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Sur ce blog nous racontons notre vie de libertins. Nos récits parlent de nos sorties et de notre vision du libertinage... Les lieux et endroits sont "améliorés", les repas "enrichis", l'histoire est parfois romancée afin que toute ressemblance avec la réalité ne puisse qu'être fortuite. Bonne lecture.
Caresse et Alpha
On this blog we are unveiling our swinger lifestyle. Our stories tell about our swinger parties and develop our vision of this particular way of life.
Places and meals are sometimes "improved", names are changed and the story itself may be "adapted" or even fully invented...
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Caresse (she) and Alpha (him)

dimanche 15 octobre 2017

Avec un jeune couple dans les glory holes

Vélo à Toulouse...
De passage à Toulouse pour le weekend, nous avons décidé de retourner incognito au 72, un samedi après-midi. Le club a encore évolué, les installations rénovées sont splendides. C’est vraiment, aujourd’hui, le plus beau de tous les clubs que nous avons fréquentés, et aussi celui où l’ambiance est la meilleure. Ceci grâce à l’action soutenue des patrons et, maintenant, de leur descendance : qu’ils en soient ici chaleureusement remerciés !

Nous y étions déjà revenus la semaine précédente en fait. Nous avions ainsi découvert de nouvelles installations : le coin couples rénové et réaménagé, avec de nouveaux glory holes (4) jouxtant la chaise gynéco, et 2 autres dans le coin à droite en entrant. Tout au fond du club, l’ancienne salle cinéma, qui avait déjà été équipée d’une croix de St André et d’une cheminée avec un faux feu surplombant le matelas derrière la grille, a été complétée par une « fucking machine » et une grille servant de porte à l’ensemble, pouvant être fermée de l’intérieur comme un véritable donjon. D’autres aménagements ont été réalisés également au niveau du bar : chaînes et bracelets de cuir par-dessus une barre de pole dance et sur un plan incliné en bois dans un coin câlin semi-ouvert équipé de voilages dans un angle de la salle bar-discothèque…

Pour l’heure nous sommes heureux de retrouver le chaud jacuzzi qui nous enveloppe de son doux bouillonnement. Je ne me suis en effet pas travesti car Sophia est en vacances en été… Peu d’hommes seuls avec nous, et très respectueux, aucun ne tente une approche.

Puis nous passons à la douche et gagnons le coin couples dont la serrure a également été modernisée avec une clef magnétique comme dans les hôtels. Nous nous installons dans le coin à glory holes où nous éteignons la lumière… Très vite, de l’agitation se fait entendre de l’autre côté de la cloison et on distingue à grand peine des choses qui obstruent la faible luminosité extérieure filtrant à travers les trous du mur. Ici c’est un nez, là une main… enfin, une queue en érection !

Nous en trouvons quelques-unes qui se présentent à la queue leu leu ( !) et nous nous régalons à les sucer avec énergie. Pendant que ma miss m’en repasse une chocolatée dont elle n’a plus envie, je continue de masturber de la main droite celle que je tenais dans mon glory hole. Je n’aurai pas le temps d’achever mon barreau chocolaté que cette queue me giclera abondamment dans la main… me la poissant bien, doigts et paumes, au point que je devrai sortir pour aller me nettoyer à l’eau et au savon dans les toilettes !

Nous avons entendu du remue-ménage dans les autres alcôves du coin couples et avons distingué deux ou trois autres couples, dont un de jeunes (moins de trente ans), s’ébattant à côté. Après mes ablutions, je suis revenu rejoindre ma miss qui, un peu fatiguée, s’est allongée sur le matelas. Je reprends position vers la cloison où piaffent encore deux belles bites. Mais à peine ai-je commencé à m’en occuper que j’entends des voix qui se rapprochent et des silhouettes se profilent dans l’embrasure de notre porte. Ma chérie décide de rallumer pour voir qui arrive…

C’est le couple de jeunes : lui un beau gars tout bronzé, apparemment déluré et décidé, qui montre à sa copine, elle aussi bronzée intégrale, ce que c’est qu’un glory hole… Il explique à ma miss que sa copine – Sandra – a très envie d’essayer. Et ma miss ne se fait pas prier pour les inviter à venir partager avec nous !

Ils me rejoignent au fond du matelas et la jeune femme se saisit d’une de mes deux queues, la masturbe énergiquement avant de l’emboucher. Pendant que je contemple son joli corps de naïade aux longs cheveux noirs, son ami continue de plaisanter avec ma Caresse. Il ressort de cette conversation qu’il ne serait pas bi… mais n’aurait rien contre une petite pipe de ma part – ma miss lui ayant vanté mes grandes qualités en la matière !

Je m’approche et commence à le caresser à la main puis je prends entre mes lèvres son gros gland décalotté. Je me mets à le sucer et je le sens durcir dans ma bouche, tandis que ma chérie se rapproche de lui et commence à lui tripoter les boules et, j’imagine, son petit trou par-derrière. Sandra est restée à quatre pattes et n’a pas cessé de sucer la queue dont elle s’occupait à travers la paroi.

Nous nous occupons ainsi du jeune homme pendant un long moment, jusqu'à ce qu’il n’en puisse plus : il me fait arrêter en disant qu’il va jouir si je continue comme ça et qu’il lui faut absolument prendre sa miss maintenant. Comme elle est toujours à quatre pattes sur ma gauche, il n’a aucun mail à l’enfiler directement en levrette. Il se met à la bourriner furieusement tandis que je me rallonge le long de la jeune femme qui commence à avoir un peu de mal à garder la grosse bite inconnue dans sa jolie bouche, vu ce que son ami lui fait subir.

J’en profite pour lui caresser les pointes des seins, érigées sous l’excitation qu’elle ressent, pendant que je masturbe une autre queue apparue dans un trou sur ma gauche. Nous jouons ainsi un moment mais ma miss s’est rallongée au fond du matelas et je ne voudrais pas qu’elle se sente exclue. J’abandonne donc ce que j’étais en train de faire pour venir lui prodiguer un petit cunnilingus dont j’ai le secret. Elle ne tarde pas à chanter son cantique de plaisirs, et me demande d’ajouter un doigt dans sa chatte. Rapidement, c’est le feu d’artifice : elle atteint deux ou trois fois de suite l’orgasme, à l’unisson de la jeune femme brune que son ami ne cesse de ramoner. Puis elle me demande de cesser, me disant que je ne tirerais plus rien de son clito…

Le jeune couple s’est aussi un peu calmé et, apparemment, quoique Sandra ait joui deux ou trois fois, son homme lui n’a pas eu d’orgasme. Sandra s’est allongée sur le dos et masturbe mollement deux queues à travers la paroi. Ma miss me suggère de m’occuper d’elle maintenant et son ami lui demande : « Tu as envie qu’Alpha s’occupe de toi ? »… Elle acquiesce d’un sourire, ces deux jeunes gens sont vraiment très joueurs, ça faisait longtemps que nous n’avions rencontré un couple aussi sympa !

Elle écarte doucement les cuisses pendant que je prends position entre elles. Je commence par lui lécher doucement le clito et je sens ses lèvres bien épilées s’humidifier petit à petit. Elle continue de branler les deux inconnus pendant que son homme lui  caresse les seins et l’embrasse. Je la sens onduler de plus en plus et je me mets à lui lécher la vulve également. Puis j’introduis mon index et mon majeur droits dans son vagin bien lubrifié jusqu’à trouver une petite zone granuleuse derrière l’os du pubis. Je me dis que ça doit être un bon candidat pour le point G…

Je poursuis mes léchouilles en y ajoutant maintenant la pression de mes doigts par l’intérieur. La fille se cambre de plus en plus et elle se met à gémir. Chaque fois qu’elle se cambre vers le haut, elle rencontre la pointe de ma langue sur son clito puis elle se détend et ce sont alors mes doigts qui exercent la pression sur sa zone sensible de l’intérieur. A ce régime-là, Sandra ne peut résister très longtemps. Elle finit par se  cambrer plus violemment et pousse un râle de plaisir tandis que son ami lui susurre : « Hummm, il te fait du bien, Alpha, dis donc… » Mais je ne relâche pas ma pression : je continue de la lécher délicatement et de la presser de mes deux doigts. Elle se cambre une seconde fois et jouit encore plus fort… Puis une troisième fois dans un paroxysme d’insupportabilité. Je la relâche alors et l’accompagne dans son atterrissage sur le matelas, en retirant précautionneusement mes doigts. Son ami l’a prise dans ses bras, elle a le regard vitreux…

Je rejoins ma chérie et nous prenons congé des jeunes tourtereaux qui ont décidé de rester dans ce coin câlin. Après un passage au bar, nous décidons d’aller dans le coin donjon avec le faux feu. Nous fermons la grille avec une corde car nous ne voulons pas être dérangés : j’ai très envie d’essayer la « fucking machine » !!

Après quelques préparatifs, je confie la télécommande à ma chérie qui est une pro des zapettes à la maison. Il faut une grande confiance en l’autre pour lui confier ainsi les rênes, tandis que le gode en silicone commence à se frayer un passage à l’entrée de mon anus abondamment lubrifié de gel. Ma chérie teste différentes vitesses de la machine… Il s’avère que c’est une vitesse plutôt lente qui me fait le plus d’effet (la taille du gode joue aussi bien sûr). La sensation est incroyable et même meilleure qu’avec une véritable bite si la vitesse est bien dosée : car la machine ne fatigue pas et ne débande pas ! Et, à vitesse lente, on sent qu’elle veut vraiment s’enfoncer dans le petit trou même quand celui-ci résiste un peu… Bref, cette « fucking machine »  est un amant implacable.

Je devrai malheureusement faire arrêter ma chérie avant d’atteindre le mythique orgasme anal : la sensation me devenait trop insupportable ! Je suppose qu’il faudra qu’elle me ligote et me bâillonne pour continuer au-delà de cette limite si je dois un jour parvenir à faire cette expérimentation !!!