Caresse prend un cours intensif de langue espagnole à Valladolid…(1ere partie)

(Alpha raconte)

Pour nos vacances, nous reprenons la route de l’Espagne. Nos amis espagnols nous ont proposé de les rejoindre à Valladolid, ils semblent tous deux très excités à l’idée de nous revoir. Pour nous aussi, depuis 3 semaines, la pression est montée, et c’est avec beaucoup de plaisir que nous prenons la voiture et franchissons la frontière à Irun.

Nous passons la nuit dans notre hôtel préféré à Burgos, avec une splendide vue sur la cathédrale. Après une délicieuse grasse matinée et un succulent buffet de petit déjeuner, il ne nous reste qu’une heure sur l’autovia de Castille pour rejoindre notre destination.

Nous y parvenons à l’heure du déjeuner. La ville est assommée sous le soleil, mais notre hôtel est splendide, installé dans un ancien monastère au bord de la rivière Pisuerga. Notre ami Roberto nous l’a recommandé. Il est déjà là et nous accueille chaleureusement dans le hall d’entrée. Ce hall est magnifiquement aménagé dans l’ancien cloître du monastère, avec son puits central en pierre blanche et sa verrière le couvrant entièrement. Maria n’est pas encore là, elle travaille, elle nous rejoindra pour le déjeuner. Roberto nous informe qu’il a pris la liberté de changer notre réservation pour obtenir une suite à quatre, au lieu de deux chambres séparées! Hummm… ! Sur ce, nous visitons les beaux jardins qui descendent en pente douce vers la rivière, avant de nous installer au restaurant gastronomique de l’hôtel pour boire un verre de « vino de la casa » en attendant Maria qui ne saurait tarder.

Elle nous rejoint en effet alors que nous avons juste commencé nos verres. Elle a mis une robe très printanière dans des tons bleus et verts. Caresse a revêtu une jolie tunique-pantalon bleue qu’elle a dénichée il y a peu. Après quelques brèves effusions de retrouvailles, nous commandons notre déjeuner de plats typiques à partager, arrosés d’un Ribera de Duero méticuleusement choisi par Roberto, très sourcilleux sur la température de service. Un délice épicurien ce déjeuner et un tel plaisir de retrouver nos amis, tant de choses à nous raconter dans nos trois langues d’usage : espagnol, anglais, français !

Mais nous sommes tous, les uns autant que les autres, pressés de remonter dans notre somptueuse suite du 1er étage donnant sur le cloître. L’hôtel n’est pas complet en cette saison, quelques rares hommes d’affaires et des couples y séjournent. Roberto, qui est connu ici, a dû inventer une réunion de travail entre nous pour donner le change à la réception et expliquer pourquoi il nous fallait une suite avec chambres communicantes… Le réceptionniste nous a d’ailleurs respectueusement indiqué que, si nous avions le temps après le travail, il y avait dans l’hôtel une superbe piscine et un hammam / club de fitness dont nous pourrions faire usage… Il n’était peut-être pas complètement dupe et effectivement, il ne s’est pas trompé, nous n’avons absolument pas eu le temps d’y faire un tour !

Parvenus dans nos appartements, nous passons immédiatement aux choses sérieuses : présentation de nos nouveaux jouets depuis la dernière fois, essayage d’escarpins récemment acquis, puis quelques photos de ces dames si joliment vêtues et qui s’effeuillent lentement l’une l’autre devant nos objectifs pour notre plus grand plaisir. Assez vite, nos belles se retrouvent vêtues de leurs seuls sous-vêtements et de leurs chaussures à talons hauts, leurs sourires illuminent nos objectifs d’appareils photos.

Roberto semble avoir déjà très chaud… Il suggère que les dames continuent leurs jeux ensemble pendant que lui et moi passons dans l’autre chambre. Je me demande un peu où il veut en venir… Nous discutons et manipulons ses nouveaux jouets et il me demande de lui fixer les bracelets de cuir avec les chaînes à ses poignets et ses chevilles, tandis qu’il se déshabille. Je m’exécute et l’aide à se préparer, tout en enlevant moi-même ma chemise, puis il s’allonge sur le lit, vêtu seulement des parures que je viens de lui ajuster. Il est déjà très en forme, l’attente puis la séance photo l’ont visiblement excité…

Je finis de me déshabiller debout à côté du lit et Roberto s’empare aussitôt de mon sexe pour le caresser. Je fais donc de même, pour lui rendre la politesse : nous nous sommes déjà aperçu à Tolède lors de notre première rencontre (voir récit : "Rencontres madrilènes: Tolède") que Roberto avait besoin d’être en très grande forme avant de se présenter devant les dames, surtout devant une française comme ma miss… ! Il gémit doucement dans ma main, rejetant sa tête en arrière sur l’oreiller et fermant les yeux à demi. Moi-même je suis maintenant très excité par sa manière experte de me masturber et je comprends très bien ce qu’il attend de moi : je m’assieds sur le bord du lit tandis qu’il continue de me masturber vigoureusement et approche ma bouche de son sexe.

Je le lèche doucement puis descends progressivement mes lèvres sur son gland puis sa hampe. J’entame un léger va-et-vient sans toutefois relâcher la pression et les enlacements de ma langue, son membre durcit encore davantage et Roberto se met à onduler du bassin, lentement puis de plus en plus fort. Cette délicieuse fellation dure un bon moment, Roberto continue de me masturber par intermittence, ce qui maintient mon excitation à un niveau supportable. Lui, en revanche, ondule avec violence, je n’ai plus besoin de bouger la tête, son sexe va et vient dans ma bouche sur toute sa longueur, de mes lèvres à ma gorge, je l’enfourne jusqu’à la garde avec délectation. Au moment où il ralentit un peu ses mouvements, je me redresse et lui demande s’il ne serait pas temps de rejoindre les dames dans l’autre pièce : il acquiesce, nous nous relevons et ouvrons la porte de communication…

Caresse et Maria, dans l’autre pièce, sont en train de discuter sagement...! Caresse a étalé nos jouets sur la table basse située devant le grand lit tout en les montrant à Maria qui s’amuse terriblement de tout ! Caresse lui dit en désignant le gode rose qu’elle n’est pas une adepte de la pénétration… Maria la rassure en lui disant qu’il n’y a pas de souci, que ce qui est bien avec nous c’est justement que chacun se sente à l’aise de faire ce qu’il aime et de dire ce qu’il n’aime pas… que c’est un vrai plaisir de pouvoir être bien comme ça avec des amis ! Hummm… ma miss m’avouera avoir été grandement rassurée par les mots de Maria… en effet en avril, Angel, un libertin madrilène (voir récit "Rencontres madrilènes: Madrid"), l’avait pénétrée avec un gros gode et Caresse n’avait pas aimé !

Les deux femmes tournent la tête à notre arrivée, surprises… agréablement de nous voir nus et en grande forme tous les deux, Roberto équipé, de plus, de ses bracelets en cuir noir reliés à des chaînes. Les dames ne se font guère prier pour se débarrasser l’une l’autre de leurs sous-vêtements… et Caresse équipe Maria de bracelets blancs aux poignets et d’un collier de soumise.

Roberto s’allonge sur le dos dans notre lit mega king size (emperor size ?) qui pourrait aisément nous accueillir tous les quatre pour la nuit entière. Maria entreprend aussitôt de le sucer, pour profiter de cette belle érection prometteuse. Je m’allonge également et ma chérie fait de même sur moi. Hmmmm, quel délicieux moment pour faire monter un peu la pression ! Après quelques instants, les dames décident d’échanger : Caresse prend la place de Maria et Maria la sienne : je redécouvre ainsi toutes les subtilités de la langue espagnole, surtout lorsqu’elle est très coquine et entreprenante comme celle de Maria…… quel délice !

Caresse s’est redressée et se met à lécher l’entrejambes de sa complice qui est toujours en train de me sucer avidement. Pour ne pas le laisser de côté, je me mets à caresser Roberto de ma main gauche, lui saisissant le sexe et le masturbant avec vigueur mais dextérité, comme je le ferais pour moi-même. Maria interrompt alors son ouvrage et retourne vers son homme qu’elle se remet à sucer voluptueusement. Elle a vraiment beaucoup d’appétit aujourd’hui, Maria… La langue espagnole n’a jamais été aussi vivante !

Il est vrai – nous l’avions déjà constaté la fois précédente – que nos amis espagnols se parlent beaucoup pendant les coquineries. Tout un vocabulaire de petits mots doux et choisis dont voici un florilège à l’usage des libertins internationaux tentés par l’exploration de la péninsule ibérique :

Mas : encore (littéralement: « plus »)
Sigue, mas : continue, encore
Puta : même mot qu’en français, difficile à traduire: salope? chérie ? les deux en même temps ?
Que pasa, puta ? Qu’est-ce qui t’arrive chérie ? (au moment où elle commence à gémir fortement)
Estupendo (estupenda) : formidable, extraordinaire
Huevos : couilles (« oeufs »)
Mira, como te la come bien : regarde comme il (ou elle) te la mange bien (ici manger a plutôt le sens de « sucer » en français)

Ma chérie, coquine, a continué de lécher la chatte de Maria pendant tout ce temps, notre amie a déjà eu un ou deux orgasmes clitoridiens violents qui l’ont obligée à momentanément interrompre ses jeux de langue. Je me redresse et relaie ma miss entre les cuisses de notre amie castillane, pas besoin de me faire prier, c’est un vrai régal et Maria est extrêmement réactive aux caresses. Ma Caresse se dirige vers la queue de Roberto pour aider son amie Maria a le sucer, tout en embrassant Maria par la même occasion. Cette douce séquence de plaisir partagé dure un bon moment au cours duquel je parviens à faire jouir Maria quatre fois de suite, de la langue et des doigts, de plus en plus fortement. L’hôtel étant quasiment désert, le personnel de la réception doit être édifié sur notre dure « séance de travail » de l’après-midi !

Caresse a changé de position et s’est placée en 69 avec Roberto. Ce dernier profite de l’occasion pour aussi visiter le petit trou de ma chérie, tandis que Maria lui caresse et lui suce les couilles. Je continue quant à moi mes léchouilles sur la vulve et l’anus de Maria. Ma chérie ondule et gémit fortement, elle atteint l’orgasme anal avec soulagement, mais Roberto continue de s’activer sans relâche et la fait jouir encore deux fois de cette façon. Waouh ! Quel pied elle a pris, décidément l’hôtel va finir par envoyer la police !

Maria se dégage doucement de mes caresses et retourne sucer Roberto. Ma chérie revient vers moi pour me sucer un moment, puis je rejoins Maria pour sucer Roberto avec elle. Hmmm, ce genre de situation semble l’exciter terriblement ! Maria y ajoute les deux mains, l’une pour lui malaxer les couilles, l’autre pour le doigter dans le fondement. Ma chérie s’occupe quant à elle de nos deux amis, leur prodiguant caresses et bisous au gré des envies.

Je reviens vers l’entrejambes de ma belle et me remets à lui lécher la chatte avec application. Allongé de côté sur le lit, ma queue s’offre de nouveau à la bouche insatiable de Maria tandis que Roberto s’est remis à la caresser et à la doigter par-derrière. Pour boucler la boucle, ou plutôt le carré, il ne reste plus à ma miss qu’à enfourner le membre de Roberto dans sa bouche, ce qu’elle fait avec délectation. Nous restons un long moment dans cette position carrée, dans un concert de gémissements et de halètements… jusqu’à ce que Maria laisse bruyamment libre cours à sa jouissance, suivie de peu par Caresse….. E=mc2 , pas de doute : Espana = mucho (calor)2

Nous défaisons notre figure géométrique et Maria revient de nouveau vers la queue de Roberto. Je passe derrière elle et lui prodigue un anulingus appuyé qui l’amène très rapidement à une nouvelle jouissance. Roberto suce les beaux seins lourds de Caresse, pendant que je lui refais mon célèbre cunnilingus. Maria se joint à nous et doigte ma miss avec vigueur par les deux trous. Elle parvient ainsi très rapidement à un nouvel orgasme particulièrement violent, stimulée de partout par les trois autres coquins. Incroyable comment nos deux femmes sont sensibles et savent se lâcher dans nos jeux !

Roberto s’est subrepticement éclipsé pour saisir un préservatif. Il revient et prend ma Caresse en levrette, tandis que Maria vient lui masturber le clito et regarder la queue de son chéri aller et venir dans la chatte de ma chérie. J’en profite pour sucer les pointes des seins de ma miss, tout érigés par les orgasmes successifs non-stop depuis le début de cet après-midi de folie libertine. Ma Caresse prend de nouveau son pied, irrésistiblement, et s’affale sur le lit.

Roberto s’allonge de nouveau sur le dos, tandis que Maria s’empale sur sa queue rigidement dressée et que je m’allonge également à côté de Roberto pour caresser les jolis seins de Maria. Ma chérie, fatiguée, trouve encore la force de venir me sucer pendant un long moment d’éternité voluptueuse. Puis Roberto se redresse, il semble au bord de l’apoplexie, il passe derrière Maria et la pénètre en levrette sous nos yeux, tandis que nous poursuivons nos caresses partagées. Il finit par retourner la belle castillane sur le dos pour la prendre avec furie en missionnaire, jambes relevées, ce qui lui permet de la pénétrer encore plus profondément. Maria gémit de plus en plus fort : "Mas, sigue, mas !" Caresse passe alors derrière notre bel hidalgo et le sodomise avec son doigt, tandis que je passe derrière elle et lui lèche abondamment la chatte et l’anus. Roberto n’en peut plus et jouit dans un rugissement. Il s’écroule quelques instants sur le lit avant de passer faire ses ablutions à la salle de bains.

Je me retrouve seul, proie évidente pour nos deux anges qui n’ont pas encore dit leur dernier mot. Ma Caresse ressuscite soudain et entreprend pour Maria la démonstration commencée plus tôt de nos jolis jouets. Elle me ligote les pieds, les poignets et les testicules aux quatre pieds du lit, me bâillonne et me place les pinces japonaises sur les tétons, puis invite Maria à me sucer avec elle. Estupendo ! Je veux bien y croire… et estupenda aussi la sensation des deux bouches féminines qui me lèchent, me sucent la queue et me mâchent les huevos, sans que je puisse bouger le petit doigt….. Quel délice paradisiaque, presque insupportable de plaisir ! Il ne leur faudra guère longtemps, à ce régime, pour me faire jouir à mon tour et les gratifier d’un joli collier de perles (pas de Majorque) à se partager !

L’après-midi a été rude, un peu de repos ne sera pas superflu avant de nous préparer pour une délicieuse soirée à quatre dans Valladolid…

(Fin de Valladolid partie 1)

Une rencontre libertine à six

Alpha raconte

C’est un week-end d’été…chaud et orageux comme nous en avons eu d’autres cet été ! Nous apprécions ces jours de pluie, car ils nous obligent à des activités d’intérieur et nous donnent donc l’occasion d’aller au sauna sans aucun regret !

Ces derniers jours, nous avons fait connaissance, sur le net, de deux couples libertins. L’idée de sortir ensemble dans un club humide nous a tentés très vite tous les six. Rendez-vous fut pris pour le samedi soir. L’un des deux couples a décidé de dîner en ville avant de se rendre au club, où ils nous attendront. Le second, Gildas et Noémie, ne connaît pas le club : nous nous fixons rendez-vous dans un bar-lounge à proximité, nous irons au club ensemble.

Nous arrivons en avance au bar et nous installons dans de confortables fauteuils. Beaucoup de couples ont détourné leur attention sur notre passage, Caresse se demande s’ils ne sont pas déjà là à nous observer. Nous commandons une caipiroska et un mojito…puis je pianote un sms à l’intention de Gildas et Noémie. Ils sont en route et ne vont pas tarder à arriver, nous répondent-ils.

Nous découvrons les convives installés aux tables, l’établissement est réputé pour ses cocktails et son décor, mais beaucoup moins pour sa gastronomie, jugée d’un mauvais rapport qualité-prix. Les couples sont plutôt jeunes, les dames jolies et bronzées, c’est l’été ! Plusieurs couples arrivent… mais ils s’installent pour dîner.

Entre un couple, qui s’approche sans hésiter vers le salon-bar, ils nous regardent en souriant. Caresse me dit : « c’est eux ! »…. La femme est jolie, blonde aux cheveux mi-longs dénoués sur les épaules, robe noire, pas très grande; l’homme est de belle taille, élégant avec des cheveux poivre et sel, ils sont très souriants tous les deux.

Nous nous levons pour les accueillir et leur sourions à notre tour. Nous faisons les présentations, c’est toujours un moment unique que de rencontrer des libertins inconnus ! Nos nouveaux amis n’ont pas envie de s’attarder, nous réglons nos consommations et quittons le bar, à nouveau sous les regards des convives attablés : que pensent-ils de ce quatuor composé de deux femmes séduisantes et vêtues de façon sexy, accompagnées de ces deux messieurs élégants, qui ne restent pas dîner ?

Nous remontons la rue du club et nous dirigeons vers l’entrée. Un couple attend… il s’agit de Paul et de Marjorie, ils sont ponctuels et, eux aussi, détendus et souriants. Paul est de type méridional, très brun et jovial ; Marjorie est une jolie jeune femme brune, elle est en robe noire, tout aussi avenante que son mari.

Nous entrons tous les six dans le club. Il y a déjà des couples qui attendent dans l’entrée, le club vient juste d’ouvrir. Nous effectuons les formalités et expliquons à l’hôtesse que nous allons faire visiter les lieux à nos amis.

C’est un club surtout humide, très bien équipé de saunas/jacuzzis/hammams, mais comprenant aussi une partie discothèque ouverte surtout les dimanches. Cependant, au vestiaire, nous tombons sur deux jeunes couples aux sourires engageants, ils nous déclarent attendre une dizaine d’amis pour faire la fête dans la partie discothèque… Nous allons donc avoir les deux options, bien que nous ne soyons pas dimanche, cool…d’autant que Marjorie a, à l’évidence, envie de danser ! Nous lui promettons d’aller sur la piste tout à l’heure avec elle et Paul.

Nous commençons par faire un tour des installations, le club est grand, il paraît labyrinthique la première fois, mais nos amis s’y feront vite ! Caresse et moi revenons vers le bar nous désaltérer, tandis que nos amis se dirigent tout de suite vers les bulles. Nous les trouvons installés dans le grand jacuzzi du bas, diamétralement opposés, un couple inconnu occupant le troisième côté. Les contacts physiques ne vont pas de soit lorsque l’on débute…

Nous nous douchons et entrons dans les bulles chaudes. La lumière noire fait ressortir en phosphorescence les dents, les ongles et tatouages blancs… effet garanti ! Nous nous caressons en nous approchant de Gildas et Noémie qui se câlinent. Caresse se colle dans le dos de Noémie, elle lui caresse les épaules doucement et descend ses mains sur le corps doux de Noémie qui se laisse faire en se lovant contre son mari qu’elle embrasse tendrement, savourant ce moment. Je m’installe derrière ma belle pour lui masser le dos, mes mains s’attardent par moment sur les épaules de Noémie.

Puis je descends vers les seins de ma chérie que j’aime prendre à pleines mains et soupeser, ils sont à la taille parfaite, idéalement lourds et fermes. Ma chérie s’écarte légèrement et elle dirige mes mains vers les seins de Noémie. Je les palpe délicatement et les masse entre mes paumes, m’attardant de temps à autre sur les pointes que je fais saillir entre mes doigts. Ma position me permet de partager mes caresses entre les deux femmes, pendant qu’elles s’occupent de Gildas.

Caresse s’écarte, elle traverse le jacuzzi pour rejoindre Paul et Marjorie restés à l’opposé de nous. Ils semblent intimidés, Caresse les rassure. Je me colle dans le dos de Noémie et je la mordille légèrement pendant que je titille ses tétons ; puis je descends une main vers son abdomen, que je masse lentement d’un mouvement circulaire. Ma chérie revient seule, elle me glisse à l’oreille que nos autres amis ont besoin d’un peu de temps, elle se colle contre moi et me caresse tendrement.

Soudain Paul et Marjorie sont là, ils ont traversé le jacuzzi pour nous rejoindre. Nous les accueillons avec un sourire et leur ouvrons les bras pour les insérer dans le groupe. Noémie est à gauche et Marjorie à ma droite, tandis que Caresse est entre Gildas et Paul, face à moi. Noémie n’a pas lâché la queue de Gildas et j’ai poursuivi mon exploration de son bas-ventre jusqu’à atteindre sa toison et son clitoris que je caresse, la faisant onduler des hanches. De l’autre côté, Marjorie s’est adossée contre moi et elle me laisse lui caresser les seins pendant que Paul s’occupe de son bas-ventre. Noémie se tourne complètement vers moi.

A ce moment ma chérie est dans les bras de Gildas, ils s’embrassent. Gildas introduit un doigt dans l’intimité de ma belle qui se met à onduler de façon caractéristique, elle gémit… les mains de Caresse se sont faites coquines, elle masturbe Gildas, augmentant progressivement le rythme et la pression sur son membre déjà bien excité…Mais Caresse ne peut pas poursuivre bien longtemps ses caresses, Noémie reprend possession du sexe de son homme tout en conservant le sexe d’Alpha de l’autre main… Elle masturbe les deux hommes énergiquement, avec une gourmandise évidente, mais avec une certaine part d'égoïsme, laissant Caresse à part... Ma belle déteste par-dessus tout ce type d’attitude trop « solo » ! Si nous n’avions été que quatre, elle serait partie s’asseoir seule à l’opposé du jacuzzi pour montrer son mécontentement ! Grrr !

Ma Caresse décide de gérer cette situation délicate en prenant du recul pour me laisser profiter du moment… Son opinion sur ce couple est des plus mitigées : pour elle, ils ne sont pas en phase, la jeune femme est plus gourmande, pas la meilleure chose pour jouer avec des couples sans froisser la femme du couple à chaque fois! Ils auront des revers de fortune s’ils fonctionnent comme ça tout le temps!

Caresse se tourne vers Paul et Marjorie. Paul s’est assis sur le bord du jacuzzi, Marjorie a entrepris de le sucer avec un plaisir évident… Caresse s’est rapprochée, elle leur demande s’ils sont d’accord pour que Caresse se joigne à eux… Ils acceptent, tous les deux, curieux… Caresse suce la queue bien raide de Paul avec Marjorie pendant quelques instants, mais elle n’abuse pas, elle les laisse profiter du moment à deux… Ils apprécient la délicatesse et l’attention de ma chérie ! Elle revient se coller dans mon dos, ses mains se font coquines et elle vient prendre ma queue déjà bien raide pour la masturber doucement…

Noémie a entrepris, tout comme Marjorie, de sucer son chéri sur le rebord du jacuzzi. Gildas n’est manifestement pas indifférent à cette gâterie. Sa belle fait avec ses lèvres des va et vient sur le membre de son homme tout en appuyant fermement sur ma main placée sur son clito. Elle en veut plus, j’introduis donc un doigt, puis deux, dans son vagin, pour titiller son point G. L’effet est immédiat, elle ondule de plus en plus fort et commence à gémir, malgré sa bouche pleine. J’accentue la caresse en ajoutant un troisième doigt sur son clito…

Marjorie s’est étirée en avant pour sucer Paul, m’offrant son intimité. Ne résistant pas à un tel appel, je lui caresse la chatte tout en continuant de caresser Noémie. Cette dernière atteint alors son premier orgasme, elle lâche Gildas et expire bruyamment en gémissant. Je ralentis ma caresse, sans toutefois retirer mes doigts de son clito. Je sens, sous mes doigts, Marjorie qui commence à mouiller abondamment…humm…

Ma Caresse se met sur ma gauche, nous nous embrassons et nous câlinons, c’est si bon de se retrouver à deux au milieu de ces caresses multiples. Nous laissons un peu les autres jouer à quatre. Je hisse ma chérie sur le rebord et commence à lui lécher la vulve, j’adore trop cette caresse pour résister plus longtemps à l’envie. Je lui soutire rapidement des gémissements caractéristiques, à grands coups de langue savamment dosés, alternativement sur le clito et les lèvres, enflées et humides. J’adore sentir son plaisir monter ainsi, le ralentir, le relancer…Elle savoure ces moments autant que moi…humm…

Nos amis jouent à quatre, à notre gauche, mais ils ne perdent pas une miette du spectacle que nous offrons. Ma chérie gémit de plus en plus convulsivement, je sens qu’un point de non-retour a été franchi quand elle appuie ma tête de ses mains sur son intimité pour que je la lèche plus frénétiquement encore. Le bout de ma langue s’attarde sur son clito, appuyant de plus en plus fort, puis je lèche son nectar goulûment, pour en avoir d’autre ! Elle n’y tient plus, elle pousse un long cri de plaisir intense, à l’unisson avec une autre femme installée de l’autre côté du jacuzzi….

Pendant que nous nous amusions tous les six, le jacuzzi s’est rempli de couples, nous sommes maintenant plus de douze couples immergés, par deux, quatre, six…

Nous rejoignons nos amis, un quatrième couple se rapproche… Nous reprenons nos caresses à six, le couple inconnu n’ose pas se joindre à nous. Caresse se trouve au milieu, position idéale pour donner et recevoir des caresses de tout le monde. Elle monte de nouveau rapidement dans les tours, sous l’effet conjugué de 5 paires de mains, et de quelques bouches. Mais, pas égoïste, elle ne veut pas être en reste, elle se replace dans le cercle qui se déforme, se reforme.

Paul et moi nous retrouvons derrière Noémie qui continue de caresser Gildas, tandis que Caresse et Marjorie s’embrassent et se câlinent. De décalage en décalage, je me retrouve de nouveau derrière Noémie qui renverse ses cheveux blonds en arrière sur mon épaule. Je l’ai reprise serrée dans mes bras et lui caresse la chatte d’une main, le sein gauche de l’autre, tout en lui mordillant le lobe de l’oreille. Noémie monte en puissance, elle masturbe Gildas de sa main gauche et saisit ma queue déjà toute dure de sa main droite. Elle la branle avec énergie, et j’appuie d’autant mes caresses sur elle, j’introduis la pointe de ma langue dans son oreille. Elle gémit de plus en plus fort, et j’accélère mes doigts dans son vagin tout en comprimant son clito. Noémie explose enfin, son deuxième orgasme est nettement plus violent que le premier. Je relâche mon étreinte, m’écarte sur la droite et reçoit Marjorie dans le creux de mon bras droit.

Ma chérie caresse le clito de Marjorie qui flotte entre deux eaux, soutenue par Paul derrière elle. Caresse essaie de la relever pour lui faire un cunni. Mais Marjorie ne se sent pas encore prête pour cela, elle le dit avec un joli sourire. Qu’à cela ne tienne, je la reprends de la main droite, effleure sa légère toison pubienne avant de lui caresser de nouveau le clito et la vulve. J’ai gardé Noémie sur mon bras gauche, ma main enveloppe ses fesses et mes doigts continuent de stimuler son clito, pendant qu’elle a repris Gildas en bouche. Marjorie se remet à mouiller et à gémir faiblement. Je me penche en avant pour saisir le téton de ma chérie entre mes lèvres et le suçoter fermement. Cette situation exceptionnelle, entre trois belles femmes nues et participatives, à pour effet de me faire bander terriblement.

Ma chérie chantonne sous ma succion et les caresses conjuguées de Gildas et Paul. Marjorie jouit de plus en plus fort sous le va-et-vient de mes doigts dans sa chatte trempée et la pression du sexe de Paul sous ses fesses. Quant à Noémie, elle ondule sur les doigts de ma main gauche, de nouveau dans sa chatte et sur son clito, tandis qu’elle suce fébrilement Paul…

Marjorie n’en peut plus, elle crie de plaisir et se dégage pour se réfugier dans les bras de son chéri. Ma Caresse aussi a un nouvel orgasme, hummmm…que ces caresses multiples sont délicieuses ! Je me concentre de nouveau sur Noémie, la bouche pleine, et lui malaxe les seins, tandis que ma queue toute raide vient la titiller entre les cuisses. Elle s’agite de plus belle, sentant mon gland enflé contre son clito, et mon membre dur coulissant entre ses grandes lèvres. Elle ondule d’avant en arrière pour accentuer cette caresse, j’y ajoute deux doigts dans son vagin détrempé. J’entends ses gémissements s’étrangler dans sa gorge pleine, Gildas est très excité ! Le mouvement s’accélère, Noémie tête Gildas comme une furie, elle engloutit son sexe dans sa bouche jusqu’à la garde ! Elle ondule tout aussi furieusement de ses hanches et gémit de plus belle ; Gildas n’en peut plus, il explose dans la bouche de Noémie, contrainte d’avaler pour pouvoir respirer, un filet de sperme s’écoulant à la commissure de ses lèvres. Elle respire enfin un grand coup, pour aussitôt expirer dans un troisième orgasme qui la laisse, pantelante, retomber dans les bras de son chéri…

Que d’émotions fortes…!!!!!!  Nous avons dû faire le spectacle dans ce jacuzzi bondé, les autres couples sont majoritairement restés par deux, beaucoup d’hommes sont assis sur le rebord du jacuzzi en train de se faire sucer par leur compagne. Nous n’avons pas vu le temps passer, mais nos doigts ramollis par l’eau bouillonnante nous indiquent que nous sommes là depuis un bon moment !

Il est l’heure de repasser au bar avant d’aller explorer la piste de danse !

Un dimanche d’été / A swinging summer Sunday

Caresse raconte

Le temps était doux, nous avions des températures de 22‐26°, quelques petits nuages parsemaient le ciel toulousain. Nous avions décidé d’aller dans notre club préféré… une fois le repas terminé, nous nous y rendons en nous demandant s’il va y avoir du monde ou pas… en plein été la fréquentation est en dents de scie, vacances obligent !

Nous obtenons les clés 60 et 61 signe qu’il y a un peu de monde, au moins une vingtaine de personnes si nous en croyons les habitudes du club quant à la distribution des clés des vestiaires. Nous nous déshabillons et passons vérifier cela dans notre coin coquin préféré… personne ! Nous pensons les retrouver tous dans l’eau du jacuzzi… mais étrangement il n’y a que trois couples qui se détendent, où sont tous les autres ? Lorsque nous sommes passés devant le bar, il y avait quelques personnes, mais pas tant que ça… étonnant ! Très peu d’hommes seuls également, ce n’est pourtant pas réservé aux couples le dimanche….

Nous nous plongeons dans l’eau chaude et enveloppante du jacuzzi et nous nous câlinons en nous détendant… hummm que c’est bon d’être si bien et d’être aussi en phase pour libertiner ensemble… Finalement, autant le sauna n’est pas agréable en été, nous apprécions le jacuzzi, bien moins chaud, pour la fraîcheur qu’il procure…. quand on en sort !

Les couples présents restent à deux… certains sortent, d’autres arrivent… à un moment, nous voyons arriver cinq couples… nous nous disons qu’un métro vient de passer (rire) ! Quelques hommes seuls arrivent enfin ainsi qu’une femme seule, très jeune, qui fera une entrée fracassante en loupant la marche intérieure du jacuzzi et en tombant de tout son long dans l’eau… !! avant d’aller s’asseoir à coté d’un couple qui ne se touche pas depuis qu’ils sont arrivés dans l’eau. La dame du couple semblait être venue pour se détendre dans l’eau, les yeux fermés et la tête à la renverse, à un mètre de monsieur, et ce depuis une bonne heure.

Mais elle n’est pas très loin de la demoiselle et très vite celle‐ci se rapproche pour lui faire des avances, immédiatement acceptées. Madame avait donc un trip bi…. elles se mettent à coquiner ensemble, le monsieur du couple, toujours un peu sur la touche, finit par se mettre derrière la jeune femme pour lui peloter les seins. Puis il la soutient hors de l’eau pour permettre à son amie de lui faire un cunni qui fait rapidement bouger la demoiselle… leur jeu dure quelques minutes jusqu’à la jouissance, discrète, de celle‐ci… qui une fois comblée les abandonne et va se placer à l’opposé du couple dans le jacuzzi, cherche‐t‐elle un autre couple ?…une autre femme bi ? En tout cas, elle doit juger qu’elle ne trouvera pas, car au bout d’un instant elle quitte le bassin.

Pendant que le couple et la femme seule jouaient ensemble, un autre couple est entré dans l’eau, lançant des regards circulaires avant de décider de se mettre entre nous et les trois qui jouaient… nous avons pensé quelques secondes que nous les intéressions, mais ils semblaient fascinés par le trio. J’ai pensé que la jeune femme avait aussi un fantasme bi et que le couple cherchait une approche de ce genre… pas eu envie de vérifier si je voyais juste… j’aurais peut‐être dû, quitte à dire non, si la jeune femme était trop hard avec moi…

Au moment où la femme seule est sortie de l’eau, un autre couple est arrivé, ils se sont installés juste à coté du couple qui venait de coquiner et qui était l’objet de convoitise du couple à nos côtés. Les trois couples se sont mis à converger les uns vers les autres… n’étant pas concernés, nous sommes sortis et avons rejoint notre coin favori !

Un couple l’occupait, lui avait un certain âge, bronzé et bel homme, elle était très jeune, bronzée et super fine, il y avait bien 30 ans d’écart entre eux ! Comme ils n’utilisaient pas de préservatif, nous en avons déduit qu’ils étaient en couple… nous nous sommes allongés à côté d’eux et avons regardé le spectacle qu’ils nous offraient. La jeune femme suçait son homme resté debout, elle était à quatre pattes sur le matelas et offrait à notre vue, un magnifique postérieur qui bougeait bien ! Nous nous sommes allongés et nous sommes caressés en les regardant… Alpha m’a proposé de me rapprocher d’eux lorsqu’ils se sont à leur tour allongés, elle sur le dos et son homme sur elle… position très efficace de missionnaire qui a tiré des gémissements de plaisir de la bouche de la jeune femme… Je me suis joint à ce concert de vocalises car Alpha avait entrepris de me faire un merveilleux cunni, spécial dédicace à sa belle… hummm quel pied !

Le monsieur a alors commencé à me caresser tout en continuant de donner du plaisir à sa jeune chérie… j’ai invité Alpha à jouer avec la jeune femme, pendant que je me mettais derrière le monsieur pour jouer avec son anus… hummm… il a adoré le contact de mon doigt humide avec son intimité et il me l’a rendu en fouillant la mienne à la recherche de mon point G, qu’il n’a eu aucun mal à trouver et à stimuler sans jamais lâcher sa belle qu’il prenait maintenant en levrette… Alpha s’était glissé sous la jeune femme et il jouait avec plaisir avec les jolis seins qui s’offraient à lui, les suçant, les soupesant à plaines mains comme de beaux fruits mûrs, leur mordillant les tétons…

La jeune femme gémissait de plus belle à chaque nouvelle stimulation, constamment labourée par le soc infatigable de son amant. Les mouvements d’avant en arrière qu’ils lui imprimaient ainsi se combinaient avec les mordillements d’Alpha pour étirer ses tétons proéminents et les tendre entre les dents de mon chéri, d’où ces gémissements accrus…. Mmmm, un délice !

Nous sommes restés un petit moment comme ça, avant que la jeune femme se mette sur le côté, j’ai pensé qu’elle allait sucer Alpha, allongé sur le dos sous elle à quatre pattes, mais non, elle a juste regardé son compagnon droit dans les yeux en ne bougeant plus et ne faisant plus rien. Son oeil noir n’était pas des plus sympathiques, mais son ami continuait de me masturber avec ses doigts très habilement, soutenant le regard de sa femme ! C’est moi qu,i n’appréciant pas ce qui se passait, me suis reculée pour me tourner vers mon Alpha… Le monsieur était super joueur, doux et il savait utiliser ses doigts et son sexe, c’était évident, mais son amie ne faisait rien avec nous, elle était centrée sur son compagnon, et apparemment très possessive !

Par contre elle était très exhib, nous étions au spectacle… après avoir masturbé son compagnon pour redonner à son membre une taille et une dureté conséquente, elle est venue s’assoir dessus, elle a fait quelques va-et-vient sur la queue de son homme en gémissant à chaque fois qu’elle s’empalait dessus… tout en restant sur lui, elle a mis ses bras derrière elle et elle a continué ses va et vient, la position lui permettant de s’empaler encore plus sur le membre offert à ses désirs !

Ils ne sont pas restés longtemps dans cette position, fatigante malgré tout ! Son compagnon l’a prise dans ses bras pour la câliner pendant qu’elle le masturbait énergiquement… elle n’avait pas fini et avait encore envie de jouer, c’était évident ! Il s’est levé pour la prendre en levrette tout en faisant signe à Alpha de s’occuper de sa belle ! Mais seuls les seins et le dos de la jeune femme étaient accessibles, Alpha ne s’est pas fait prier pour les caresser, mais le jeu était limité, pas moyen d’accéder au clito, à la chatte ou à l’anus de la miss… le monsieur avait sûrement envie que je revienne m’amuser avec lui, son regard brillant en disait long… mais son amie n’étant pas joueuse du tout avec Alpha, il y avait un déséquilibre désagréable pour moi. La demoiselle était excessivement passive et rien ne laissait croire qu’elle changerait d’attitude… alors que le monsieur était très joueur, trop sans doute au goût de sa belle qui n’appréciait pas du tout de le voir se partager…

Nous avons donc décidé avec Alpha de retourner voir l’ambiance dans le jacuzzi… et de les laisser s’amuser à deux ! Nous les retrouverons, un peu plus tard, au bar au moment du buffet.

En arrivant dans l’eau, nous retrouvons deux des couples que nous avions laissés et qui avaient entamé un rapprochement… c’était le feu d’artifice final… L’une des jeunes femmes était entre les deux hommes, elle était maintenue par l’un des deux, dont la femme (bi) était derrière et elle faisait face à son mari qu’elle masturbait énergiquement sous l’eau… elle l’a masturbé jusqu’à ce qu’il jouisse apparemment! Les deux couples se sont alors séparés, un homme seul s’est rapproché d’un des couples et les a même suivis lorsqu’ils sont sortis, pensant sans doute pouvoir jouer avec eux… nous pensions plutôt qu’ils se dirigeaient vers le buffet, il était temps s’ils voulaient manger un peu avant qu’il n’y ait plus rien !

Nous sommes restés tranquillement dans l’eau, un couple face à nous offrait un beau spectacle, à tour de rôle, ils se sont sucés sur le bord du jacuzzi, se donnant un plaisir évident…

Un autre couple, lui jeune, elle très âgée sont entrés dans le jacuzzi. Nous les avions vus au buffet, ils avaient été grossièrement impolis en arrivant, s’appropriant sans façons la place d’Alpha, malgré la présence de sa serviette sur le matelas… et ils avaient ignoré Alpha à son retour avec nos cafés et ce malgré la pointe d’humour qu’il leur avait lancée en revenant et en voyant qu’ils n’avait plus sa place ! A peine étaient‐ils arrivés dans l’eau que je dis à Alpha : eux, ce n’est pas la peine ! A croire que je sentais qu’ils allaient vouloir jouer… Alpha non plus n’en avait absolument pas envie, vu leur comportement au buffet. J’aime bien lorsque nous sommes sur la même longueur d’ondes tous les deux (rire) ! Lorsque, inévitablement, ils ont commencé à se rapprocher de nous dans l’eau et à me toucher, j’ai pris grand plaisir à leur dire fermement non…!

Il n’était pas tard, 21h15, mais nous avions rendez‐vous en ville… Les jours se suivent et ne se ressemblent jamais dans ce club, impossible de savoir à l’avance sur qui on va tomber. Aujourd’hui, rien de bien notable, mais deux semaines auparavant, dans une ambiance a priori plus morose, nous avions très agréablement coquiné successivement avec deux couples et trois hommes seuls ! Nous nous sommes rhabillés en pensant à la semaine prochaine, peut‐être ferons nous une belle rencontre comme nous aimons avant nos vacances, qui seront à n’en pas douter, très libertines…

Jour de soldes, perles à gogo (2ème partie)

(Alpha raconte) 

... Ma miss est terriblement excitée par tous ces préliminaires, je l’adore quand elle est en feu, un vrai petit volcan ! Cette fois notre coin câlin préféré est fermé, l’hôtesse a trouvé qu’il y avait trop peu de monde pour le laisser accessible, ça lui fera du ménage en moins… Il ne nous reste plus qu’à aller dans le mini-donjon, équipé de glory holes… Je fais remarquer à ma chérie que c’est soirée mixte, ce qui nous promet sans doute la visite d’hommes seuls….

Nous nous allongeons quelques instants sur le matelas dans la cage aux lourds barreaux en fer noir pour nous relaxer et nous caresser. Mais Caresse est en feu, elle n’en peut plus et a décidé de prendre les choses en main, elle sort nos jouets de notre sac à malices…. Bracelets de cuir, pinces, collier de chien, chaînette et cordes, en un tour de main elle m’a équipé de pied en cap en esclave soumis à ses désirs et ils sont ardents, ses désirs, ce soir…

Elle m’emmène à quatre pattes, laisse attachée au cou, jusqu’au petit salon près des deux glory holes, s’assied dans le fauteuil et m’ordonne de lui lécher la chatte détrempée d’excitation. Du bruit se fait entendre de l’autre côté de la paroi, une bite en érection apparaît dans le trou juste à côté d’elle… Elle commence à la sucer en lui malaxant les couilles, tout en me maintenant fermement appuyé contre son sexe. Plusieurs fois, des tentatives d’entrer dans le mini-donjon se font entendre, les hommes seuls piaffent d’envie dehors car ma miss chante à merveille sous mes coups de langue, mais la porte est fermée et nous n’avons pas l’intention de l’ouvrir, du moins pour l’instant…

Sentant que l’homme de l’autre côté de la paroi commence à être passablement excité, elle le reprend dans sa main…. Il ne lui faut plus longtemps pour le faire éjaculer sur ses seins, un joli collier de perles blanches très décoratif… l’homme se retire, mais je continue de lui lécher la vulve et le clito, ce qui la fait chanter de plus belle ! Une deuxième queue se présente dans l’orifice, toute noire, fine et longue : elle la saisit et la suce un peu puis me redresse et me la donne en main… Je m’exécute et branle cette nouvelle queue bien dure, hummm, son propriétaire doit être en train de se faire un joli film de l’autre côté. Il éjacule lui aussi très vite, un deuxième collier de perles, blanches aussi, sur la poitrine de ma belle… Je reprends mon poste entre ses cuisses et lèche son délicieux miel avec application.

Pour faire un beau collier de perles, il faut néanmoins trois rangs… Le troisième candidat ne tarde pas à apparaître dans la petite ouverture : une belle queue bien raide, avec un gland de belle taille en forme de champignon, pas aussi développée que la queue d’Aladin, mais pas petite non plus. Ma miss la suce goulûment, l’excitation est à son comble, mais elle n’en peut bientôt plus, elle crie de plaisir et est secouée de soubresauts. Dans l’intervalle, elle a donc repris cette troisième queue dans sa main droite, impossible pour elle de continuer à la sucer. Il ne faudrait pourtant pas décevoir notre homme : ni une ni deux, ma miss me tire par la laisse et me fourre la queue dans la bouche, à mon tour de continuer le travail ! Je suis donc contraint d’enfourner ce membre viril inconnu, sans protestation possible ni recevable d’ailleurs, ma miss ayant pris soin d’équiper monsieur d’un joli préservatif coloré. Le spectacle qu’elle s’offre ainsi semble la réjouir beaucoup, ma bouche va et vient sur toute la longueur du sexe masculin pendant que ma miss me maintient avec la laisse, la tendant parfois de sorte que ma bouche reste empalée sur ce sexe jusqu’à la garde.

Remise de ses émotions, Caresse finit par avoir pitié de son esclave et reprend l’initiative : elle ôte le préservatif et masturbe vigoureusement notre ami. Il ne tarde pas à lui offrir son troisième rang de perles…. C’est jour de soldes aujourd’hui, ma miss s’est offert un splendide collier de trois rangs de perles !

Mais je n’ai pas encore eu mon compte… Elle me traîne à nouveau vers la cage, je me mets debout et elle m’attache pieds, mains et cou aux barreaux, un bandeau noir sur les yeux, le bâillon boule en place, pinces sur les seins et couilles ligotées, tendues vers les pieds… Puis elle ouvre la porte du donjon !!!

Elle revient me masturber et me sucer, s’interrompant de temps à autre pour accueillir des visiteurs. Peu semblent vouloir participer, à mon grand soulagement, seul un homme demande la permission de s’asseoir dans le petit salon pour nous regarder. Ma chérie me racontera après coup qu’il était très excité et a passé son temps, sans rien dire, à se masturber en nous regardant.

Pour ma part, les sensations sont délicieuses : je suis entravé de partout, la tension sur mes tétons est sensible à chaque mouvement et je ne peux guère contrôler ceux-ci sous les caresses manuelles et buccales appuyées de ma miss. Je sens d’autres personnes s’approcher dans mon dos, des frôlements, des chuchotements, un couple, plusieurs hommes seuls…

Quelle excitation et quel bonheur de partager ces jeux avec ma chérie ! Au bout d’un moment, notre spectateur s’est fait éjaculer et est sorti pour se doucher. Puis il est revenu s’installer dans le salon, il ne voulait sans doute pas perdre la suite des événements. Avec raison… quelques instants plus tard, c’est à mon tour d’éjaculer violemment et de donner à ma Caresse son 4ème rang de perles de la journée…. !! Le plus beau dira-t-elle en riant, avec des perles magnifiques !

Si on compte aussi Maelis, Jasmine et ma Caresse, que de perles en cette belle journée !

Nous sortons du club à la fermeture, il fait nuit, et savez vous ce que me demande ma chérie, gourmande, en sortant ?

…. une barbe à papa géante à la fête foraine tout près ! Eh oui, incroyable… gourmande jusqu’au bout ce soir là ma Caresse !