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Sur ce blog nous racontons notre vie de libertins. Nos récits parlent de nos sorties et de notre vision du libertinage... Les lieux et endroits sont "améliorés", les repas "enrichis", l'histoire est parfois romancée afin que toute ressemblance avec la réalité ne puisse qu'être fortuite. Bonne lecture.
Caresse et Alpha
On this blog we are unveiling our swinger lifestyle. Our stories tell about our swinger parties and develop our vision of this particular way of life.
Places and meals are sometimes "improved", names are changed and the story itself may be "adapted" or even fully invented...
Enjoy your readings
Caresse (she) and Alpha (him)

mercredi 20 décembre 2017

Pourquoi l’échangisme n’est-il pas l’aboutissement du libertinage ?




Il faut se souvenir que dans une époque pas si ancienne le mot « libertinage » avait quasiment disparu du vocabulaire standard, au profit du mot « échangisme » qui caractérisait les pratiques du moment (soirées et clubs échangistes – alias boites à partouzes - qui n’étaient pas encore dits « libertins »). Après des années de pruderie et de censure dans la France d’après-guerre, le passage de Mai 68 avait libéré certains esprits…

L’échangisme d’alors était essentiellement le fait d’hommes en couples qui amenaient sur le « marché » leur épouse plus ou moins consentante pour servir de monnaie d’échange (d’où le terme « échangisme ») : je te prête ma femme contre la tienne. Ceci permettait aux invétérés queutards masculins de se "taper" une autre femme sans risquer des conséquences dommageables (le mari de l’autre qui pouvait s’avérer un dangereux criminel passionnel ; la réaction de madame qui aurait pu commencer à s’imaginer demander le divorce…).

Le libertinage était alors un terme démodé du XVIIIème siècle qui faisait penser à des aristocrates en perruque poudrée s’envoyant en l’air dans les ors des palais de l’Ancien Régime… A contrario, en cette période de modernité qu’était le troisième quart du XXème siècle, personne ne se revendiquait libertin, ni en couple ni en solo. En couple on pouvait être échangiste (car on avait une femme à troquer contre une autre), en solo on était juste une personne animée de pulsions sexuelles… Pas le moindre libertin à l’horizon !

Les choses ont changé subrepticement, petit à petit… Où en est-on aujourd’hui ?

Un facteur sans doute fondamental dans ce changement réside dans la prise de conscience par les femmes de leur propre autonomie et également la revendication au grand jour de leur plaisir sexuel. L’épouse que Papy emmenait en boîte à partouzes pour l’échanger contre une autre a commencé à se dire qu’elle aussi pouvait avoir voix au chapitre… Qu’elle pouvait s’insurger ou sinon, à tout le moins, y trouver elle aussi son compte. Revendiquer son propre plaisir, et pas seulement faire plaisir à Monsieur ou juste se dire « pendant qu’il en saute une autre, au moins il me laisse tranquille… ».

La libertine assumée était en train de naître… Libertine en couple, mais aussi apparition d’une espèce rare : la libertine solo. Cette évolution, en phase avec celle de la société, et sans doute aidée par les media de grande diffusion, a fait ressusciter le vieux concept éculé de « libertinage »… Pour parler politiquement correct, il fallait en effet désormais éviter d’employer des expressions comme échangiste ou partouzard, termes de plus en plus mal connotés. La nouvelle langue de bois s’est mise à parler de libertinage (et de libertins), de sexe pluriel (ou de pluralité)…

Dans l’échangisme de la fin du siècle précédent, il y avait néanmoins encore des « partouzards », ceux qui le faisaient à plus de deux (pluralité) : triolisme et plus si affinités. A la différence des échangistes, qui ne font finalement que reproduire un schéma bien connu du monde « vertical » (le 1+1), les partouzards ont besoin de tiers pour assouvir leurs penchants. En ce sens, leur démarche est plus authentique qu’un adultère déguisé à deux, car les relations à plus de deux nécessitent d'ouvrir la porte à autre chose que l’on ne trouve pas à l’intérieur de la cellule du couple.

Cela étant, l’ancienne génération des « échangistes » et des « partouzards » ne s’est pas éteinte subitement comme les dinosaures : les espèces anciennes ont donc dû cohabiter avec les nouvelles. De ce fait est née la confusion et un amalgame fait par tous les ignorants des réalités du milieu, entre « libertins » et « échangistes ». Certains dinosaures en ont rajouté une couche en laissant accroire que le stade ultime, le nec plus ultra du libertinage était en fait… l’échangisme !! Habile tentative de refuser le changement pour essayer de maintenir les bonnes vieilles pratiques où Bobonne n’avait rien à dire !

En réalité il n’en est rien. L’échangisme apparaît aujourd’hui pour ce qu’il a toujours été : de l’adultère consenti, une pratique sexuelle parmi d’autres, et qui n’est probablement pas la plus proche de l’esprit actuel du libertinage. L’échangisme n’est donc en rien un aboutissement et encore moins le nec plus ultra du libertinage façon XXIème siècle !

Dans le libertinage du début de ce siècle, la femme a acquis un droit de parole égal à l’homme, elle est donc à parité pour faire valoir ses désirs et ses refus. De ce fait, à la différence de leurs ancêtres échangistes, les libertins en couple marchent aujourd'hui sur des œufs: plus question de troquer leur moitié contre celle d’un autre en toute impunité.

Les couples plus « ouverts » sont également bien plus nombreux qu’il y a 30 ans. De ce fait, ils ressemblent de plus en plus à Monsieur et Madame Tout-le-monde, plus ou moins formatés par les media, à ceci près qu’ils ont une envie d’expériences sexuelles nouvelles et que certains en sont à considérer d'en ""tester" certaines. Il reste néanmoins, dans les clubs libertins, une impressionnante marée de fantasmeurs qui ne sauteront jamais le pas, et il devient par conséquent de plus en plus laborieux de trier parmi eux pour trouver de véritables partenaires libertins.

Dans ce troupeau grossissant des libertins autoproclamés du XXIème siècle – on estime qu’ils sont environ de 300.000 à 500.000 en France, soit 0,5% à 0,8% de la population – on trouve donc bien sûr des échangistes et des partouzards, mais aussi des mélangistes, des triolistes, des côte-à-côtistes, des exhibitionnistes, des candaulistes… et même des gens dont la pratique se limite au voyeurisme quand ce n’est pas juste qu’ils ont des pulsions sexuelles les amenant à rechercher l’âme sœur idéalisée dans le milieu sexuellement libéré du libertinage… Bref, c’est le bordel et on n’y comprend plus rien !

La manifestation la plus concrète de ce nouveau rôle pris par les femmes dans le libertinage, outre qu’elles soient considérées comme l’élément central qui décide en matière de sexe pour le couple, c’est la vague surprenante de bisexualité féminine affichée. Aux Etats-Unis, quasi 90% des couples déclarés libertins (swingers[1]) s’annoncent : homme hétéro, femme bi !!! En France aussi, la bissexualité féminine est très « in ». Outre l’exemple donné par certaines vedettes du show-biz, une raison en est sans doute que les femmes en couple libertin y voient l’avantage de ne pas se sentir dans l’obligation de frayer avec l’homme de l’autre couple… Les hommes, eux, doivent se dire que c’est une bonne façon de rompre la glace, dans un premier temps, en espérant ensuite pouvoir sauter sur la femme de l’autre couple…

Dans la réalité des clubs, ce que l’on voit le plus souvent aujourd’hui, ce sont deux femmes en couple qui jouent à touche-pipi pendant que leurs mecs respectifs les caressent nonchalamment ou les observent de loin, accoudés au bar de la discothèque. Et les jeux souvent s’arrêtent là. Les hommes potentiellement échangistes en sont donc pour leurs frais…

A vrai dire, il faut comprendre ces femmes : si elles-mêmes sont disposées à laisser leur homme à une autre, c’est trop souvent parce qu’il peine à vraiment les satisfaire. Mais c’est probablement le cas aussi avec le couple en face, et rien ne garantit qu’elles vont gagner au change… Finalement, se papouiller avec l’autre femme est encore un moindre mal ! 

Bien sûr, ce n’est pas non plus le cas général. Il y a certes des femmes sincèrement bi (mais sans doute pas plus, en proportion, que d’hommes réellement bi) et il y a des femmes qui refusent clairement la bisexualité. Il y en a aussi qui, bi ou pas, sont prêtes à partager leur homme qu’elles considèrent pourtant comme un excellent coup. Mais, dans ce cas, elles souhaitent ne pas récupérer un tromblon en face… Si c’est le cas, elles ont toute latitude pour mettre fin aux jeux, même abruptement.

De ce fait, le libertinage de couple à couple est devenu nettement plus difficile ces derniers temps. Il devient rarissime de trouver un couple dont les deux membres soient en phase et qui corresponde aux attentes d’un autre couple. Par ailleurs, la pruderie est partiellement de retour et les pratiques des libertins d’aujourd’hui sont nettement plus soft, quand elles ne sortent pas carrément du cadre de la sexualité plurielle. Les clubs libertins se sont finalement banalisés (démocratisés?) en s’ouvrant au plus grand nombre, au point de pouvoir dans certains cas se confondre avec des clubs ou discothèques classiques.

Le libertinage sincère et authentique n’est pas mort pour autant, c’est d’y accéder qui est devenu compliqué. Et pour cela, nulle recette miracle, qu’on soit seul ou en couple. Les sites libertins sur internet, qui font miroiter leurs promesses aux impétrants dotés de cartes de crédit, n’y changent fondamentalement rien. La meilleure approche demeure finalement le hasard des rencontres que l’on peut faire en club libertin ou en soirée privée, à condition d’être assez regardant sur le choix de ces clubs ou de ces soirées.

Et bien entendu, la lecture assidue de notre blog pour vous éviter les impasses et chausse-trapes sur la route dorée du libertinage de couple!!!! Nous vous invitons donc à lire et relire encore tous nos récits publiés depuis 8 ans!

Bonnes découvertes à tous !!












[1] Swingers ne veut pas dire échangiste en anglais. Le terme pour échangisme est « full swap », à distinguer de « soft swap » qui correspond à mélangisme en français

vendredi 1 décembre 2017

Découverte du sauna NZ à Amsterdam


(Alpha raconte)

Nous avions décidé de passer le weekend à Amsterdam, après deux jours de travail sur place pour assister à une conférence internationale. Ma miss m’avait rejoint le vendredi après-midi, en vol direct depuis Bordeaux. Maintenant que nous y sommes allés plusieurs fois, nous sommes rôdés pour l’organisation : nous réservons notre hôtel high-tech basé sur le site même de l’aéroport. Ainsi, à l’arrivée de l’avion, nous n’avons à marcher que 300 ou 400m pour atteindre le lobby du Citizen M, un hôtel à l’esprit décalé que nous trouvons extrêmement sympathique: self check-in puis accès à la chambre psychédélique, complètement domotisée à partir d’un mini Ipad. Douche et WC sont deux cylindres translucides de part et d’autre de l’entrée, la douche étant équipée d’un éclairage aux 7 couleurs de l’arc-en-ciel et l’eau n’arrivant que lorsque ses portes sont bien hermétiquement closes. Au rez-de-chaussée, outre un grand bar et un coin repas, on trouve plusieurs vastes salons aux fauteuils et banquettes confortables, permettant de se réunir, de travailler, d’aller sur internet…

Une fois nos bagages déposés, nous pouvons ainsi retourner, les mains dans les poches, vers l’aérogare… qui contient aussi la gare ! A l’aéroport de Schiphol, la gare est en effet intégrée à l’aérogare, les voies passant en sous-sol. Moyennant un prix modique (7,20€ l’aller-retour), nous pouvons rejoindre la gare centrale d’Amsterdam en 20 mn ou moins (si c’est un Intercity). De la gare centrale, nous pouvons aller partout dans la ville, notamment par le tramway ou le métro, voire même le bateau.

Le premier soir, nous voulions tenter le musée van Gogh en nocturne… Mais hélas, même le soir, les queues y sont interminables. Comme nous ne réussirons pas non plus à réserver par internet, nous remettons cette visite à une prochaine fois. Finalement nous passons cette première soirée agréablement entre un bar irlandais où passe en boucle à la télé une compétition internationale de fléchettes,  et le Hard Rock Café proche de Leidseplein.

Le lendemain, malgré une météo maussade, nous visiterons tranquillement le quartier du Jordaan et son marché, puis le centre-ville autour du Dam avant de retourner à notre bar à jus favori, le Latei sur Zeedijk. Ce bar à jus jouxte le quartier chinois et nous ne résistons pas à aller y manger un canard laqué. Puis nous terminons notre promenade en traversant le quartier rouge jusqu’au bar de l’Hôtel International, avant de rentrer à Schiphol.

Le dimanche, ma chérie ne se sent pas en forme et je décide de retourner seul en ville. Je vais visiter un quartier excentré, vers la Utrechtsestraat, au-delà de Rembrandtplein. Je reviens à pied vers le centre-ville pour acheter des chaussons fourrés en forme de sabots. Puis je vais me restaurer près du Singelgracht, dans une petite gargote où on trouve des omelettes. C’est alors que je repense aux saunas que nous avions trouvés sur internet : le Sauna Deco, sur le Herengracht, sauna apparemment libertin mais vieillot et sur lequel les commentaires n’étaient pas très bons. Et le sauna NZ, récent et avec de très bons commentaires. Seul détail: c’est un sauna… gay !

Je réfléchis tout en dégustant mon omelette, j’hésite un peu. Je vérifie les adresses sur mon Ipad : le NZ est vraiment à deux pas. Je me décide à y aller, il n’est que 14h, je peux y passer facilement 3 heures, notre vol retour n’est que ce soir à 20h.

En sortant de mon déjeuner, je traverse une ruelle déserte un peu en contrebas… garnie de vitrines aux lumières rouges ! On n’est pourtant pas dans le quartier pour ça, mais je reçois néanmoins plusieurs invitations par gestes de plantureuses beautés peu vêtues de type antillais.

Je traverse une artère importante au nom imprononçable (Nieuwezids Voorburgwal) et je contourne l’hôtel Crowne Plaza. Le sauna NZ se trouve dans la ruelle juste derrière, Nieuwezijds Armsteeg. Je passe une première fois devant, la façade est très discrète et la porte est constituée d’une baie vitrée noire à travers laquelle on ne peut pas voir. Puis je reviens sur mes pas et je me décide : deux jeunes hommes viennent d’y entrer avant moi. Je débouche dans le hall au moment où mes deux prédécesseurs s’engouffrent dans le couloir des vestiaires.

Le portier est aimable et m’explique le fonctionnement du club. Il me dit que j’ai de la chance car il me donne… l’avant-dernière clef de vestiaire ! Quand je m’apercevrai, à l’intérieur, qu’il y a environ 250 casiers… ça signifie que je vais y trouver 250 homosexuels en goguette ! Gloups… je crains que ça ne chauffe pour mon petit cul !

Le vestiaire lui-même est assez bondé. Je déniche mon casier, tout autour il y a des types qui sont assis, se reposent, discutent ou se brossent les dents. Je me déshabille entièrement puis je me ceins avec la grande serviette qui m’a été remise à l’entrée. Une fois mon casier bouclé, je me dirige vers la grande salle lounge…

Stupeur, elle est blindée de monde : toutes les banquettes sont couvertes d’hommes presque nus qui forment une joyeuse et bruyante troupe. Certains s’enlacent ou s’embrassent. L’ambiance est bonne, mais exclusivement masculine. Je me rends au bar, seul endroit où je trouve un tabouret haut libre pour moi. A l’entrée on m’a donné un jeton pour une boisson gratuite : j’ai droit à tout ce que le bar peut offrir, y compris cocktails et boissons alcoolisées. Je me contente d’une bière pression, j’entends garder toute ma tête pour la suite…

Je fais un peu ma timide, heureusement que j’ai déjà fréquenté des saunas bi : je reste calme. Après avoir fini ma bière, je m’enhardis à aller visiter le club. Au fond du lounge, je trouve d’abord une zone humide avec un petit jacuzzi (8 places max), des douches et WC ainsi qu’un grand sauna finlandais et un hammam. Je prends une bonne douche au milieu d’un va-et-vient d’hommes nus. Puis je vais visiter le sauna. J’y trouve deux banquettes en U et, surprise, sur l’un des côtés, deux grands baies vitrées sans tain donnant… sur les douches. Je m’aperçois alors que les personnes dans le sauna peuvent ainsi se rincer l’œil en matant les beaux mâles sous la douche… dont je faisais partie il y a 2 mn !

C’est de bonne guerre. Personne ne me fait d’avance dans le sauna, il y a juste un type en train de faire une fellation à un autre type un peu plus loin sur ma gauche. Je sais par expérience que ce genre de jeu ne peut durer bien longtemps dans un sauna, je ne me formalise pas plus que ça. Les deux amants sortent peu après.

Je ressors moi aussi, repasse à la douche (froide cette fois, celle au-dessus de laquelle se trouve un gros seau en bois que l’on peut actionner en tirant sur une chaîne. Puis je continue mon exploration. Je trouve une sorte de labyrinthe de couloirs sombres ou à lumière tamisée rouge avec, tout le long, de petits recoins sombres et des cabines équipées de matelas, certaines pouvant fermer à clef. Il y a beaucoup de monde, et dans les couloirs et dans les cabines, ça frôle beaucoup et je sens des mains baladeuses me caresser les fesses.

Je trouve aussi un sling avec un type allongé dessus dans une cabine : il semble attendre de la visite mais je m’abstiens d’entrer. C’est un peu plus loin que je trouve mon « bonheur » : des glory holes, mais en quantité « industrielle ». Il s’agit d’une grande pièce carrée, le couloir en faisant tout le tour. Au centre, il y a une structure de cloisons symétrique, autour d’une pièce ovale où l’on entre en écartant un rideau de cuir. Dans cette pièce, on trouve 3 glory holes sur chaque mur latéral, donc 6 trous en tout. Ces trous donnent sur des recoins où l’on accède par le couloir périphérique. Chacun de ces recoins possède au moins 3 ou 4 trous, dont un donnant sur l’alcôve ovale et les autres sur les recoins voisins. Au total cela doit faire une bonne vingtaine de glory holes dans tous les sens !

C’est là que je passerai le plus clair de mon temps et j’y constaterai un peu la même chose que dans les clubs français que je fréquente. Il y a des moments de « pointe » et des moments désertiques, beaucoup de zapping. En fait, pas mal de participants se sucent ou s’enfilent directement dans les recoins, sans passer par les trous dans les cloisons ! Je tenterai plusieurs fois l’alcôve ovale, sans succès. Finalement, c’est en allant dans un des recoins latéraux que j’aurai la possibilité de sucer la belle grosse queue bien dure d’un jeune black.

Je quitte le sauna NZ vers 16h, en sortant je découvre une file d’attente (j’ai failli dire : une queue !) d’au moins 30m dans la rue ! Tous ces jeunes hommes attendent pour entrer, je comprends mieux la remarque du portier à mon arrivée : l’heure de pointe n’était pas à 14h, bien que le sauna fût déjà plein à cette heure-là, elle est plutôt clairement en fin d’après-midi.

Je retourne à la gare centrale prendre un train pour Schiphol et rejoindre ma chérie. Cette expérience a été intéressante et je confirme les bons commentaires sur le sauna NZ. C’est en effet un endroit propre où les gens sont très respectueux.