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Sur ce blog nous racontons notre vie de libertins. Nos récits parlent de nos sorties et de notre vision du libertinage... Les lieux et endroits sont "améliorés", les repas "enrichis", l'histoire est parfois romancée afin que toute ressemblance avec la réalité ne puisse qu'être fortuite. Bonne lecture.
Caresse et Alpha
On this blog we are unveiling our swinger lifestyle. Our stories tell about our swinger parties and develop our vision of this particular way of life.
Places and meals are sometimes "improved", names are changed and the story itself may be "adapted" or even fully invented...
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Caresse (she) and Alpha (him)

lundi 20 février 2017

Soirée pole dance au Club 113 Avenue (3/4)

un weekend libertin entre amis...
(suite du récit précédent, Sophia raconte)


… Après cette torride soirée du vendredi au Différent, nous avions besoin d’un peu de repos. Au programme donc, grasse matinée samedi matin ! Il fait déjà grand jour quand Caresse et moi entendons un peu de bruit du côté de la cuisine. Nos amis sont déjà levés, ils ont manifestement plus d’énergie que nous ces jeunes !

Nous les trouvons en effet sur la terrasse du jardin, en train de bouquiner : ils nous ont attendu pour le petit déjeuner que nous nous empressons de préparer. J’ai en tête de leur faire une petite surprise ensuite : je m’éclipse dans la chambre pour me transformer en Sophia… Ils savent en effet que je le fais souvent mais ils ne m’ont pas encore vue ainsi. Je choisis ma petite robe blanche légère, avec son ruban noir sous les seins, ma grande perruque blonde, maquillage modéré et bijoux pas trop clinquants. Je me fends pour l’occasion d’une paire de Dim Up transparents tout neufs et, pour le confort, je chausse mes sandales blanches à semelle de liège.

Quand je les rejoins dans le salon, un grand moment de silence s’installe… Il y a toujours une part d’étonnement et souvent de fascination quand Sophia apparaît. En tout cas, Sophia semble leur faire impression et, atout non négligeable, la blonde a des pulsions ménagères irrépressibles : elle va pouvoir de suite préparer l’apéro !

Nos amis sont plus détendus que la veille et ils commencent à connaître la carte de la barmaid. Piña colada, Mojito, Blue Lagoon et autres Grasshopper font déjà figure de favoris. De petits œufs de caille, quelques charcuteries et des petits légumes crus viennent compléter le menu. Nous passons un délicieux moment de détente, conversant agréablement avec nos nouveaux amis avant de passer à table pour le déjeuner. Les trois femmes se mettent à la cuisine : Pierre est un vrai coq en pâte !

L’après-midi continue sur la lancée, entre jeux de société, partage de photos et de vidéos, petite sieste – non crapuleuse – et un jogging pour Florence en fin d’après-midi. Je finis par me démaquiller et redevenir Alpha avant le dîner. Il faut ensuite penser à se préparer pour la sortie au club qui ouvre à 22h. Le thème de la soirée : pole dance, il semble que nous devrions avoir une démo faite par les jolies filles d’un club local… C’est prometteur !

Pour ce samedi soir, nous visons en effet un club ouvert assez récemment et que nous ne connaissons pas encore : le 113 Avenue à Eysines. Il se présente comme une « discothèque libertine », à laquelle a récemment été adjoint un espace humide (sauna – jacuzzi) auquel on accède par l’extérieur. Comme nous visons de ne tester que la discothèque – Florence aime beaucoup danser – nous ne prévoyons pas de passer par la partie humide. Nous nous habillons donc en conséquence : pour ma part j’ai retrouvé mon body moulant noir que je mets par-dessus mon pantalon en coton huilé noir lui aussi. Très sexe…. selon ma miss, qui choisit sa petite robe noire, avec les bas noirs et le porte-jarretelles assorti. Le tout perché sur ses superbes escarpins vertigineux rouges et noirs avec une petite chaînette à la cheville.

Nous parvenons au club vers 22h30. Le parking est encore très vide ce qui nous permet de nous garer sur une très bonne place près de l’entrée. Heureusement d’ailleurs, car il pleut à verse ! Les dames ont hésité à s’habiller complètement et ont préféré garder leurs escarpins à la main pour ne les mettre qu’une fois au sec à l’intérieur. Florence se révèle une fois entrée : corset burlesque rouge, hauts talons et superbe maquillage avec des boucles d’oreille en plumes noires… Pierre est habillé beaucoup plus classique, comme la plupart des hommes en club sec d’ailleurs.

Nous optons pour la formule avec bouteille de champagne maison et commençons par visiter les installations. Nous sommes pour l’instant les seuls clients, ce qui nous permet de faire un tour des coins câlins en toute quiétude. Bonne première impression : les installations sont spacieuses et tout semble très propre. Nous repérons en particulier, tout au bout du couloir, deux grands coins câlins séparés par une grosse grille aux barreaux noirs…

De retour sur la piste de danse, la salle s’est un peu remplie et nous décidons de nous installer dans un salon d’angle que nous pensons bien situé par rapport aux barres de pole dance. Jusqu’à 23h45 il ne se passe quasiment rien et nous sifflons notre bouteille de champ’ ainsi que quelques cafés. Au bout d’un moment, Florence et Pierre vont sur la piste et se mettent à danser, ce qui a pour effet de décider quelques autres couples à les rejoindre. Ils ont finalement lancé la soirée car le DJ se contente de passer les bandes, il n’intervient aucunement pour créer l’ambiance !

Nous les rejoignons pour nous trémousser un peu avec eux. Mais rapidement apparaissent près de nous quelques jeunes créatures de rêve, cambrées et musclées dans d’affriolantes petites tenues sexy. Leur corps est revêtu d’un enduit qui assombrit la peau mais est rehaussé sur leur visage et certaines parties de leur corps d’arabesques fluorescentes sous la lumière noire. La première fille se lance sur l’une des barres au centre de la piste et commence à virevolter au son de la musique. Les suivantes enchaînent dans un tourbillon impressionnant de vivacité, de souplesse et de grâce. Un spectacle vraiment assez fascinant qui démontre une grande maîtrise et sans doute de nombreuses heures d’entraînement de la part de ces filles. 

Le spectacle dure une petite demi-heure, en deux parties. A l’issue, nous tombons d’accord avec Florence et Pierre pour trouver qu’il est temps de passer dans les coins câlins.

Nous filons directement dans le coin du fond, celui avec la grosse grille noire qui le sépare du coin voisin. Avantage supplémentaire : il est équipé d’un gros ventilateur. Au passage nous constatons que toutes les autres alcôves sont désespérément vides. On s’y attendait un peu : nous savons depuis longtemps que ça coquine peu en club sec et en tout cas pas avant 2 ou 3 h du matin…

Florence et Caresse montent sur le matelas, tandis que Pierre essaie de fermer la porte. Problème : elle ne ferme pas, elle est délibérément bloquée ouverte et un panonceau indique que c’est voulu ainsi pour le plaisir des uns et des autres (entendons : les exhibs et les voyeurs). Le seul petit souci est que nos amis sont encore un peu débutants et n’apprécient pas trop de jouer dans un espace ouvert où n’importe qui peut entrer. Mais ils ne disent rien malgré tout, et nous continuons de nous installer.

Ma chérie a tout de suite tombé ses vêtements, elle a horreur d’avoir trop chaud et elle est très contente de pouvoir se mettre entièrement nue. Pierre fait de même mais Florence conserve pour l’instant son beau bustier rouge et moi je me contente d’ôter mes chaussures pour l’instant. Sachant que Florence a des envies de jeux de soumission, j’ai décidé de lui ajouter notre collier rouge et noir de soumise. Je le lui passe autour du cou, ainsi que des bracelets assortis à ses poignets : elle se laisse faire, avec un plaisir évident.

Toute fière, elle s’empresse de les montrer à son chéri pendant que je m’installe à plat ventre entre les cuisses de ma Caresse pour lui prodiguer mon célèbre cunnilingus AOC.

Ma miss se laisse bien aller et je l’entends gémir de plus en plus fort. Mmm… je pense qu’elle ne va plus tarder à jouir si je continue comme ça avec ma langue coquine et, pour faire bonne mesure, je lui fourre deux doigts dans le vagin pour stimuler son point G en même temps. Du coin de l’œil je vois que nos amis ne sont pas en reste : c’est Florence qui fait une fellation à son chéri sur ma droite.

Mais quelque chose perturbe ma miss, elle a du mal à se lâcher complètement et je ne comprends pas pourquoi: je fais pourtant tout ce qu’il faut. Elle se redresse et, de la main, m’enjoint de passer derrière Florence pour m’occuper de son petit trou. En fait, comme elle me le dira plus tard, un homme seul s’était faufilé dans notre coin câlin et nous matait depuis presque 10 mn en s’astiquant vigoureusement la zigounette, pile poil dans son champ de vision. Ce genre de happening n’a pas l’heur de l’exciter, bien au contraire, ça a plutôt tendance à lui casser son coup !...

(à suivre)



vendredi 10 février 2017

Double pénétration et glory holes (2/4)

un weekend libertin entre amis...

(suite du récit précédent, Alpha raconte)

…Ma miss décide de déballer nos petites affaires de notre sac à malices : nos amis ont en effet déjà manifesté leur envie d’en savoir plus. Nous avons même soupçonné Florence d’être plutôt émoustillée à l’idée des jeux de ligotage… Pour l’heure, comme nous ne nous connaissons encore que très peu, c’est moi qui me dévoue pour faire la victime. Ma miss me pare de mon collier de chien à clous et je revêts mon cokring en cuir noir et métal : il impressionne beaucoup Pierre et même Florence, inquiets de savoir si ça me fait mal. Puis ma miss m’allonge sur un côté du lit et me ligote les chevilles au fer forgé du pied de lit, les poignets à la tête du lit.

Je me retrouve ainsi étiré tout en longueur sur le dos. Elle ajoute la corde dite de « karada de couilles », celle qu’elle serre autour de mes testicules pour les tendre ensuite au pied du lit. Puis les pinces japonaises sur les pointes de seins, tendues par-dessous mon sexe avec une chaînette réglable. Elle décide de ne pas me mettre le bâillon-boule car ma bouche pourrait s’avérer utile pendant les jeux…

Je suis ainsi écartelé en longueur sur le lit, offert à la vue de nos amis et des voyeurs qui défilent derrière le fenestron. Ma chérie s’empresse de s’occuper de moi en me masturbant un peu à la main puis en me faisant sa fellation diabolique que je connais bien. Elle humecte abondamment mon gland avec sa bouche et le triture de sa langue experte tandis que Florence fait de même avec Pierre.

Puis ma chérie me lâche et m’abandonne en érection à la vue de tous. Elle propose à Florence de « switcher »…. Aussitôt dit aussitôt fait. Elle l’aide néanmoins à m’enfiler un de nos derniers présos au chocolat car Florence ne veut pas sucer sans préso, à juste titre. Vu la dureté de mon membre excité, les deux femmes n’ont aucun problème à lui dérouler le capuchon de latex parfumé, de couleur chocolat. Mon sexe ressemble maintenant à celui d’un black TBM… !

Mais je ne peux guère m’agiter, entravé que je suis de la tête aux pieds. Florence se régale en me dévisageant, comme une gourmande qu’elle est : à voir ses yeux on dirait qu’elle est sur le point de se jeter sur un gâteau d’anniversaire. Elle prend doucement mon sexe en feu dans sa bouche suave et commence à me sucer délicatement. Elle est très douée à ce jeu et m’expliquera ensuite qu’elle a une longue pratique de gorge profonde avec son ancien mari. Elle parvient ainsi à gober le gland de son partenaire jusque dans le début de son tube digestif et à le titiller ainsi par des mouvements de sa gorge….  Impressionnant ! Il va falloir que j’essaie aussi !

Pierre semble s’occuper à merveille de ma Caresse si j’en juge par les soupirs et les gémissements que je l’entends pousser. Il finit par la faire jouir plusieurs fois de ses doigts et de sa bouche : il est lui aussi très doué, comme ma miss me l’expliquera ensuite.

Florence me suce longuement, en m’avalant de plus en plus profondément, ce qui me fait gémir de plaisir. Puis elle va fureter de sa langue sur mes couilles et même un peu plus bas, vers mon plug anal dont ma chérie m’a également équipé. A un moment, elle se redresse et demande à ma miss si elle peut m’enfourcher. Avec l’assentiment de celle-ci – je n’ai pas trop voix au chapitre ni moyen de résister à vrai dire – elle se place à califourchon sur moi et s’empale sur toute la longueur de ma bite rigide. Vu la façon dont elle s’est empalée quasiment d’un coup, je devine que sa chatte est complètement trempée d’excitation.

Elle commence ses va-et-vient délicieux sur mon membre, je sens sa fine toison pubienne venir me caresser le bas-ventre. Rapidement je l’entends chanter de plaisir et elle jouit une première fois en à peine une minute. Mais soudain, je vois Pierre arriver derrière elle. Il a l’air très excité, la pousse à quatre pattes vers moi et entreprend de la sodomiser – forcément, l’autre orifice est déjà occupé par ma queue… Florence se penche vers moi et m’embrasse goulûment, pendant que Pierre force son petit trou sans trop de difficulté.

Ma chérie en profite pour passer derrière Pierre et lui faire un petit anulingus dont elle a le secret. Je suis toujours dans l’incapacité de bouger, avec maintenant Florence couchée sur moi, ses longs cheveux bruns me noyant le visage. En écartant un peu la tête occasionnellement, je parviens à voir les yeux de Pierre qui me semble comme fou : il est terriblement excité et se met à fourrager l’anus de sa belle avec un vigueur incroyable. Presque au même instant j’entends Florence émettre un râle de jouissance dans mon oreille, elle jouit violemment de se sentir doublement pénétrée, par la queue de son homme et par la mienne. Je sens pour ma part les couilles de Pierre venir battre à intervalles réguliers contre la base de mon sexe. Il ne faut plus très longtemps à notre ami pour jouir à son tour, il décharge violemment dans le cul de sa chérie qui retombe, pantelante, couchée sur ma poitrine.

Ma miss est passée sur le côté et m’a enlevé les pinces japonaises car elle trouvait qu’elles tiraient trop sur mes tétons, avec les mouvements du bassin de Florence. Elle continue et me détache petit à petit. Nos amis s’écartent un peu plus loin sur le matelas pour se remettre de leurs émotions et je finis par me retrouver complètement libéré. Nous nous câlinons un peu, pour nous détendre et discutons avec nos nouveaux amis. Florence est très contente d’être parvenue à jouir en DP, c’est un fantasme qui l’excite beaucoup et elle est heureuse d’avoir pu le réaliser. Nous sortons du coin câlin pour aller nous rafraîchir au bar. Mais la soirée n’est pas encore finie.

Florence a maintenant très envie d’aller tester les glory holes. Nos amis ont eu peu souvent l’occasion de sortir dans des clubs équipés de ces pièces avec des trous dans le mur et ils avaient l’impression que les possibilités ainsi offertes n’étaient que très rarement utilisées – sauf dans nos récits sur ce blog !  Nous leur confirmons qu’en effet, à part nous, il est rare de voir les glory holes utilisés dans les clubs que nous fréquentons. Mais ceux-ci, au Différent, reçoivent régulièrement notre visite et nous avons déjà une « clientèle «  d’habitués qui nous connaissent – l’inverse n’étant pas toujours vrai.

Quand nous arrivons dans la pièce à trous, nous trouvons un homme seul allongé sur le matelas… Ah, bonsoir… Nous lui demandons s’il attend quelque chose ou quelqu’un. Il nous dit que non mais que nous pouvons entrer quand même, du moment que lui peut rester. Nous fermons la porte derrière nous cinq et je m’approche avec Florence des trous dans le mur, en lui expliquant qu’elle doit « appâter » les prétendants en se mettant assez près de la paroi.

L’homme seul se lance dans une discussion avec ma chérie, dont il ressort qu’il est en fait complètement hétéro – alors que ce coin câlin se trouve dans la partie bi du club. Il semble espérer se faire sucer par une des deux femmes mais ma chérie lui explique que ça ne va pas être possible : elle-même est fatiguée et n’en a pas envie, quant à Florence elle est avec moi à guetter des queues dans les trous du mur. Et justement en voici une première, bien dodue, que je saisis et masturbe sous les yeux de notre amie.

Elle est belle et bien grosse, comme d’ailleurs toutes celles que nous verrons passer ici ce soir. Je la revêts d’un joli préso à la fraise et je me mets à la sucer avant de la prêter à Florence. L’homme seul nous regarde d’un air médusé. Je l’entends continuer à argumenter avec ma chérie…. qui lui redit que s’il veut se faire sucer il faut qu’il sorte, fasse le tour de la pièce et vienne présenter sa queue dans un glory hole ! L’homme proteste, presque scandalisé : «  mais je ne veux pas me faire sucer par un homme ! »  « Ah, c’est le risque à prendre » lui dit ma chérie, « tu vois, mon homme et ma copine partagent toutes les queues qu’ils sucent… » et franchement, cela nous sidère toujours que des hommes restent bloqués sur ce sujet quand on sait combien il est délicieux de se faire sucer par une bouche chaude et caressante, quelle qu’elle soit !

Stupidement, l’homme ne fera pas ce que ma chérie lui recommande et il sortira du coin sans avoir participé à rien. Pendant que Florence et moi suçons ardemment toutes les queues qui se présentent (il y en aura 4 ou 5 en tout), Pierre vient derrière sa belle pour la doigter et lui faire un anulingus. Il réussit à la faire jouir de nouveau ce qui interrompt momentanément ses caresses buccales – je suis bien placé pour comprendre combien il est difficile de rester concentré par les deux extrémités à la fois !

Ma chérie décide quant à elle d’ouvrir la porte de notre cabine, elle trouve que la chaleur animale accumulée est trop insupportable, même avec le ventilo à fond. Elle reste néanmoins en faction à la porte où elle voit passer pas mal de monde, dont un couple mixte qui, fasciné, s’attardera à nous regarder, Florence et moi, sucer avidement les belles bites érigées dans les glory holes. Au final, ma complice de fellation parviendra tout de même à faire jouir l’un de nos partenaires à travers les trous (moi pas, ils repartiront avant). Le jeune homme fera d’ailleurs le tour de la pièce pour venir la remercier ensuite ! Un vrai gentleman.

Nous proposons d’aller nous désaltérer au bar mais nos amis ont finalement envie de retourner faire un tour au jacuzzi. Nous les laissons y aller mais nous les voyons peu après nous rejoindre au bar : il y avait encore trop de monde dans l’eau et ils ne se sont pas senti d’y replonger sans nous…

Au bout du compte, nous repassons au vestiaire et nous rentrons pour une bonne nuit de repos bien méritée : il est déjà presque 1h du matin…

(à suivre)

mercredi 1 février 2017

Un weekend libertin entre amis (1/4)

(Alpha raconte)

Nous avions fait la connaissance virtuelle d’un couple libertin qui, comme nous, écrit des récits de ses sorties et les publie sur son blog. Cette affinité « littéraire » nous avait amenés à échanger des avis et points de vue, et ce d’autant que ces « amis » encore virtuels étaient plutôt débutants en libertinage. Les récits de leurs toutes premières sorties en club nous avaient en effet beaucoup amusés, par leur fraîcheur et leurs émois qui n’étaient pas toujours ceux qu’ils avaient escomptés…

Au fil du temps nous est venue l’envie réciproque de faire vraiment connaissance et une  première occasion nous a été donnée lors du weekend de l’Ascension. Nous devions en effet aller à Aix-en-Provence pour une réunion de travail avec mes collègues de la France entière. Ma Caresse avait quant à elle la possibilité de télé-travailler sur internet. Par chance, nos nouveaux amis avaient de la disponibilité et rendez-vous fut pris pour une soirée chez eux, autour d’un plateau de fruits de mer. Nous avions filé juste après le boulot, le temps de se changer et, bien aidés par le GPS du téléphone, nous parvînmes sans encombre au pied de leur immeuble.

C’est toujours un moment de tension que de sonner à la porte de gens inconnus avec qui on a déjà plus ou moins partagé une forme d’intimité sur les réseaux… Même si nous avions prévenu que la soirée serait « verticale » pour nous, la dimension érotique de la rencontre restait palpable.

Nous ne fûmes absolument pas déçus de les découvrir enfin : Florence et Pierre se sont avérés être des hôtes charmants et nos échanges furent empreints de sincérité complice dès le début. Cerise sur le gâteau : ils nous avaient même prévu un feu d’artifice en face de leur balcon, au-dessus de la mer : grandiose !

Evidemment, nous leur avons proposé de leur rendre la politesse et une date fut fixée, courant juillet, pour qu’ils viennent à Bordeaux passer le weekend chez nous. Pierre est en effet originaire de la capitale aquitaine qu’il a quittée depuis longtemps et il avait très envie de la faire visiter à Florence qui n’y est jamais allée.

Ils avaient prévu d’arriver le vendredi midi et de repartir le dimanche en fin d’après-midi. Nous leur avons donc concocté un programme en conséquence. Visite de Bordeaux le vendredi, une première soirée en club – humide - le soir même, repos à la maison le samedi puis une deuxième soirée, dans un autre club – sec . Avec comme règle du jeu que nous ne coquinerions pas à la maison : pour ce qui nous concerne, les soirées en club sont déjà bien « chargées » dans ce domaine-là, nous tenons à préserver un peu de tranquillité et d’intimité de couple quand nous sommes chez nous. Pas envie de se faire sauter dessus non-stop tout le weekend !! (Ca sent le vécu…)

La tension monte un peu dans les jours précédant leur arrivée, même si nous ne sommes plus maintenant de parfaits inconnus les uns pour les autres. Je vais les attendre à leur arrivée à l’aéroport pendant que ma chérie fignole les préparatifs du déjeuner. Je me poste en sortie du terminal et n’ai aucun mal à les reconnaître au premier coup d’œil… et réciproquement d’ailleurs.

Je les amène à ma voiture et cinq minutes après nous sommes à la maison. Ma chérie a tout préparé, rangé et décoré la maison. Un petit apéritif sur la terrasse ombragée devrait nous permettre de commencer le weekend sous les meilleurs auspices.

Nos amis s’installent à l’étage dans l’« appartement » que nous leur avons réservé, avec salle de bains privative. Je prépare quelques exemplaires de mes célèbres cocktails pendant que nous devisons gaiement autour de quelques zakouskis. Après un agréable déjeuner de poulet rôti arrosé de Pessac-Léognan, je les emmène à la plus proche station de tramway pour qu’ils puissent aller visiter la ville par leurs propres moyens.

De retour à la maison vers 18h00, il est temps de commencer les préparatifs de la soirée. Nous avons prévu de dîner un peu plus léger – une grosse salade – car nous les emmenons ensuite découvrir notre club libertin préféré sur Bordeaux : le Différent. Comme c’est un sauna – mixte les vendredis – pas besoin de préparatifs compliqués au niveau vestimentaire. Nous y arrivons vers 21h15 après avoir réussi à nous garer dans un mouchoir de poche sur le cours de la Martinique. Quel as du volant cet Alpha… !!!

Après le passage au vestiaire, nous leur faisons un petit tour guidé du club. Il est encore tôt et nous sommes quasiment les seuls présents. Nous leur montrons le fameux lit à barreaux puis la partie Bi / SM avec sa cage, son petit donjon avec la croix, le sling, les glory holes et le coin obscur… et bien sûr la fameuse DS pour des coquineries sur la Nationale 7 !

Quand nous parvenons au jacuzzi, après la douche, surprise : le bassin est bondé ! Nous peinons à y entrer à quatre et ne pouvons que nous installer à croupetons au milieu, plus aucune place disponible sur les bords ! En fait, ce sont majoritairement des couples (peu d’hommes seuls) qui, comme d’habitude restent attentistes ou  jouent deux par deux (à l’exception d’un groupe de 3 ou 4).

Nous nous plaçons tous les quatre en carré et nous commençons à nous caresser doucement les uns les autres. Par chance, un couple s’en va derrière moi ce qui me permet de                                                                                                                                                                                                                                                                                                         prendre leur place contre la banquette, à gauche du petit escalier. J’ai ma miss à ma gauche et Florence à ma droite, Pierre me fait face. Nous échangeons quelques baisers de plus en plus appuyés.

Je distingue alors sur ma gauche, derrière ma chérie, un couple qui semble tenter une approche. L’homme est devant sa femme et a les mains sous l’eau, je le soupçonne de peloter ma miss par derrière… Caresse me le confirmera plus tard : l’homme avait commencé à la caresser puis tentait d’insinuer ses doigts dans son minou. Mais il semblait trop brutal, pas à l’écoute. Elle lui avait enlevé plusieurs fois la main pour lui signifier d’être plus cool mais rien à faire. In fine, je la vois se dresser dans l’eau, m’enjamber et venir se pelotonner sur ma droite. Message reçu, je comprends immédiatement que ce couple est persona non grata pour elle : je prends sa place et m’interpose entre elle et l’homme en tournant le dos à celui-ci.

Nous poursuivons nos caresses soft à quatre, Florence est réticente à aller plus loin : elle nous explique qu’elle craint les caresses dans l’eau du jacuzzi, ce qui pourrait venir lui bousiller la flore vaginale. Ma chérie la comprend très bien, même si elle a des moyens efficaces de lutter contre les effets secondaires de ce type.

Je m’avise soudainement que de la place se libère de l’autre côté du jacuzzi, au meilleur endroit : sur la banquette juste devant le débordement. Nous nous précipitons et annexons un mètre linéaire de banquette à cet endroit. Je me suis assis sur la banquette avec Florence à ma gauche et ma chérie à droite, Pierre dans l’eau devant moi. Seul petit inconvénient : il y a manifestement un gros piranha à gauche de Florence…

Elle est à peine assise que l’homme commence à l’entreprendre manuellement. Il lui pelote les seins mais la miss ne semble pas trop apprécier, il doit lui faire plus de mal que de bien ! Je le lis immédiatement dans son regard et je lui suggère à l’oreille de m’enjamber et venir à ma droite. Ce qu’elle fait de suite, l’homme se retrouve ainsi un peu penaud face à moi.

Malheureusement, il semble qu’il y ait aussi un deuxième piranha à ma droite : ma chérie a en effet ripé un peu dans l’eau avec Pierre et laissé apparaître derrière elle sur la banquette cet homme seul manifestement très intéressé par notre quatuor. Il se met à son tour à caresser Florence, mais il semble plus doué que le précédent : elle ne proteste pas cette fois-ci. Quant à moi j’embrasse la belle à pleine bouche tout en caressant délicatement sa poitrine et son ventre.

Pour intensifier un peu nos ébats je lui chuchote de se hisser sur la plage : je vais lui faire un petit cunni. Elle se laisse convaincre et s’assied sur le débordement, les fesses dans 5mm d’eau chaude et le torse rejeté en arrière sur le matelas du coin câlin attenant. Immédiatement, avant même que j’entreprenne d’explorer son minou, deux hommes seuls se hissent de chaque côté de la belle pour lui caresser et suçoter les seins. Il faut dire qu’elle a une superbe poitrine plantureuse qui donne vraiment envie d’y goûter…

Pour ma part, je commence à lui caresser doucement le clito et j’y ajoute rapidement la pointe de ma langue. Je lui fais un de mes diaboliques cunnilingus, en alternant la pression modérée de ma langue, de mes doigts et des léchouilles plus larges sur l’ensemble de sa vulve. Mais je sens qu’elle n’est pas à l’aise : c’est la première fois qu’elle se trouve dans ce type de situation et, manifestement, trois hommes pour elle toute seule c’est un peu trop ! Elle redescend dans l’eau avec moi, pour se blottir dans mes bras. Elle me chuchote à l’oreille que l’un des deux hommes s’est mis à lui mordiller le téton et que ça lui a aussitôt cassé son trip.

Pendant ce temps, nos deux compagnons s’amusent dans l’eau. Pierre doigte habilement ma Caresse et lui fait venir plusieurs mini-orgasmes successifs. Ils reviennent vers nous et Florence leur explique qu’elle ne se le sent plus de rester là : nous sortons donc tous les quatre du bassin aux piranhas.

Après une bonne douche réconfortante, nous passons dans la pièce du fameux lit à barreaux, théâtre de plusieurs de nos récits antérieurs. Nous fermons la porte mais ouvrons le rideau de la petite fenêtre : à bon escient, les voyeurs seront nombreux dans l’heure qui suivra !...

(à suivre)