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Sur ce blog nous racontons notre vie de libertins. Nos récits parlent de nos sorties et de notre vision du libertinage... Les lieux et endroits sont "améliorés", les repas "enrichis", l'histoire est parfois romancée afin que toute ressemblance avec la réalité ne puisse qu'être fortuite. Bonne lecture.
Caresse et Alpha
On this blog we are unveiling our swinger lifestyle. Our stories tell about our swinger parties and develop our vision of this particular way of life.
Places and meals are sometimes "improved", names are changed and the story itself may be "adapted" or even fully invented...
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Caresse (she) and Alpha (him)

jeudi 20 avril 2017

Alpha sort seul en sauna bi


Retour au Container, club libertin supposé toutes tendances (hétéro, bi, gay). C’est en fait un ancien sauna gay reconverti en un club  à la clientèle plus large. Sauf que ce dimanche, quand j’y arrive vers 15h, il n’y a pas une seule femme en vue. J’entrevois 4 ou 5 hommes seuls qui errent ça et là et j’entends du bruit à l’étage…

Un rapide tour des coins câlins et de la partie humide me convainc qu’il n’y a, cet aprem, pas un seul couple ni de femme seule. Que des mecs… je me dis qu’ils doivent au moins être bi, sinon ils repartiraient de suite !

Comme ça tourne apparemment pas mal dans les couloirs de l’étage, je décide de ne pas perdre mon temps à tremper seul dans le jacuzzi et je vais directement dans le coin des glory holes debout. Dans l’ombre je distingue deux autres « suceuses » (ou « bottoms »), je me dis que je vais avoir de la concurrence, zut ! Surtout que les « tops » (ceux qui se font sucer) semblent aux abonnés absents : mes deux coreligionnaires sont au chômage technique.

Mais ça ne dure pas, du bruit se fait entendre de l’autre côté, là où les tops se plaquent contre la paroi en matant un film porno tendance bi (généralement un trio HHF où l’un d es deux H se fait enculer). Une queue apparaît dans l’une des fentes verticales puis une autre dans la fente juste devant moi (la deuxième à partir de la gauche). Je m’empresse de lui témoigner mon intérêt en la caressant et la suçant un peu puis je la recouvre rapidement d’un préso que j’avais pré-déballé car elle est déjà bien dure.

L’homme se laisse faire et commence à s’agiter des hanches. Il a une bite de bonnes dimensions qu’il adore pousser à fond dans ma bouche jusqu’à ce que mes lèvres viennent toucher son pubis et ses couilles. Je le suce avec toute mon ardeur habituelle mais sans avoir besoin de tellement bouger la tête car lui bouge tout le temps. Il m’imprime son rythme : parfois ressort jusqu’à ne plus me laisser que son gland entre les lèvres puis il s’enfonce tout à coup au fond de ma gorge et reste planté là, jusqu’à me faire parfois suffoquer.

Au début je ne le sais pas encore mais ce petit jeu va durer quasiment une heure ! L’homme ne débande jamais mais ne jouit jamais non plus. Il est super endurant !! Je me dis qu’il est hors de question qu’il me sodomise, si on en vient là : ce serait interminable ! Pendant ce laps de temps qui va durer presque une éternité pour moi – bien que très agréable – il y a beaucoup de zapping de part et d’autre de mon glory hole. Je constate en effet que d’autres hommes viennent sucer à ma gauche et à ma droite, mais ils ne restent guère plus de quelques minutes chacun. Rapidement ils abandonnent la bite offerte à travers la fente qui reste là, dans l’espoir de trouver une autre bouche. Malheureusement pour eux, je suis prise en exclusivité par mon amant endurant. Mais charitablement, je les prends dans mes mains pour leur conserver leur belle érection en les masturbant jusqu’à ce qu’une nouvelle bouche s’occupe d’eux.

Je sens des frôlements dans mon dos, des hommes qui passent derrière moi. Certains s’arrêtent et me caressent doucement le dos, les fesses… Pour ma part j’ai assez à faire avec la bite que je suce sans répit.

A un moment, un homme arrive à ma droite et suce la bite bien dure, équipé d’un cockring, que je tenais dans ma main droite. Je la lui abandonne un peu à regret : j’aurais préféré qu’il prenne celle de mon mec et que je change pour garder l’autre. Mais l’homme semble vouloir de l’interaction avec moi. Il approche sa main, me caresse la poitrine, le ventre, le sexe puis saisit la queue de mon amant à la base, lui malaxe les couilles, sans pour autant abandonner la queue qu’il suce.

Puis il prend ma main pour que j’enserre cette bite à la base pendant qu’il la suce. Ce faisant, il me masturbe à nouveau. Puis il me reprend la main pour la mettre sur son sexe, énorme et dur. Je le masturbe à mon tour, sans avoir cessé de faire des gorges profondes à mon top. Au bout d’un moment, le jeu ralentit enfin. Mon amant se retire doucement, il n’a pas joui mais j’ai l’impression que l’heure a tourné pour lui. Il va en effet s’en aller, sans chercher à me voir et il disparaîtra du club dans la foulée, sans avoir échangé une seule parole avec moi.

Ma voisine suceuse est partie aussi, j’ai une pause… je décide d’aller faire un peu trempette, c’est le bon moment, ça permet de remettre les compteurs à zéro. Après cette petite pause régénérante, je remonte à l’étage.

Je retourne dans mon couloir sombre, m’adosse à la paroi et j’attends mes clients comme une pute au bois de Boulogne… Du bruit à nouveau, des silhouettes… Un homme passe dans le coin vidéo, il regarde le film un instant et je le dévisage par la fente : il est âgé et un peu bedonnant, pas le genre jeune premier… Mais rapidement il enlève sa serviette blanche et plaque son ventre contre la troisième fente. J’y vais prestement et découvre une petite bite enserrée dans un cockring en métal. Mmm… je la caresse et la suce pour lui donner de meilleures dimensions.

Arrive alors un autre type qui se place illico dans le premier trou, celui de l’angle sombre. Sa queue est manifestement, vue de profil, beaucoup plus imposante… mais il est un peu loin pour que je le prenne dans ma main. Je relâche la petite bite de ma bouche et m’écarte pour saisir la nouvelle venue de ma main gauche tout en gardant la petite dans ma main droite. Je vois alors son propriétaire faire signe au nouveau venu de se rapprocher, de venir se placer devant la deuxième fente… ce qu’il fait. Mon top a bien compris qu’il n’y avait qu’un seul « bottom », moi…

Je caresse sa petite bite dans ma main droite – elle est déjà dure – et me concentre sur la grosse qui vient d’arriver. Je la suce car elle est très molle, quoique longue. Elle a besoin de se motiver… Elle commence à prendre une bonne dimension et une bonne rigidité quand d’autres « bottoms » me rejoignent. Habilement, j’abandonne la petite bite de droite à un nouveau venu mais celui-ci la sucera à peine avant de repartir. Je m’apprête à équiper la grosse queue d’un préso quand elle se retire à son tour… Zut ! Trop de zapping ici encore.

Finalement, une grosse queue un peu courbe apparaît dans le trou que vient de laisser l’homme âgé au cockring. C’est encore une nouvelle que je n’ai pas encore vue. Elle est grosse, et bien dure, légèrement courbée sur sa gauche. Je la suce à cru et, rapidement je lui mets un préso. Elle est un peu plus courte que la toute première mais un peu plus épaisse et tout aussi dure. L’homme se comporte de la même manière : il m’impose son rythme et ses mouvements, me pousse son membre en gorge profonde, arrêt sur image…

Puis il se retourne, me présente ses fesses. Je cherche son petit trou avec mon doigt mais je ne le trouve pas. Il s’écarte et s’éloigne vers le rideau de sortie. Encore un zappeur, me dis-je…

Erreur : il a fait le tour de la paroi et me rejoint par le couloir. C’est un homme plus petit que moi, avec une moustache et un accent méditerranéen. Il me congratule : « Quelle bouche ! Et quelle langue !... »
«  merci » lui dis-je, et je sens ses mains baladeuses sur mon corps. Mais je suis intérieurement décidé à ne pas aller en duo dans une cabine, je suis résolu à rester là pour sucer… seulement.

Mais il ne me demande rien. Une nouvelle queue apparaît dans la fente à côté de moi et je me mets à la sucer pour bien lui montrer que je n’ai envie que de ça. Il continue de me peloter le dos, la poitrine et le sexe puis il se met lui aussi à sucer une deuxième queue apparue dans le trou à côté. Il saisit ma main droite et me fait lui caresser son sexe encore encapuchonné dans le préso que je lui ai mis. Puis il m’enlève ma serviette de la taille et me la pose sur les épaules, en faisant un tour, comme une écharpe.

Mais la bite que je suce se retire et je décide de m’agenouiller pour me remettre à le sucer. Il apprécie et me fait encore faire des gorges profondes. Puis il me relève de sa main impérieuse et me fait me retourner. Je sens son braquemart s’agiter derrière moi entre mes fesses. Il lâche momentanément la bite qu’il suce pour tenter de m’enfiler. Je n’ai pas mis de lubrifiant mais je l’aide en écartant un peu mes fesses de mes mains. Soudain je le sens entrer en moi, son membre dur est planté dans mon cul et il commence des va-et-vient en me tenant les hanches. Des spectateurs ont commencé à s’agglutiner malgré l’obscurité.

Mais sa bite est plutôt courte et il ressort de mon petit trou. Il reprend en main la bite qu’il suçait et, de son autre main, tire ma serviette comme une laisse vers son sexe : je me remets à genoux et reprends son sexe dans ma bouche, avec en prime le fumet délicat de mon petit cul qu’il vient de tarauder. Lui se remet à sucer la bite dans le glory hole en même temps.

Puis il me redresse et me resserre la serviette autour du cou, j’ai vraiment l’impression qu’il veut me dominer, me traiter en esclave soumis. Il se met à me pincer les tétons et constate que ça me fait bander : « ah, tu aimes ça aussi, hein ? » me dit-il et il me pince plus fort pour raffermir mon érection dans sa main. Cela ne dure pas, car il est me semble-t-il bien chaud. Il me retourne face à la cloison et repasse derrière moi pour m’enculer. Cette fois il me pénètre quasi du premier coup, il a dû trouver le bon angle.

Devant moi une grosse queue longue apparaît dans le trou. Tout en me sodomisant, l’homme me prend la nuque et me pousse la tête en avant en me disant : « allez, vas-y, suce-le ! »  Il
m’oblige à prendre cette nouvelle bite dans ma bouche et rapidement je sens celle-ci durcir et s’allonger. L’autre continue de m’enculer en me poussant la tête vers l’avant. Je sens le gros gland inconnu enfler et l’homme, derrière la paroi, se mettre à onduler des hanches. Je commence à être un peu inquiet car je n’ai pas pu lui mettre de préso…

Heureusement, il se recule un peu à un moment, et j’en profite pour dégager ma tête et sortir un préso. Je dis à l’homme qui est en train de me prendre par-derrière que je ne continue pas de sucer l’autre sans préso. Il me répond : « Il va vouloir te prendre si tu lui mets un préso… ». Je lui rétorque que ce n’est pas sûr, on verra bien. C’est un de nos délicieux nouveau préso aux fruits : l’homme se laisse faire pendant que je le déroule avec mes ongles en tenant le gland entre mes lèvres.

Puis je reprends ma position : mains à plat sur la paroi, bouche grande ouverte plaquée contre l’ouverture pendant que l’homme moustachu me sodomise par derrière. Je passe ainsi un long moment à subir les assauts de mes deux fougueux amants, l’un dans le cul et l’autre dans la bouche…

Celui qui m’encule finit par ressortir de mon petit trou, il me remet à ses genoux et m’oblige à le sucer de nouveau tandis que lui se remet à sucer l’autre homme. Puis je sens qu’il est presque sur le point de non-retour. Il se tourne un peu mieux vers moi, me prend la tête à deux mains et se met à me labourer les amygdales en rythme et en profondeur. Il se bloque plusieurs fois de suite au fond de ma gorge, mes lèvres plaquées sur son pubis épilé et ses couilles. Enfin, vers la quatrième ou cinquième fois de ce petit jeu, je l’entends pousser un petit râle de contentement : il jouit dans ma bouche longuement, son pieu fiché tout au fond tandis qu’il me tient la tête appuyée contre son bas-ventre. Puis il se retire satisfait… me regarde avec un sourire et s’en va.

Je sucerai encore d’autres queues ce soir-là, sept en tout. Dont une que j’aurais partagée avec un autre « bottom » qui déclinera mon offre en me disant qu’il l’avait déjà sucée un peu plus tôt… Il se concentrera à me caresser le dos et à m’embrasser les fesses pendant que je sucerai cette grosse queue.


lundi 10 avril 2017

Une chienne pour un soumis (4/4)



(suite du récit précédent, Sophia redevient Alpha)

… Tous ces petits jeux successifs depuis le début d’après-midi ont fini par exciter grave la brune qui veut maintenant retrouver la queue de son Alpha. Comme les glory holes sont en travaux, nous décidons de faire réapparaître Alpha sous Sophia et de jouer à deux comme nous aimons dans le coin réservé aux couples.

Nous nous installons dans l’alcôve au fond à droite, spacieuse et climatisée, avec deux banquettes en surélévation du matelas et une grille de part et d’autre communiquant avec les alcôves voisines. J’enlève ma perruque blonde, ma robe, mes bijoux et mes escarpins mais je décide de garder mon serre-tailles rouge… au cas où Sophia réapparaîtrait ensuite !

Ainsi redevenu Alpha (en corset de « Sissy »), ma chérie a fortement envie de me ligoter et de me dominer. Elle me pare des bracelets et chevillières rouges et noirs ainsi que du collier de chien assorti, avec le mousqueton par derrière. Je m’allonge sur le côté droit, puis elle sort notre croisillon en métal avec ses quatre mousquetons pour relier mes chevilles et, avec une corde blanche, les tendre par-derrière à mon collier de chien. Elle décide de m’attacher les poignets par-devant avec une autre corde blanche tendue à la grille de séparation de l’alcôve voisine. J’ai déjà mes deux cockrings sur le sexe mais elle complète l’attirail avec une corde plus fine qui s’enroule autour de la base de mes couilles et les tend vers mes chevilles entravées. Enfin, elle ajoute la final touch : bâillon-boule en latex noir et pinces japonaises sur les tétons, tendues par une chaînette par-dessous mon sexe. Un parfait soumis prêt à endurer les quatre volontés de la brune…

Ainsi équipé, je n’ai pas besoin de beaucoup de stimulation de sa part pour bander dur comme un âne. Mais elle a envie de me faire quand même une longue fellation dont elle a le secret. Sa langue coquine s’enroule autour de mon gland et le lèche, l’humecte pour l’exciter davantage avant de faire des va-et-vient sur toute la longueur de mon sexe. Ma Caresse demeure à ce jour la seule personne qui sache comment me faire jouir à tous les coups et, de surcroît, doser ses stimulations pour que ma jouissance ne vienne pas trop vite, pour que ça dure le plus longtemps possible…

Très doux supplice que de sentir son sexe tendu à cran mais sans pouvoir laisser s’épancher le jet séminal libérateur qui ferait retomber toute cette tension accumulée...

Après un bon quart d’heure de cette « torture » délicieuse, ma miss veut maintenant que je la pénètre en levrette. Elle s’allonge devant moi et s’empale sur mon sexe tétanisé. Trempée comme elle est, mon barreau entre jusqu’à la garde dans sa chatte en à peine deux mouvements. Puis elle entame de douces ondulations, pas trop fortes, juste ce qu’il faut pour me mettre au bord de la jouissance mais pas plus. J’essaie moi aussi de bouger, mais avec la corde qui tend mes couilles et les pinces qui tirent sur mes tétons à chaque mouvement c’est assez difficile. C’est clairement la brune qui dicte le mouvement, et ce en fonction de ses sensations à elle. Elle finit en effet par atteindre un orgasme puissant, suivi d’un deuxième quelques minutes après. Pour ma part, je sens que je ne vais plus tenir très longtemps, que la libération est proche…

C’est à ce moment que j’entends s’ouvrir la porte du coin couples… Hormis Sophia et la supposée shemale brune dont on nous a parlé dans le coin à barreaux, nous n’avons pas vu de travs cet après-midi : ce doit donc être un couple. Je tourne le dos au rideau (ouvert) de notre alcôve et ne peux donc pas voir qui est là mais je devine que les nouveaux venus sont postés à l’entrée du coin câlin et nous observent en silence. Je sens alors deux mains venir me caresser doucement le dos, me masser délicatement les épaules…

Cette interruption a dû me faire un peu ramollir, ma miss se retourne et regarde ce qui se passe puis elle fait signe au couple de nous rejoindre sur le matelas. Je vois apparaître dans le coin de mon œil droit un homme nu, debout sur le matelas et une femme brune aux cheveux courts, nue également qui se love en position quasi fœtale devant mes jambes pliées en chien de fusil.

Quelques mots s’échangent à voix basse avec ma miss où il est question de soumission / domination. Apparemment, la femme brune, d’une quarantaine d’années, a des envies de soumission qu’elle souhaite assouvir. Son partenaire lui ordonne d’ailleurs de me sucer et la prend par la nuque pour pousser son visage vers ma bite à peine démoulée de la chatte fumante de ma chérie.

L’inconnue s’exécute et commence à me titiller le gland du bout des lèvres. Puis elle s’enhardit et le suce sur toute sa surface. Je me dis qu’elle doit profiter du fumet odorant de ma Caresse dont mon membre est enduit. Elle semble se régaler en tout cas… Ma chérie me libère des deux cordes blanches mais me laisse les bracelets et le collier. Ceci me permet de caresser les cheveux, les épaules et les seins de la nouvelle venue. Elle a une peau incroyablement douce et ferme à la fois, ses seins sont de taille idéale pour tenir dans le creux de ma main. Sur la banquette en surplomb, je vois que ma chérie s’occupe du monsieur qu’elle masturbe d'abord, puis suce avec un préso au chocolat.

La brunette, prénommée Alexia, me suce maintenant avec détermination sur toute la longueur de mon sexe qui a repris sa vigueur intégrale. Il faut dire qu’elle me suce vraiment bien, avec une bouche bien humide, dans laquelle elle prend ma queue tout entière. Je me dis qu’elle a de la chance : non seulement elle a le goût de la chatte de ma miss mais je suis excité comme un fou avec tout ce que celle-ci vient de me faire subir. J’ai, de plus, mes deux cockrings qui font passer ma bite en érection dans la catégorie des TBM, en lui donnant une bonne taille de plus que d’ordinaire.

J’ai d’ailleurs rapidement l’occasion de comparer ma queue XXL avec le régime habituel de la brunette puisque ma miss suggère à son compagnon de se faire sucer par moi… La queue chocolatée de notre ami – prénommé François – est en effet à peu près de la taille de la mienne au naturel. Plutôt dans la moyenne, je ne le qualifierais donc pas de TTBM. En attendant, je me retrouve ainsi à sucer l’homme – qui, comme les précédents, fait les mêmes remarques à ma chérie sur mon efficacité buccale – pendant que sa femme me fait elle aussi une fellation. Sucer tout en se faisant sucer, quel suprême délice!

Quant à ma miss, après avoir caressé et embrassé François, elle joue des doigts avec son petit trou et ses couilles par-derrière lui. Alexia ne dévie pas de sa mission : elle me suce avec application, sans jamais ralentir. Je la trouve agréable et bien docile, car elle ne me connaît pas et je pourrais être du genre à éjaculer dans sa bouche sans prévenir. Je sais, pour ma part, que ça n’arrivera pas car je le sens venir suffisamment à l’avance et, du reste, j’ai bonne conscience car je viens de faire mon test de dépistage régulier qui était complètement OK quelques jours auparavant. En tout cas cette caresse buccale inaccoutumée est bien agréable pour moi.

François, en revanche, me fait arrêter ma fellation car il se dit sur le point de jouir, et il souhaite manifestement que ce soit avec sa femme plutôt qu’avec moi. Il se re-concentre sur ma Caresse qu’il se met à doigter, le temps de « décompresser ». Je propose alors à Alexia de s’allonger à son tour pour que je lui fasse un cunnilingus. Elle ne se fait pas prier et s’allonge à ma place sur le dos. Je m’installe entre ses cuisses et je commence à darder la pointe de ma langue coquine sur son petit bouton de plaisir. En saisissant ses cuisses par-dessous pour la tenir à la taille, je constate une nouvelle fois combien sa peau est douce et délicate. Un vrai plaisir tactile là aussi.

Les deux autres coquins ne sont pas en reste. J’entends les gémissements caractéristiques de ma chérie qui jouit une nouvelle fois. Elle m’expliquera plus tard que François la doigtait avec plusieurs doigts écartés à l’intérieur de son vagin. Le coquin semble être aussi un adepte du fist… C’est pourquoi ma chérie me suggère en chuchotant de renforcer mes caresses linguales sur le clito de la brunette en ajoutant plusieurs doigts – voire la main entière – dans sa chatte… Toujours utile et instructif de voir comment l’un fonctionne pour comprendre ce qui fait monter l’autre dans les tours !

J’obtempère illico et insinue mon majeur dans le vagin serré d’Alexia. Elle est assez étroite mais bien mouillée, je peux donc facilement ajouter l’index mais je m’en tiens là… pour l’instant. Je sens en effet qu’elle bouge mieux maintenant que je lui ai fourré un doigt à l’intérieur, mes titillements de la langue sont davantage un supplément. François s’est rapproché d’elle et lui parle pendant que ma miss lui caresse les cheveux en l’observant : « Tu es en train de prendre ton pied, hein petite chienne, il va te faire jouir avec ses doigts… » Et en effet, la jeune femme se tortille et jouit une première fois, puis une deuxième fois quelques instants plus tard.

J’ai pris mon rythme de croisière, je ne ralentis plus. Ma langue se promène partout sur son clito et sur ses lèvres intimes, pendant que deux de mes doigts vont et viennent furieusement à l’intérieur. J’ai constaté qu’il me fallait plonger assez profond dans son vagin, presque la totalité de mes doigts jusqu’à la base, pour produire un effet suffisant sur elle. Je ne m’en prive pas, elle semble en effet adorer ça !

Finalement, François lui intime de se mettre à quatre pattes devant le miroir pour qu’il la prenne en levrette devant nous : «  Tu as envie de me faire jouir avec ta chatte, hein salope, tu en as envie ? Dis-le que tu en as envie… » Alexia gémit faiblement et acquiesce d’une petite voix tandis que son homme commence à la labourer vigoureusement devant nous. J’ai repris ma chérie dans mes bras et nous profitons de leur spectacle sans rien dire.

Cela ne dure toutefois pas très longtemps car François est plus que mûr. Il rugit et jouit violemment en s’enfonçant dans le vagin d’Alexia jusqu’à la garde…

Joli spectacle. Nous nous reposons un peu et discutons. Ils nous avaient observées dans la cage tout à l’heure, quand la blonde se faisait gravement sodomiser par Cédric. C’est ce qui les a incités à franchir le pas et venir vers nous, en plus de constater que nous avions aussi des jeux de domination / soumission. Tout le monde semble avoir apprécié ce moment partagé à quatre en tout cas. Une agréable surprise pour nous, que la rencontre avec ce couple libertin et joueur, en point d’orgue d’une après-midi torride au 72 !

(Fin)

samedi 1 avril 2017

La blonde continue de vider les couilles des mecs (3/4)



(Suite du récit précédent, Sophia raconte)
…Cédric s’est éclipsé mais pas l’assistance qui nous a matés dans la pénombre. Quatre ou cinq hommes seuls sont restés là à attendre… A attendre quoi, en fait ? Que je me précipite sur leurs queues pour les sucer ? Ou qu’il prenne soudain l’envie à la brune de se faire un gang-bang ? Ces hommes sont de doux rêveurs, ils prennent leurs fantasmes pour la réalité… Epuisée comme je suis, je n’ai absolument aucune envie de me remettre à jouer avec eux… du moins pour l’instant.

Je finis par me lever et renfiler mes escarpins noirs qui me donnent 15cm de plus. L’un des hommes seuls est une de nos vieilles connaissances : Pierre, le libertin-sympa-mais-qui-bande-mou… Lui ne craint pas de nous sourire, nous parler et venir s’asseoir sans tenter quoi que ce soit sur le matelas à côté de la brune. Nous plaisantons un bref instant avec lui sur le faux feu de cheminée qui fait monter la température de la pièce puis je leur dis, à ma brune et à Pierre, que je passe aux toilettes me remaquiller… mais que j’apprécie qu’ils me gardent ce joli coin câlin jusqu’à mon retour.

Je me fraye un chemin à travers la haie d’honneur des hommes seuls, petits et nus autour de moi, grande et somptueuse dans ma robe blanche qui vole autour de ma taille. Je ne m’éternise pas à me repeigner et me remaquiller, je sens que j’ai déjà récupéré de l’énergie. Je retourne ensuite dans le coin aux barreaux et constate qu’il ne reste plus que Pierre avec ma brune. Nous lui proposons de s’allonger pour que nous nous occupions de lui à deux coquines, quatre mains et deux bouches… Il ne se fait pas prier.

Ma miss se concentre sur son sexe flasque et le masturbe à la main juste ce qu’il faut pour pouvoir lui enfiler un petit préso à la fraise. Puis c’est mon tour : je prends le membre fruité entre mes lèvres tandis que ma miss se met à bisouter notre ami qui lui caresse doucement le minou.

Notre action conjuguée excite Pierre, visiblement, car il se met à bander dur dans ma bouche et je m’évertue à maintenir ce début prometteur en l’empoignant de la main à la base du sexe, ce qui a pour effet de renforcer son érection. Il se met même à soupirer et gémir lorsqu’il entreprend de lécher la chatte de ma chérie. Cela dure un moment mais hélas il se remet à débander au bout du compte, malgré mes efforts soutenus. Il parvient quand même à faire jouir ma chérie qui lui demande ensuite de cesser pour qu’elle se repose un peu. Il est donc tout à moi et il se retourne vers mon sexe qu’il a manifestement envie de sucer.

Chacun son tour, je m’installe à genoux et lui soulève le devant de ma robe pour lui présenter ma queue bien emballée dans ses deux cockrings : un en métal argenté à la base de mon service trois-pièces et mon cockring habituel en cuir noir sur les couilles et la base de ma hampe. Très vite, il parvient à me faire durcir malgré mon orientation de fille aujourd’hui (quand je suis en fille dans ma tête j’ai beaucoup de mal à bander…) et les deux cockrings viennent immédiatement amplifier mes sensations. J’entrevois à 90° de mon œil gauche des ombres furtives qui viennent nous observer… quelques hommes et un couple.

Ma miss s’est allongée contre un coussin, sur la gauche de Pierre, pour profiter aussi du spectacle tout en se reposant. Je décide de me mettre en 69 avec notre ami car j’ai de nouveau envie de le sucer et il ne semble pas vouloir me lâcher lui non plus. Nous profitons ainsi l’un de l’autre pendant un long moment jusqu’à ce que j’entende ma miss gémir de nouveau : le coquin a recommencé à la caresser de la main et il finit par lâcher ma queue pour se remettre à lécher ma chérie.

Je me repositionne donc confortablement entre les cuisses de Pierre, ma croupe accueillante relevée vers l’extérieur de la cage de sorte que l’on puise me la flatter de la main… ou d’autre chose. Je le suce avidement, engloutissant la totalité de son membre dans ma bouche jusqu’à l’entrée de ma gorge. Il est de bonnes dimensions maintenant : juste assez gros pour bien me remplir la bouche et pas assez long pour me suffoquer… Je sens par ailleurs des mains baladeuses se promener sur mes fesses et mes cuisses, l’une d’entre elles, plus insistante, s’attarde dans ma raie et cherche à s’insinuer dans mon petit trou encore tout humide d’émotions.

Pierre s’est remis à gémir, nous ne l’avons jamais vu aussi excité… Il faut dire que ma miss le motive énormément, il doit sentir sa mouille lui couler entre les lèvres. Je sens quant à moi qu’il durcit encore plus que tout à l’heure, il se met aussi à onduler des hanches. Et soudain il se raidit en poussant un cri étouffé : je le sens dégouliner dans ma bouche, son sperme chaud remplit le petit tube de latex entre mes joues… Incroyable, il a joui !

Bon, eh bien c’est le deuxième qui est « game over »…  Cette fois nous décidons de quitter cette pièce pour aller nous rafraîchir au bar du club. Pierre, reconnaissant, nous remercie. On savait qu’il était tombé amoureux de la blonde et la brune il y a déjà presque 3 ans mais il est clair que ce n’est pas aujourd’hui que sa flamme pour nous va faiblir, au contraire !

Au bar il reste encore du monde, pas les mêmes que tout à l’heure, et la machine à café est réparée. C’est là que nous retrouvons la brunette aux cheveux courts avec qui, cette fois, nous entamons la conversation. Elle dit s’appeler Christelle, venir de Clermont-Ferrand et s’être installée à Toulouse depuis un an. Elle est en couple depuis 25 ans avec un chauffeur routier prénommé Jean-Claude mais qui n’arrivera au club que ce soir. Ils vont, dit-elle, mettre le feu et je crois que nous pouvons lui faire confiance là-dessus. Malheureusement nous ne serons plus là pour le voir car nous devons aller à l’anniversaire d’un ami en banlieue toulousaine. Christelle semble momentanément déçue… Mais bon, elle s’en remettra. Apparemment, notre couple atypique lui plaît beaucoup et nous lui souhaitons de bien s’amuser en attendant peut-être de se revoir une autre fois…

Nous retournons vers les coins câlins et je propose à ma miss d’aller dans la cabine où vont souvent les travs car elle a une sorte de hublot pour servir de glory hole. Hélas, cette cabine est occupée et fermée à clef… Nous nous rabattons sur une autre, de nos débuts : l’une des deux petites cabines avec une banquette et une vidéo, qui communique avec sa voisine par une large ouverture circulaire  - un glory hole d’éléphant. Notre vidéo est clairement orientée bi car il s’agit de shemales suçant des queues et se faisant enculer, spectacle ma foi fort divertissant.

Dans le coin voisin, un homme assis se masturbe en contemplant une vidéo mettant en scène deux lesbiennes. J’entreprends justement un cunni lesbien avec mes cheveux blonds qui chatouillent l’entre-cuisses de ma brune assise… mais notre voisin semble préférer le virtuel au réel et se palucher en regardant la télé. Triste… Il finit par sortir et disparaître dans le couloir sans avoir eu la moindre velléité de fourrer sa bite dans notre fenêtre mitoyenne.

Il est immédiatement remplacé par un autre homme qui lui, au contraire, tourne le dos à la télé et se masturbe à 50 cm de notre fenêtre en regardant dans notre direction. Il finit par prendre confiance - sans doute se trouve-t-il présentable en terme d’érection - et il nous présente sa bite dans la fenêtre. Ma chérie me tapote le crâne pour que j’aille y voir de plus près. C’est une bite de taille moyenne, plutôt courte et fine mais bien dure. Je décide de lui mettre un préso au chocolat retrouvé au fond de mon sac doré. L’homme m’aide à l’enfiler jusqu’à la base tandis que je commence à sucer son gland parfumé.

Ces présos au chocolat sont toujours aussi délicieux, ils doivent être de marque belge ou suisse. L’homme bouge peu mais je sens qu’il est fortement excité : il bande bien dur et soupire fort. A un moment, il se retire lentement en arrière et me demande en chuchotant : « Je peux venir avec vous ? » Je me retourne vers ma brune qui me fait signe OK de la tête. Je lui réponds que je lui ouvre la porte du couloir.

L’homme fait le tour et se présente : c’est un petit quinquagénaire grisonnant que je regarde de haut juchée sur mes talons de 15 cm. Il s’installe sur la banquette à côté de ma miss et commence à lui peloter doucement les seins. Je m’agenouille devant lui sur le carrelage et je reprends sa queue en bouche. Son excitation remonte nettement dans les tours malgré l’épisode du transfert d’une pièce à l’autre.

Sa queue est plus petite que celles de Cédric et Pierre. Je n’ai aucun mal à l’enfourner aussi profondément que je veux. L’homme se raidit davantage et dit à ma belle : « Waouh, elle suce bien ta chérie… Elle va me faire jouir » Ma miss a à peine le temps d’acquiescer que l’homme éructe et se tend : il éjacule longuement dans ma bouche et je lui montre ma gratitude en pressurant son sexe avec mes lèvres et ma langue  et en le gardant encore un petit moment dans mon intimité chaude. Puis il se retire et je m’écarte. Il sort après nous avoir remerciées pour ce délicieux moment. Et de trois !

(à suivre…)