant

(Alpha / Sophia raconte, Caresse ajoute sa chatte patte !) 

On rince 4 queues et notre show lesbien hallucine tout le monde !


Nous étions sortis dîner en ville la veille au soir (samedi) mais nous avions terminé nos sushis bien avant l’ouverture du club et nous avions préféré rentrer à la maison que d’attendre. Nous revenons donc ce dimanche après-midi, un jour inhabituel pour nous, nous ne sortons généralement pas en club les dimanches après-midis depuis que nous n’allons plus à St Aubin. J’ai préféré ne pas me travestir afin de profiter du jacuzzi, nous sortons donc en couple « normal »...

Mélanie nous accueille avec son sourire d’ange. Nous commençons par le jacuzzi, c’est seulement la deuxième fois que nous y revenons depuis qu’il est repassé au chlore, la première avait été probante, pas d’effet secondaire indésirable. Comme nous ne sommes pas en journée bi, nous évitons de prêter le flanc aux interactions avec les hommes seuls car nous savons que ça va vite tourner au plan pluralité hétéro et ma Caresse n’est pas amatrice. Nous ressortons au bout d’un moment, passage à la douche puis au bar.

A peine arrivés dans notre coin favori, celui des glory holes, plein de queues frétillantes se manifestent. J’en prends une première que j’habille d’un préso au chocolat, ma miss en habille une autre juste à côté. La mienne est de gros calibre, et son propriétaire actif, comme j’aime, je le suce longuement avec beaucoup de plaisir. Ma chérie réussit pour sa part à « rincer » la sienne rapidement, elle la fait éjaculer en moins de 5 mn, puis en avise une autre dans un trou à droite sans vis-à-vis.

Au bout d’un moment, je la rejoins et elle me demande si on fait entrer l’homme, c’est un jeune qui semble en avoir très envie. Je lui réponds que je n’en sais rien, je ne l’ai pas « essayé(e)», elle me cède donc sa place et je me mets à sucer cette belle bite bien dure. Bonne pour le service, ok, il peut entrer !

Ma chérie va lui ouvrir la porte, il s’appelle Arsène et déclare ne pas être vraiment bi... mais bon. Ma miss ne veut pas casser l’ambiance et se place à quatre pattes devant lui. Il cherche d’abord à la sodomiser, ma chérie refuse, il la prend donc en levrette. Il est au début un peu brutal mais ma chérie le recadre et il s’adapte intelligemment à ses désirs. Pour ma part, je m’installe devant ma Caresse et lui offre mon sexe en érection devant les lèvres, elle ne se fait pas prier pour me sucer comme une déesse... hummm ! La déesse de la fellation....

Nous jouons ainsi un long moment, ma chérie me suce divinement, comme elle sait le faire, tandis qu’Arsène tente une nouvelle fois de changer de trou ! Miss refuse de nouveau en lui expliquant avec beaucoup de coquinerie que, s’il a vraiment envie de sodomie, il n’a qu’à me le demander, que « j’adore me faire prendre » ! Quelle coquine ma miss, elle sait très bien l’effet que ça va faire sur notre nouvel « ami »! Silence, un ange passe : Arsène ne dit rien et reprend sa pénétration vaginale, il a compris que ça ne le ferait pas. Rapidement, son excitation monte et il jouit violemment, presqu’au même moment que moi : j’éjacule longuement dans la bouche de ma chérie qui m’a fait grimper au rideau avec ses caresses buccales.

Caresse sort prendre une douche tandis qu’Arsène prend congé, je reste seul dans notre coin à glory holes et rapidement une nouvelle queue en érection se présente. Je la masturbe dans ma main puis la prends entre mes lèvres, de l’autre côté j’entends ma coquine qui est venue voir, coté « queues » des glory holes ! Elle place sa chatte en face d’un des trous, mais comme je suis occupé, elle décide de masser les fesses de l’heureux élu en rigolant. Mmm, l’homme semble apprécier et très vite il éjacule dans ma bouche ! L’effet sandwich sans doute, pourtant ma miss n’avait pas son gode-ceinture, étonnant ! Rires !

Nous avons ensuite une accalmie, plus grand-chose à se mettre sur la langue, nous retournons au bar. Il y a des couples, deux d’entre eux étaient arrivés au club en même temps que nous mais à aucun moment on ne les a vus jouer ni venir dans les coins câlins. L’un des hommes mate ma chérie avec beaucoup d’intérêt, mais manifestement sa dame est bloquée ! Elle n’a pas apprécié le comportement d’hommes irrespectueux dans le jacuzzi, semble-t-il, et elle ne veut plus entendre parler de rien ! Elle reste au bar et ne semble pas près d’en bouger !

Nous retournons dans les glory holes et je décide cette fois de me travestir en Sophia. J’ai en effet pris tout mon équipement dans notre petit sac bleu... sauf la mini-jupe en jean blanche, oubliée à la maison, argh ! Mais heureusement j’ai mon top blanc qui descend assez pour me couvrir les fesses, ça fait même très sexy, selon ma miss.

Nous commençons notre show par un cunni lesbien, ca fait « binder » (sic). On sent en effet beaucoup d’agitation derrière la paroi...  et aussi un va-et-vient dans le coin couples, des couples entrent et nous matent. Puis une queue apparaît dans le trou le plus à gauche, celui où je peux me mettre à genoux. Je la suce longuement, elle est très endurante. Un couple âgé passe et repasse à l’entrée de notre alcôve, l’homme semble halluciner de me voir et la dame aussi, ils ne regardent pas du tout ma miss, celle-ci me dira même qu’ils étaient littéralement fascinés tous les deux !  Ils finissent par entrer dans notre coin câlin et la femme se met à masturber son mari, puis elle le suce pendant un long moment, ils continuent de me regarder tous les deux, sans prononcer un mot.

Pendant ce temps, ma Caresse a poursuivi la surveillance des glory holes, elle a trouvé une petite queue dans l’un des trous et elle la fait rapidement jouir dans sa main – encore un ejp ! Décidément, il y a des jours ou ils viennent en masse ! Sans queue à disposition, ma miss vient m’aider et nous alternons, tantôt elle suce, tantôt moi, ou alors ma miss lui suce les couilles pendant que j’avale sa queue en gorge profonde... Mais l’homme est trop endurant et pas du tout interactif, nous finissons par l’abandonner, d’autant que ma miss a trouvé une énorme queue de black dans le 3ème trou sur la droite.
Surgit également un « masseur » qui la caresse par une autre ouverture. Il finit par mettre sa queue, assez grosse, dans le 2ème trou et je le suce longuement, celui-ci est bien actif et m’enfonce son dard profond dans la gorge. Caresse me doigte en même temps, puis me fait un « cunnilingus » lesbien - une fellation en fait, chut !!! - et je sens la bite de notre homme se raidir considérablement à la vue de ce spectacle, son membre enflé se met à gargouiller de plus en plus, tant notre show lesbien l’excite ! Mais il se retient et ne jouit pas, il a sans doute d’autres idées en tête le coquin !

Au bout d’un moment, je n’en peux plus, ma mâchoire est douloureuse à force de sucer, je passe « l’engin » a ma miss... qui l’achève en deux coups de cuillère à pot, tandis que je me suis mise à lui lécher et doigter la chatte. Je soupçonne que ses gémissements de plaisir ont eu raison de l’homme, tout endurant qu’il soit, il jouit enfin dans la bouche de ma chérie.

Sans conteste, les shows lesbiens excitent beaucoup les hommes dans les glory holes !

De retour au vestiaire, nous trouvons le couple âgé, de tout à l’heure, en train de se rhabiller. Ils mettent un temps fou, ça m’agace car ils prennent toute la place et j’ai besoin de m’asseoir pour changer de chaussures. En fait, ma miss me dira qu’ils ont continué de me mater, hallucinés, surtout qu’au lieu de me déshabiller, j’enfile mon jeans blanc de fille et mes escarpins bleus de 15 cm... puis je sors comme ça ! Dans l’entrée du club, ils sont encore sur nos talons, ils n’en croient manifestement pas leurs yeux de me voir sortir ainsi dans la rue... Ils ignorent que nous sommes garés juste devant l’entrée du club en fait ! Au moins, ces deux là auront un sujet de discussion pendant de longues soirées, nous les imaginons en parler encore dans 10 ans au coin du feu ! Rires !

mercredi 10 décembre 2014

Les profondes gorges de Sam-Maria (2/2)

(suite du récit précédent, Sophia raconte)

 ... Après le dîner et les quelques préparatifs de transformation d’Alpha en Sophia, nous ressortons au club. Ce soir, c’est le gendre de Michel qui tient la caisse, nous arrivons vers 20h30. Nous avions signalé à notre ami Terrence que nous y serions. Mais nous ne le verrons pas, il nous dira après coup qu’il s’est endormi devant la tél: il est vraiment trop surmené ce garçon, on se demande ce qu’il fait de ses journées et de ses nuits, lol !

Au moment où nous sommes arrivées au club, nous avons été rejointes à l’entrée par Sacha, notre copine travestie black. Il est tout aussi mignon en mec qu’en nana, surtout depuis qu’il s’est rasé la barbiche. Toujours aussi agréable et sexy également dans sa petite robe rouge moulante et mini au « ras de la moule ». Il passe au vestiaire avec nous pour se transformer et se travestir, une vraie fille quand il est transformé ! Moi j’ai renforcé le côté « pétasse » que nous affectionnons avec de nouveaux accessoires achetés pendant les vacances : un bracelet bleu et métal et une montre blanche "Chanel" de fille.

Ce soir, nous avons en fait plus ou moins rendez-vous avec un couple bi qui nous a contactées sur un site. Nous leur avons dit que nous viendrions au club, sans préciser d’heure. Nous les chercherons au bar, en fonction de leur description mais ne trouverons personne qui leur corresponde. Quand nous leur dirons plus tard par e-mail que nous ne les avons pas trouvés, nous comprendrons qu’ils ont en fait renoncé à sortir ce soir-là... sans nous avertir, mais ce n’est pas très grave, nous ne comptions pas vraiment sur eux pour nous amuser comme ce récit va le démontrer !

Au bar du club, nous tombons sur de vieilles connaissances : Lara et son ours qui nous saluent... Ils sont en train de discuter avec Emilie, une « pseudo trav » que nous avons blacklistée et qui, bien lui en prend, nous ignore ouvertement en détournant le regard. Un peu plus tard, nous reverrons JJ, un partenaire de jeu avec qui nous nous étions régalées il y a quelque mois. Il vient rarement en ville, nous dit-il, car il habite dans les Pyrénées. Nous ne jouerons pas avec lui ce soir, faute de nous rencontrer au moment adéquat dans la soirée, dommage pour lui car il nous dira, lorsque nous quitterons le club quelques heures plus tard, avoir passé une soirée assez mitigée.

Après toutes ces civilités au bar, nous trouvons indigente la programmation de Fashion TV sur le grand écran et décidons de passer dans le coin cinéma voir quelles vidéos nous avons ce lundi. Il s’agit cette fois d’une femme bio... qui se fait enfiler par 3 shemales ultra sexy. C’est toujours mieux que Fashion TV! Mais ça nous lasse vite également, nous ne sommes décidément toujours pas voyeuses ! Un homme black, Billy, nous a rejointes mais nous le connaissons pour avoir coquiné un peu avec lui, nous savons qu’il n’est pas bi et miss n’a pas envie de se « dévouer » ce soir. Il faut dire que les blacks au 72 sont bien membrés et toujours en super forme: il y a de la demande de gang bangueuses pour des blacks TBM et endurants au moins 2 fois par semaine, et les HS sont là, toujours présents... le mot est passé, le club est connu pour ça aussi, surtout les jeudis soirs !!!!

Nous retournons aux glory holes... Chance, le coin est inoccupé, pas toujours évident les lundis soirs avec toutes les travs qui circulent, il y a de la concurrence ! Rapidement nous y sommes rejointes par Sacha... alors que nous sommes déjà l’une et l’autre occupées à sucer une queue. La mienne est tout au fond du matelas, dans l’angle droit. Je saisis l’occasion de l’arrivée de notre amie pour lui proposer de prendre ma suc(cess)ion... car j’ai envie d’essayer une autre queue dans l’angle gauche, complètement à l’opposé, là où je peux m’agenouiller confortablement sur le sol. Sacha étant plus menu que moi, il n’aura pas ce souci dans l'angle droit...

Mais à ce moment-là, un couple entre, nous regarde... Sacha a pris le relais sur la queue que je suçais et je suis restée allongée à son côté, pour lui caresser le dos et les épaules. La femme du couple (elle s’appelle Maria) interpelle ma chérie : elle voudrait que son mari coquine avec elle sous ses yeux, mais elle annonce qu'elle-même ne fera rien, aucune participation. Elle a le fantasme de voir son mari coquiner avec un couple : une femme candauliste... c’est une grande première, nous n’avons jamais vu ça en club !

Ma chérie lui répond que, pour notre part, nous jouons toujours à deux... La femme jette un regard circulaire, réplique que son mari est bi et que ce serait encore mieux pour elle ! Son homme se prénomme Sam, il est déjà complètement nu (Maria est restée vêtue) et ne se fait pas du tout prier pour nous rejoindre sur le matelas. Maria s’assoit au bord, dans l’entrée, c’est une place de choix pour une candauliste et aucun risque que nous la dérangions, elle s’est assise en pliant les jambes sous elle en mode fermé, le message est clair !

Sam commence par des caresses avec ma miss tandis que je continue de caresser Sacha qui suce la belle queue que je lui ai présentée dans le glory hole. Ma chérie se positionne entre les jambes de Sam, qui s’allonge sur le dos, et commence à lui faire une fellation, lentement, langoureusement, comme elle sait si bien faire. Mais je la connais, je guette le moment très proche où elle va m’appeler à la rescousse.
Elle a trouvé un préservatif, au chocolat cette fois. Elle me demande de venir l’aider. Je contourne Sacha, allongée sur le ventre, toujours la bouche pleine, et je viens me placer devant Sam, qui se redresse sur les genoux. Je me mets à quatre pattes, le postérieur un peu relevé sous ma courte robe et les cuisses écartées devant Maria,  et je prends dans ma bouche sa bite déjà bien grosse et dure. Il est de la taille idéale pour moi, juste comme il faut, et il me semble très bi actif : rapidement il ondule des hanches et me prend la tête entre ses deux mains.

Maria commente à voix haute, elle apprécie le spectacle : « Mmm, oui, c’est ça, fais toi sucer par la blonde... Elle a l’air d’aimer ça, enfonce lui ta bite bien au fond, là comme ça... »   Ma chérie a entrepris de s’occuper à la fois de Sam et de Sacha : elle caresse les boules du premier et doigte le petit trou du second. Puis elle se met à lécher les couilles de Sam qui bande de plus en plus dur et s’agite de plus en plus entre mes lèvres. Il parvient à me soutirer de petits couinements de plaisir en me faisant faire des gorges profondes. Une fois bien calé au fond de ma gorge, il y demeure quelque secondes tout au fond puis se retire et recommence...

Maria continue ses commentaires, ils excitent visiblement son homme : « C’est une belle salope la blonde, vas-y, prends là bien à fond, oblige là à t’avaler tout entier » Ma miss n’est pas en reste, elle est redoutable quand elle se met à s’occuper d’un petit trou: Sam se met à remuer comme un taureau en rut. Il s’agrippe maintenant à mes longs cheveux blonds pour me faire avaler sa bite toute entière, par saccades, tout en gémissant de plaisir. La température monte encore, Maria devient de plus en plus crue : « Mmm, elle aime ça cette salope, tu devrais peut-être passer derrière et la sodomiser, je suis sûre qu’elle adorerait.. »

Mais hélas, cette alléchante proposition arrive trop tard : Sam rugit soudain et se bloque tout au fond de ma gorge en éjaculant puissamment plusieurs jets abondants de son sperme. Il s’attarde encore un peu dans ma bouche accueillante, avant de se retirer, le préso rempli de semence blanche.... Je peux enfin respirer, ouf, j’ai chaud, très chaud et quelle excitation !

(Me remémorant d’antiques vacances dans l’île de Crète, je me suis dit que finalement ce récit pourrait avoir pour titre : les profondes gorges de Samaria... sans aucun rapport avec le décolleté profond de Maria, agréable au demeurant, mais plutôt avec les gâteries dont a bénéficié Sam...)

Nos nouveaux amis prennent congé, apparemment ravis de ce moment coquin un peu particulier... Ils sont vite remplacés par l’Ours, qui prétexte de venir nous saluer et s’installe avec nous sur le matelas: sa Lara est en chasse d’un « amoureux », comme elle dit, quelque part dans le club. L’Ours vient passer quelques instants en notre compagnie. Comme il s’est installé à côté de ma chérie qui se repose entre lui et Sacha, il ne tarde pas à la caresser... Je me tourne alors vers notre copine Sacha et je me mets à la sucer. Elle a une grosse queue qui bande bien dur et, nous l’avons déjà constaté auparavant, elle est capable d’éjaculer à répétition avec peu de repos entre deux orgasmes, voire même pas de repos du tout: elle ne débande quasiment pas, même après avoir éjaculé, c’est extrêmement rare et si appréciable en club libertin !

Sacha se positionne sur les genoux, le buste rejeté en arrière pour l’appuyer contre la cloison, et il me prend les côtés de la tête de ses deux mains pour mieux me guider et faire coulisser ma bouche sur sa bite. Je le suce docilement, en bonne fille que je suis. Il se met lui aussi à me faire faire des gorges profondes. C’est assez pratique avec lui car sa queue est courbée à l’envers, le gland pointant vers le bas, ça épouse donc bien la forme de ma bouche et lui permet de s’insérer aisément dans ma gorge... Très vite cependant, il éjacule à longs traits au fond de celle-ci, décidément Sophia se régale ce soir !

Mais je commence à avoir la mâchoire un peu ankylosée de tant sucer, nous décidons d’arrêter là nos jeux et de retourner au bar nous désaltérer. Il ne se passera plus rien de spécial pour nous avant de quitter le club.

Juste une anecdote un peu inhabituelle : nous voyons arriver dans le club un couple dont l’homme est handicapé, dans une chaise roulante. La femme danse pour lui à la barre de pole dance, puis ils se promènent un peu dans les coins câlins. Nous verrons l’homme sucer, sous le regard de sa compagne, deux autres hommes dans sa chaise roulante : Sacha puis Jean-Jacques... C’est la première fois que nous voyons une telle scène dans les clubs libertins que nous fréquentons. Nous apprécions qu’il soit possible à des personnes à mobilité réduite d’accéder eux aussi à une sexualité libérée et d’être aussi joueurs, de vrais épicuriens tous les deux !

In fine, nous aurons fait, aujourd’hui, éjaculer 6 mecs, dont 4 à la bouche et 2 à la main...


lundi 1 décembre 2014

Retour dans le jacuzzi du 72 (1ère partie)

(Alpha raconte)

Ma Caresse était restée avec moi ce lundi, mais elle avait un rendez-vous professionnel dans la matinée. Nous nous fixons rendez-vous pour déjeuner dans l’un de nos restos préférés du centre-ville, une adresse secrète que nous ne dévoilons qu’aux meilleurs amis. Il fait plutôt beau et nous pouvons profiter de la douce température car portes et fenêtres sont grandes ouvertes.

Nous reprenons ensuite la voiture et trouvons une place en bordure du canal. Comme nous sortons du bureau, nous sommes en tenue de ville, mais j’ai pris un petit sac en cuir avec l’essentiel des affaires de Sophia... au cas où ! Un petit attroupement attire notre attention devant la porte du club. Nous reconnaissons Jo, en train de fumer, Michel et leur fille Mélanie qui font de grands gestes... Branle-bas de combat! Les aubergines sont en train de distribuer des papillons, il faut déplacer les voitures mal garées ou faire semblant d’aller chercher un ticket à la machine. Jo, pendant ce temps, « charme » les uniformes pour les retarder dans leur entreprise...

Nous distribuons les bisous et entrons à l’ombre dans le hall d’entrée du club, grand ouvert sur la rue. Ma Caresse remarque au passage le regard en-dessous de l’un des fonctionnaires municipaux, manifestement intéressé, voire émoustillé à la vue d’une « vraie libertine » en chair et en os ! On sent dans ce regard tout le poids du fantasme non assouvi... Ma chérie se rencogne un peu plus dans l’ombre pour échapper à ce regard lubrique.

Scoop : Michel nous apprend que, non seulement le jacuzzi a été rénové mais mieux, il est repassé au chlore. Exit le brome et ses intoxications allergiques ! Nous allons pouvoir retourner faire des trempettes coquines: nous savons depuis notre dernière croisière que nous n’avons pas de sensibilité au chlore, les jacuzzis du bateau n’ont en effet eu aucun effet secondaire sur nos peaux sensibles. Nous passons rapidement au vestiaire nous déshabiller, douche rapide et zou... nous voici de retour dans le jacuzzi. Mmmm, quel délice !

Il y quelques hommes seuls autour de nous et un couple à l’autre extrémité du bassin, déjà entouré par une grappe de « piranhas »... Ma chérie s’est assise dans l’angle de la banquette, moi à genoux dans l’eau devant elle, dans une position donc qui n’offre aucune invitation a priori. Néanmoins, l’homme sur sa gauche commence à lui caresser la cuisse. Il faut préciser que, hasard de calendrier, la mise en fonction du jacuzzi rénové du 72 a correspondu avec la fermeture d’un autre club de Toulouse, le Privé. La clientèle comprend donc aujourd'hui d’anciens clients du Privé : des morts-de-faim et des hommes seuls mal éduqués ! Ils se croient TOUT autorisé et ne comprennent pas le mot NON, il va falloir un temps d’adaptation pour qu’ils assimilent les règles de ce club... Mais heureusement Michel, le patron, n’y va pas par quatre chemins : absence de respect rime avec mise à la porte ! Ben oui, les clients habitués sont rois et reines au 72, les hommes seuls ne font pas la loi, et d’autant moins que l’autre club restant à Toulouse, les Bains de St Aubin, a toujours été hyper sélectif: les MDF vont donc forcément finir au 72... Impossible pour Michel de laisser faire sans voir fuir les couples aux Bains, évidemment !

Au bout d’un moment, nous décidons de permuter nos positions dans le jacuzzi, je me mets contre le mur et ma miss se love dans mes bras, dos au jacuzzi. C’est un signal pour « la curée » : en quelques instants nous sommes entourés de « piranhas », 4 ou 5 en tout, qui commencent à peloter ma miss de partout. Une main se glisse sous l’eau et commence à me masturber subrepticement: nous sommes en journée bi, rien d’anormal ! Ma chérie se met rapidement à chanter sa chanson de plaisir, ce qui active encore davantage les prétendants, l’un d’eux commence à lui fourrer sa queue dans la bouche. Plus à droite, un homme à la forte carrure s’approche debout dans l’eau en se masturbant ouvertement et se dirige... vers moi, avec une certaine velléité de se faire sucer lui aussi, apparemment !

Comme nous n’avons pas de préso à portée de main - on oublie vite les bonnes habitudes, faute de pratique - je décide que ça commence à faire beaucoup et je suggère à ma miss que nous sortions du bain. D’ailleurs nous ne sommes pas encore passés au bar et nous comptions bien y prendre, en arrivant, le café que nous n’avions pas pris au resto. Nous nous frayons un chemin hors de l’eau, nous nous rinçons à la douche et allons prendre ce café avec nos hôtes.

Puis nous passons dans notre coin habituel, celui des glory holes. Rapidement, les 5 trous se garnissent de queues gourmandes, nous en choisissons chacun une et commençons à les caresser. Assez vite, la mienne bande bien fort et je l’équipe d’un délicieux préso au chocolat. Ma chérie n’a pas cette chance, à peine a-t-elle branlé la sienne qu’elle décharge soudainement un jet de sperme dans sa main... Encore un éjaculateur précoce !

La bite que je suce est très bonne, bien grosse et bien dure, je me régale. Ma chérie en trouve une autre, l’équipe d’un préso à la fraise mais elle a juste commencé à la sucer que l’homme se retire et disparaît avec le délicieux préso !! Grrrrrr... Dépitée, elle revient vers moi et me caresse tendrement. Déjà très excitée, elle décide de sortir son gros gode-ceinture de 8 pouces. Elle, moi et le gode faisons toujours beaucoup d’effet sur les hommes qui matent de l’autre côté de la paroi.

Elle se place à genoux derrière moi, m’enduit le petit trou, qu’elle appelle « ma chatte » en souvenir d’une rencontre à Ibiza (voir récits parus en mai 2013), d’un peu de lubrifiant, puis elle me pénètre progressivement en faisant un mouvement de va-et-vient, pour m’enfoncer son engin jusqu’à la garde.... Ouch !

Je me fais enculer par ma chérie pendant un long moment, tout en suçant la grosse queue chocolatée, un double plaisir bien agréable. Mais ma Caresse a trop chaud, elle défait son harnais, tout en laissant le gode en place au fond de mon petit trou. Elle se met à le mouvoir avec la main, le mouvement est excitant et savamment dosé, je suis au paradis, d’autant qu’un bras passe par le glory hole latéral et prend le relais, beaucoup plus vigoureusement ! Je déguste, mais cela reste heureusement supportable et je prends beaucoup de plaisir ce qui me fait bander comme un taureau.

Je m’active de plus belle sur la bite chocolatée et ne tarde pas à la faire longuement éjaculer dans ma bouche, en plusieurs saccades... Mmmmm, la bite ne ramollit pas pour autant, elle demeure enfoncée en moi encore un moment, s’affaissant progressivement. L’homme semble se retirer à regret, je la laisse lentement sortir et la caresse une dernière fois de la main : « encore un qui est tombé amoureux de toi » dira ma belle.... lol !

Dans l’intervalle, ma Caresse a trouvé une autre queue, plutôt fine comme elle les préfère, et elle lui a mis un préso au chocolat (nous avons récemment réapprovisionné en chocolats et en fraises....). Le jeune homme lui demande d’entrer jouer avec nous, ma miss se tourne vers moi, interrogatrice. Je lui dis que je ne sais pas, je ne l’ai pas testé !  Elle lui demande s’il est bi, le jeune homme acquiesce et je le prends à mon tour dans ma bouche. Au bout d’un moment, j’avoue à ma miss, avec plaisir, qu’il est « bon pour le service »,  je donne mon assentiment et ma chérie va lui ouvrir la porte.

Il dit s’appeler Baptiste, c’est un jeune homme de moins de 30 ans, d’allure et de visage sympathiques. Il bande dur, comme nous avons déjà pu le constater. Il s’allonge avec nous sur le matelas et je le reprends dans ma bouche. Ma miss se met à lui sucer les boules, puis elle lui fait un anulingus. Ses soupirs et mouvements nous indiquent qu’il apprécie tout cela. Mais à un moment il nous dit être gêné d’être vu de dehors, il demande à aller dans un des coins câlins du fond, sans glory holes. Je lui propose plutôt d’éteindre la lumière, car nous n’avons pas envie de nous faire « piquer » le coin à glory holes ! Cela lui convient, nous reprenons donc nos jeux bissexuels dans le noir. Nous entendons toujours les hommes seuls piaffer derrière nous de l’autre côté de la cloison.

Baptiste se sent beaucoup mieux, il se lâche davantage, ondule du bassin et soupire de plaisir. Il exprime verbalement son appréciation, il est vrai que notre double caresse buccale est réputée diabolique. Ma chérie a changé de position et s’est mise à califourchon au-dessus de lui pour qu’il lui lèche le minou. Bien stimulé des deux côtés : la chatte de ma miss qui suinte sur sa langue et ma bouche qui avale son braquemart tout entier, tout en lui serrant les couilles avec ma main, Baptiste est de plus en plus excité, son plaisir atteint des sommets et il ne peut se retenir plus longtemps de jouir, il fait jaillir 5 longs jets de sa semence virile dans ma bouche....hummm quel pied pour nous trois !

Quand nous rallumons, il a l’air « groggy » et reste encore un bon moment avec nous, causant avec ma chérie pendant que je me concentre sur une nouvelle queue apparue dans un trou. Il nous remercie et demande à nous revoir, encore un qui est tombé amoureux ! Plus tard il nous enverra un gentil e-mail de remerciement avec ses coordonnées. Avant de nous quitter, il avoue à ma Caresse qu’il aurait aimé la lécher plus longuement... Pour ma part, je viens de faire éjaculer la nouvelle queue en à peine trois minutes, ma main est couverte de sperme, il faut que je sorte me laver ! Ma miss vient se rafraîchir également...

Nous arrêtons là pour cet après-midi. Nous avons en effet prévu de revenir... ce soir, car ma miss doit prendre un train de nuit à la gare Matabiau. Nous repartons autour de 16h30, ce qui nous permet d’éviter les embouteillages de la rocade et nous donne ainsi largement le temps de dîner et de nous préparer  pour la soirée, car ce soir ma brune sort.... avec sa blonde !

(à suivre...)

vendredi 14 novembre 2014

Soirée privée à 5: 2 hommes, 2 femmes et 1 trav (3/4)


(1ère partie)
(Alpha / Sophia raconte)

… après les émotions de ces derniers jours (voir récits précédents), un peu de repos n’est pas superflu. Nous nous octroyons donc une grasse matinée dominicale, ce d’autant que nous avons un programme que nous savons chargé pour la soirée…

Il fait très beau et nous avons installé un petit déjeuner campagnard sous le vaste barnum de la terrasse. Roberto me montre l’appli pour Iphone qu’il a créée et m’en offre une copie qu’il installe sur mon appareil. Les dames ont décidé de profiter du jardin, une sorte de jardin d’Eden en été car il n’y a aucun vis-à-vis grâce aux hautes haies de lauriers qui nous dissimulent aux regards des voisins. Nous en avons souvent profité, ne serait-ce que pour nous adonner avec joie et régularité au naturisme, mais aussi pour des occasions libertines avec des amis triés sur le volet, pour un barbecue coquin autour de la piscine et de son bar… Sans me vanter, j’ai en effet quelques talents de barman, d’aucuns qui nous lisent ici pourraient d’ailleurs en témoigner…

Les deux femmes se sont installées dans les transats à bascule, à l’ombre du grand cerisier. C’est justement la saison des cerises et les arbres commencent à donner, même si c’est encore un peu juste pour les confitures cette année. Il a fait trop froid à la fin de l’hiver, la végétation a presque une semaine de retard sur la normale. Devant l'engouement des dames, je décide d’installer également le hamac, entre le cerisier et l’abricotier, un arbre que nous affectionnons particulièrement pour son tronc bien droit qui en fait un parfait « totem » indien pour y attacher une victime soumise… et aussi pour ses fruits savoureux: cette année 2012 sera d’ailleurs un grand cru avec une production de plusieurs dizaines de fruits bien mûrs, du jamais vu dans ce jardin !

Pendant que nous, les hommes, devisons sérieusement de logiciels et de téléphonie, nos deux coquines se câlinent l’une l’autre sous le cerisier. Miss Caresse commence à brouter le minou de la belle espagnole qui se met à gémir de cette façon caractéristique que nous connaissons bien. Seulement, si la haie prévient les vis-à-vis, il n’en va pas de même pour les sons…. Nous leur faisons signe qu’il est temps de retourner faire quelques courses à Muret, en vue du repas de midi !

Nous prenons la Golf Cabriolet, avec une telle journée c’est le véhicule le mieux adapté. Maria monte devant à ma droite et Roberto s’installe derrière avec ma chérie. Nous devons passer chez notre boucher chercher la viande à fondue, 800 g de poire fondante, ça ne se trouve pas comme ça! Il faut un boucher de grande qualité et c’est la chance que nous avons de l’avoir à deux pas de la maison. Il nous faudra aussi réapprovisionner le stock de bière, nous ne pensions pas que nos amis aimaient autant ce breuvage: notre stock a fondu comme neige au soleil !

Comme il fait très beau, nous profitons de notre passage en ville pour prendre l’apéro à une terrasse ensoleillée. Caresse et moi prenons un Monaco… Roberto et Maria, une Kro !!

De retour à la maison, nous nous régalons d’une délicieuse fondue bourguignonne. En vrais épicuriens, nos amis espagnols sont toujours intéressés à découvrir de nouvelles saveurs gastronomiques. Ils ne sont, une nouvelle fois, pas déçus. Roberto demande ensuite sa sieste quotidienne, mais cette fois Maria n’en a pas envie et elle essaie de le dissuader. Il insiste, mais finit par lui dire qu’elle peut ne pas l’accompagner et rester avec nous si elle veut. Pour lui, c’est sans appel, la sieste est un vrai besoin physiologique !!

En fin d’après-midi, Roberto se réveille et s’apprête. Maria s’habille pour sa part d’une délicieuse petite robe noire en simili cuir avec des sortes de clous, elle a mis des bas noirs et des sous-vêtements avec des étoiles vertes bleutées, elle est délicieusement sexy et elle le sait… Alpha se transforme en Sophia ce soir, nos amis attendent ce moment avec impatience depuis qu’ils ont vu les photos. Compte tenu des températures estivales Sophia sera en tenue d’été : petit top rouge à fines bretelles, minijupe blanche bien moulante, collier en plumes et métal, bracelets fantaisie… Maquillage appuyé, Sophia a pris soin de refaire le vernis de ses ongles en bleu. Elle fait aussi l’effort d’enfiler des bas transparents légèrement brillants retenus par un porte-jarretelles noir, visible sous la minijupe, et ses escarpins vernis noirs à très hauts talons (15cm).

Roberto a mis son pantalon de cuir et une chemise noire, il est très séduisant ainsi. Comme nous attendons l’arrivée de notre ami Terrence, Caresse ne peut pas s’habiller trop sexy tout de suite, au cas où il faudrait aller le chercher dans le village : elle est la seule à ne pas être habillée sexy, ça la gêne et la démoralise, mais elle fait avec ! Heureusement, notre ami Terrence a le sens de l’orientation (et un bon gps), il arrive sans encombres à 19h30, ce qui permet à ma chérie d’aller à son tour revêtir une tenue noire sexy avec bas et porte-jarretelles.

Nous faisons les présentations. Nous avons prévu un apéro sur la terrasse et un barbecue pour dîner, c’est la belle saison et c’est tellement convivial. Sophia étant un peu trop soignée, c’est finalement Terrence qui se colle à la manœuvre du barbecue, attisant les braises et surveillant la cuisson des côtelettes. Il nous a amené une délicieuse bouteille de vin de Bordeaux pour accompagner le dîner qui se déroule plaisamment: tout le monde semble en phase, le nouveau venu semble plaire à nos amis espagnols… tant mieux, c’est toujours un peu aléatoire les alchimies de groupe.

Nous passons au salon car la nuit commence à tomber. Sophia laisse remonter à la surface les talents de barman d’Alpha pour concocter de délicieux Irish Coffees. Puis, insensiblement, nous passons vers la chambre à coucher que nous avons aménagée pour l’occasion comme nous l’avions déjà fait pour la soirée privée avec Paul, Marjorie et ce même Terrence : la croix resplendit sur le mur principal et notre matelas king size est transformé en coin câlin pluriel, avec draps neufs et profusion de gros coussins...

(à suivre)

jeudi 6 novembre 2014

Coquineries en ville (2/4)


(Alpha raconte)
...Après une bonne nuit de repos bien mérité, nous prenons un plantureux petit déjeuner sur la terrasse ensoleillée du jardin. Il fait super beau, Maria a mis un petit tablier de soubrette et elle fait la bonne espagnole! En revanche, Roberto a du travail, il s’est installé à son ordinateur, ravi d’avoir du réseau pour pouvoir se connecter, au grand désarroi de Maria, qui aimerait une plus grande présence de son homme. Lorsqu’il n’est pas là, elle est plus distante, comme pour afficher qu’il ne se passera rien sans lui, mais tout en restant très aguicheuse malgré tout. Elle a apporté beaucoup de belles robes et de sous-vêtements sexy, ce n’est pas pour rien ! Nonméo… !

Nous avons prévu de leur faire découvrir le marché typique de la petite ville à côté de chez nous : un vrai marché coloré et odorant du sud-ouest, un régal pour la vue et les narines, toujours un véritable plaisir d’en faire le tour les samedis matins ! Et aussi parce que nous avons l’intention d’y faire des provisions de fromage en vue d’un « wine & cheese » à la française...  nous y connaissons une fromagère en or, son St Nectaire fermier est à tomber à genoux !

Comme il est tard et que nous n’aurons pas le temps de repasser par la maison avant d’aller à Toulouse, nous prenons la glacière pour pouvoir y mettre le fromage. Après le tour du marché, nous filons à Toulouse. C’est le weekend de la Pentecôte, il n’y a pas trop de monde et nous trouvons à nous garer facilement, presque au bord de la Garonne. Nous faisons une petite promenade apéritive autour d’Esquirol. Nous y découvrons par hasard un magasin d’articles de cirque où, amusant, l’on trouve toutes sortes de cordes en différentes matières, notamment du chanvre, ce qui permet d’autres activités que les acrobaties... Mmm, Roberto en achète quelques mètres !

Après un coup d’œil à la cour intérieure de l’hôtel d’Assézat, nous gagnons le restaurant où nous avons réservé une table pour 4. Nos amis sont favorablement impressionnés par le cadre, le service et la qualité de la gastronomie. Nous ne pouvions pas faire moins, connaissant les goûts de Roberto, il fallait bien un restaurant de ce niveau pour le satisfaire.

Puis nous faisons une balade dans la ville, en commençant par notre boutique coquine préférée... Nos amis Antoine et Coralie sont présents, mais Coralie est occupée avec une cliente à l’étage. Antoine nous fait l’article, il commence par nous faire visiter ses installations en sous-sol : petit « musée » du sexe, vitrines de sextoys et mini-donjon, celui où nous avons déjà fait plusieurs soirées avec eux. Puis il montre à Maria et Roberto les autres trésors que recèle son antre : robes sexy, lingerie, escarpins et cuissardes... Roberto se laisse tenter à essayer des escarpins noirs... Il est vrai que ce n’est pas toujours évident pour un homme, surtout en Espagne, d’essayer de tels articles dans un magasin ! Mais ici, pas de problème, Antoine est très compréhensif et sait mettre à l’aise ses clients.

Nous faisons quelques photos... Dans l’intervalle, Maria s’est éclipsée pour essayer de petites robes sexy dans la cabine d’essayage spacieuse et équipée de grands miroirs où nous avions jadis rencontré la délicieuse Mylène (voir récit du 16 octobre 2010). Coralie vient de terminer l’épilation de sa cliente et elle a rejoint ma Caresse pour la saluer. Puis elle vient faire connaissance avec Roberto et m’embrasser à mon tour. Rapidement, les deux femmes s’éclipsent pour s’enquérir de Maria, tandis que je reste avec Roberto et Antoine au rayon des escarpins. Nous poursuivons les essayages...

Ma chérie me racontera par la suite qu’elles sont arrivées dans la cabine d’essayage où elles ont trouvé Maria merveilleusement sexy dans une petite robe courte et moulante en vinyle noir. Après les présentations d’usage, Coralie s’est empressée d’aider Maria à ajuster sa tenue, mais ma coquine s’est, elle, agenouillée et a commencé à lécher le minou de notre amie espagnole. Comme vous le savez, Maria est une bombe mais pas une bombe à retardement, elle se déclenche presque immédiatement ! Elle s’est mise tout de suite à gémir en se tordant doucement sous la langue habile de ma miss, comme elle l’avait fait dès notre première rencontre à Tolède (voir récits du 15 et du 23 janvier 2011). 

Coralie ne peut rester longtemps indifférente devant une telle scène... Elle enlace Maria de ses bras et se met à l’embrasser sur la bouche, d’un long et langoureux French kiss à la belle Espagnole, ce qui permet aussi de lui bâillonner la bouche pour étouffer ses gémissements. En même temps, elle lui écarte les pans de la minirobe en vinyle et découvre ses deux seins saillants. Elle les prend dans ses mains et les caresse doucement en les malaxant et en pinçant légèrement ses tétons. Coralie a beau être une vraie sadique avec les hommes – j’en sais quelque chose.... – elle sait aussi être douce avec les femmes.

Elle se penche ensuite pour sucer les pointes de seins de Maria, qui peut profiter du spectacle dans les grands miroirs de la cabine d’essayage. Puis elle rejoint ma chérie pour lécher la chatte de l’Espagnole de leurs deux langues.  Maria se mord la main pour ne pas crier, il y a en effet quelques clients dans la boutique et Antoine, alerté par son sixième sens, s’est empressé de s’occuper d’eux pour éviter qu’ils ne se posent trop de questions sur ce qui peut bien se passer dans cette cabine d’essayage !

Maria a deux ou trois orgasmes assez violents, et nos deux coquines la laissent un peu pour s’embrasser et se caresser l’une l’autre. Mais Roberto a terminé ses essayages, il ne se décide finalement pas à acheter les escarpins noirs. Antoine nous a fait un café, et nous passons à la cabine chercher nos femmes pour prendre le café avec nous, d’autant que d’autres clients sont entrés dans la boutique, Coralie va devoir aller aider son homme. Nous les trouvons toutes les trois en train de s’embrasser en tous sens, Maria à moitié dénudée, ma chérie et Coralie encore habillées. Mmmm, Roberto adore ce genre de situation, je devine qu’il doit être en érection sous son pantalon de toile, la soirée risque d’être très chaude !

Le café permet de faire un peu tomber la température, Coralie a été enchantée de faire la connaissance de nos nouveaux amis, mais il se fait tard et nous avons encore des choses à faire : nous voulons en effet les emmener visiter la péniche de la violette, amarrée devant la gare Matabiau, car nos amis cherchent de petits cadeaux typiques à ramener. Ensuite, nous rentrons à la maison, Roberto a exprimé son besoin de sieste quotidienne, vu l’état dans lequel la boutique l’a mis nous ne sommes pas certains que celle-ci ne sera pas crapuleuse !

Le soir nous décidons de ressortir en ville pour explorer un nouveau club que nous avons longtemps fréquenté avant de cesser d’y aller pour cause d’allergie au brome utilisé pour traiter le jacuzzi : les Bains de St Aubin. Maria s’est de nouveau habillée très sexy mais elle ne peut pas rester habillée dans ce club à dominante humide. Elle est un peu déçue mais fait contre mauvaise fortune bon cœur. Nous leur faisons visiter les installations, partie humide (sauna, hammam, jacuzzi), coins câlins, mini-donjon (notre préféré) et coin couples avec la belle croix de St André qui nous rappelle tant de bons souvenirs…

Finalement nos amis opteront pour le jacuzzi et nous pour les glory holes du mini-donjon. Beaucoup de passage dans ce coin, mais comme d’habitude peu de gens vraiment joueurs. Pareillement, Roberto et Maria seront un peu déçus du peu d’interaction avec les autres couples dans le jacuzzi. Ils finissent par nous rejoindre dans la cage du donjon et nous reprenons une séance de coquineries à quatre comme nous aimons. Maria s'assied contre les barreaux de la cage et ma chérie se met à lui faire un cunni qui la met rapidement sous pression. Roberto et moi admirons la scène, pour ma part je fais des photos (censurées...), mais rapidement Roberto n'y tient plus: il saisit le martinet en cuir noir de ma chérie et lui flagelle modérément le dos pendant qu'il se masturbe. Puis il enfile un préso et la prend en levrette tandis qu'elle continue de lécher Maria qui gémit de plus en plus fort et enchaîne orgasme sur orgasme.

Finalement, la belle Espagnole n'en peut plus, elle se dégage sur le côté pendant que son homme continue de tringler ma miss en lui arrachant des soupirs de plaisir. Je me place devant elle pour qu'elle me suce en même temps mais ses orgasmes deviennent trop violents et elle a du mal à continuer. Qu'à cela ne tienne, Maria a eu le temps de récupérer, je fais un quart de tour et lui présente ma queue qu'elle enfourne sans hésitation dans sa bouche. Mmmm, un moment délicieux.... Roberto finit par jouir dans le vagin de ma miss tandis que j'éjacule pour ma part entre les seins de Maria...

La journée a été belle, nous ne rentrons pas trop tard et finissons la soirée devant un verre à la maison, à discuter jusqu’à 2h du matin. Le meilleur du weekend reste à venir…

(à suivre)


jeudi 30 octobre 2014

Piranhas et colibri (1/4)


(Alpha raconte)


C’est l’événement. Nos amis espagnols nous ont envoyé un message pour nous dire qu’ils avaient envie de venir nous voir à Toulouse ! Whaouh... Quand on connaît l’aversion de Roberto pour la conduite automobile, c’est un vrai scoop, d’autant que nous ne les avons pas revus depuis plus d’un an.  
 

Nous avions fait leur connaissance via un site libertin sur internet, et finalement décidé de nous rencontrer près de chez eux, en Castille. C’était à Pâques 2010, et nous avions imaginé joindre l’agréable à l’agréable en combinant ce projet avec une visite des plus beaux endroits de cette illustre province espagnole. J’avais ainsi fait découvrir à ma Caresse les superbes villes de Burgos, Salamanca, Avila... puis Tolède et Madrid (voir récits précédents, postés en janvier et février 2011).

C’est à Tolède que nous les avions vus pour la première fois. L’angoisse du « blind date »... de ne pas vraiment savoir qui ils étaient, ni à quoi ils ressemblaient... le premier contact, notre premier dîner et nos deux premières nuits torrides dans un ancien palais de Tolède. Puis une soirée privée dans un appartement de Madrid. Ce voyage avait été un moment fondateur de notre relation, amicale et libertine, sortant des standards habituels, exceptionnelle...

Nous les avions revus l’été suivant, lors de notre traversée vers le Portugal. Une étape libertine inoubliable à Valladolid, dans un ancien monastère reconverti en hôtel 5 étoiles (voir récits parus le 23 avril et le 1er mai 2011).

Enfin, en avril 2011, nous les avions brièvement rencontrés dans un hôtel de Madrid, un déplacement qui combinait travail et loisir, laissant peu de place à ce dernier (voir récits du 10 et 20 mai 2012). Roberto nous avait paru fatigué, un peu absent. Plus de nouvelles depuis, sinon sporadiquement par e-mail.

Et voici qu’ils nous annoncent leur venue pour le long weekend de la Pentecôte ! Quatre jours et quatre nuits chez nous, un vrai challenge et en même temps le plaisir de savoir que nous allions faire de notre mieux pour rendre inoubliable leur séjour de ce côté-ci des Pyrénées. Notre imagination s’est très vite mise en marche pour leur concocter un programme au top.

Ils arrivèrent par l’avion direct de Madrid en fin d’après-midi le vendredi. Nous les attendions à l’aéroport, mais leur avion avait un peu d’avance et finalement nous les avons trouvés dans le hall en train d’arriver, avec leurs bagages déjà récupérés. Embrassades immédiates – toujours un peu délicat en public, étant donné que nous nous bisouillons systématiquement sur les lèvres - de vraies retrouvailles, le bonheur brillait dans nos quatre paires d’yeux.

L’installation dans notre B&B coquin est rapide, nous leur avons préparé la chambre d’amis avec un grand lit « king size » et quelques toiles érotiques aux murs... Ils nous rejoignent ensuite sur la terrasse du jardin pour prendre une bière et discuter un peu, puis ils s’éclipsent à deux dans la chambre pour une petite « sieste »... Atavisme oblige !  Nous verrons les jours suivants qu’ils ont chaque jour besoin de faire cette sieste de l’après-midi, la tradition reste bien vivante chez nos amis Espagnols !

Nous avons prévu, pour cette première soirée, de les emmener au 72, notre club favori. Nous espérons y trouver quelques blacks bien membrés car Roberto nous a fait savoir que c’était un fantasme de Maria... Vers 19h, ils réapparaissent et nous nous préparons pour sortir. Maria s’habille avec une jolie robe courte et des chaussures à petits talons, elle est à croquer !

Nous avons prévu de dîner d’abord au restaurant italo-gascon qui se trouve à l’angle de la rue du club. Cela nous permet de sortir en ville assez tôt pour nous garer plus facilement. De là, nous pourrons ensuite aller au club à pied, c’est à peine à 150m.

Nous arrivons à l’heure et nous nous installons en terrasse. Maria se met en face de ma chérie, je me mets à côté d’elle et Roberto se met à côté de Caresse. Il n’a pas arrêté de faire des messages sur son portable depuis qu’il a quitté la maison. Il nous montre une application professionnelle qu’il a développée sur iPhone. C’est une appli qui est payante, mais qu’il souhaite m’offrir, en signe d’amitié. Pour l’instant, il vient de la mettre au point avec des collègues, il espère semble-t-il  se faire pas mal d’argent avec.

Nous dînons tranquillement en partageant nos plats respectifs – nous aimons en fait tout partager entre nous quatre ! - et en parlant un mélange de français, d’anglais et d’espagnol. A 21h30, une courte promenade digestive nous permet de rejoindre le club. Michel nous accueille avec sa joie et sa gentillesse habituelle, mais il est déçu car il a appelé 12 blacks et aucun n’a répondu, même  pas un non, pas possible, rien ! Cela l’agace un peu, mais nous le mettons à l’aise, cela ne nous empêchera pas de nous amuser.

Nous faisons visiter le club à nos amis : le bar, la partie discothèque, les coins câlins et la partie humide (jacuzzi, sauna, hammam). Nous passons un moment ensemble au bar puis ils décident d’aller faire un petit tour dans le jacuzzi. Ma miss prévient Maria, en riant, qu’il y a plein de piranhas, qu’il faut qu’elle fasse attention ! Elle rit et dit qu’elle se méfiera, et Roberto aussi fera attention…

Nous préférons aller dans les glory holes. Nous y passons un excellent moment, comme la plupart du temps, à sucer des queues dans les trous de la paroi. Nos amis nous rejoindront peu après, pour nous dire que ça ne jouait pas beaucoup dans le jacuzzi et qu’il y avait en effet pas mal de piranhas... et aussi un colibri ! Maria s’explique : ils ont tenté d’approcher un couple, la femme semblait désireuse de jouer entre femmes mais elle se contentait de faire de faux bisous du bout des lèvres, comme un colibri qui tète du nectar dans le pistil d’une fleur...

Ils s’installent dans le coin câlin du fond, où ils seront rejoints par un couple. Mais ils nous diront ensuite que là encore il y eut peu d’interaction, l’autre couple jouant en côte-à-côtisme sur le même matelas, juste des voyeurs exhibs, sinon rien.

Mais nous ne resterons pas trop longtemps au club, pas de blacks en vue et nos amis sont fatigués, malgré la sieste non crapuleuse qu’ils ont pu faire en arrivant chez nous.  Nous rentrons à la maison, il est déjà minuit et demie,  Roberto a soudain envie d’attacher sa belle sur notre croix domestique... Il semble avoir retrouvé de l’énergie à la vue de notre mobilier ! Ma chérie l’aide à attacher Maria par les poignets et les chevilles aux 4 anneaux d’écurie pendant que je fais des photos. Roberto lui ajoute la laisse de chien au cou ainsi qu’un bâillon-boule plein en latex noir. Ma miss relève la robe moulante en cuir noir de Maria et commence à lui lécher la chatte. Son homme lui pince les tétons en même temps, et très vite la belle se tortille et se met à jouir d’un plaisir évident.

Mais nous ne jouerons pas très longtemps ainsi, le weekend est encore jeune et nous avons tous besoin de repos. Nous nous retirons dans nos chambres respectives. Un petit moment d’intimité en couple, c’est si bon !

(à suivre)...