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Sur ce blog nous racontons notre vie de libertins. Nos récits parlent de nos sorties et de notre vision du libertinage... Les lieux et endroits sont "améliorés", les repas "enrichis", l'histoire est parfois romancée afin que toute ressemblance avec la réalité ne puisse qu'être fortuite. Bonne lecture.
Caresse et Alpha
On this blog we are unveiling our swinger lifestyle. Our stories tell about our swinger parties and develop our vision of this particular way of life.
Places and meals are sometimes "improved", names are changed and the story itself may be "adapted" or even fully invented...
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Caresse (she) and Alpha (him)

dimanche 23 janvier 2011

Rencontres madrilènes: Tolède (épisode 2)

(Alpha raconte)

Nous nous sommes donné rendez-vous à 21h pour aller dîner dans un restaurant non loin de l’hôtel avec nos nouveaux amis madrilènes. Les dames se sont faites belles et les messieurs se sont habillés classiques et élégants. Roberto s’est chargé de faire la réservation, il a dégoté un superbe restaurant de cuisine « fusion », c’est-à-dire mêlant créativement des recettes traditionnelles et des touches d’originalité moderne. Ce restaurant, le Locum (le « lieu » en latin), s’étage sur trois niveaux carrés en mezzanine sur la partie centrale, faisant puits de lumière sur toute la hauteur de l’immeuble. Ce « lieu » fait penser aux riads de Marrakech, c’est une maison ancienne de la ville, juste derrière la cathédrale, en pierre de taille et planchers antiques supportés par de grosses poutres rectangulaires. Un « lieu » vraiment magique… !!!

Le menu est à la hauteur de la réputation du « lieu ». Nous prenons des assortiments de plats afin de les partager entre nous quatre, un excellent vin rouge de la Ribera del Duero… les desserts sont à tomber en pâmoison… Le service est bien entendu également de très haut niveau. Superbe soirée gastronomique en excellente compagnie !

Nous sortons du restaurant vers 23h. Les ruelles pentues derrière la cathédrale sont quasi-désertes. Roberto nous demande de nous arrêter devant la porte des lions, l’un des portails monumentaux de la cathédrale, défendu d’une haute grille avec de solides barreaux en métal. Il sort son appareil photo et nous prenons quelques clichés souvenirs de cette belle soirée. Mais nous comprenons rapidement qu’il souhaite faire aussi des photos un peu plus « artistiques »…

Maria commence à écarter les pans de son manteau et dégager sa gorge tenue dans son beau corset noir. Caresse l’embrasse doucement puis plus intensément en descendant petit à petit vers les pointes des seins de Maria. J’ai moi aussi sorti l’appareil photo….. Quelle jolie scène, avec la cathédrale nocturne en toile de fond! Les deux femmes sont maintenant largement dénudées dans la partie supérieure de leur corps : Caresse a enlevé son manteau et apparaît dans son déshabillé de dentelle noire, Maria a laissé tomber son manteau en arrière sur ses bras et a les épaules et les seins nus dans la rue. Caresse s’est maintenant agenouillée pour lui lécher le sexe et Maria ferme les yeux de plaisir… Roberto et moi profitons de ce spectacle qui nous est offert en cadeau.

Des bruits de pas résonnent soudain sur le pavé de granit… des silhouettes apparaissent à l’entrée de la ruelle! Rapidement Caresse se relève et réenfile son manteau tandis que Maria remet le sien sur ses épaules d’un coup, elle n’a pas eu le temps de refermer le corset, ce qui la fait éclater de rire, au moment où le groupe de passants arrive à notre hauteur, nous lance un regard de travers et continue son chemin sans faire de commentaires…

Rentrés prestement à l’hôtel, nous rejoignons brièvement nos chambres respectives avant de nous retrouver tous les quatre dans la nôtre. Roberto et Maria ont ramené nos flûtes à champagne de la veille, le champagne est au frais dans le seau à glaçons et nous avons même de quoi le sabrer, mais la taille de la chambre ne se prête pas à cet exercice. Nous préférons continuer nos activités artistiques commencées dans la rue, Roberto et moi prenons les appareils photo pendant que Caresse et Maria recommencent à s’enlacer et s’embrasser. Apparemment, la petite séance dans la ruelle les a déjà bien mises en condition.

Nous faisons une jolie série de clichés, tandis que les belles s’effeuillent lentement l’une l’autre : Caresse, perchée sur ses nouveaux escarpins noirs, bas et jarretelles, et son haut en dentelle noire, Maria aussi en escarpins, bas, jarretelles et corset noirs, cheveux déliés sur les épaules… Nous les prenons d’abord de dos, puis Maria se retourne pour nous faire face, tandis que ma chérie dégrafe son corset pour lui lécher les seins. Puis elle s’accroupit entre ses cuisses, enlève le mini string de Maria et commence à lécher son intimité. En même temps, Maria finit de dégrafer son corset et l’enlève complètement, elle commence à gémir et se tortiller de plaisir. Puis elle aide ma miss à défaire son haut sexy en dentelle, Caresse revient sucer les pointes de seins de Maria. Les deux femmes paraissent fort émoustillées, mais les deux hommes aussi, bien que cela ne soit pas tout à fait apparent sous nos vêtements toujours en place.

Ces dames décident soudain de passer à d’autres jeux et nous enjoignent de laisser les appareils photos tandis qu’elles commencent à nous déshabiller. Rapidement, Roberto et moi nous retrouvons en string, face à face, les deux belles à genoux entre nous alternant leurs caresses manuelles et buccales de l’un à l’autre. Tout le monde semble très en forme !

Comme la veille, Roberto se voit soudain paré de beaux bracelets en cuir et métal noirs aux chevilles et aux poignets, puis elles l’allongent sur le lit et le ligotent écartelé par les quatre membres. Maria ajoute un bandeau noir sur ses yeux, Roberto bande déjà comme un taureau ! Les dames, coquines, se la jouent « dominas » ce soir…. Caresse m’a équipé de mon collier de chien en cuir noir, avec sa laisse, bracelets aux poignets et aux chevilles également, plug anal…. Elle m’attache les deux poignets dans le dos par un mousqueton puis me tire par la laisse sur le lit en me disant qu’elles et Maria vont maintenant faire de jolies photos de leurs hommes….

Je suis à genoux devant Roberto, entravé et ignorant de ce qui est en train de se passer. Caresse me tire par le collier jusqu’à approcher mon visage du sexe de Roberto… qu’elle m’ordonne, soutenue par Maria, de prendre dans ma bouche ! Malgré mes réticences, je n’ai guère le choix, dans la position où je suis et je m’exécute, du bout des lèvres, puis un peu plus loin. Roberto, sentant une bouche humide envelopper son gland, commence instinctivement à jouer du bassin dans un va-et-vient de plus en plus fort. Sans pouvoir rien dire ni faire, je suis ainsi obligé de prendre sa queue entière dans ma bouche, jusqu’à la garde, tandis que notre ami s’agite de plus en plus frénétiquement. Gulp… !

Maria n’en perd pas une miette et assure le reportage photographique pour Roberto. Elle prend les photos sous toutes les coutures et semble particulièrement amusée, même heureuse pour Roberto, quand elle lui révèlera ce qui s’est passé… ! Caresse décide alors de « corser » un peu le jeu, et elle m’enjoint de passer à quatre pattes au-dessus de Roberto, qui s’est immobilisé quand je l’ai finalement lâché. J’obéis docilement, et Roberto sent désormais mon sexe frôler son menton, tandis que je reprends le sien dans ma bouche maintenant habituée. Il reprend aussitôt ses ondulations du bassin tandis que Maria lui explique en deux mots ce qui est attendu de sa part. Sans hésiter, il avale mon sexe en entier et commence à le sucer activement tandis que je m’occupe du sien. Les deux femmes profitent du spectacle de leurs hommes soumis en 69 et mitraillent à tout va de leurs appareils photos. Ce qui nous permettra d’ailleurs de profiter nous aussi du spectacle, en différé….

Cette position est particulièrement excitante pour nous, d’autant que nous ne pouvons aucunement nous servir de nos mains. Roberto est toujours autant excité, il donne de furieux coups de hanches, je sens son membre coulisser de toute sa longueur jusqu’au fond de ma gorge, profonde finalement. Ce jeu me fait intensément saliver, il en est de même de mon compagnon qui suce tout aussi énergiquement ma queue. Les dames sont très excitées par le spectacle et finissent par laisser tomber les appareils photos pour venir elles aussi se placer en 69 à côté de nous. A défaut de les voir – encore que moi je puisse les lorgner du coin de l’oeil – nous les entendons se lécher, sucer l’une l’autre, se caresser les seins et gémir, soupirer… Intense moment d’excitation et de bonheur partagé ! Caresse et Maria s’activent tant et si bien que Maria se met à crier de plaisir tandis que je reconnais la chanson de ma chérie qui monte crescendo, rapidement, jusqu’à sa jouissance.

Les dames s’écroulent momentanément sur le côté du lit, je me redresse alors et me dégage de Roberto. Maria et Caresse lui enlèvent le bandeau et le détachent. Roberto se saisit rapidement de Maria, la retourne à quatre pattes sur le lit et l’enfile d’un seul coup. Il n’en peut plus, le pauvre…. ! Je me suis allongé sur le dos à côté d’eux pour me relaxer un peu, mais ma chérie ne perd pas un instant pour venir me faire une fellation comme je les aime et comme seule elle sait les faire, savamment dosée à force d’expérience et de savoir-faire. Elle a encore envie de jouer et ôte le plug anal pour passer au calibre supérieur, notre « diabolique », noir et vibrant, d’une belle longueur et d’un beau diamètre. Mmmmm, quel délice…

Roberto est vite parvenu à l’orgasme en prenant sa chérie par-derrière, il s’écroule sur le côté, game over… Mais Maria se montre très intéressée par les jouets de ma Caresse et, ne voulant pas être en reste, sort l’un des siens, un gode énorme, réaliste avec testicules et piles, il vibre encore plus diaboliquement, le monstre ! Elle le lubrifie abondamment et s’évertue à me l’essayer avec l’aide de ma chérie. « Es mas pequeno… » dit-elle, faisant sans doute allusion aux dimensions de son chéri, plus trop réceptif à cette heure-ci. De fait, elle ne parvient pas à l’introduire, elle est précautionneuse et ne veut pas me faire de mal.

Caresse reprend les choses en main et, avec son doigté habituel, lui montre que, mas pequeno ou pas, ça rentre quand même, avec suffisamment de gel…. !!! Mais quel monstre, surtout quand il vibre… Je crie grâce au bout de quelques instants et d’ailleurs Maria réalise qu’il est l’heure de ramener son chéri entre les bras de Morphée.

Nos amis se rhabillent tant bien que mal pour franchir les quelques mètres qui les séparent de leur chambre, à cette heure-ci peu de risque qu’ils croisent quelqu’un dans le couloir ! Nous prévoyons de nous retrouver le lendemain matin pour le petit déjeuner-buffet de l’hôtel.

Je reprends ma Caresse dans mes bras et l’enlace en l’embrassant, quelle douce sensation, toujours un bonheur de se tenir ainsi enveloppés l’un dans l’autre. Je la pénètre en même temps, bien à fond et nous restons un moment ainsi à savourer notre plaisir d’être ensemble et d’avoir partagé cet extraordinaire moment avec des amis si délicieux avant de nous endormir l’un dans l’autre.

samedi 15 janvier 2011

Rencontres madrilènes: Tolède (épisode 1)

(Alpha raconte)

Quand je suis venu pour la première fois, il y a longtemps, dans cette splendide ville espagnole chargée d’histoire, jadis même capitale du pays, je ne pensais pas y revenir dans des conditions aussi particulières que cette fois-ci, 28 ans plus tard.

Nous nous sommes réservé une chambre dans un superbe hôtel-spa 5 étoiles de la vieille cité, dans un ancien palais impérial dont certaines parties remontent à la fin du Moyen-âge et au début de la Renaissance. Nous y sommes arrivés en fin d’après-midi, nous avons laissé la voiture au valet et nous sommes installés dans la chambre dotée d’un lit king size surmonté d’un baldaquin en draperie. Moment de relaxation et préparatifs sans hâte, car nous avons donné rendez-vous à 21h30 à un couple de libertins madrilènes rencontrés sur internet et avec qui nous avons prévu de dîner au restaurant de l’hôtel.

Peu avant l’heure prévue, nous descendons dans le grand hall surmonté d’une verrière art déco et nous installons dans un profond canapé avec un cocktail à la main. Nous scrutons les allées et venues dans le hall car nous ne savons pas à quoi ressemblent nos amis, nous ne connaissons que leurs prénoms, Roberto et Maria. Un couple passe mais se dirige vers l’ascenseur, un autre va s’installer à une table de deux dans le restaurant… 21h35, toujours personne…

Un couple apparaît dans l’embrasure de la porte de l’ascenseur, une femme grande et fine, avec de longs cheveux bruns, une robe noire à mi-cuisses, des collants noirs disparaissant dans des cuissardes noires à hauts talons, accompagnée d’un monsieur élégamment vêtu d’une veste chic et d’un pantalon de cuir noir. Nous nous regardons, notre intuition nous signale que ce doit être eux. Ils se dirigent vers le restaurant, où le serveur leur explique que la table est bien réservée et que nous les attendons dans le canapé qu’il leur désigne de la main. Ils se retournent et s’avancent vers nous.

Nous nous saluons et nous présentons, puis passons au restaurant. Cet endroit est, comme le reste de l’établissement, évidemment très classe, nous avons une grande table ronde dans un angle et un serveur très attentionné qui prend les commandes. Nous adoptons le trilinguisme anglais-français-espagnol pour nous comprendre et passons ainsi un très agréable moment en excellente compagnie. Nos amis s’avèrent raffinés et charmants, conviviaux et prévenants, nous nous sentons en harmonie. Nous partageons nos plats et nos desserts, échangeons points de vue et informations, tout se passe le mieux du monde, mais l’heure tourne, déjà 23h… Après le dessert, Roberto nous propose de les retrouver dans leur chambre pour une coupe de champagne, ce que nous acceptons avec plaisir.

Nous passons d’abord chercher notre mallette de jouets, car nos amis sont intéressés à échanger nos points de vue à ce sujet. Nous gagnons leur chambre et toquons à la porte qui s’ouvre immédiatement. La chambre, semblable à la nôtre, est plongée dans la pénombre avec seulement un éclairage tamisé, et nos amis nous accueillent chaleureusement, une coupe de champagne à la main. Nous avions parlé à table de bondage et autres jeux divers, et nous leur proposons une petite démonstration. Maria est volontaire pour essayer et elle ôte tout d’abord son joli corset noir qui lui moulait la taille et les seins, tandis que je déroule une belle corde blanche de 10 mètres.

Rapidement, elle décide d’enlever aussi son soutien-gorge, aidée par Caresse et Roberto, ainsi que son string noir. Elle se retrouve nue devant nous, seulement vêtue de ses collants noirs et de ses bottes à hauts talons. Il m’est ainsi plus facile de faire la démonstration de karada, avec 4 beaux noeuds judicieusement placés au-dessus et en dessous de ses seins, sur son nombril et sur son clitoris. Je passe ensuite la corde derrière elle et je la serre progressivement en redescendant. A chaque tour de corde, aidé par Caresse, je l’enveloppe de mes deux bras par-derrière et je peux ainsi profiter de son agréable parfum ainsi que de la douceur de sa peau très fine. Une fois l’ouvrage terminé, Roberto entame les photos, jeu auquel Maria se prête volontiers, surtout que la corde semble déjà beaucoup l’exciter.

Caresse sort nos bracelets de cuir de la mallette, et les passe aux poignets de Maria. Dans l’intervalle, Roberto a commencé à s’occuper de ma chérie et à la déshabiller partiellement. Maria est restée debout, les poignets attachés entre eux dans le dos, elle ne peut pas bouger. Roberto est ravi, il adore voir sa compagne dans cet état d’impuissance. Elle est moins à l’aise, elle veut qu’on la détache, mais Roberto refuse avec un amusement visible. Au contraire, devant sa compagne réduite à regarder ce qui se passe sans pouvoir toucher, il termine d’effeuiller ma chérie qui s’est allongée sur le lit et entreprend de lui caresser les seins, en descendant doucement le long de ses flancs, son abdomen, jusqu’au pubis.

Maria est restée debout devant le lit et profite du spectacle sans pouvoir participer. Elle a toujours les mains attachées dans le dos, et elle ne peut donc pas trop bouger. J’entreprends de lui lécher la vulve par devant, ce qui la fait très rapidement mouiller et gémir de plaisir. Ma langue s’insinue coquinement entre les deux torons de la corde de karada et je sens son clito s’ériger à la pointe, ses lèvres s’humidifier intensément. Elle monte si vite en puissance que je crains pour son équilibre, entravée et perchée sur ses talons comme elle l’est, je l’enserre donc de mon bras gauche autour de ses hanches et ses fesses, tandis que je commence à insérer deux doigts de ma main droite dans son intimité. Elle crie de plus en plus fort et jouit très vite, je me relève, l’embrasse, lui détache les poignets et l’aide à s’allonger sur le lit pour rejoindre Caresse et Roberto.

Roberto n’a pas perdu son temps, il est arrivé dans l’intimité de ma chérie qu’il pourlèche avec délectation depuis un bon moment, ma Caresse se tord de plaisir et fait ses vocalises habituelles en de telles circonstances. Combien j’adore la voir prendre son pied, un vrai bonheur qui m’envahit moi aussi, une délectation partagée… Maria s’est allongée à côté de ma belle pour ajouter ses baisers et caresses à ceux de Roberto, et je me suis moi aussi installé derrière Maria, ce qui me permet de la caresser d’une main tout en caressant les cheveux et le visage de ma chérie, emportée dans la spirale vertigineuse de son plaisir. Mais je sais qu’elle sent mon contact, elle le devine et le reconnaît même les yeux fermés, et je sais que cette marque de partage décuple et accélère ses sensations. Elle ne tarde d’ailleurs plus beaucoup avant d’exploser et rugir de jouissance, sans retenue, d’un orgasme puissant qui la bouleverse tout entière.

Nous entendons soudain des bruits de voix dans le couloir de l’hôtel et Roberto nous fait signe d’être silencieux, il pense que le bruit de nos ébats a pu déranger des clients de l’hôtel qui dorment dans les chambres voisines et que le personnel cherche à savoir d’où cela provient. Il est vrai qu’il est déjà très tard, nous ne voyons pas le temps passer en si bonne compagnie. Après quelques minutes, le rai de lumière sous la porte de la chambre disparaît…. Nous reprenons nos jeux à quatre.

Roberto s’est allongé sur le dos pour se reposer un peu, il est fatigué car, contrairement à nous, il a travaillé aujourd’hui et est revenu de Barcelone par le train dans l’après-midi. Maria lui a mis un masque opaque sur les yeux et nous le ligotons par les quatre membres, les poignets aux extrémités de la tête du lit, les chevilles écartées entre les pieds de celui-ci. Maria lui caresse le sexe avec efficacité puis le suce avidement, Roberto atteint rapidement une magnifique érection bien dure. J’ai repris ma chérie avec qui nous sommes en 69, nous suçant l’un l’autre avec beaucoup de plaisir dans cette position de partage réciproque que nous affectionnons. Assez vite, Caresse se rapproche de Roberto pour « aider » Maria et les deux femmes alternent leurs succions sur le sexe de Roberto qui gémit de plaisir. Maria lui commente l’action à tout moment, pour qu’il en « profite » aussi un peu malgré le bandeau qui l’empêche de voir.

Je l’entends parler en espagnol de « manger », mais ne prête pas trop attention à ce dont il s’agit. Ma chérie semble avoir mieux compris que moi et commence par me revêtir de mes atours de soumis (collier de chien, bracelets de cuir, pinces de seins…) avant de me pousser vers le haut du lit sous le regard brillant de Maria : les coquines ont prévu de me faire « manger » le sexe par Roberto, toujours entravé et privé de la vue. Celui-ci a bien compris, et sentant ma queue s’approcher de sa bouche, il s’exécute avec docilité. Je me cramponne au haut du bois de lit sous cette sensation délicieuse et particulièrement excitante, Roberto s’active avec beaucoup d’énergie, il va et vient sur toute la longueur de mon sexe en érection…. Mmm…

Les dames n’en perdent pas une miette, ce spectacle semble les exciter au plus haut point, d’après leurs commentaires en direct live. La sensation est très excitante et les commentaires des spectatrices également. Mais la position est assez inconfortable pour moi et nous devons arrêter peu de temps après. Maria et Caresse ont pris le relais, l’une sur Roberto, l’autre sur moi. Nous goûtons avec délices cette fellation prolongée. Puis nous détachons les cordes de Roberto en lui laissant les bracelets aux poignets et chevilles.

Ce dernier en profite pour reprendre l’initiative et se place derrière Maria qui s’est mise à quatre pattes sur le lit, afin de la prendre en levrette. Maria gémit puis crie en espagnol de plus en plus fort, tandis que ma chérie se glisse sous elle pour l’embrasser et lui caresser les seins. Pour ma part, je lui fais en même temps un cunni et un massage du point G. Il ne faut plus longtemps pour que Roberto se lâche enfin et atteigne l’orgasme, Maria crie plus fort encore et ma Caresse elle aussi se met à jouir. Nous nous écroulons ensuite tous les quatre sur le grand lit. Roberto n’en peut plus, il est déjà 2h30 du matin… Ma chérie et moi les embrassons doucement et retournons sur la pointe des pieds dans notre chambre terminer ce que nous avons si bien commencé avant de goûter un repos bien mérité….
(fin du premier épisode)

vendredi 7 janvier 2011

Première nuit coquine en Espagne


(Alpha raconte)

C’est avec un immense plaisir que nous prenons la route de l’Espagne, une semaine de vacances à deux dans un pays ensoleillé et accueillant, avec de belles perspectives culturelles et interculturelles pour nous ravir l’âme……. Et le corps !

Après une escale gastronomique en terrasse au bord de l’océan à Biarritz, nous voici enquillant les kilomètres dans les montagnes basques, jusque sur le haut plateau central de la péninsule, la meseta, qui s’étend entre 800 et 1200m d’altitude. Nous atteignons l’ancienne capitale de la vieille Castille en fin d’après-midi, juste à temps pour profiter de l’ensoleillement déclinant sur la ville. Notre hôtel fait face à la cathédrale, bijou d’art gothique, étincelant dans le soleil couchant…

Nous projetons de la visiter le lendemain matin, en attendant notre chambre donne directement sur la façade, les flèches du clocher et les innombrables clochetons qui les hérissent. La réceptionniste voulait nous donner une soi-disant meilleure chambre (plus vaste) à deux lits jumeaux… Nous avons bien fait de protester, la vue est bien meilleure de celle-ci et nous avons un grand lit…. Avec de jolis barreaux en fer forgé !! Tout ce que nous aimons !

Avant toute chose, nous partons à l’aventure dans les rues piétonnes à la recherche d’un bar à tapas. Nous en trouvons un bien typique, fréquenté par des habitués : « les forgerons » où nous nous régalons de nos premiers tapas servis par deux jeunes femmes fort agréables à regarder. Au retour, nous profitons des éclairages nocturnes autour de la cathédrale, un ravissement… Nous sentons cependant l’effet de l’altitude : la température nocturne chute considérablement ! Vite, nous regagnons notre mansarde avec vue (et lit douillet en fer forgé).

Ce début de vacances fort prometteuses nous excite beaucoup. Je saisis notre mallette de jouets et les étale sur le lit. Malgré quelques « fausses » protestations, Caresse se laisse passer le collier et les bracelets en cuir blanc qui lui vont si bien. Je la ligote par les 4 membres aux barreaux de fer forgé et aux pieds du lit. Elle est ainsi écartelée, nue et offerte à mon bon plaisir. Je commence par lui lécher abondamment les lèvres du sexe et le clitoris jusqu’à ce qu’elle soit très excitée mais je prends bien garde de ne pas la faire jouir.
Je lui ajoute des pinces sur les seins, que je tends par une chaine au fer forgé de la tête de lit, et d’autres pinces sur les lèvres vaginales que je leste avec une chaînette. Dans le lit, elle est face à la fenêtre, elle peut donc admirer la cathédrale et je lui annonce que je la laisse ainsi en profiter pendant que je vais me doucher.
De la salle de bain, je l’entends gémir doucement. Je sais qu’elle savoure cette sensation d’être attachée et de sentir le plaisir l’envahir progressivement… Mmmm, qu’elle est belle attachée et excitée comme ça, ma Caresse ! La splendide cathédrale gothique avec tous ses clochetons phalliques a éveillé son imagination, comme elle me le dira plus tard. Mmmm, quel plaisir ! Que ce séjour commence bien !

Je reviens ragaillardi de la douche et ma chérie est très excitée, bien plus que quand je l’ai laissée, les pinces ont produit leurs effets, elle bouge sensuellement des hanches sur le lit, son plaisir est visible. Je n’y tiens plus, je reprends immédiatement mes léchouilles vaginales et clitoridiennes, cette fois avec l’intention de la faire « grimper aux rideaux ». Pour préserver le calme de nos voisins de l’hôtel, je l’équipe aussi de notre joli bâillon-boule, un cri d’orgasme est parfois si vite arrivé…
J’intensifie mes caresses linguales, ma langue se fait tout à la fois douce et insistante, je sens ma chérie se tordre et gémir de plus en plus. Soudain, elle se raidit et étouffe un cri de plaisir, le clito a rendu les armes. Je lui laisse quelques secondes de répit avant de continuer cette fois avec les doigts dans son vagin détrempé. Sensible et très excitée comme elle l’est, il ne faut pas longtemps avant qu’elle se raidisse à nouveau et pousse un énorme soupir d’orgasme vaginal, son point G a eu son compte lui aussi !

Je lui détache les cordes des chevillières et la positionne sur le côté, avant de la rattacher. A ce stade, plus de protestation possible, elle accepte tout ce que je veux. Je m’allonge derrière elle sur le lit et la pénètre en levrette tout en lui pinçant les pointes des seins. J’alterne en les lui prenant aussi à pleines mains, sensation que j’adore, ces belles pêches mûres et lourdes qui pèsent dans mes paumes… Je vais et je viens à des rythmes variés, tantôt rapides, tantôt lents, parfois je m’arrête tout au fond de son vagin pendant une ou deux minutes. Un délice, ma queue ne se relâche à aucun moment, elle reste dure comme du fer et je peux en jouer comme j’en ai envie. Ma chérie semble apprécier aussi car elle se dirige lentement mais sûrement vers un deuxième orgasme vaginal.

Je suis moi-même dans un état d’excitation avancée. Il ne me faudrait plus beaucoup d’efforts pour éjaculer dans son vagin totalement liquéfié. Mais nous aimons jouer longtemps… je vais profiter de toute cette lubrification naturelle pour me retirer … et aller saluer la porte de derrière, toute serrée et toute sèche, je n’ai pas encore joué avec elle ce soir. Je pousse graduellement la tête de mon gland dans cette ouverture intime qui s’entrouvre petit à petit. D’un coup de reins, je passe la première barrière, celle du muscle anal et commence à osciller à l’intérieur, de plus en plus loin, millimètre par millimètre. Je finis par me retrouver totalement à l’intérieur après quelques poussées plus franches, et j’y reste immobile pendant un long moment. Trop bon cette position, je m’y endormirais volontiers !

Mais je n’oublie pas que je dois aussi détacher ma miss avant de m’endormir. Alors je reprends le mouvement et elle sent mon barreau rigide aller et venir au tréfonds de son intimité secrète. Je lui tiens encore les seins de mes mains, parfois les cheveux, et goûte ces délices avec gourmandise. Mais je ne peux plus tenir longtemps, je finis par m’épancher en quelques soubresauts violents et incontrôlables. J’enlève aussitôt les pinces et détache les poignets de ma belle, car nous risquons bien cette fois de nous endormir pour de bon !
Quelle douceur, quel bonheur que ces vacances qui commencent à deux !

samedi 1 janvier 2011

Jeux aquatiques et cruciformes de printemps

(Alpha raconte)

Giboulées d’avril… dimanche pluvieux de Pâques… notre sauna club libertin nous appelle de nouveau à cors et à cris….

Nous voici donc submergés jusqu’aux épaules dans notre jacuzzi préféré, température idéale, plongés dans la pénombre, seules émergent çà et là quelques silhouettes de têtes, seules ou par deux. En arrivant au vestiaire, nous avons croisé un couple de coquins rencontrés il y a un mois et avec qui nous avions beaucoup joué sur la croix puis dans notre coin câlin. Pas certains qu’ils nous aient reconnus…

Nous nous relaxons dans les bulles en nous caressant, trop bon, miss Caresse allongée à l’horizontale à fleur d’eau sur mes cuisses qui lui font chaise longue. Les couples arrivent les uns après les autres, les hommes seuls sont en minorité pour cet après-midi mixte. Un couple entre à notre droite dans le jacuzzi, nous les avions aussi croisés dans le vestiaire, quelques regards et paroles banales échangées alors, sans plus. Monsieur a gardé ses lunettes rectangulaires à gros verres, madame est blonde et avenante, des quadragénaires. Ils se sont introduits entre nous et un couple qui est installé depuis un moment à notre droite, à peine à 50cm de nous.

Le nouveau couple s’est placé dans l’eau derrière Caresse, assise sur mes genoux, dos tourné vers le centre du jacuzzi. Elle me glisse furtivement à l’oreille que la densité de population commence à devenir importante et va sûrement générer des collisions… Je lui réponds que le couple est installé juste derrière elle et que je pourrais caresser le dos de madame d’ores et déjà, sent-elle de son côté des avances de monsieur ? Apparemment non, quoiqu’une main inconnue semble s’être glissée de l’autre côté en direction de son pubis. Mais celle-ci semble plutôt venir d’un homme seul au milieu de l’eau à notre gauche… !

Le couple de droite, bien que très proche, nous tourne le dos et ne semble pas intéressé par le partage. Je décide d’entreprendre la femme blonde derrière Caresse, et commence à passer doucement ma main gauche sur son dos. Elle ne réagit pas négativement, je continue donc. Caresse vient de sentir maintenant la main du monsieur lui toucher la taille. C’est encourageant, nous appuyons davantage nos caresses et ma chérie se retourne un peu plus vers eux, en se déplaçant vers ma droite, presque jusqu’à toucher l’autre couple tout proche avec son dos. Elle me glisse a l’oreille que tout ceci va finir à six, je lui réponds : « à sept même » pour tenir compte de l’homme seul sur notre gauche qui continue de se rapprocher pour lui caresser le pubis.

Ma miss s’est dégagée de l’espace étroit entre la femme blonde et moi pour se mettre sur mon côté droit. L’homme seul s’éloigne, il abandonne, n’ayant plus que mon flanc gauche à caresser… La femme blonde s’est reculée, elle est maintenant entre mes cuisses écartées, je continue de lui caresser les épaules de la main gauche et ma chérie de la droite. La femme blonde est face à son compagnon, elle est littéralement collée contre lui, impossible de passer mes mains devant elle, pas plus au niveau des seins, qu’à celui de son ventre. J’ai l’impression qu’elle est « empalée » sur le membre de son homme, elle ondule en cadence, tout en gémissant doucement.

Sur mon côté droit, je sens ma Caresse onduler, le monsieur a mis deux doigts sur son clito, qu’il masse fermement… Il est trop brutal et Caresse lui prend la main pour lui imprimer un mouvement plus doux, mais le monsieur ne comprend pas. Il décide de lui masser le point G, mais il s’y prend tout aussi mal… une vraie horreur, me dira Caresse par la suite. L’autre couple, à droite, a fini par s’écarter un peu plus loin, ils ne semblent décidément pas vouloir partager à six.

Je suis enfin parvenu à passer le bras gauche entre le torse velu du monsieur à lunettes et sa femme, et je peux ainsi peloter les seins de madame, lui pincer légèrement les pointes tandis qu’elle s’agite de plus en plus fort et gémit de plus belle. Je glisse également la main droite devant son abdomen et constate qu’effectivement son sexe est inaccessible, planté sur celui de monsieur depuis le début. Je la serre davantage entre mes bras et lui mordille les épaules tout en les embrassant. Ses cheveux sont doux et parfumés, un délice … Elle réagit à mon étreinte en s’appuyant davantage en arrière sur mes cuisses, ce qui a pour effet de placer mon sexe érigé entre ses fesses. Elle aime visiblement cette sensation, je commence un léger va-et-vient de mes hanches pour frotter mon gland dans son sillon fessier jusqu’à toucher le membre de son homme qui coulisse en cadence dans son intimité.

Caresse est venue se placer derrière moi, pour éviter les caresses trop brutales du monsieur, et nous nous retrouvons ainsi alignés tous les quatre, monsieur et madame face à face, moi derrière madame en sandwich et Caresse collée contre mon dos, qui me caresse la poitrine. Nous continuons ainsi ce sandwich, avec la femme blonde qui gémit de plus en plus… Puis nos partenaires avancent d’un mètre pour s’adosser à la banquette du jacuzzi qui s’est libérée. Monsieur s’assoie sur le bord du jacuzzi pour que madame lui fasse une fellation. Nous les laissons continuer leur jeu, il est temps pour nous d’aller nous rafraîchir au bar…

Puis nous décidons de descendre dans notre coin câlin favori, celui où se trouve la croix de St André. Un couple coquine dans le recoin obscur, nous entendons la dame chanter, monsieur la prend en levrette et lui donne de grandes claques sur les fesses. Ceci nous rappelle quelque chose… nous jetons un oeil et reconnaissons le couple que nous avions rencontré l’autre jour quand ma miss était attachée sur la croix et que nous avons croisé tout à l’heure en arrivant: Séverine et Stéphane. Respectueux de leur intimité, nous les laissons à leurs ébats et allons vers notre belle croix en bois sombre.

Miss a décidé qu’elle m’attachait cette fois. « C’est ton tour » me dit-elle avec un oeil coquin ! Elle prétend ne pas avoir aujourd’hui la forme pour supporter cette « torture » ! Elle m’équipe de mon collier de chien et de mes chevillières, le tout en cuir noir, de mon plug ergonomique, des pinces de seins japonaises (celles qui se resserrent quand on tire dessus) et d’un bandeau sur les yeux. Elle m’attache les poignets aux chaînes de la partie supérieure de la croix et les chevilles avec une de nos cordes de karada, qu’elle relie en tension à mes testicules. Hmmmmm, délicieux de se sentir ainsi tendu de partout et totalement impuissant, livré à son bon vouloir !

Ma chérie a commencé à me sucer tout en tirant fermement sur la chaînette des pinces… Effet immédiat, surtout que l’excitation avait déjà bien commencé dans le jacuzzi, entre les fesses de la femme blonde. Chuchotements sur ma droite, c’est le couple de la dernière fois, mais je ne le sais pas encore… Caresse me chuchote que nous avons de la visite, elle les a reconnus mais ne me le dit pas. Je l’entends leur dire qu’ils peuvent participer, ils ne semblent pas se faire prier ! Je sens deux douces mains féminines supplémentaires me caresser la poitrine, en plus de celle de Caresse et de celle qui me masturbe le sexe avec vigueur. Puis deux bouches viennent me suçoter les tétons, en les mordillant, et en tirant sur les pinces. Divine sensation, je suis déjà au sixième ciel, c’est délicieux. Une bouche est revenue me sucer et j’entends la jeune femme commencer à haleter sur ma poitrine, je comprends que son compagnon doit la prendre en levrette. J’entends d’ailleurs au même moment de grandes claques significatives et des cris simultanés de la femme qui me suce les tétons. Elle s’agrippe de ses mains à mes deux épaules et je sens ses cheveux contre mon visage.

Des que j’ai entendu le bruit des claques retentir, j’ai su qu’il s’agissait de Séverine et Stéphane. Ils avaient été nos partenaires de jeu lorsque Caresse était sur la croix et ils étaient de nouveau là, cette fois pour moi !

Séverine est montée en puissance, elle gémit de plaisir avec une intensité grandissante et a de plus en plus de mal à me sucer les tétons. Caresse a continué d’activer sa bouche diabolique sur mon sexe qui est tendu à presque exploser. Mais Séverine me lâche alors et j’entends des chuchotements mystérieux. Caresse s’arrête aussi, elle discute à voix basse avec eux, et je sens alors quelque chose de doux et tiède s’enfiler sur mon sexe : un préservatif, on dirait, je me demande si Séverine a décidé de me sucer avec un préso à la fraise ou au chocolat… !

Une main s’empare de mon sexe et je sens une pression à son extrémité, sans doute la bouche de Séverine qui commence à l’engloutir. Mais… non, la pression musculaire est plus forte que celle des lèvres, ce n’est pas la bouche de Séverine, c’est son vagin, elle est en train de s’enfiler sur mon sexe ! Et effectivement, elle l’absorbe sur toute sa longueur et je sens ses fesses venir s’appuyer en butée sur mon pubis. Bien installée, elle commence à onduler en un va-et-vient extrêmement excitant, tandis que ma chérie a repris le mordillement de mes tétons… C’est carrément le nirvana, le septième ciel n’est plus très loin. J’entends Séverine gémir la bouche pleine, manifestement elle s’est penchée en avant pour sucer Stéphane à nouveau. C’est intense, mes muscles sont bandés de partout, bras et jambes, sous ces sollicitations multiples et si excitantes. Séverine a accéléré ses mouvements et ses gémissements étouffés sont de plus en plus rauques. Je sens aussi le souffle court de ma chérie qui me mordille et tire sur la chaînette des pinces ainsi que sur la corde de mes couilles. Stéphane également a commencé à exprimer avec délectation son plaisir…. Il ne faut plus longtemps pour parvenir au paroxysme de ce délicieux moment à quatre, Stéphane rugit de plaisir dans la bouche de Séverine tandis que je fais de même dans son sexe, juste avant que ma chérie ne vienne m’embrasser à pleine bouche…elle adore quand je prends mon pied !

J’entends Stéphane dire à Séverine qu’ils vont aller prendre une petite douche… Ils l’ont bien méritée, Séverine est fontaine, comme nous l’avions découvert la dernière fois…. D’ailleurs moi aussi j’ai droit à une bonne douche !

Avant de rentrer à la maison écrire ce récit, nous passons prendre un verre au bar du club… ce qui m’a donné l’occasion de rencontrer, pour la première fois en ce lieu coquin, une collègue de travail et mon généraliste… oops!