Vacances coquines à Ibiza : première soirée

(Alpha raconte)

Ca y est, après les dernières semaines d’excitation à l’idée que les vacances à Ibiza approchaient, nous y sommes : à l’issue d’un panoramique survol du nord-ouest de l’île et de ses baies aux eaux turquoises encombrées de bateaux de plaisance, l’avion vient de toucher la piste de cet aéroport où j’étais venu, pour la seule et unique fois, il y a plus de 25 ans…

Tout s’est modernisé ici et je me demande si je vais reconnaître encore les sites d’antan ou si tout a été défiguré par le tourisme de masse. Je montre à ma chérie les vieux moulins typiques de l’île, certains sont encore là, notamment celui de l’aéroport.

Notre hôte nous a donné des indications précises pour le retrouver à la sortie du terminal. Nous suivons l’itinéraire indiqué et trouvons, comme prévu, la voiture blanche annoncée… Rien d’étonnant, nous découvrirons rapidement que, outre son extrême affabilité, Daniel est aussi extrêmement professionnel, organisé et fiable. Un vrai bonheur de s’en remettre à lui pour organiser nos vacances !

Fin connaisseur de l’île, il emprunte de petites routes pour rejoindre notre hôtel-club libertin : le Liberty Loft. Nous sommes devant le porche d’entrée en moins de 20 mn, nos battements cardiaques s’accélèrent un peu, nous y voilà, c’est comme sur les photos du site internet.

Daniel nous présente sa femme, Héli, une grande et fine jeune femme blonde originaire des pays de l’Est. Les formalités sont réduites au strict minimum, accompagnées d’un pot d’accueil. Très rapidement nous voici installés dans nos quartiers, un appartement composé d’un grand séjour-salon-cuisine avec terrasse et vue sur la mer et deux chambres doubles. Nous le partageons avec un autre couple, originaire de ch’nord, d’une commune située à 3km seulement de celle où j’ai passé mon adolescence ! C’est cool de retrouver des compatriotes à l’étranger (cf. Astérix en Hispanie)…

Daniel est, lui, d’une commune très proche de celle où nous habitons aujourd’hui et il y retourne prendre ses quartiers d’hiver chaque année. Nous nous sentons déjà un peu en famille avec tous ces voisins… Nous nous installons dans notre chambre climatisée (un énorme plus ici, la clim…) et prenons notre premier apéro sur la terrasse, face à la baie de San Antonio.

Les horaires du Liberty Loft sont à l’espagnole. Nous nous habillons sexy et descendons au bar de la piscine pour le traditionnel apéro du soir, à 20h30, cela va nous permettre de faire la connaissance des autres pensionnaires. Nous y découvrons d’autres couples français, notamment Didier et Line, aussi de Toulouse (décidément), Jérôme et Victoria (de Lyon), en plus de nos colocataires chtis. Un couple de basques espagnols, un couple de néerlandais et d’autres français complètent le tableau.

Le dîner est servi à 21h sous le chapiteau d’une grande tente berbère : une longue table commune, destinée à faciliter les discussions et prises de contact, nous accueille. Nous nous trouvons en face des néerlandais qui sont là depuis 2 jours et semblent ravis d’enfin trouver des interlocuteurs un peu anglophones !

Le dîner est excellent et servi avec efficacité et diligence par la jeune serveuse lettonne de Daniel. Nous discutons agréablement avec nos interlocuteurs, Liz et Will, qui s’avèrent être de sacrés coquins : elle-même se définit comme « bondage queen » et nous avoue être aussi une « mistress » SM, tandis que son chéri (et soumis) est propriétaire d’un sex-shop et producteur de films pornos… Ils se disent charmés de nous trouver ici…

Après le dessert, nous retournons vers le bar de la piscine où Héli a installé de petites bougies (il fait déjà nuit) pour créer une ambiance tamisée et coquine sous les étoiles. Des extérieurs venus pour la soirée sont là, Daniel nous présente un couple, des belges flamands : elle s’appelle Mira, c’est une jeune femme à l’œil pétillant (de coquinerie ? de nervosité ?... nous le saurons plus tard…), lui se prénomme Frederick, il est plus âgé et porte une moustache (-1 point pour ma chérie, elle déteste les moustaches !), il semble plus zen que sa miss, sans doute plus expérimenté. D’autres couples sont là - c’est une soirée exclusivement couples - notamment des Suisses et des Argentins.

La température est encore très douce à cette heure, 23 ou 24 degrés, et les salons extérieurs plongés dans la pénombre sont très accueillants. De petits groupes de discussion se forment çà et là : nos voisins de chambre, arrivés 2 jours plus tôt, semblent avoir déjà une forte accroche avec le couple de Toulousains, Didier et Line, nous l’avions déjà remarqué en fin d’après-midi au bord de la piscine tandis que Line se faisait prodiguer un long massage par Cindy, la masseuse attitrée du Loft. En fait, ils ne se quitteront pas de la semaine, car une journaliste de la télé, arrivée le lendemain, va les accaparer pour les besoins de son reportage, ce qui du reste va bien pourrir l’ambiance du club pendant quelques jours.

Ma chérie est impatiente de tester le grand coin câlin sous la deuxième tente berbère au bord de la piscine, avec un grand lit pour 6, à baldaquin et voilages, et un bouddha doré avec un bandeau sur les yeux et une réserve de préservatifs dans ses mains, posées sur son giron. Nous nous y installons à deux et commençons à nous câliner, la journée a été longue.

Rapidement, tout en restant habillé pour l’instant, j’entreprends de faire un doux cunnilingus à ma chérie car je sais qu’elle en a envie et que ses soupirs et gémissements sont très attractifs. Et en effet, je sens des mouvements et des chuchotements dans mon dos, des ombres se glissent autour du baldaquin, vont et viennent de notre tente à son annexe (là où sont dispensés les massages détente diurnes). Je repère du coin de l’œil les couples non-pensionnaires du Loft, notamment les Suisses et les Argentins qui échangent quelques propos à voix basse.

Je me reconfigure un peu pour ne pas m’ankyloser les bras et constate alors qu’il y a aussi, derrière moi, appuyés à une table de massage, les deux Belges rencontrés au bar qui nous regardent avec insistance. Ca doit faire un moment qu’ils sont là et la jeune femme a toujours ce regard fiévreux… Deux autres couples sont venus s’installer sur un matelas à l’autre extrémité de la tente et commencent à coquiner à 4.

Ma chérie fait un petit signe d’invitation aux Belges. Un court instant d’hésitation, puis Mira, la jeune femme, se hisse toute habillée sur notre matelas, et vient s’allonger sur ma miss pour l’embrasser à pleine bouche. Elle a l’air d’en avoir très envie et est un peu maladroite en même temps : elle nous explique que c’est sa première fois, elle a envie d’une femme mais ne l’a jamais fait ! Son homme reste debout à nous regarder…

Je reprends mon cunnilingus sur ma chérie, il ne faudrait pas s’arrêter en si bon chemin, mais maintenant j’ai aussi Mira juste à ma droite, il me paraît convenable de ne pas la délaisser. Je lui dédie donc ma main droite et commence à lui caresser les cuisses nues sous sa courte robe, doucement dans toutes les directions et dans tous les recoins, pour progressivement approcher mes doigts de sa petite culotte  en satin rouge.

Les deux femmes s’embrassent longuement et fougueusement, de temps à autre ma Caresse exhale un gémissement un peu plus fort que les autres, son clito est bien gonflé et je la sens très excitée, j’adore ! De la main droite, j’ai atteint la douce étoffe de satin et commencé à presser le clito de Mira, la jeune femme se laisse faire, elle a l’air d’être partie dans un trip. Je glisse un doigt coquin, puis deux, sous la bordure de la culotte et je peux ainsi palper la douce toison pubienne bien entretenue de la jeune Belge, et mieux caresser son petit bouton de plaisir.

Ma chérie est montée très haut dans les tours, elle ondule du bassin et je sens que son extase n’est plus très loin. Indistinctement, des bruits de jouissance nous parviennent du coin massages, nous verrons un peu plus tard que ce sont les Suisses et les Argentins qui coquinent ensemble. Je décide d’activer mes caresses sur les chattes des deux femmes, elles ondulent en synchro sur mes doigts et leurs mouvements s’amplifient…

Ma chérie soudain se raidit, et elle crie de jouissance tout de suite après, son orgasme est violent et à la mesure de toute l’excitation accumulée, de la même façon qu’un tremblement de terre permet de dissiper l’énergie de friction accumulée entre deux plaques tectoniques. La deuxième plaque tectonique, Mira, ne crie pas (encore), elle est sans doute trop crispée pour pouvoir se lâcher. Pour ma part, je recueille le délicieux nectar de ma miss qui m’inonde les lèvres et la langue, je la lèche bien partout pour ne pas en perdre une goutte, un vrai délice !

Je me redresse pour la contempler. Mira a cessé ses baisers fougueux au moment de l’orgasme mais elle a toujours son regard fiévreux et c’est moi qu’elle regarde à présent. Je la regarde, un peu interloqué pendant quelques secondes, juste avant qu’elle ne se précipite sur mes lèvres pour un fougueux French kiss, long et pénétrant… Elle me fouille avec sa langue partout dans la bouche, je comprends enfin qu’elle veut profiter du nectar de ma miss et prendre sa part en vraie gourmande qu’elle est. Satisfaite, elle se retire et revient embrasser longuement ma chérie épuisée sur le matelas, pour partager avec elle le goût de sa propre chatte !

Puis elle nous remercie un peu nerveusement et quitte le matelas presque en courant ! Nous la verrons ensuite en train de refaire le même scénario avec les couples suisse et argentin… Son homme, après une brève tentative de douce coquinerie avec nous en solo, finira par aller partouzer avec l’autre groupe de 4, tandis que nous nous rhabillons pour regagner nos pénates. La journée a été longue et ma miss est fatiguée.

En traversant le bar, nous verrons aussi que les couples espagnols y sont encore, en train de bavasser… Il est pourtant presque 1h du matin, mais nous apprendrons dans la semaine que les couples d’ici ne passent jamais dans les coins coquins avant 2 ou 3h du matin ! Pour ça aussi ils sont à l’heure espagnole !!!

Un trio HHF d’adieu (2ème partie)

(Alpha raconte)

Les couleurs de Montreal (Canada)

...Nous retournons dans le coin couples. Mais cette fois c’est l’heure de pointe, notre coin favori au fond ainsi que le coin des glory holes sont pris et leurs occupants sont déjà bien avancés dans leurs jeux si on en juge par les soupirs et les gémissements que l’on entend à intervalles réguliers. Nous décidons de nous installer dans le premier coin à droite en entrant, qui contient aussi la chaise gynéco et est séparé de notre coin favori par une sorte de moucharabieh à travers lequel on peut profiter du spectacle des voisins.

Nous reprenons nos ébats sans tarder. Caresse s’occupe de remettre Terrence au top de sa forme en deux coups de cuillère à pot langue bien appuyés, puis elle s’occupe de ma queue tandis que je maintiens Terrence en forme en prenant le relais de Caresse et en le suçant à mon tour. Nous faisons une troisième tentative de DP, cette fois avec Terrence dessous, Caresse empalée sur sa queue mais même ainsi je ne parviens pas à la sodomiser, la position n’est pas adéquate pour moi, je ne suis pas bien placé derrière elle. Nous abandonnons, décidément ces jeux acrobatiques, trop casse-pied !

Je me mets debout à l’entrée du coin câlin, ce qui me permet de me faire sucer par ma belle pendant que notre ami la pénètre. Je peux aussi un peu contrôler les allées et venues car c’est l’affluence : la porte d’entrée ne cesse de s’ouvrir et de se refermer, nous avons l’impression qu’un gang bang est en train de se dérouler dans le coin voisin car on y entrevoit 5 ou 6 types et il ne devait au départ pas y avoir plus de 3 nanas… En tout cas on entend très bien l’une d’entre elles !

Dans notre coin aussi il y a du passage, bien que nous ayons tiré le rideau, ce qui signifie que nous n’attendons personne. Beaucoup d’hommes seuls jettent un coup d’œil : on se demande un peu comment ils sont arrivés là, puisque c’est un coin couples… Grrrrrr, ce n’est pas la première fois que ça nous arrive, lors d’une de nos toutes premières fois ici, dans ce même coin couple, deux hommes seuls s’étaient tapé l’incruste, l’un allant jusqu’à s’allonger de tout son long sur mon dos pendant que j’étais en train de faire un cunni  à notre amie Sakura ! Le mari de Sakura avait fini par les virer…

Nous changeons un peu de position, je me mets debout sur le matelas pour que ma miss puisse mieux me sucer en se redressant. Elle fatigue un peu, Terrence l’a fait de nouveau jouir, elle commence à cumuler orgasmes clitoridiens et vaginaux ce soir… Elle finit par se dégager du membre bien dressé de notre ami mais nous ne nous relâchons pas pour autant : je me remets à le sucer illico !

Il me prend également dans sa bouche chaude et caressante… Mmm !!! Dommage pour les hétéros purs et durs de se refuser à de telles caresses, ils mourront idiots sans savoir ! Quelques hommes jettent encore des coups d’œil par le rideau, mais nous sommes en journée bi, personne n’est censé être choqué.

Terrence en a assez d’être allongé, il préfère s’asseoir sur la palissade qui sépare le matelas du coin gynéco. Je m’agenouille entre ses cuisses et reprends ma fellation assidue, les mains dans le dos. Un délice ! Pendant ce temps, ma miss me suce les couilles et me masturbe le sexe. Elle dit à notre ami : « Ca l’excite bien de te sucer, je peux te le garantir ! »

Un couple entre dans notre coin et s’oriente vers la chaise gynéco. L’homme est assez âgé, le regard égrillard et il nous mate d’emblée en train de jouer à trois. Il est accompagné d’une femme en apparence d’âge mûr aussi, en fait c’est la trav blonde que nous avons vue au bar puis errant dans les couloirs du club. Il s’assied dans la chaise, tout en continuant de nous regarder, et dit à sa trav de le sucer bien profond, ce qu’elle ne se fait pas prier de faire.

Je m’aperçois alors que ma chérie chantonne derrière moi et quelqu’un est lourdement allongé sur mes mollets. Il est vrai que je n’ai pas beaucoup tourné la tête depuis 5 ou 10 mn que je suce la grosse verge de Terrence. Un homme seul est entré, invité par ma miss, il joue avec ma chérie mais il m’appuie douloureusement sur les mollets – et mon cockring commence lui aussi à être douloureux… Je m’arrête donc et contemple la situation.

L’homme, allongé sur le dos, s’est rendu compte de mon mouvement et il saisit mollement ma queue pour me masturber et, sans doute, prouver qu’il est vraiment bi. Mais il n’y met pas beaucoup de conviction. Il me prend ensuite dans sa bouche, chaude et humide, mais ne parvient guère à m’exciter. Terrence se lève et sort du coin câlin pour aller voir à côté. Je souffle à l’oreille de ma miss qu’il ne faudrait pas que Terrence croie que nous l’excluons… Je finis par me lever, c’est vraiment trop exigu ici et je suis mal installé, puis je me remets debout à l’entrée du coin câlin. Ma miss me dira plus tard, qu’elle pensait que Terrence cherchait une femme pour se « vider les couilles »…

Ma chérie sent que ça ne va pas, que je suis mal à l’aise. Elle remercie le nouveau venu qui, très poliment, s’éclipse sans attendre. Ma miss m’explique qu’elle l’a fait entrer car je jouais avec Terrence et qu’elle s’ennuyait. Je comprends, et lui dis que je ne sentais pas trop bien le jeu avec lui. Terrence est revenu, nous lui expliquons la situation et lui disons que nous avons envie de continuer le jeu rien qu’à trois.

Nos voisins, dans la chaise gynéco, ont changé de position : la trav s’est empalée sur la bite dressée de son partenaire qui continue de l’abreuver de mots « doux »… Ma Caresse s’est allongée de nouveau et nous reprenons nos fellations multiples puis je décide de lui refaire un cunni. Terrence s’occupe de ses seins, et l’homme d’à côté, me dira-t-elle ensuite, la caresse aussi de sa main gauche tout en enculant la trav. Ma chérie monte en puissance, je la sens excitée, de plus en plus fort comme en début de soirée malgré la série d’orgasmes qu’elle a déjà eus… elle crie d’un seul coup tout son plaisir et je m’acharne de ma langue amoureuse sur son bouton de chair et tout autour pour faire durer ce plaisir, jusqu’à ce qu’elle me retire la tête avec ses mains.

Terrence est terriblement excité, il propose alors de me prendre. Volontiers ! En fait, j’attendais cette proposition avec impatience ! Je me mets à quatre pattes entre les cuisses de ma chérie redressée et adossée au mur, et passe une bonne couche de lubrifiant entre mes fesses et dans mon petit trou. Je sens Terrence derrière moi, son gland pousse à l’entrée de mon anus et s’introduit lentement dedans…. Il continue de pousser lentement, sans se relâcher et j’écarte mes fesses de mes deux mains quand soudain je sens qu’il est en train de me prendre pour de bon : il s’enfonce nettement plus vite…… Je crie un peu de douleur car sa verge est large, je la sens passer !

Il s’enfonce de toute sa longueur, lentement, en une seule poussée… puis commence un lent et doux mouvement de va-et-vient. La douleur initiale s’estompe progressivement, le lubrifiant fait son effet – j’en avais pourtant mis pas mal – et il peut maintenant coulisser à son rythme en s’accrochant à mes hanches. Pour ma part, j’ai la chatte dégoulinante de ma chérie posée comme un pot de miel devant moi et je m’empresse de la lui lécher.

C’est un long et délicieux moment, j’adore jouer des deux cotés à la fois, me faire sodomiser pendant que je lèche une chatte ou suce une bite, quelle volupté ! Je me sens comme une femme, et d’ailleurs, dans cette position, j’oublie à certains moments mon propre sexe et ressens pourtant une jouissance très forte, qui n’a évidemment rien à voir avec l’orgasme masculin habituel.

Terrence a accumulé beaucoup d’excitation ce soir, je sens que sa queue durcit durablement dans mon cul et que ses mouvements s’accélèrent. Il vient taper de plus en plus profond et de plus en plus rapidement, pendant que je me délecte du nectar sexuel de ma miss. Il pousse un profond soupir (notre ami n’est pas du genre expressif) et se bloque un moment, le sexe complètement enfoncé dans mon intimité… Je sais qu’il est en train de jouir, je ressens les soubresauts de sa verge en train de s’épancher dans mon cul, un sentiment terriblement jouissif pour moi aussi…

Nous nous écroulons tous les trois sur le matelas… Il va vraiment falloir retourner à la douche, c’est alors que nous constaterons qu’il est déjà 1h du matin ! Et ma miss qui prend son train à 6h… La nuit va être ultra courte, et nous n’allons pas être étanches le lendemain !

Mais quel beau feu d’artifesses pour le départ de notre ami : nous lui promettons de lui rendre visite dans quelques mois, quand il sera bien installé et qu’il pourra nous faire découvrir ses clubs libertins favoris dans sa nouvelle ville outre-Atlantique…

Un trio HHF d’adieu (1ère partie)

(Alpha raconte)

Montréal (Canada)

Nous nous sommes installés dans le coin des glory holes. A peine avons-nous le temps d’étaler nos serviettes et paréo que du bruit se fait entendre de l’autre côté de la paroi. Il faut dire que nous sommes les tout premiers à inaugurer le coin couples ce soir, il est à peine 20h 30…

Nous commençons par un petit cunni, j’ai envie de faire ce plaisir à ma chérie, c’est toujours agréable de commencer par cette douce caresse qui demande une délicatesse que l’on n’est pas toujours sûr de trouver de la part des mâles en rut de l’autre côté du mur. Ma miss monte progressivement dans l’excitation et commence à chantonner, on sent que le spectacle que nous offrons aux hommes seuls de l’autre côté les excite, on distingue des sexes en train de se masturber dans plusieurs trous, on entend des halètements…

Nous attendons notre ami Terrence, mais il n’est manifestement pas encore arrivé. Sinon il se serait verbalement manifesté. Ma miss décide, dans l’intervalle, d’aller contenter l’un des hommes qui est en train de se branler : il a une grosse queue, elle la prend dans sa main, la caresse d’un mouvement ample. L’homme grogne, il a l’air passablement excité.

Je poursuis mon cunni entre les cuisses de ma chérie, mais je m’attends à ce qu’elle me demande de l’aide pour sucer la grosse queue. On est en journée bi, donc les hommes doivent s’attendre à se faire sucer par d’autres mecs, c’est la règle du jeu aujourd’hui, elle est claire pour tous. Mais ma chérie s’écarte et se repositionne au fond, sur les coussins, loin des trous. Je la regarde, interrogatif : elle me dit que l’homme est trop brutal….

Je reprends donc mon cunni avec assiduité, et refait monter l’excitation de ma miss. Une plus petite queue apparaît sur sa droite, elle la masturbe un moment, puis elle est remplacée par une autre… Ma chérie chante bien maintenant, quand je sens tout à coup une main me chatouiller la plante du pied droit. Je suis surpris, je me serais plutôt attendu à me faire doigter le petit trou, vu ma position à genoux, le dos tourné vers les glory holes !

Je ne me laisse pas perturber car ma chérie est montée très haut, je sens que l’orgasme clitoridien n’est plus loin, elle appuie d’une main ma tête sur son petit bouton en m’encourageant de la voix. On gratte de nouveau sous mon pied… c’est un farceur, ou un timide, me dis-je. Ma chérie explose soudain tandis que j’enroule ma langue autour de son clitoris et ne cesse de le stimuler de mes léchouilles. Nous restons encore un bon moment ainsi jusqu’à ce que la voix de Terrence se fasse entendre : c’est lui qui me chatouillait les pieds !

Ma chérie, sachant mon envie de coquiner avec lui avant son exil lointain, est heureuse de l’entendre, elle bondit du matelas pour aller lui ouvrir la porte du coin couples. Les 5 voyeurs vont en être pour leurs frais, nous avons décidé de nous exiler dans l’un des deux grands coins du fond, plus tranquilles et climatisés…  Nous y transportons nos petites affaires et nous installons pour une petite discute avec notre ami : c’est sa dernière soirée avec nous, il part dans une semaine  travailler à l’étranger pour presque un an !

Ma chérie se penche vers lui pour le sucer. Il bande déjà pas mal, il a un sexe dur et large, d’une longueur convenable mais surtout très large. Je suce de nouveau la chatte de ma miss mais sans grande conviction car elle vient de jouir du clito et je sais que la bite de Terrence est trop large pour elle : elle va vite me convier à la rejoindre !

C’est ce qu’elle fait. Elle me désigne la belle bite fièrement dressée de notre ami, confortablement allongé sur le dos. Je me place entre ses jambes légèrement écartées et poursuit l’œuvre engagée. Mmm, toujours un régal de le sucer, sa bite est ferme et large, elle emplit toute ma bouche et son gland est comme une grosse fraise appétissante, un délice de le lécher sur toute sa surface et de le sucer entre mes lèvres.

Ma chérie a la bougeotte : elle vient derrière moi pour me sucer les couilles et me masturber, puis me lécher l’anus… ensuite elle se redresse et va s’occuper de Terrence.

Elle suggère que nous fassions un petit 69, entre hommes, pour « optimiser » notre efficacité. Je m’allonge sur le côté de Terrence et le reprends dans ma bouche tandis qu’il se met aussi à me sucer le sexe et les couilles. J’ai revêtu mon nouveau cockring en cuir noir et métal, il peut ainsi profiter de mes couilles serrées et offertes, bien dures, à sa langue et à ses lèvres. Ma chérie partage ses caresses entre lui et moi.

Nous nous régalons ainsi un long moment. Puis Terrence désire prendre ma chérie et s’équipe d’un préservatif à cet effet. Il la prend en levrette pendant que je suce les pointes des seins de ma belle, puis me glisse sous son bas-ventre pour lui lécher le clito et profiter du spectacle de la belle queue de notre partenaire en train de coulisser dans son vagin détrempé.

Puis essai de DP, ma miss voudrait que nous essayions. Terrence s’allonge sur le dos, le sexe bien dressé, ma miss s’empale dessus en m’invitant à la sodomiser, un plaisir que je ne saurais lui refuser tant c’est bon pour nous deux ! Mais la position de ma miss, couchée sur Terrence, rend impossible toute pénétration, je suis trop grand pour y parvenir !

Terrence propose de le faire assis, il s’assoit et invite Caresse a assoir son petit cul sur son membre, ce qu’elle fait un peu trop rapidement, la sanction ne se fait pas attendre, elle pousse un cri de douleur… notre ami est très membré et le petit trou n’est pas assez dilaté pour supporter une pénétration aussi rapide ! Elle respire et recommence très lentement, petit à petit, jusqu’à avoir la grosse queue de notre ami complètement en elle ! Terrence m’invite à la pénétrer par devant, mais là c’est tout simplement mission impossible, même Super-Dupont ne peut rien dans un cas pareil ! Rire !

Ma miss finit par capituler, la DP n’est pas pour nous, nous avons passé l’âge (ou l’envie) des positions acrobatiques, nous prenons tellement notre pied par ailleurs, que nous ne cherchons pas vraiment !

Nous reprenons nos jeux à trois, ma miss s’agenouille pour que notre ami la prenne en levrette comme il aime, pendant qu’elle me suce avec gourmandise ! Humm, elle est coquine ma miss ce soir !

On finit en sueur, il fait chaud malgré la climatisation dans ce coin câlin ! Allez, il est temps d’aller prendre une douche ! Nous nous habillons un peu et nous sortons ensemble, Terrence et moi prenons les douches de gauche et Caresse choisit la douche face au jacuzzi…nous laissant discuter tranquillement entre hommes bis…

(fin de la première partie)