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Sur ce blog nous racontons notre vie de libertins. Nos récits parlent de nos sorties et de notre vision du libertinage... Les lieux et endroits sont "améliorés", les repas "enrichis", l'histoire est parfois romancée afin que toute ressemblance avec la réalité ne puisse qu'être fortuite. Bonne lecture.
Caresse et Alpha
On this blog we are unveiling our swinger lifestyle. Our stories tell about our swinger parties and develop our vision of this particular way of life.
Places and meals are sometimes "improved", names are changed and the story itself may be "adapted" or even fully invented...
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Caresse (she) and Alpha (him)

samedi 20 avril 2013

Vacances coquines à Ibiza : première soirée

(Alpha raconte)


Ca y est, après les dernières semaines d’excitation à l’idée que les vacances à Ibiza approchaient, nous y sommes : à l’issue d’un panoramique survol du nord-ouest de l’île et de ses baies aux eaux turquoises encombrées de bateaux de plaisance, l’avion vient de toucher la piste de cet aéroport où j’étais venu, pour la seule et unique fois, il y a plus de 25 ans…

Tout s’est modernisé ici et je me demande si je vais reconnaître encore les sites d’antan ou si tout a été défiguré par le tourisme de masse. Je montre à ma chérie les vieux moulins typiques de l’île, certains sont encore là, notamment celui de l’aéroport.

Notre hôte nous a donné des indications précises pour le retrouver à la sortie du terminal. Nous suivons l’itinéraire indiqué et trouvons, comme prévu, la voiture blanche annoncée… Rien d’étonnant, nous découvrirons rapidement que, outre son extrême affabilité, Daniel est aussi extrêmement professionnel, organisé et fiable. Un vrai bonheur de s’en remettre à lui pour organiser nos vacances !

Fin connaisseur de l’île, il emprunte de petites routes pour rejoindre notre hôtel-club libertin : le Liberty Loft. Nous sommes devant le porche d’entrée en moins de 20 mn, nos battements cardiaques s’accélèrent un peu, nous y voilà, c’est comme sur les photos du site internet.

Daniel nous présente sa femme, Héli, une grande et fine jeune femme blonde originaire des pays de l’Est. Les formalités sont réduites au strict minimum, accompagnées d’un pot d’accueil. Très rapidement nous voici installés dans nos quartiers, un appartement composé d’un grand séjour-salon-cuisine avec terrasse et vue sur la mer et deux chambres doubles. Nous le partageons avec un autre couple, originaire de ch’nord, d’une commune située à 3km seulement de celle où j’ai passé mon adolescence ! C’est cool de retrouver des compatriotes à l’étranger (cf. Astérix en Hispanie)…

Daniel est, lui, d’une commune très proche de celle où nous habitons aujourd’hui et il y retourne prendre ses quartiers d’hiver chaque année. Nous nous sentons déjà un peu en famille avec tous ces voisins… Nous nous installons dans notre chambre climatisée (un énorme plus ici, la clim…) et prenons notre premier apéro sur la terrasse, face à la baie de San Antonio.

Les horaires du Liberty Loft sont à l’espagnole. Nous nous habillons sexy et descendons au bar de la piscine pour le traditionnel apéro du soir, à 20h30, cela va nous permettre de faire la connaissance des autres pensionnaires. Nous y découvrons d’autres couples français, notamment Didier et Line, aussi de Toulouse (décidément), Jérôme et Victoria (de Lyon), en plus de nos colocataires chtis. Un couple de basques espagnols, un couple de néerlandais et d’autres français complètent le tableau.

Le dîner est servi à 21h sous le chapiteau d’une grande tente berbère : une longue table commune, destinée à faciliter les discussions et prises de contact, nous accueille. Nous nous trouvons en face des néerlandais qui sont là depuis 2 jours et semblent ravis d’enfin trouver des interlocuteurs un peu anglophones !

Le dîner est excellent et servi avec efficacité et diligence par la jeune serveuse lettonne de Daniel. Nous discutons agréablement avec nos interlocuteurs, Liz et Will, qui s’avèrent être de sacrés coquins : elle-même se définit comme « bondage queen » et nous avoue être aussi une « mistress » SM, tandis que son chéri (et soumis) est propriétaire d’un sex-shop et producteur de films pornos… Ils se disent charmés de nous trouver ici…

Après le dessert, nous retournons vers le bar de la piscine où Héli a installé de petites bougies (il fait déjà nuit) pour créer une ambiance tamisée et coquine sous les étoiles. Des extérieurs venus pour la soirée sont là, Daniel nous présente un couple, des belges flamands : elle s’appelle Mira, c’est une jeune femme à l’œil pétillant (de coquinerie ? de nervosité ?... nous le saurons plus tard…), lui se prénomme Frederick, il est plus âgé et porte une moustache (-1 point pour ma chérie, elle déteste les moustaches !), il semble plus zen que sa miss, sans doute plus expérimenté. D’autres couples sont là - c’est une soirée exclusivement couples - notamment des Suisses et des Argentins.

La température est encore très douce à cette heure, 23 ou 24 degrés, et les salons extérieurs plongés dans la pénombre sont très accueillants. De petits groupes de discussion se forment çà et là : nos voisins de chambre, arrivés 2 jours plus tôt, semblent avoir déjà une forte accroche avec le couple de Toulousains, Didier et Line, nous l’avions déjà remarqué en fin d’après-midi au bord de la piscine tandis que Line se faisait prodiguer un long massage par Cindy, la masseuse attitrée du Loft. En fait, ils ne se quitteront pas de la semaine, car une journaliste de la télé, arrivée le lendemain, va les accaparer pour les besoins de son reportage, ce qui du reste va bien pourrir l’ambiance du club pendant quelques jours.

Ma chérie est impatiente de tester le grand coin câlin sous la deuxième tente berbère au bord de la piscine, avec un grand lit pour 6, à baldaquin et voilages, et un bouddha doré avec un bandeau sur les yeux et une réserve de préservatifs dans ses mains, posées sur son giron. Nous nous y installons à deux et commençons à nous câliner, la journée a été longue.

Rapidement, tout en restant habillé pour l’instant, j’entreprends de faire un doux cunnilingus à ma chérie car je sais qu’elle en a envie et que ses soupirs et gémissements sont très attractifs. Et en effet, je sens des mouvements et des chuchotements dans mon dos, des ombres se glissent autour du baldaquin, vont et viennent de notre tente à son annexe (là où sont dispensés les massages détente diurnes). Je repère du coin de l’œil les couples non-pensionnaires du Loft, notamment les Suisses et les Argentins qui échangent quelques propos à voix basse.

Je me reconfigure un peu pour ne pas m’ankyloser les bras et constate alors qu’il y a aussi, derrière moi, appuyés à une table de massage, les deux Belges rencontrés au bar qui nous regardent avec insistance. Ca doit faire un moment qu’ils sont là et la jeune femme a toujours ce regard fiévreux… Deux autres couples sont venus s’installer sur un matelas à l’autre extrémité de la tente et commencent à coquiner à 4.

Ma chérie fait un petit signe d’invitation aux Belges. Un court instant d’hésitation, puis Mira, la jeune femme, se hisse toute habillée sur notre matelas, et vient s’allonger sur ma miss pour l’embrasser à pleine bouche. Elle a l’air d’en avoir très envie et est un peu maladroite en même temps : elle nous explique que c’est sa première fois, elle a envie d’une femme mais ne l’a jamais fait ! Son homme reste debout à nous regarder…

Je reprends mon cunnilingus sur ma chérie, il ne faudrait pas s’arrêter en si bon chemin, mais maintenant j’ai aussi Mira juste à ma droite, il me paraît convenable de ne pas la délaisser. Je lui dédie donc ma main droite et commence à lui caresser les cuisses nues sous sa courte robe, doucement dans toutes les directions et dans tous les recoins, pour progressivement approcher mes doigts de sa petite culotte  en satin rouge.

Les deux femmes s’embrassent longuement et fougueusement, de temps à autre ma Caresse exhale un gémissement un peu plus fort que les autres, son clito est bien gonflé et je la sens très excitée, j’adore ! De la main droite, j’ai atteint la douce étoffe de satin et commencé à presser le clito de Mira, la jeune femme se laisse faire, elle a l’air d’être partie dans un trip. Je glisse un doigt coquin, puis deux, sous la bordure de la culotte et je peux ainsi palper la douce toison pubienne bien entretenue de la jeune Belge, et mieux caresser son petit bouton de plaisir.

Ma chérie est montée très haut dans les tours, elle ondule du bassin et je sens que son extase n’est plus très loin. Indistinctement, des bruits de jouissance nous parviennent du coin massages, nous verrons un peu plus tard que ce sont les Suisses et les Argentins qui coquinent ensemble. Je décide d’activer mes caresses sur les chattes des deux femmes, elles ondulent en synchro sur mes doigts et leurs mouvements s’amplifient…

Ma chérie soudain se raidit, et elle crie de jouissance tout de suite après, son orgasme est violent et à la mesure de toute l’excitation accumulée, de la même façon qu’un tremblement de terre permet de dissiper l’énergie de friction accumulée entre deux plaques tectoniques. La deuxième plaque tectonique, Mira, ne crie pas (encore), elle est sans doute trop crispée pour pouvoir se lâcher. Pour ma part, je recueille le délicieux nectar de ma miss qui m’inonde les lèvres et la langue, je la lèche bien partout pour ne pas en perdre une goutte, un vrai délice !

Je me redresse pour la contempler. Mira a cessé ses baisers fougueux au moment de l’orgasme mais elle a toujours son regard fiévreux et c’est moi qu’elle regarde à présent. Je la regarde, un peu interloqué pendant quelques secondes, juste avant qu’elle ne se précipite sur mes lèvres pour un fougueux French kiss, long et pénétrant… Elle me fouille avec sa langue partout dans la bouche, je comprends enfin qu’elle veut profiter du nectar de ma miss et prendre sa part en vraie gourmande qu’elle est. Satisfaite, elle se retire et revient embrasser longuement ma chérie épuisée sur le matelas, pour partager avec elle le goût de sa propre chatte !

Puis elle nous remercie un peu nerveusement et quitte le matelas presque en courant ! Nous la verrons ensuite en train de refaire le même scénario avec les couples suisse et argentin… Son homme, après une brève tentative de douce coquinerie avec nous en solo, finira par aller partouzer avec l’autre groupe de 4, tandis que nous nous rhabillons pour regagner nos pénates. La journée a été longue et ma miss est fatiguée.

En traversant le bar, nous verrons aussi que les couples espagnols y sont encore, en train de bavasser… Il est pourtant presque 1h du matin, mais nous apprendrons dans la semaine que les couples d’ici ne passent jamais dans les coins coquins avant 2 ou 3h du matin ! Pour ça aussi ils sont à l’heure espagnole !!!




7 commentaires:

  1. Un extrait du guide du routard pour libertins ?
    Toujours aussi plaisant à lire.

    Phil

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    1. A dire vrai on pensait plutôt tenter de jouer dans la catégorie Michelin ou Gault et Millau, mais bon... va pour le Routard! Merci pour ta fidélité, cher lecteur, et pour ce nouveau commentaire!

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  2. Comme le dit Philippe, c'est toujours avec grand plaisir que nous découvrons vos nouveaux récits ;-)

    C'est clair que vous pourriez écrire un guide tant vos expériences sont divers et intéressantes.

    Priape59



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    1. Merci aussi pour ton commentaire. Il y a 3 autres récits à suivre sur nos vacances à Ibiza, vous n'allez pas être déçus... :-)

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  3. Vivement la suite alors ;-)

    Sinon vous avez reçu mes mails ?

    Priape59

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  4. tout vos recits sont superbe et donnent envi de patarger des bons et longs moments de libertinage et de decouvrir la bisexualite masculine en esperant vous rencontrer un jour jean de toulouse mail remi7jean@gmail.com

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