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Sur ce blog nous racontons notre vie de libertins. Nos récits parlent de nos sorties et de notre vision du libertinage... Les lieux et endroits sont "améliorés", les repas "enrichis", l'histoire est parfois romancée afin que toute ressemblance avec la réalité ne puisse qu'être fortuite. Bonne lecture.
Caresse et Alpha
On this blog we are unveiling our swinger lifestyle. Our stories tell about our swinger parties and develop our vision of this particular way of life.
Places and meals are sometimes "improved", names are changed and the story itself may be "adapted" or even fully invented...
Enjoy your readings
Caresse (she) and Alpha (him)

mardi 20 mai 2014

Partouze « lesbienne » à la Matronne

(Sophia raconte)

Après ce torride après-midi au 72, nous devons repasser à la maison pour dîner et nous préparer de nouveau car nous ressortons ce soir... dans le club troisième sexe que nous avions découvert en novembre dernier avec Paul et Marjorie : la Matronne. 

Cette fois, nous avons rendez-vous avec un couple de coquins, Geoffroy et Kittie, rencontrés au 72 en décembre, avec qui - entre autres -  nous avions partouzé comme des fous un lundi bi (voir récits « Partouzes au 72 » publiés les 20 janvier, 1er février et 10 février 2014).

Nous avons 3 ou 4 heures devant nous, ce qui n’est pas trop car je dois me doucher, me raser et me re-préparer quasiment de A à Z. Ce soir je dois en effet faire un effort, il y aura beaucoup de travesties élégantes, je vais donc m’habiller un peu moins « salope » que cet après-midi : nouveaux bas Dim Up transparents/voile brillant (mes jambes sont fraîchement épilées, il faut en profiter !), jupe à volants bleue à pois, escarpins bleus avec talons de 12cm, guêpière noire et corset velours, top noir et longue perruque...brune ! Celle que j’avais au Shoushou pour Halloween, ma chérie dit que j’ai l’air plus sérieuse, moins pétasse avec celle-ci. Mais j’innove un peu sur le maquillage : ce sera mascara bleu pétant !

Ma miss opte pour une tenue proche également de celle qu’elle avait au Shoushou : guêpière rouge et cuissardes noires.

Nous arrivons au club vers 23h30, mais quatre jeunes types louches rôdant dans l’ombre juste à côté de l’entrée nous inquiètent un peu. Il semble qu’il y ait une grosse « teuf » bruyante pas très loin de là, ils doivent être en train de fumer des trucs pas nets... Nous sommes moyennement rassurées mais nous nous garons quand même et finissons par sortir de la voiture, direction la porte d’entrée du club, avec tous nos sacs !

Une jeune trav brune et frisée avec un beau sourire et une robe mini et très moulante nous accueille. Nous passons au vestiaire pour refaire les finitions puis allons prendre un café au bar. Il y a pas mal de monde ce soir, une poignée de travs et 3 hommes seuls... La matronne – Christina – nous reconnaît et vient nous faire la bise, elle est adorable. Je fais remarquer à ma chérie qu’elle-même est apparemment la seule femme bio présente.

Rapidement, Geoffroy et Kittie apparaissent, ma Caresse se sent un peu moins seule. Kittie fantasmait de travestir le Geoffroy, et lui aussi, c’est la principale raison de leur venue ce soir. L’opération est un peu longue, il faut dire que Geoffroy est un quinquagénaire chauve, ce n’est donc pas gagné d’avance ! Kittie a amené plein d’accessoires mais a oublié certaines choses, heureusement les brunes sont là pour fournir fond de teint, rouge à lèvres, car Geoffroy non plus n’a pas pensé à tout... In fine, Geoffroy devient une femme assez appétissante avec une perruque mauve flashy, un body noir moulant, une jupe plissée classique, des bas-couture et des escarpins classiques eux aussi, avec des talons raisonnables de 5 cm, pas comme les miens !

Nous rejoignons les autres dans la pièce principale. Cela commence à bouger sur la piste de danse, nous reprenons des consos au bar pour discuter un peu et ma miss leur propose de visiter les installations du club. Nous leur montrons, à côté de la piste de danse, un coin câlin dans une pièce séparée avec une vitre et un rideau, elle est aussi équipée d’une croix artisanale, de bracelets en cuir et de chaînes ainsi que de cordes d’alpinisme attachées à la poutre du plafond... Mmm ! Puis à l’étage un coin câlin assez vaste avec plusieurs matelas et canapés, surplombant la piste de danse.

Christina s’est lancée dans les rythmes disco, zouk, rock... Elle prend parfois un micro pour faire du play-back sur la petite scène de théâtre. Une grande trav rousse, Sarah, vient la rejoindre et entame un langoureux strip-tease très réussi... Waouh, quel spectacle, elle finit entièrement nue avec juste un chapeau tenu à la main par-devant... Elle a dû prendre des cours pour y arriver, cela demande une vraie technique !

Christina est revenue vers nous et a entamé une conversation approfondie avec nos deux amis coquins. Il ne leur faut pas longtemps pour que tous les deux se mettent à la peloter et la caresser sur les tabourets du bar... Mais tout ceci paraît naturel ici, personne n’aurait l’idée de s’en offusquer.

Au bout d’un moment, nous tombons d’accord pour monter dans le coin câlin de la mezzanine, avec nos deux amis Geoffroy et Kittie. Nous sommes rapidement rejoint(e)s par une jolie trav brune rencontrée en-bas, prénommée Angela... La nouvelle venue s’allonge à plat dos sur l’un des matelas pour que nos amis lui prodiguent une douce fellation. Je décide de m’allonger à côté d’elle ce qui nous permet de nous caresser l’une l’autre, pendant que ma chérie s’agenouille pour me sucer.

J’ai revêtu mon cockring en métal qui a pour effet de faire gonfler mon sexe et, paraît-il, de retarder l’éjaculation... Les trois coquins à côté de nous sont déjà à donf, et ils commentent tout ce qu’ils font. Kittie et Geoffroy sucent Angela chacun son tour et pareillement lui doigtent l’anus tout en commentant : « Tu as vu comment elle est excitée, cette salope ? Et elle mouille, c’est incroyable... »

Au bout d’un moment, Geoffroy laisse Kittie s’occuper seule d'Angela et se décale sur sa gauche pour nous rejoindre. Il partage avec ma miss la fellation qu’elle me procure : il prend ma queue dressée dans sa bouche tandis que ma Caresse me suce les couilles. Pour faire bonne mesure, Geoffroy enfonce également son majeur dans mon anus et effectue un délicieux mouvement de va-et-vient. Je commence à prendre un pied pas possible !

Il ne délaisse pas ma chérie pour autant, lui suçant et mordillant les tétons – elle est en période rouge, malheureusement, et ses interactions sont limitées aujourd’hui. Kittie se redresse après avoir longuement sucé Angela, elle a déjà son gros gode-ceinture en place. La dernière fois, elle m’avait promis de m’enculer tellement elle me trouvait « salope » dans les glory holes du 72. Elle confie Angela à Geoffroy et switche avec lui pour venir me sucer.

Kittie est une femme mince, presque maigre, mais avec une énergie débordante. Elle embouche sans plus attendre ma pine mise en forme par son compagnon et donne un vigoureux mouvement de va-et-vient avec sa tête, engloutissant mon membre sur toute sa longueur jusqu’au fond de sa gorge. C’est terriblement délicieux, mais elle ne peut pas tenir ce rythme bien longtemps. Comme elle est plutôt bien membrée ce soir, je lui propose de lui offrir mes fesses...

Je me retourne à quatre pattes, appuyée sur le matelas. Kittie vient derrière moi et, après avoir équipé son gode d’un préso, me pénètre lentement, par poussées successives, tandis que je l’aide en écartant mes fesses avec mes deux mains. Je la sens soudain entrer plus profondément, ca y est, elle a réussi à introduire le gode sur toute sa longueur, une vingtaine de cm sans doute. Elle me saisit par les hanches et se met à me sodomiser vigoureusement, de la même façon qu’elle me suçait 5mn auparavant. Je me mets à pousser de petits cris de plaisir, c’est très, très bon !

Mais elle me bourrine trop, elle manque d’entraînement, assez vite elle s’épuise ! Elle ressort de mon petit trou et j’en profite pour lui faire remarquer à quel point le rôle de l’homme n’est pas aussi facile que ce que l’on pourrait croire ! Elle m’a bien excité, mais nous passons maintenant à d’autres jeux.

Kittie rejoint Geoffroy et Angela, elle veut de nouveau partager la queue d'Angela avec son compagnon. Je me joins à eux et opte pour les couilles de la jolie trav brune que je suce alternativement pendant que Geoffroy et Kittie se partagent sa queue, en érection depuis au moins une demi-heure... Ma chérie est passée derrière moi pour me masturber et me doigter l’anus sensibilisé par le gode de Kittie.

Nous voyons passer dans la mezzanine d’autres travs et des hommes seuls voyeurs, mais aucun, respectueusement, n’interférera avec notre partouze lesbienne à 5 : 2 femmes et 3 travs !

Nos amis alternent leurs stimulations : fellation, masturbation manuelle et doigtage de l’anus, pendant que je dévore les testicules d'Angela qui semble monter dans les tours depuis un bon moment. Nous entendons Geoffroy et Kittie se dire qu’ils désirent se partager la salope, la sucer jusqu’au bout sans en laisser une goutte. Nous sommes un peu surpris car ils n’ont pour l’instant pas utilisé de préservatif et ils ne connaissent Angela que depuis à peine deux heures...

Mais nous n’avons pas rêvé, ils s’évertuent à la faire jouir et finalement y parviennent. Angela éjacule plusieurs longs jets de sperme sur le visage et les mains de nos amis qui s’empressent de tout lécher, sans en laisser une goutte ! Nous trouvons ce comportement complètement inconscient de la part de libertins... Et nous nous disons en notre for intérieur que nous n’avons aucune envie de les revoir dans ces conditions ! Ils prennent et donc font prendre à leurs partenaires des risques incroyables !!! Cela nous conforte dans l’importance de faire faire des analyses pour contrôler les IST tous les 6 mois pour nous.

Excités tous les deux, j’explose dans la bouche de ma miss. Entre nous, pas de souci, nous vivons ensemble. Nous redescendons tous ensemble au bar pour nous désaltérer et reprendre les discussions... Mais il se fait tard, nous faisons la bise à tous ceux/celles qui sont encore là et prenons congé.

Il est 3h du matin, le temps de rentrer nous serons couchées à 3h45... Grasse matinée le lendemain, nous n’allons pas être très fringantes, mais pour passer le dimanche au lit à faire l’amour comme des folles fous folles, ce n’est pas bien important !

samedi 10 mai 2014

Partouze avec une trans opérée ?

Une sortie libertine un peu chaotique (2ème partie)
(Alpha raconte)

...Michel nous suggère de retourner faire un tour dans le coin câlin pour « tendre un piège » au siffleur de chien(ne)s... Nous nous y rendons mais il n’y a plus grand monde, il est déjà 18h passées et les deux autres couples avec qui nous discutions au bar étaient sur le point de repartir. Du mouvement se fait toutefois entendre de l’autre côté du mur... c’est Philippe qui s’identifie immédiatement ! Nous lui proposons d’entrer nous rejoindre et il ne se fait pas prier. Dans le coin câlin du fond, le couple de masseurs, endormi, est en train de se réveiller !

Philippe s’installe et ma Caresse le masturbe puis le revêt d’un préso et le suce pendant que je reprends sur elle mon cunni interrompu du début. Rapidement, elle me propose de venir l’aider en suçant les grosses couilles poilues de notre ami. Ses noix sont réellement énormes, impossible de les emboucher toutes les deux ensemble, je suis obligée de les sucer une par une. Cette caresse, jointe à la bouche diabolique de ma chérie, l’a cependant fait monter très fort dans l’excitation, il bande comme un âne, même si sa queue n’est pas de dimension réellement démesurée. Nous entendons le couple de « masseurs » sortir du coin couples.

Puis ma chérie me confie la « gestion » de la bite de Philippe, tandis qu’elle remonte sur le matelas pour se faire caresser et sucer par lui. Nous sommes ainsi en trio, Philippe léchant la chatte de ma chérie et moi suçant activement la bite de Philippe en lui serrant les couilles dans ma main quand soudain du bruit se fait entendre derrière moi. Je sens une main me caresser les fesses, il faut dire que je suis à quatre pattes et ma robe est très courte, c’est assez tentant !

Puis un couple de coquins grimpe sur le matelas, ma chérie leur sourit pour confirmer l’invitation : il s’agit d’une belle jeune femme brune aux longs cheveux mouillés – elle doit venir du jacuzzi ou de la douche – et d’un grand black – nous soupçonnons qu’il s’agit de celui qui ne nous avait pas inspiré(e)s tout à l’heure dans le glory hole, l’avenir nous donnera raison !

Les deux s’installent sur le matelas, en direction de ma chérie, la jeune brune se jette littéralement sur elle pour lui sucer les tétons ! Philippe poursuit son cunni sur ma belle tandis que je le suce, mais rapidement, avisant la jeune femme brune, se décale pour passer sous elle et lui lécher le minou. Le grand homme black s’est positionné pour sucer l’autre sein de ma chérie pendant qu’il malaxe le clito de la jeune femme brune, il ne tient manifestement pas à laisser toute la place à Philippe !

Ma chérie me dira ensuite qu’il n’y avait pas photo : la jeune femme lui mordillait le sein avec efficacité, en faisant attention à ses réactions et en dosant son mordillement, tout le contraire de l’homme black, inefficace au possible. A un moment donné, un bras s’introduit dans l’un des glory holes et vient doigter le petit trou de la belle, à quatre pattes, qui se met à bouger avec visiblement beaucoup de plaisir ! Elle a l’air assez sensible par la porte de derrière...

Ma Caresse finit par se dégager et vient me rejoindre tandis que les trois autres se reconfigurent : le grand homme black vient devant moi prendre la place de Philippe qui s’est décalé sur le dos, un peu plus au fond, la jeune brune venant s’empaler sur sa bite en érection. Je prends donc la grosse queue de l’Africain dans ma main, elle bande mollement mais je parviens à la faire durcir suffisamment pour lui enfiler un préso avant de la sucer. Ma chérie est passée derrière moi pour me faire un anulingus et me masturber la queue, je bande rapidement comme un taureau avec ses stimulations.

Mais mon black ne bande toujours pas terriblement. Il est en fait concentré sur les seins de la jeune brune qui se reconfigure une nouvelle fois : elle se remet à quatre pattes, en 69 avec l’homme noir tandis que Philippe vient s’agenouiller derrière elle pour la prendre en levrette en même temps que le black lui lèche la chatte. La miss vient partager avec moi la grosse queue du black, je lui laisse la hampe molle et me focalise un moment sur ses boules tandis que ma chérie continue de me masturber et de me stimuler le petit trou.

Puis je me redresse et approche mon visage de la jeune brune tout en lui caressant le dos et les fesses bien cambrées. Elle est très douce et a une peau lisse, parfaitement parfumée. Elle approche son visage du mien et nous nous embrassons longuement, nos langues s’enlacent à travers nos lèvres jointes. Ma miss a décidé de reprendre en main la queue du black puis de le sucer.

Elle suggère alors que j’offre mes tétons à la bouche coquine de la jeune femme brune... Je comprends immédiatement que c’est sans doute une bonne idée – elle l’a testée un peu avant -  et j’écarte mes faux seins pour lui présenter mes pointes roses turgescentes. La jeune femme me suce et mordille avec une intensité idéale, juste ce qu’il faut pour m’exciter sans aller jusqu’à me faire mal... J’avais remarqué qu’elle avait auparavant cherché à me palper les seins, sans doute pour vérifier s’ils étaient vrais ou pas, elle pensait peut-être que j’étais une trans?

Philippe s’est un peu écarté, j’ai l’impression qu’il a débandé, et le black s’est inséré encore plus nettement entre les cuisses de la jeune brune, pour lui lécher la chatte et aussi lui doigter le vagin. Il m’incite à la lécher avec lui, je m’approche de l’arrière-train de la jeune femme et vient lécher sa chatte avec lui, nos deux langues se joignent dans l’intimité de la belle que mes longs cheveux blonds caressent au rythme de mes mouvements. La jeune brune se met à embrasser ma chérie et lui mordiller les épaules, tandis que Philippe est passé derrière ma belle pour la prendre en levrette.

Mais mon comparse africain est trop gourmand, il prend toute la place et bourrine la chatte de la jeune femme avec deux doigts, je me dis qu’elle doit aimer ça ou sinon elle est complètement anesthésiée ! Je me replie donc sur le petit trou de la belle brune, lui aussi agréablement parfumé comme le reste de sa personne et je lui prodigue un petit anulingus qui a le mérite de lui faire immédiatement tortiller de plaisir son popotin. En même temps, en la regardant dans cette position à quatre pattes, j’ai la vague impression que sa taille n’est pas très féminine... mais je ne m’arrête pas à cette impression et je continue de la lécher.

J’entends ma chérie suggérer que je lui fasse goûter à mon petit cunnilingus des familles, un vrai cunnilingus lesbien ! La jeune femme exprime son intérêt, en fait, comme elle l’a dit à l’oreille de ma miss, elle en a marre de se faire bourriner par le black, qu’elle s’attendait à beaucoup mieux au vu des propos qu’il lui avait tenus avant qu’elle accepte de coquiner. Nous comprendrons d’ailleurs après coup que si elle est entrée dans notre coin avec lui, c’était avec l’intention de s’en débarrasser ou au minima pour ne plus l’avoir seule sur le dos !

Elle change de position et vient s’adosser devant moi, dos contre la paroi, cuisses légèrement écartées. Je commence mes caresses de la langue, tout doucement sur son clito, et je la sens vibrer tout doucement aussi, puis de plus en plus fort. Elle se met à pousser de petits gémissements de plaisir et vient de temps  à autre appuyer son clito durablement sur la pointe de ma langue que je bouge très peu. Puis je la lèche doucement par petits mouvements circulaires, et me mets à lui lécher aussi les lèvres en remontant lentement vers son clito. Elle ferme les yeux, elle a l’air aux anges... Mais je trouve qu’elle ne mouille pas beaucoup.

Elle se met à refermer lentement ses cuisses et se redresse, en disant qu’elle ne se sent pas très bien. Avec une féline fluidité, elle s’extirpe de l’angle où elle est adossée, et reprend ses affaires puis nous salue et sort du coin câlin. Elle avait l’air limite défaillante... Nous n’avons pas trop bien compris pourquoi. Le black n’est pas sorti aussitôt, il a voulu coquiner avec ma miss, ce n’est que devant le refus de celle-ci de jouer avec lui qu’il est sorti à la poursuite de la brune. Il n’a pas dû la retrouver, car comme nous l’avons constaté en sortant des coins câlins, elle s’était enfermée dans les toilettes!

Nous la verrons d’ailleurs sortir du club seule, en même temps que nous, l’air encore un peu patraque malgré ce long passage aux toilettes du club.

Après une ultime tentative de pénétration, Philippe bandant trop mou, s’est résolu aussi à abandonner la partie. Il avait l’air gêné, il avait déjà éjaculé dans l’après-midi nous a-t-il dit pour s’excuser. Mais cela n’a aucune importance, nous avons essayé de le convaincre que ce n’était pas grave, mais difficile de le persuader... Ah, ces hétéros !

Après coup, ma chérie m’a avoué avoir eu un trouble dès le début avec la jeune brune, ayant le sentiment que c’était un homme plus qu’une femme, mais elle n’a rien dit, ça ne nous gêne pas du tout. Et si c’était une trans ?? Opérée manifestement, car je peux le certifier, elle avait une chatte tout ce qu’il y a de plus standard. Mais plusieurs signes sèment le trouble en nous, il va falloir qu’on se renseigne... quoique, la magie d’un moment parfois ne doit pas être rompue, l’inconnue restera sans doute une inconnue !


jeudi 1 mai 2014

Une sortie libertine un peu chaotique

(1ère partie : Sophia raconte)

Cette fois nous sortons un samedi – bissex comme les lundis – mais ma Caresse a pris rendez-vous pour se faire une French manucure à 14h... Dilemme, sachant que le club ferme entre 19 et 21. Et qu’il me faut 2 heures pour me transformer en blonde... vu notre heure de lever après la grasse matinée, nous sommes « à la bourre » !

Le soleil est radieux aujourd’hui mais il continue de faire très froid (moins de zéro à Toulouse, c’est carrément la Sibérie!) et la neige au sol reste verglacée. Ca fait plus d’une semaine que ça dure, décidément nous payons un début d’hiver trop clément en décembre dernier...

Nous déjeunons et partons à l’arrache, je n’ai pas eu le temps de me changer complètement: j’ai mis mes faux seins et mes sous-vêtements de fille mais pas eu le temps de vraiment me maquiller. Je donne le volant à ma chérie, bien m’en prend car en sortant de chez nous la voisine aère sa literie à la fenêtre et nous regarde ostensiblement... Avec ma perruque blonde ça ne le fait pas ! Elle reconnaît ma brune au volant mais doit vraiment se demander qui est assise à la place du passager, sans doute une copine de passage...

Nous parvenons chez la manucure. Je laisse descendre ma chérie et prends le volant, la manucure lui a dit qu’elle en a pour une heure et demie... Je décide d’aller pendant ce temps terminer mes préparatifs dans notre club préféré, je reviendrai la chercher en temps utile. Je parviens à me garer dans la rue du club, pas trop loin de la porte d’entrée mais un type est en train de rôder le long des voitures et autour du distributeur de tickets de parking... Ca ne m’inspire pas, j’attends un peu et il finit par retourner dans son véhicule stationné quelques places derrière moi, alors qu’un couple vient d’entrer au club.

Je sors de la voiture avec notre sac d’accessoires et mon petit sac doré d'Ibiza (qui fait très pouffe). Oops... Le rôdeur est ressorti presque sur mes talons mais il n’ose pas m’aborder quand je sonne à la porte du club qui s’ouvre presque immédiatement. Notre ami Michel officie, je lui explique ma situation de blonde « temporairement » sans ma brune: il me donne une clef de vestiaire pour que j’aille me changer.

Dans le vestiaire je tombe sur le couple aperçu dans la rue. L’homme me reluque ostensiblement et nous finissons par échanger quelques mots anodins pendant qu’ils se dévêtent et enfilent leurs peignoir / paréo. Je me maquille dans le petit salon du fond du vestiaire mais je garde mes bottes et mon pantalon de fille car je vais devoir ressortir chercher ma belle. Puis je me rends au bar où des couples et des hommes seuls sont assis en train de siroter leur cocktail ou leur café.

Le programme TV sur le grand écran plasma est un défilé de mode plutôt sexy pour une fois, dommage que les journalistes demandent aux mannequins et aux couturiers de s’exprimer dans le micro, ça gâche toute la magie du défilé. Je discute un peu avec Michel et une jeune femme qui se demande de quoi son cocktail – « Blue Mimi » - est fait. Son ami l’a rejointe et nous échangeons agréablement pendant un bon moment jusqu’à ce que je m’éclipse pour retourner chercher ma Caresse avec ses nouveaux ongles tout neufs.

Juste le temps d’un aller-retour... par chance nous retrouvons une place de parking encore plus près de la porte du club. Nous entrons et retrouvons Michel, passons au vestiaire. Nous croisons le couple que j’y ai rencontré en début d’après-midi, ils sont déjà en train de se rhabiller pour partir, des rapides... Cette fois je quitte le pantalon pour montrer mes bas résilles et je chausse mes bottines noires à lacets et talons. Je fais ainsi une blonde nettement plus sexy... « pétasse à donf » comme dit ma miss !

Nous retournons au bar et tombons sur la jeune femme avec qui j’avais discuté tout à l’heure, ainsi que son compagnon, charmant également. Nous discutons un moment puis nos interlocuteurs décident d’aller dans le jacuzzi. Pour notre part nous passons dans les coins câlins car il se fait déjà tard... Nous nous installons dans le coin à glory holes. Dans le coin câlin du fond nous avons entendu des soupirs de plaisir d’un couple: il s’avérera que c’est un couple de « masseurs » qui ne se mélangent pas avec les autres, comme nous le dira un coquin un peu plus tard. Ils y resteront longtemps, à tel point que nous les avons à un moment soupçonnés de s’être endormis !

Nous entamons un petit cunnilingus lesbien comme nous aimons, aussi dans le but que les hommes mateurs de l’autre côté de la paroi se « motivent » un peu... De fait, quelques queues en semi-érection apparaissent dans les trous du mur. L’un des propriétaires se met à siffler, à agiter le doigt genre « viens par là ! » en désignant sa queue mollassonne dans le trou, du style « je siffle mon toutou pour qu’il vienne illico sucer ma queue ». Ce genre de procédé a le don pour faire monter ma chérie dans les tours mais pas de façon positive: elle le rembarre d’emblée d’un ton qui n’appelle aucune réplique. Le gros lourd essaiera ensuite plusieurs fois de passer son bras par les trous pour nous « caresser », en fait nous tirer par les membres avec rudesse! Il a tout faux celui-là, dommage que nous n’ayons pu l’identifier avec précision pour le faire virer définitivement du club, il ne perd rien pour attendre !

Ma chérie finit par choisir une bite pas trop grosse et rapidement la fait bander très dur puis elle l’équipe d’un préso. Elle prend plaisir à la sucer avec le préso au chocolat mais désire la partager avec moi et m’invite à la prendre à mon tour en bouche. Cette queue est en effet très dure et je trouve qu’elle bande très « vertical » comparé aux autres, c’est carrément gênant avec la paroi tellement elle est dressée verticalement, difficile de l’enfourner bien profond dans la bouche.

Je la repasse à ma chérie car une autre queue, plus volumineuse, est apparue sur ma gauche. Je la motive de ma main puis, quand elle a atteint un certain degré de maturité je l’emballe de latex. Ma technique consiste à coiffer le gland puis je le prends entre mes lèvres et je déroule le reste du préservatif avec mes deux mains tout en suçant la tête de la bite. C’est assez efficace pour mettre en place rapidement la protection sans faire débander le partenaire.

Mais ma chérie semble avoir des problèmes : plusieurs fois j’ai entrevu son partenaire retirer sa queue et lui prendre la main en lui chuchotant quelque chose. Elle finit par s’écarter et me rejoint pour partager ma grosse queue. L’autre, me dit-elle, est lourd, il lui lèche les doigts sans arrêt et insiste pour entrer mais elle n’en a aucune envie ! Elle avise en revanche une grosse bite de black dans un trou et entreprend de la « renifler ». Elle revient illico vers moi en disant que non, décidément cette queue a une odeur qui ne lui plaît pas !

Je retourne sucer la première queue car la mienne s’est mise à débander durablement. Mais de nouveau elle se retire et l’homme prend ma main pour sucer mes doigts vernis... ! Puis me chuchote, avec un accent du sud-ouest des Pyrénées, qu’il brûle d’envie de m’ « encouler ». Je décline gentiment, malgré son insistance. Nous finissons par abandonner la partie, il se fait un peu tard et aujourd’hui, manifestement, la qualité des hommes seuls n’est pas au rendez-vous. Nous décidons de retourner prendre un café au bar.

Nous ouvrons la porte du coin couples pour sortir et tombons nez à nez avec un petit homme rond et grisonnant qui nous demande avec une lueur lubrique dans les yeux s’il peut entrer avec nous – alors que nous sommes justement rhabillées et en train de sortir ! Nous reconnaissons son accent, style portugais, c’est l’homme à la queue verticale du glory hole qui voulait m’ « encouler », ce qui nous donne encore plus envie de fuir. L’homme profite de l’étroitesse du couloir pour peloter les seins de ma chérie, tout en lui demandant de retourner sur ses pas pour le sucer. Mais elle se dégage, il jette donc son dévolu sur moi en me prenant les hanches par-derrière et en me pelotant les fesses ! Trop c’est trop !

Nous revenons au bar et dénonçons l’individu à Michel qui ne tarde pas à l’identifier, réfugié dans le jacuzzi, et à l’expulser définitivement du club. Nous commentons cet incident au bar avec le couple rencontré une heure auparavant et un autre couple qui s’est ajouté à la conversation. Le patron avait failli virer un autre homme seul, Philippe, à cause de son origine portugaise connue, mais ce n’était clairement pas lui le fauteur de troubles et nous l’avions innocenté. De ce fait Philippe nous rejoint au bar pour discuter lui aussi avec nous...

(fin de la première partie, à suivre...)