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Sur ce blog nous racontons notre vie de libertins. Nos récits parlent de nos sorties et de notre vision du libertinage... Les lieux et endroits sont "améliorés", les repas "enrichis", l'histoire est parfois romancée afin que toute ressemblance avec la réalité ne puisse qu'être fortuite. Bonne lecture.
Caresse et Alpha
On this blog we are unveiling our swinger lifestyle. Our stories tell about our swinger parties and develop our vision of this particular way of life.
Places and meals are sometimes "improved", names are changed and the story itself may be "adapted" or even fully invented...
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Caresse (she) and Alpha (him)

jeudi 30 juin 2016

Coquineries avec un petit taureau



(suite du récit précédent, Sophia la rousse raconte)

...Pour ma part, je recommence à me lasser de la grosse bite qui bande dur mais ne bouge pas et ne jouit jamais… L’homme à la toux de fumeur a dû prendre du Viagra, ça risque de durer toute la soirée si on continue comme ça.  Je fais signe à ma brune que c’est OK pour faire entrer le nouveau venu, et j’abandonne de nouveau la grosse queue bananée.

Ma brune va ouvrir la porte et laisse entrer un homme de petite taille, un peu dégarni mais à l’œil malicieux, avec un sexe de taille moyenne, courbé vers le haut et qui bande dur. Il a dû s’exciter à nous regarder à travers les trous et il doit l’être encore plus maintenant qu’il est entré dans le sein des seins [1] ! Il s’allonge sur le dos et ma chérie se met à le sucer mais elle m’appelle vite à la rescousse : en fait elle a surtout envie de le partager avec moi, s’amuser seule avec un autre homme ne l’intéresse pas vraiment.

Notre nouvel ami est convivial et volubile, il explique à ma chérie que beaucoup de femmes semblent ne pas s’intéresser à lui car il n’a pas des mensurations de black… Elle lui répond que le plus important est de bien savoir s’en servir et il est vrai que nous avons vu de tout en ce domaine : des types très membrés mais incapables de donner du plaisir à leur partenaire, et à l’inverse des hommes avec de petits sexes mais terriblement doués ! A vrai dire, nous préférons la seconde catégorie…

Taurus semble par ailleurs très doux dans ses caresses et il est joueur, toutes qualités que ma brune apprécie. Je prends ensuite le relais sur la queue dure de notre petit taureau et je m’applique à bien le sucer comme une vraie rousse coquine. Pendant que je lui prodigue une fellation digne  de ma réputation de « reine de la pipe », il joue de ses doigts pour caresser ma brune et la fait jouir une ou deux fois. Ma chérie m’expliquera ensuite qu’il s’est montré très efficace à découvrir son point G et qu’il a aussi doublé la mise en farfouillant son petit trou.

Je continue quant à moi de le sucer bien à fond et je l’entends dire à ma miss que je suis redoutable, qu’il faut que je me modère un peu sinon je vais le faire jouir… Il dit aussi qu’il a maintenant très envie de pénétration. Mais ma chérie n’en a pas envie cet après-midi, elle lui propose plutôt… le cul de la rousse ! Taurus n’en peut plus, ni une ni deux, il n’essaye pas d’insister avec la brune et acquiesce à sa proposition. Je me retrouve donc à quatre pattes pour que ma miss me lubrifie la raie des fesses avec notre gel spécial et je sens notre ami qui empoigne mes hanches… Comme il n’est pas très grand, je dois davantage écarter mes cuisses pour qu’il trouve le bon angle. Après deux ou trois essais, ça y est, je sens sa queue dure qui s’enfonce dans mon petit trou, et Taurus commence ses va-et-vient avec efficacité : rapidement il me soutire des gémissements de plaisir.

Ma chérie ne se tourne pas les pouces, elle se place derrière lui et, à son tour, lui doigte le petit trou ce qui a pour effet de renforcer son excitation. Pour ma part, j’ai trouvé deux bites en érection apparues dans les trous du mur devant moi, je saisis la plus grosse et je la masturbe vigoureusement. J’aimerais bien sucer l’autre mais elle est trop loin de ma bouche, et je ne veux pas me déplacer au risque de faire sortir Taurus qui m’encule avec ferveur.

Je sens que les caresses de ma coquine brune conjuguées à la pulsation de mon petit trou qui le serre bien fort sont en train de vaincre ses dernières résistances, notre ami me ramone de plus en plus fort, je gémis en continu sous ses assauts furieux. Il finit par rugir de plaisir en s’enfonçant d’un coup tout au fond de mon intimité. Presque au même moment, la grosse bite que je masturbe m’éjacule abondamment dans la main. Ouf, quel pied !

En se retirant précautionneusement, Taurus perd son préservatif que je retiens serré dans mon anus palpitant mais il a la présence d’esprit de le saisir à la base pour pouvoir le retirer ensuite facilement de sa prison de chair. Je m’affale en soupirant longuement, il m’a épuisée ! Nous avons mérité une bonne douche et un bon coup de brosse, plus un remaquillage pour moi. En véritable gentleman, notre nouvel ami nous offre à boire au bar du club.

Je passe me déshabiller au vestiaire car nous avons envie de passer un moment au jacuzzi. Il reste peu de monde dans le bassin car c’est déjà la fin d’après-midi. Nous nous installons sur le côté gauche et nous caressons doucement. Deux hommes seuls isolés font mine de somnoler, un sur le grand côté au fond du bassin, l’autre diamétralement opposé à nous. Un autre couple entre dans l’eau, une brunette fine d’une quarantaine d’années, en mode « princesse », accompagnée d’un homme plus âgé. Elle parle plutôt fort, et s’agite comme si elle était à la piscine : plonge tête sous l’eau jambes en l’air, fait une ou deux brasses… On sent qu’elle fait tout pour ne pas donner envie de sexer ni à son vieux ni aux hommes seuls environnants.

Deux autres entrent dans le bassin à la lumière tamisée, nous reconnaissons l’un des deux : c’est Taurus… Il reconnaît aussi la brune mais reste dubitatif devant moi : ben oui, c’est bien la rousse que tu as sodomisée longuement tout à l’heure ! Il est, comme tous nos partenaires qui m’ont vu sous mes deux aspects, passablement médusé. Mais il assume, nous en plaisantons un moment, c’est un vrai libertin et il n’est pas homo pour deux sous, juste joueur et adaptable aux circonstances.

C’est pareil pour moi, quand je suis bi actif, je ne suis pas en mesure de sauter n’importe quel homme non plus, d’ailleurs les hommes ne m’intéressent absolument pas pour leur physique (sauf une très petite part entre leurs cuisses) et je n’ai aucune chance de tomber amoureux d’un mec. Au tout début, je pensais même qu’il me serait impossible de jouer avec un autre homme sauf peut-être s’il avait une allure très féminine. C’est encore vrai aujourd’hui mais de toute façon c’est plutôt moi qui fais la fille en général, et c’est pourquoi je m’efforce d’être la plus crédible possible, ce qui n’est pas toujours le cas des travestis, hélas ! Nous en avons même vus de pathétiques…

Nous préférons donc largement les interactions avec les hommes bi actifs, et quand il nous arrive d’en rencontrer un qui ne le soit pas complètement, on trouve alors à jouer d’autres façons si le feeling est là.

Dans le bassin, nous nous remettons à nous caresser tous les trois, mais Taurus semble maintenant avoir jeté son dévolu sur la miss, je m’aperçois en prenant, sous l’eau, son sexe dans ma main qu’il est déjà de nouveau bien dur… Le couple formé de la brunette et de son vieux nous lance des regards à la dérobée mais ne tente aucune approche. Tout à coup, un homme seul resté dans l’ombre s’approche de nous et me demande si je suis bi… Je lui réponds par l’affirmative et il me déclare qu’il aimerait beaucoup me sucer… Il ne l’a jamais fait, il voudrait réaliser ce fantasme !!

« Pas de problème » lui dis-je, ça tombe d’autant mieux que j’ai fait la fille tout l’après-midi… Je me lève dans l’eau, il me masturbe un peu à la main puis m’enfile un préso pour me sucer, tandis que Taurus s’occupe activement de ma chérie à côté de nous. La brunette et son vieux ne parviennent plus à détacher leur regard de notre petit groupe, ils semblent un peu hallucinés au spectacle qui s’offre à eux.

Malheureusement pour le jeune homme qui me fait cette douce fellation, le bouillonnement du jacuzzi s’arrête brutalement et Thierry apparaît pour nous confirmer qu’il est bientôt 19h, le club doit fermer pour faire le ménage avant la grande soirée du samedi ! Encore un doux moment malgré tout, et le plaisir d’avoir fait la connaissance d’un libertin agréable que nous aurons plaisir à revoir quand nous reviendrons au 72.




[1] Allusion à un célèbre bar estudiantin des quais de la Garonne…

vendredi 10 juin 2016

Folsom Street Fair à San Francisco


Ce récit est en complément des photos que nous avions postées en septembre 2013, lorsque nous étions sur place, au moment de la Coupe de l'America. Nous aurions dû écrire celui-ci depuis bien longtemps... mieux vaut tard que jamais! (Alpha raconte)

Après la croisière libertine en Floride, nous avons cette année décidé de partir à la découverte de la Californie et de l’Ouest américain. Ce voyage en amoureux n’est a priori pas orienté vers des activités libertines, à l’inverse de la croisière dans le golfe du Mexique : c’est plutôt un retour aux sources (pour moi qui ai vécu plusieurs années là-bas) et une découverte pour miss Caresse de cette région magnifique de la planète, dont je lui parle souvent.

Pour ne pas faire les choses à moitié, nous avons choisi de partir un mois complet, partageant notre séjour entre San Francisco à l’arrivée, deux semaines dans les grands parcs de l’Ouest (à partir de Las Vegas), puis une dizaine de jours de nouveau à San Francisco pour terminer.

Nous avons quand même exploré le versant éventuellement libertin de nos vacances. Nous nous sommes alors aperçu qu’il n’y a pas, en Californie, les mêmes structures que nous connaissons en Europe tels que des clubs libertins ouverts au public. Nous en avons trouvé un similaire à Las Vegas (Fantasy) mais nous n’y sommes finalement pas allés car il y avait plein d’autres choses à faire la nuit à Vegas, la « ville du péché » (Sin City).

Quant à San Francisco, nous n’y avons trouvé que des structures de cooptation, des sortes de clubs virtuels où il faut se pré-inscrire et gagner ses galons pour être admis dans le cercle. C’est ce que nous avons fait dans deux structures de ce type, en nous y prenant plusieurs mois à l’avance. Malheureusement, ces groupes n’organisaient pas de soirée libertine pendant notre bref séjour à San Francisco. Nous n’avons donc pas eu le plaisir de faire leur connaissance en live.

A notre arrivée dans la région de la Baie, nous avions été surpris par la difficulté inhabituelle à se loger et à louer une voiture. En fait, c’était la semaine de la finale de l’America’s Cup – dont nous avons posté quelques photos pour nos lecteurs assidus (voir archives de septembre 2013) – et nous l’ignorions totalement. Ce hasard nous a permis d’assister au fameux duel d’anthologie, sous le pont du Golden Gate, entre l’équipe américaine sponsorisée par Oracle (avec un skipper français) et l’équipe néo-zélandaise sous les couleurs d’Emirates.

A Las Vegas et dans les parcs nationaux de l’Ouest, nous avons eu beaucoup d’activités diurnes et nocturnes sans rapport avec le libertinage. Certes, Las Vegas cultive une atmosphère sexy-glamour dans ses casinos où les serveuses sont toujours aussi court vêtues, notamment celles du casino « Paris ». Nous avons aussi bien aimé le Luxor et le Hard Rock Hotel mais notre préférence, au final, est allée au Hooters qui a gardé davantage d’authenticité – si l’on peut parler d’authenticité à Vegas.

Notre circuit dans les parcs fut, à l’opposé, marqué de nature et de ruralité : Zion, Bryce Canyon, Capitol Reef, Arches, Canyonlands et Dead Horse Park, Monument Valley, Canyon de Chelly, Grand Canyon… Des paysages plein les yeux, mais pas du tout de libertinage en vue !

Au retour dans la région de la Baie, nous avons opté pour un B&B cosy sur Marin County (au nord du Golden Gate), là où j’avais habité quatre années durant. Logés chez l’habitante, nous disposions de notre studio avec entrée privative, une cour entourée de végétation pour prendre nos repas et un jacuzzi extérieur privatif. Au bout de 10 jours dans ce paradis, nous ne voulions plus en repartir !

Nous avons alors découvert que se tenait à San Francisco, à la fin du mois, cette manifestation dont j’avais entendu parler depuis bien longtemps sans jamais y être allé : la fête de rue de Folsom Street, la Folsom Street Fair.

Ce quartier de Folsom est connu pour abriter une forte proportion de gays et de clubs tendance SM. La fête de rue est à l’avenant et constitue en soi quelque chose d’assez extraordinaire par rapport aux mœurs du pays et même au niveau mondial. La seule réplique connue de cet événement est en effet sa petite sœur jumelle de Berlin-Ouest, organisée depuis seulement quelques années.

Imaginez-vous : la rue Folsom est neutralisée sur 6 blocks (soit presque un km de long, ainsi que les rues adjacentes, à partir de minuit le samedi soir, jusqu’au dimanche soir minuit. Des stands divers et variés y sont installés pendant la nuit de sorte que l’ouverture au public puisse avoir lieu à partir de 10h le dimanche.

L’accès est ouvert à tous mais fortement déconseillé aux mineurs. Et pour cause : le thème de la fête est orienté sexe et SM, en plein air, avec pour seule règle que tout est permis tant que personne n’est choqué. Et vu la population croisée sur place, il faut en faire vraiment beaucoup pour choquer ! En fait, il m’a semblé que la seule chose réellement prohibée dans la rue était la copulation en vrai. Pour le reste, on a tout vu…

Et quel spectacle ! A l’entrée de la fête, des barrières filtrent les visiteurs et la police veille au grain. Des hôtesses bénévoles, certaines aux seins nus, vous expliquent que l’entrée est gratuite mais que vous pouvez faire une donation charitable (de $20 par exemple), qui vous donne demi-tarif sur toutes les consommations dans les différentes buvettes. Moyennant cette donation volontaire, on vous colle un sticker sur le haut de la poitrine (à même la peau si vous n’avez pas de vêtement à cet endroit-là), un talisman pour ensuite passer commande de chopines à 50% aux buvettes.

La grande majorité des participants sont déguisés ou, a minima, ont adopté un dress code en relation avec la fête. Certain(e)s sont très court vêtus, voire complètement nu(e)s… Il faut dire que la température diurne est encore très douce fin septembre à San Francisco. Pour notre part, nous sommes restés soft, moi avec mon tout nouveau pantalon huilé noir CK acheté dans un outlet de Las Vegas et mon tank top beige avec l’inscription de Club Orient (centre naturiste à St Martin): Happiness is no tan lines (trad. : le bonheur c’est : pas de traces de maillot). Ma Caresse a revêtu sa nouvelle tenue noire de domina dont elle a fait l’emplette dans un superbe magasin gothico-steampunk du vieux Sacramento (Evangeline).

Nous sommes donc bien dans le ton mais pas vraiment à donf comme certains que nous allons découvrir. A peine avons-nous franchi le sas de la donation volontaire que nous tombons sur une faune des plus variées. A la principale intersection de la rue, celle où se trouve la plus importante buvette qui débite de la bière à tire-larigot, nous trouvons un couple en train d’exécuter une sorte de danse du ventre en se faisant face. La femme est vêtue d’une courte tenue de vinyle noir, avec les bottes et la casquette de policier assortie, bas résille troués, ray-ban et bijoux clinquants, les seins déballés à l’air au grand jour. Son compagnon est lui vêtu en tout et pout tout d’un loup noir, de gantelets en cuir à sangles métalliques et de santiags… Il est entièrement épilé et arbore, tout au long de son show, une franche érection qui ne faiblit pas. Ma miss soupçonne que cette belle durabilité doit être due à l’absorption de petites pilules bleues…

Sur des podiums à proximité du couple, de jeunes éphèbes s’exhibent en dansant, faisant virevolter de grands drapeaux dans l’air, un peu comme lors du Palio à Sienne. Dans la foule qui se promène en jetant un œil sur les marchandises à thème proposées par les commerçants spécialisés qui ont déployé leur étal de marché, nous croisons encore quelques extra-terrestres :
-          beaucoup de couples, homos ou hétéros des deux sexes, plus ou moins vêtus : cuir, vinyle et résilles sont à l’honneur ;
-          des êtres bizarres entièrement vêtus de latex noir moulant ou de costumes fourrés, avec des têtes d’animaux : chien, félin, cheval…  généralement tenus en laisse par quelqu’un d’autre ;
-          un type presque nu avec un masque à gaz noir, une queue fourrée de renard, tenu en laisse par un barbu tout en cuir noir avec casquette ;
-          une femme plantureuse vêtue seulement d’un corset underbust (seins nus), jarretelles et bas, avec un boa jaune - vivant - sur les épaules ;
-          quelques tétons féminins sont scotchés de sparadrap, comme sur notre croisière libertine de 2010, mais beaucoup ne le sont pas (spécificité de la Folsom…) ;
-          des anges blancs à plumes et des démons rouges cornus ;
-          une punkette black juchée sur des bottines blanches à hauts talons et plateformes, vêtue d’un short moulant à jarretelles et de bas ;
-          un trio Belle Epoque un peu particulier : l’homme en costume trois pièces et haut de forme avec une cravate en soie porte beau (on a envie de l’appeler Monsieur le Marquis), la femme aussi est en haut de forme mais seulement en corset moulant noir, portant une ombrelle, et leur captive qui avance deux pas devant eux, au milieu : mains liées dans le dos, bâillon-boule en cuir noir, corset underbust en cuir à sangles, exhibant ses seins à la vue de tous ;
-          une femme déguisée en pouliche (oreilles, mors et harnais, sabots aux mains) tirant une calèche dans laquelle se prélasse une femme mûre en robe longue et chapeau de soleil ;
-          un autre attelage, composé de trois pouliches cette fois, seins nus, tractant un sulky occupé par un type moustachu, en cuir, équipé d’un fouet ;


Le clou de la fête était quand même, à l’intersection suivante de la rue, l’installation par la société de Janus d’une Charity Spanking Booth… (sic) : un stand de fessée de charité ! A savoir que les volontaires sont appelés à faire une donation charitable pour avoir ensuite le privilège d’être attaché(e)s nu(e)s sur une croix de St André et fouettés en public par un maître du martinet ou du chat à neuf queues… Spectacle fascinant, sous les flashes des appareils photos et smartphones !

Du coup, ma miss, émoustillée par ce spectacle, s’est mise à fureter dans les stands et a fini par dégoter un splendide martinet en cuir noir dont elle a fait l’acquisition, à titre de souvenir de cette journée à San Francisco ! Il est devenu un de nos jouets favoris…

De retour en Europe, nous envisageons maintenant de tester la Folsom de Berlin à la première occasion… !