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Sur ce blog nous racontons notre vie de libertins. Nos récits parlent de nos sorties et de notre vision du libertinage... Les lieux et endroits sont "améliorés", les repas "enrichis", l'histoire est parfois romancée afin que toute ressemblance avec la réalité ne puisse qu'être fortuite. Bonne lecture.
Caresse et Alpha
On this blog we are unveiling our swinger lifestyle. Our stories tell about our swinger parties and develop our vision of this particular way of life.
Places and meals are sometimes "improved", names are changed and the story itself may be "adapted" or even fully invented...
Enjoy your readings
Caresse (she) and Alpha (him)

mercredi 30 novembre 2016

Avec un couple bi dans les glory holes

(Alpha raconte)
Ce dimanche il fait très beau, c’est notre premier weekend d’été véritable en termes de météo. La veille, nous avons eu une journée bien remplie : installation de notre terrasse d’été avec le barnum ressorti du grenier, courses diverses puis soirée sur le Bassin pour un petit plateau de fruits de mer dans notre restaurant préféré avec un somptueux coucher de soleil à marée haute…

Après notre grasse matinée bien méritée et deux heures à remplir la déclaration d’impôts sur internet (grrr….), nous décidons d’aller au club assez tôt, vers 14h30, juste après le déjeuner. La ville semble vide, tant au niveau de la circulation que des places de parking. Nous supputons que beaucoup de Bordelais sont partis à la plage.

A notre arrivée, en effet, le club ne semble pas du tout bondé. Après un rapide passage au vestiaire et au bar, nous allons dans le jacuzzi : tout juste deux hommes seuls, à chaque extrémité, plus un couple qui semble s’activer dans la partie sombre, derrière le muret. Nous y macérons agréablement un petit quart d’heure, pendant lequel nous voyons arriver plusieurs couples, suivis de quelques piranhas… Mais comme d’habitude, rien ne s’enclenche dans ce jacuzzi : nous ressortons et allons vers notre coin à glory holes dans la partie bi.

Nous nous installons et commençons notre « marketing » : ma chérie se met à quatre pattes sur le matelas pour me sucer debout, à proximité des troisième et quatrième trous dans le mur… Ce spectacle a tendance à ameuter des hommes seuls et à les enhardir suffisamment pour qu’ils passent leur queue dans l’un des trous du mur.

Effectivement, plusieurs apparaissent successivement. Nous les suçons avec application en nous répartissant les formats (Miss prend les tailles « normales » et moi les XXL). Le meilleur sera un black équipé d’un engin très long mais pas très large. Je le prends en compte et, après l’avoir bien masturbé pour le rendre très dur, je lui enfile un préso à la fraise. L’homme ne débandera pas et jouira dans ma bouche au bout de quelques minutes, par longues saccades successives : je sentirai son membre décharger en rythme, quatre ou cinq fois d’affilée, de longs jets de semence blanche qui remplissent le petit sac en latex. Mmm, un délicieux moment pour tous les deux !

Nous avons un petit passage à vide, ma miss se replie sur le matelas pour se détendre et se reposer. Pour ma part, je reste debout au quatrième trou, la main dans l’ouverture pour donner un signal aux candidats que c’est ici que ça se passe. Soudain, une main inconnue vient me caresser la main. Je préfèrerais que ce soit une queue mais bon… La main se retire puis un bras passe dans le troisième trou pour venir caresser les jambes de miss. Je me dis que c’est encore un homme hétéro qui voudrait se faire sucer par ma chérie…

Elle se redresse et s’approche de ce bras. La main est réapparue dans mon trou et ma miss me fait signe de m’en occuper : «  Mets ta queue dans le trou »  me dit-elle. Je suis un peu dubitatif mais je lui obéis, pour voir. Surprise : une bouche chaude prend mon gland entre ses lèvres et me suce divinement bien. Pendant ce temps, le bras  d’à côté continue de caresser ma chérie. Puis un membre le remplace et ma Caresse se met à le sucer.

Je me dis que nous avons finalement de la chance : au lieu d’un hétéro, nous avons deux hommes de qualité dont un manifestement bi, vu la façon délicieuse dont il me suce. Il est vraiment très doué : sa langue s’enroule suavement autour de mon gland et il a eu vite fait de me faire bander comme un âne. De surcroit, il a passé son bras dans le cinquième trou pour venir me caresser les fesses et appuyer dessus pour me plaquer tout contre la paroi.

Ma chérie a terminé avec son partenaire et s’est rallongée en arrière. Nous échangeons des regards, j’essaie de lui dire que mon partenaire est vraiment exceptionnel, c’est le type même de libertin que j’aimerais faire entrer avec nous. Mais il se retire sans rien dire et disparaît avant même que j’aie pu lui demander son prénom !

Nous entendons alors frapper à la porte, du côté opposé aux trous. Ma mis me dit que c’est surement mon « ami » qui demande à entrer… Mais je suis un peu méfiant : comment pourrais-je le reconnaître si tel est le cas ? Comme nous ne répondons pas, il n’insiste pas. Nous commençons à plaisanter avec ma chérie en disant qu’il faudrait mettre un écriteau sur la porte : « passez de l’autre côté , on vous teste dans les glory holes et on vous ouvre après si affinités… » C’est alors qu’elle entend une voix féminine dire du côté des trous : « Mais nous on aimerait bien entrer »…  Ma chérie répond : « Pas de problème, on vous ouvre ». Je n’y comprends rien mais c’est ce que je fais et je vois alors se présenter un couple de nos âges… Je suis interloqué.

Ils entrent, se présentent : Marie et François. Je réalise alors que c’est avec eux que nous avons joué dans les trous et je comprends ma méprise. Caresse a bien sucé François mais c’est Marie qui m’a sucé dans le glory hole, et non un homme bi ! Je lui demande confirmation, un peu incrédule. Elle me rétorque : « Ben oui, c’était moi, tu croyais que c’était un homme ? » Je lui réponds que oui car elle m’a sucé divinement bien… Lol, elle est un peu surprise et très amusée.

Nous nous installons à quatre sur le matelas. François a manifestement très envie de ma chérie dont il admire les formes : il faut dire que Marie est très mince et a de relativement petits seins. Je lui  dis que c’est son tour et lui demande si elle aime les cunnilingus. Il semble que oui, très clairement : elle se place sur le dos, jambes relevées et je commence à titiller son clito du bout de la langue. Elle est bien épilée et a les lèvres très apparentes. Son petit bouton est très sensible et elle verbalise énormément, tout comme son homme d’ailleurs. Rapidement, je lui procure un premier orgasme clitoridien, tandis que François, habile de ses doigts, fait jouir ma chérie à répétition.

Marie a envie de continuer avec moi : elle appuie sa vulve sur ma bouche en redressant encore ses jambes et en écartant ses fesses de ses deux mains. Ma chérie a entrepris de sucer François puis ils switchent à plusieurs reprises, en se faisant de multiples caresses manuelles et buccales. Mais François a besoin de garder le contact avec Marie, il se rapproche d’elle et l’embrasse ce qui a pour effet de mieux le faire bander. Il joue des doigts dans la chatte de ma chérie et commence à vraiment entrer dans le jeu à plusieurs. Marie le stimule en lui commentant les rotondités de ma miss et en lui faisant observer la scène dans le grand miroir.

Pendant ce temps, je fais jouir Marie encore trois fois : d’abord juste avec la langue sur son clito et sa chatte trempée, puis en ajoutant un doigt à l’intérieur de son vagin serré. Elle est sensible aussi de ce côté-là, d’ailleurs c’est une pratique semble-t-il habituelle de François qui a fait jouir ma Caresse plusieurs fois ainsi.

François, toujours sur le dos, propose à ma miss de s’empaler sur son sexe bien dur. Elle s’assied dessus en lui tournant le dos, position qui semble faire de l’effet à François mais pas tellement à ma chérie. Elle se réinstalle couchée le long du miroir et François se remet à stimuler sa chatte de ses doigts. Quant à nous, au bout du quatrième orgasme de Marie, nous nous reconfigurons : elle a de nouveau envie de me sucer.

Je lui montre alors une grosse queue apparue derrière elle dans le premier trou. Mais elle la regarde, dubitative, et, devant mon air gourmand, me demande : « Mais tu suces les hommes ? »  Je lui réponds que oui et elle me laisse la place. « Je vais te sucer en même temps » me dit-elle.

Je m’allonge à côté de François, le long des glory holes et Marie s’agenouille entre mes jambes pour me sucer. J’ai pris la grosse bite bien dure dans ma main mais je peux difficilement la sucer car je suis sur le dos et la torsion serait trop forte.  J’y parviens quand même au bout du compte mais Marie se désespère de ne plus parvenir à me faire bander malgré les astuces que lui donne ma chérie («  pince lui les tétons, il adore »). Finalement, elle me laisse et va se placer entre les cuisses de ma caresse pour la lécher. J’abandonne quant à moi la grosse queue de l’angle pour une plus grosse apparue dans le deuxième trou.

Celle-ci bande cependant plus mou et j’ai du mal à la mettre en forme, sous l’œil attentif de François, pendant que les deux femmes s’occupent l’une de l’autre. Cette coquine de Marie parvient à faire jouir ma chérie deux fois de suite de sa langue experte : elle est aussi douée pour les cunnis que pour les pipes !

Je finis par laisser la grosse bite qui ne se décide pas à bander pour m’éponger un peu et me reposer : il fait une chaleur torride à quatre dans cette petite pièce fermée, malgré le ventilateur. A la demande des trois autres, je profite d’ailleurs d’être debout pour le réajuster en position fixe. Quand je reviens sur le matelas, François est toujours sur le dos, avec une femme de chaque côté qui le sucent simultanément. Marie est à quatre pattes et me tourne ses fesses cambrées comme une invitation au crime: je m'empresse de lui lécher la raie et elle se tend davantage pour que je puisse bien la lécher sur toute la longueur, de la vulve à l'anus. Elle se tortille de plaisir sans lâcher la queue de François puis, au bout d'un moment elle s'allonge sur le côté gauche de son homme. J'en profite donc pour venir m'installer  entre ses cuisses écartées pour aider les deux femmes à le stimuler…

Elles ne se font pas prier pour me laisser la bite de François qu’il m’appartient de remettre en forme. Il n’aime pas les présos et a du mal à bander avec, dit-il, mais je parviens sans souci à lui rendre sa dureté avec ma bouche, malgré le latex à la fraise qui l’enrobe. Il décide alors qu’il a envie de prendre Marie. Celle-ci se place sur le dos, tête vers les glory holes, et lui à 90° sur la tranche, la prend d’un coup. Mon rôle consiste alors à les lécher / sucer en même temps, comme ils nous disent l’avoir fait récemment avec un homme bi : il alternait entre le minou de la dame qu’il léchait pendant qu’elle se faisait prendre et le sexe de l’homme qu’il suçait quand il sortait de la chatte… Jusqu’à, in fine, lécher le sperme sur le minou de la femme !

Je me dévoue donc pour ce scénario – sans la partie finale -  et me mets à lécher le clito de Marie pendant que son homme la fourrage vigoureusement. Dans ma position j’ai une vue imprenable sur le sexe de François qui entre et sort du vagin de Marie. Mes titillements de la langue font terriblement mouiller Marie qui se met à crier de plaisir. Nous continuons ainsi un bon moment jusqu’à ce que François éjacule longuement en elle. Game over, nous sommes tous dégoulinants de sueur, il est temps, vraiment de passer à la douche !!!

dimanche 20 novembre 2016

Une bite... ou un con?

(Caresse raconte)

Ce lundi de Pâques, Alpha avait envie de sortir en club. Mais pour moi c'était une journée sans, j'étais fatiguée et j'avais plus envie de « buller » tranquillement à la maison que de sortir. Cela étant, comme nous n'aurions pas l'occasion de sortir pendant les 15 jours qui suivraient, je me suis dit que faire ce plaisir à Alpha était dans mes cordes à la condition que ce soit lui qui assure ! Il était ravi de consentir à ce sacrifice ! Rire ! Un vrai coquin mon Alpha !

Aussitôt dit, aussitôt fait : il est 15h00, nous prenons la voiture en direction de Bordeaux. Nous nous garons avec difficulté, étonnant car les dimanches et jours fériés c'est souvent plus simple de se garer... Nous trouvons, après avoir fait deux fois le tour du quartier, une place dans une des rues perpendiculaires à celle du club.

En arrivant au club, Alpha sort 20€ par habitude mais la jeune femme lui dit que c'est 40€  le lundi après-midi!? Alpha hésite, il croyait que les jours fériés c’était comme les dimanches… La jeune femme précise que les lundis après-midi c’est toujours 100% couples ! Argh… Là, Alpha a très envie de reprendre son argent et de s’enfuir ! En effet, les journées couples c'est la lose totale pour nous : quasiment aucune chance de trouver des hommes bi qui désirent se faire sucer et j'avais dit à Alpha que je n'avais pas envie d'aller dans le jacuzzi compte tenu de ma fatigue du moment, l'eau ayant tendance à me fatiguer encore plus.

Pour tout vous dire, j'ai entrepris une cure de détox, que je suis doucement mais avec assiduité. J'ai été peu vigilante, gourmandise oblige, à la qualité de la nourriture que je donnais à mon corps et, l'âge arrivant, je me suis retrouvée avec un corps complètement saturé de toxines. J'ai pris le taureau par les cornes et décidé de me détoxiner en prenant le temps nécessaire pour ne pas saturer mon organisme. Mais même en mode lent, une détox, ça fatigue sacrément ! Il faut faire avec... et essayer d'allier détox et vie de tous les jours, un vrai challenge surtout avec un mari en super forme et plein d'envie ! Rire !

Compte tenu que c'est journée couples, je dis à Alpha que nous irons faire un petit tour dans le jacuzzi car, pour les glory holes, ça s'annonce au niveau bas. Il est plutôt rare, qu'un homme en couple laisse sa femme seule pour venir se faire sucer dans un glory hole, ce sont habituellement les hommes seuls qui viennent se faire sucer. Mais l'homme seul n'existant pas en journée couples, ça s'annonce morose.

Nous passons au vestiaire, un couple est en train de se rhabiller. Pour une fois, ils sont à l'opposé de notre vestiaire, une chance, car l'endroit est étroit et bien souvent le hasard fait que l'on est du même côté, rendant l'habillage et le déshabillage complexes... Ce n'est pas parce qu'on est libertin que l'on apprécie l'intimité verticale ! Ou est-ce la frustration d'un moment sympa qui sera impossible qui dérange, je ne sais pas trop.

Après le vestiaire, petit café au bar. Nous sommes bien en journée couples car la jeune femme au bar demande, de façon innocente mais systématiquement, aux personnes qui demandent un verre : « Mais où est votre conjoint(e) ? Vous l'avez perdu ?», la plupart des clubs ne plaisantent pas avec les journées couples : on vient en couple, on reste en couple, pas question que madame reste au bar seule pendant que monsieur joue les hommes seuls dans les coins câlins, ça ne plairait pas aux autres couples et le club y veille visiblement ! Mais il ne veille pas qu'à ça comme nous allons le découvrir à nos dépens.

Nous buvons notre café tranquillement et allons prendre une petite douche, avant d'aller nous « trempouiller » dans le jacuzzi. L'eau est agréable, pas trop chaude, cela me convient, j’appréhendais un peu... je me love dans les bras de mon Alpha et je me laisse câliner par cet homme délicieux que j'aime tant. C'est comme un bout de paradis que nous savourons tous les deux.

Après quelques minutes de ce doux bonheur, nous regardons autour de nous si des couples sont en mode joueur. Il y a une femme seule d'un côté et un couple qui s'active visiblement de l'autre côté. Le couple est très occupé, et comme cela ne se fait pas de déranger des gens en pleine action, nous les laissons à leur plaisir et étudions s'il y a une ouverture avec la femme seule : je lui touche la cuisse avec la main, elle fuit le contact et regarde à l'opposé de nous, toute son attitude est fermée, laissant visiblement penser qu'elle n'est pas en mode « open »...

Les autres couples présents dans le jacuzzi jouent par deux et sont visiblement en mode fermé aux jeux à plusieurs... décidément nous n'avions pas fait de journée couples depuis une éternité mais cette exception confirme la règle, rien n'est à attendre dans ce type d’ambiance.

La femme que nous pensions seule est en fait en couple : son mari passe son nez en haut des marches du jacuzzi et lui fait signe de le rejoindre. Il devait visiblement jouer ailleurs et, pour éviter que son manège soit trop visible, madame a eu pour instruction de rester dans le jacuzzi... jusqu'à nouvel ordre ! Dommage qu'elle ne s'autorise pas de jouer seule, au moins elle en profiterait, et mille fois plus que son mari car, comme tous les hommes, il est « one shot », tandis qu’elle peut jouir et profiter bien plus longtemps des moments libertins… Encore faut-il savoir se lâcher et surtout ne pas être aux ordres d'un mâle égoïste !

Mais c'est ma vision, je peux me tromper sur ce que vit ce couple réellement, c'est la façon dont son mari l'a sifflée et la façon dont elle s'est dépêchée d’obéir, qui me font penser à une relation à sens unique, qui personnellement ne me comblerait pas.

La relation que nous avons avec Alpha me convient bien plus, elle est plus respectueuse de nos envies à tous les deux, aucun de nous n'impose à l'autre ses envies et rester seule dans un jacuzzi pendant qu'il coquine avec d'autres, me donnerait la sensation très désagréable d'être un « passeport ». Je préfère, si Alpha veut jouer en solo, qu'il sorte en homme seul, c'est plus respectueux pour moi et pour les autres.

Lorsque nous sortons en club à deux, c'est pour jouer à deux. Nous partageons tous les deux ce point de vue et c'est un plus dans notre couple, car très souvent en club, les jeux sont vite déséquilibrés. De nombreux partenaires en club cherchent à reproduire un schéma de couple, y compris avec un seul des membres d'un couple, c'est très désagréable car il faut sans cesse rappeler que nous sommes deux et que nous n'apprécions pas que l'un de nous s'ennuie.

Si c'est un homme qui se dit bi, souvent il me saute dessus, au point que j'en arrive à me dire que je vais refuser la pénétration par les hommes seuls : s'ils veulent prendre quelqu'un ce sera Alpha ! J'ai un peu le sentiment qu'ils se disent bi juste pour nous aborder et que leur bi attitude fond rapidement. Ils se laissent tous sucer, effectivement, mais très vite, ils veulent me prendre... Bien souvent je me laisse faire pour ne pas casser l'ambiance, mais je n'apprécie pas, j'ai le sentiment d'un jeu de dupe ou je serais le dindon ! Et cela me fatigue !

Personnellement, je ne suis pas en manque de sexe, Alpha est un homme merveilleux et attentif. Ce que nous apprécions en club, c'est l'ambiance lorsque l'on joue à plusieurs, les interactions que l'on n'a pas à deux, sentir les mains de plusieurs personnes sur nos corps, pouvoir sucer une queue pour Alpha... pouvoir donner et recevoir du plaisir à 3, 4 ou plus, c'est excitant !

Mais ce scénario se produit également avec les femmes seules : elles jouent avec moi un moment pour finir par s'accaparer Alpha ! Nous avons déjà vécu cela avec une amie pourtant attentive, ce n'est pas la qualité de la personne qui est en cause. Je crois juste qu'à un moment donné, le plaisir est si bon, que les deux personnes concernées entrent dans un trip qui les isole des autres... pour moi, c'est le meilleur moyen de tuer un couple, aussi solide soit-il, pas forcément la première fois, mais petit à petit. C'est sans doute pour cela que certains couples préfèrent l'échangisme, tenir la chandelle n'est en effet pas la chose la plus agréable qui soit !

En journée couples, les couples présents sont un peu particuliers. Ils sont très souvent échangistes : je prends ta femme, tu me files la tienne et on joue dans des pièces séparées... je déteste ! Bien souvent, les dames n'ont pas leur mot à dire, ce sont ces messieurs qui s'entendent ! C'est le libertinage d'il y a 40 ans ! Tout le contraire de ce que l'on trouve en journée mixte où les libertins nous ressemblent beaucoup plus, avec ce désir de sexe à plusieurs, y compris pour les couples présents. On ne troque pas sa partenaire mais on joue tous ensemble pour le plus grand plaisir de tous dans 90 % des cas. Lorsqu'une personne s'ennuie ou n'est pas bien, on arrête, c'est toujours le moins à l'aise qui donne le ton.

Visiblement ce lundi de Pâques nous n'aurons pas à gérer d'interactions, ça va être le jour le plus lose de l'année, en tout cas, c'est bien parti pour !

L'ambiance dans le jacuzzi étant nulle, nous décidons d'aller faire un tour dans les glory holes, sans en attendre grand-chose. Mais Alpha a pris sa perruque blonde et garde son vernis rouge sur les ongles (il s'est travesti en Sophia pendant le week-end : cf. récit « week-end Pascal à Toulouse »), cela pourrait intéresser un homme en couple dont la femme aurait l'obligation de rester dans le jacuzzi par exemple ! Rire !

Nous nous installons dans le coin câlin, Alpha met sa perruque blonde et attend tranquillement qu'une queue se présente. Je me dis que l'attente risque d'être longue : je sors ma tablette pour lire un peu... s'il y a une queue (par miracle), je vais la laisser à ma blonde, autant que je m'occupe gentiment, je déteste m'ennuyer !

Et le miracle se produit - en journée couples - une queue se présente dans le glory hole... eh oui ! Ma blonde est belle à croquer avec sa perruque et ses ongles manucurés de rouge ! Elle décide de masturber la jolie queue pour voir si elle va rester ou pas ! Visiblement, c'est une queue, comme elle les aime. Elle la coiffe d'un préservatif pour la gratifier d'une délicieuse fellation... l'homme adore visiblement, il bouge bien et reste longtemps à se faire sucer par la blonde. Visiblement le moment plaît aux deux... mais la queue finit par décider de partir sans avoir joui ; Eh oui, nous sommes en journée couples, sa dame l'attend depuis un long moment maintenant, mais elle ne sera pas déçue : son homme revient en super forme...

Nous n'imaginons pas une seule seconde qu'une deuxième queue va se pointer, un miracle, c'est déjà beau et nous ne sommes pas à Lourdes ! Nous décidons de rentrer nous amuser à la maison car franchement on s'ennuie aujourd’hui. Heureusement que ma blonde a eu cette belle queue pour égayer ce moment en club !

Nous repassons par le vestiaire et nous apprêtons à sortir, lorsque le patron nous dit qu'il doit nous parler. Un client s'est plaint de ce que monsieur mette une perruque pour sucer dans le glory hole… il n'a pas apprécié d'avoir été « trompé » (sic) et s'en est ému auprès du patron ! Sachant que le patron est notoirement gay, cela nous amuse beaucoup et lui aussi visiblement. Alpha lui promet de ne pas recommencer en journée couples (où nous ne reviendrons plus) mais lui demande si ce sera possible en journée mixte. Le patron s'empresse de nous dire qu'en journée mixte, il n'y a aucun souci, que c'est juste en journée couples qu'il faut rester à sa place en quelque sorte – il nous connaît et sait bien que nous sommes venus par erreur cet aprem.

Nous sortons et nous regardons éberlués, nous n'en revenons pas ! Décidément les couples sont de plus en plus cons en journée couples d'autant que, comme me dit Alpha, l'homme appréciait visiblement la fellation de reine qu'il lui a faite ! Nous n’avons toujours pas compris en quoi lui ou sa femme avait pu être « trompé » ou « lésé »…

En fait de bite, nous avons surtout eu affaire à... un con!  Con comme une bite, en fait...

jeudi 10 novembre 2016

Sophia chavire les queues et les coeurs



(Sophia raconte)

...Le lendemain, nous passons la matinée à nous prélasser un peu au bord de la piscine, la météo est favorable mais l’eau encore un peu fraîche en ce mois d’avril. Aujourd’hui j’ai décidé de faire réapparaître Sophia… j’ai donc du boulot : une partie de la matinée est consacrée à une toilette poussée, un rasage de précision et quelques finitions d’épilation (le gros du travail est entretenu en permanence, chaque semaine, heureusement !).

Je profite de mon séchage intégral au soleil pour me revernir les ongles des mains et des pieds, en rouge vif évidemment. Il ne me reste plus que le maquillage et l’habillement : une Sophia classique, blonde, avec la guêpière rouge bien serrée à la taille, le soutien-gorge et le petit top rouges, la minijupe en jean blanche, les bas DimUp chair et brillants et les escarpins noirs à 12 cm de talons. Boucles d’oreille pendantes, collier et bracelets, mon petit sac Ibiza à l’épaule et je suis prête à emmener ma brune en voiture au 72.

Nous sortons discrètement de la maison de nos amis – pas envie que des voisins leur signalent la présence d’une grande blonde chez eux… - et je décide de prendre par la rocade plutôt que par le centre-ville pour minimiser les feux rouges et le risque d’être contrôlées par la maréchaussée en ce weekend de Pâques. Je roule en parfaite blonde, 10km/h de moins que la vitesse limite et toujours sur la file de droite. Tout le monde me dépasse, je suis super réglo et je leur fais à tous de grands sourires avec mes lèvres rouge vif (ma brune m’a conseillé d’arborer en permanence un sourire stupide pour garantir le meilleur effet).

Nous parvenons sans encombres devant le club, les rues sont presque désertes et il y a pléthore de places de stationnement. Nous commençons à penser que le club aussi risque d’être un peu vide en ce premier long weekend ensoleillé de l’année. En fait, il n’en est rien, nous trouvons à l’intérieur plusieurs couples et quelques hommes seuls. A vrai dire, nous avons annoncé notre présence sur le site du club ce qui, comme nous nous en apercevrons, en a motivé certains à venir cet après-midi… Notre réputation n’est plus à faire !

Nous bavardons un peu et faisons connaissance, au bar, d’un couple de motards accompagnés… de notre ami le petit taureau ! Ce dernier avait répondu à notre annonce en disant qu’il avait déjà rendez-vous avec un couple, mais bon… Nous passons dans le coin à glory holes et rapidement nous voyons apparaître des queues en érection dans les trous. Je commence par un petit cunni lesbien à ma chérie mais nous ne faisons pas durer : les queues en érection piaffent d’impatience et nous en saisissons chacun une.

La mienne bande bien dur mais celle de ma chérie semble être moins en forme. Nous entendons s’ouvrir la porte du coin couples et voyons passer le trio que nous avons rencontré au bar. Ils vont s’installer dans un autre coin câlin. Je vois alors ma chérie abandonner sa queue mollassonne et sortir de notre cabine pour les rejoindre. Moi je reste avec ma belle queue bien dure que je suce avec délectation et qui se raidit de plus en plus. Elle vient enfin, dans un râle, je sens le capuchon de latex se remplir de semence blanche et je finis par lui rendre sa liberté : elle disparaît à travers le mur.

Ma Caresse me racontera qu’elle a trouvé l’homme du couple – un chauve tout tatoué sur els épaules et le dos – installé sur le fauteuil gynéco tandis que sa miss se faisait prendre à côté par notre petit taureau. Ni une ni deux, elle se dévoue pour gratifier l’homme d’une fellation dont elle a le secret. Mais elle ne s’y attardera pas, elle avait juste envie de s’amuser un peu : elle s’empresse de me rejoindre ensuite.

Entre temps, j’ai trouvé une deuxième queue bien appétissante dans un trou de la paroi. Ma chérie est à peine revenue que je fais jouir cette deuxième bite dans ma bouche, décidément Sophia est en forme aujourd’hui. A moins que ce soit nos partenaires qui soient terriblement excités ? In fine, je sucerai six bites cet après-midi, dont quatre qui éjaculeront dans ma bouche chaude.

A un moment donné, au milieu de cette série de pipes, un couple nous rejoint dans le coin câlin. Nous les avons reconnus, c’est l’un des tout premiers couples bi avec qui nous ayons joué ici il y a presque trois ans … André et Aurore (voir récit du 20 avril 2012 : une torride soirée bisexuelle). Eux aussi se souviennent bien de nous et ils sont ravis à l’idée de partager avec nous les queues en érection dans les trous de la paroi.

Justement une belle grosse queue est apparue dans le trou du milieu, un format vraiment XXL. Trop grosse pour ma chérie et vaguement mollassonne semble-t-il. Je ne souhaite pas m’en occuper car j’en ai trouvé une plus fine mais bien plus dure dans le trou de gauche, mon préféré car je peux m’y tenri à genoux ce qui épargne mes cervicales quand je suce longuement.

André et Aurore se jettent sur la grosse bite que ma chérie leur a volontiers abandonnée. Ma miss en profite pour aller s’allonger au fond de la cabine et se reposer un petit peu. Sans me déconcentrer, toute focalisée sur la jouissance de la bite anonyme que je suce, je les lorgne du coin de l’œil et constate qu’ils ont eux aussi du mal à faire bander le propriétaire du gros braquemart mou.

La mienne en revanche approche de la jouissance, elle se tend fortement et j’entends l’homme rugir brièvement : il jouit dans ma bouche et se retire. Mes voisins m’encouragent à les rejoindre pour motiver leur grosse queue mais je préfère décliner. Je me dirige plutôt vers la grosse queue au repos d’André qui me glisse à l’oreille que c’est peine perdue, il a déjà donné cet aprem… Je le caresse néanmoins et parviens à le refaire bander.

C’est à ce moment qu’une nouvelle queue apparaît juste devant moi . Mais là, mes deux voisins se gaussent : ils l’ont déjà essayée dans le trou d’à côté et apparemment ils me promettent une standing ovation s’y j’arrive à la faire jouir… Challenge !

Enfin, moi je ne la trouve pas si mal de prime abord. Je la branle un peu, elle devient assez dure pour que je lui enfile un préso à la fraise et la prenne dans ma bouche coquine. Je poursuis mes efforts à peine deux minutes et je sens l’homme se raidir et éjaculer puissamment entre mes lèvres. Yes, j’ai gagné le pari, mes voisins n’en croient pas leurs yeux…

Mais nous en avons un peu assez. Nous laissons nos amis pour nous refaire une beauté et passer au bar. Ma miss y va directement et me dit qu’elle me commande un café pendant que je me repeigne et me remaquille aux toilettes. Puis je la rejoins au bar. Elle est en conversation avec nos trois amis du début. Je traverse lentement la piste de danse sur mes hauts talons, sous leurs regards et celui d’un homme seul assis sur ma droite. Ma miss me signale alors que ce monsieur inconnu a quelque chose a me demander…

Je tourne la tête pour le dévisager mais je continue d’avancer vers notre groupe pour prendre mon café avec eux…. Et leur demander quelques explications. Ils me disent que ce monsieur est un peu timide et a demandé à ma Caresse s’il pouvait m’aborder. L’homme a dû nous observer dans les glory holes, mais il n’a semble-t-il pas osé jouer avec nous.

Je me relève et m’avance vers l’homme assis sur un tabouret haut qui me regarde d’un air pétrifié. Je lui demande suavement : «  Et que puis-je faire pour vous ? »  Il me répond tout bas : « Est-ce que je pourrais vous sucer ? » Ah, je ne m’attendais pas à ça, il m’a pris par surprise, là ! Je lui réponds qu’aujourd’hui c’est plutôt moi qui suce… mais enfin, on pourra voir ça après mon café !

Je retourne vers nos amis et ma chérie et nous reprenons notre discussion. Ma miss s’aperçoit alors qu’il est déjà 18h00 passées… et nous recevons ce soir Terrence et son amie chez nous, il y a encore quelques courses à faire et un peu de préparation même si j’ai décidé de rester en Sophia toute la soirée. Nous nous levons donc et prenons congé de nos amis.

En repassant devant mon amoureux transi, je lui explique que je suis désolé(e) mais que ça ne va pas être possible cette fois-ci… Il ne s’en formalise pas davantage et décide de quitter l club lui aussi. Sûr que la blonde aura un chevalier servant aux petits soins la prochaine fois qu’elle sort au 72 !

Nous repartons vers la villa de nos amis. Terrence nous a laissé un message téléphonique expliquant que son amie est indisposée. Elle ne souhaite pas coquiner ce soir mais a quand même très envie de faire notre connaissance. Nous lui répondons qu’il n’y a pas de problème, nous aurons tout autant plaisir à les recevoir pour dîner. Finalement, nous passerons une excellente soirée verticale avec eux deux, autour du délicieux repas préparé par ma Caresse. Nous ne verrons pas le temps passer et ils ne partiront que sur le coup d’une heure du matin !