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Sur ce blog nous racontons notre vie de libertins. Nos récits parlent de nos sorties et de notre vision du libertinage... Les lieux et endroits sont "améliorés", les repas "enrichis", l'histoire est parfois romancée afin que toute ressemblance avec la réalité ne puisse qu'être fortuite. Bonne lecture.
Caresse et Alpha
On this blog we are unveiling our swinger lifestyle. Our stories tell about our swinger parties and develop our vision of this particular way of life.
Places and meals are sometimes "improved", names are changed and the story itself may be "adapted" or even fully invented...
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Caresse (she) and Alpha (him)

samedi 30 avril 2016

Un régime de bananes dans les glory holes (1/2)

(Alpha raconte)

 
Cela faisait un moment que nous n’étions pas revenus au Différent : entre les événements du quotidien, les déplacements à Bayonne et Toulouse, nous avions un peu délaissé ce club que nous appréciions encore à cette époque. Cette fois, notre retour a été un festival, on n’avait jamais vu ça, même au 72 à Toulouse !

Miss a, dans l’intervalle, entamé un régime strict à base de jus de concombres (non, non, pas de regard grivois, seulement par voie orale !!! Elle ne donne pas encore dans la légumophilie!).

Aujourd’hui Alpha va aussi entamer un régime… de bananes dans les glory holes (voie orale également, deviendrais-je bananophile ?)  Pas moins de 10 grosses bites d’affilée, sans compter les 3 autres après dans le coin glamour et le jacuzzi (voir récit suivant)… Oops !

C’est aussi le retour de la pluie ce dimanche, après presque deux mois de soleil ininterrompu. Le ciel est jaunâtre et triste, il nous donne envie de filer au club dès la fin du déjeuner, le club ouvre en effet dès 13h00. Nous sortons de la maison sous une averse torrentielle qui nous suit jusque dans le quartier des Chartrons. Par chance nous trouvons une belle place de parking dans la ruelle qui mène au club, à peine 50m à faire à pied, mais il faut quand même le parapluie.

Une jeune femme brune nous ouvre, je ne me souviens pas d’elle mais miss me chuchote que c’est la « tenancière » habituelle, la jeunette que nous voyions en juillet devait être une intérimaire. A l’intérieur on y voit mieux que d’habitude dans la pénombre, la jeune femme m’explique que c’est normal quand il fait mauvais dehors : rien n’a changé quant à l’éclairage.

D’emblée nous avons l’impression qu’il y a du monde, au bar déjà puis au vestiaire. Le temps de se déshabiller, deux autres couples sont arrivés sur nos talons et pendant que nous prenons un café au bar ça ne cesse d’entrer, tant des couples que des hommes seuls…

Nous filons au jacuzzi, là aussi peu de patères disponibles pour les serviettes. Miss passe devant et entre dans un jacuzzi bondé comme nous l’avons rarement vu ici. Il est vrai que nous avons eu pire, en termes de concentration de corps nus, dans le jacuzzi des Bains de St Aubin à Toulouse, qui est de surcroît plus vaste que celui-ci ! Mais aujourd’hui, la densité est comparable, nous réussissons à nous glisser sur l’un des derniers espaces disponibles de la banquette.  Les suivants devront rester à genoux au milieu du bassin…

Juste à côté de nous, derrière l’escalier, un couple  de quinquagénaires batifolent à deux dans l’eau en nous lançant des regards que l’on devine lubriques. Miss me dira ensuite que, dès le début, l’homme a tenté de lui caresser la cuisse, malgré que je sois assis entre eux et elle.  Elle le trouve lourd, mort de faim, irrespectueux… Nous nous écartons un peu sur la droite quand l’homme seul assis à côté de nous quitte le jacuzzi. Mais le couple de morts-de-faim nous suit en se décalant eux aussi, et l’homme continue son manège. Je change de place pour me mettre en face de ma miss et l’embrasser. Et là c’est moi qui sens une main féminine sur ma cuisse, madame s’y met aussi ! Comme ma chérie n’a pas du tout envie de se coltiner un couple de morts-de-faim, nous quittons le bassin, en direction des glory holes… Nous n’allons pas le regretter.

 A peine arrivés dans notre coin préféré, équipé de 4 trous dans le mur (3 au niveau du matelas surélevé, 1 complètement à gauche devant lequel on peut se mettre à genoux par terre), et le temps de faire une petite inspection visuelle du matelas (c’est nickel, nous devons être les premiers aujourd’hui), une première queue piaffe déjà dans le trou du milieu. Ma chérie s’en saisit et la caresse dans sa douce menotte, puis rapidement l’équipe d’un préso à la banane (pour notre dernière commande sur le site « le roi de la capote », il n’y avait plus de présos au chocolat !!!) et me la passe. Je la prends immédiatement dans ma bouche pendant que ma miss continue de lui serrer la base du sexe entre ses doigts.

Mais une deuxième queue apparaît dans le trou de droite. Ma miss ne se le fait pas dire deux fois et en prend possession comme elle avait fait avec celle que je suis en train de sucer. Elle entame elle aussi une fellation à la banane, au moment où la mienne se raidit et éjacule longuement dans le préservatif. Je la laisse et rejoins ma chérie qui me passe la deuxième bite à sucer : elle est nettement plus grosse que la première, elle me remplit toute la bouche même sur les côtés, un vrai délice ! Ma Caresse la maintient à la base, comme tout à l’heure, mais elle est coincée par la cloison derrière elle et finalement se recule pour aller m’admirer, allongée sur les coussins du fond.

C’est alors que le troisième trou, celui de gauche, se garnit d’une belle bite en érection. Ma miss la masturbe pour l’encourager. Mais l’homme se retire avant qu’elle ait eu le temps de lui enfiler un préso. Dommage ! Elle retourne contre les coussins tandis que je continue de prodiguer ma diabolique fellation à la grosse queue bananée qui va-et-vient sur ma langue jusqu’au fond de ma bouche.

Cette bite ne jouit pas, j’appelle ma chérie à la rescousse pour prendre le relais mais elle me fait signe que non, elle est très bien, allongée au fond… Je finis par lâcher cette queue trop endurante, ayant aperçu une nouvelle bite, la quatrième, dans le trou du milieu. Elle est aussi grosse que la précédente, je l’admire et la caresse longuement de la main en demandant à ma chérie de me passer un préso. Mais, pas de chance, elle me le donne à l’envers, raté !! Comme il a touché le gland de l’inconnu, nous le jetons. Ma miss m’en présente un autre, en mettant cette-fois son doigt du côté intérieur pour que je voie bien, il est vrai que dans la quasi-obscurité de ce coin câlin il n’est pas toujours évident de trouver le sens de déroulement des préservatifs !

Ma persévérance est récompensée, l’homme ne s’est pas découragé et il bouge bien. Il prend souvent le lead et m’imprime son rythme : je me borne alors à appuyer le front sur la paroi, mon partenaire décidant de la profondeur et de la force de sa pénétration. Pendant ce temps, ma coquine un peu désœuvrée s’est mise à me faire un anulingus et à me masturber par-derrière. C’est très excitant, j’adore !!! Hélas, ma position à quatre pattes avec une grosse bite qui me remplit la bouche me casse les cervicales et surtout je commence à avoir mal au front… Je connais le problème, mon front frotte sur la paroi et finit par être irrité, c’est pas top pour retourner devant les collègues de bureau le lendemain (« oh, qu’est-ce que tu as fait sur ton front ?? »). Je suis donc obligé de m’allonger et de renoncer temporairement aux délicieuses privautés de ma chérie, snif !

La grosse bite maintient sa pression dans ma bouche, c’est elle qui décide et je subis son bon vouloir. Mais j’aperçois une nouvelle queue, plus petite et avec un gland pointu, dans le trou de droite et je la prends dans ma main droite sans lâcher la grosse queue de mon « maître » de circonstance qui semble vouloir m’éduquer la bouche. Je me retrouve ainsi à sucer une bite tout en en masturbant une autre, la cinquième du jour.

La sixième vient d’apparaître dans le trou à ma gauche et c’est ma miss qui s’en occupe tout d’abord. Elle est aussi très grosse avec de belles couilles épilées (celles de mon partenaire sont en revanche plutôt velues). Soudain, la petite bite pointue se raidit dans ma main droite et éjacule, je sens son jus chaud et gluant couler sur le dos de ma main mais je continue de la caresser, de la presser plus doucement pendant encore une ou deux minutes, pour lui faire dégorger tout son foutre avant qu’elle ne se retire.

Tout de suite après, la grosse queue accélère ses mouvements dans ma bouche et vient se bloquer tout au fond de ma gorge, mes lèvres enfouies dans la toison pubienne de l’homme pendant qu’il jouit longuement, le bas-ventre fortement pressé contre l’extérieur de la paroi du glory hole. Puis il se retire doucement, le préso à la banane bien rempli de semence blanchâtre… Je recule également pour aller nettoyer ma main poisseuse de sperme chaud avec l’essuie-tout et nos lingettes désinfectantes !

Ma chérie n’a pas perdu son temps et le sixième homme est bien en forme quand je reviens vers elle. Elle me passe sa queue en me chuchotant qu’il faut lui tenir les couilles bien serrées sinon il débande. OK, je me conforme à ses instructions et me mets à sucer cette nouvelle grosse bite en lui tenant les couilles à la base entre le pouce et l’index de ma main droite. J’en profite aussi pour m’allonger un peu sur la tranche le long de la paroi, au cas où quelqu’un aurait envie de me masturber par le trou du milieu, voire peut-être me sucer ? Dans l’immédiat, c’est ma chérie qui en profite, elle me gratifie sur-le-champ d’une fellation dont elle a le secret… Mmmmmmm !!!

Justement, une septième bite apparaît dans le trou du milieu : plus petite et plus bronzée que les précédentes, elle a aussi une forme un peu bizarre, avec un gland proéminent comme le chapeau d’un champignon. Je la prends dans ma main droite après avoir transféré les couilles de mon partenaire dans la gauche, sans interrompre la fellation que me fait ma chérie.  Cette fois je masturbe donc une queue, en suce une autre tandis que je me fais également sucer… Quel pied !

La sixième queue finit par jouir brièvement dans ma bouche, je me retire et me concentre sur la queue-champignon qui a pris du volume, au point que la hampe a maintenant quasiment le même diamètre que le gland-champignon. Ma miss me passe un préso au chocolat qui tombe malencontreusement sur le matelas, dans le noir. Oops, pas facile à retrouver, justement un des rares présos au chocolat qui nous restait, je sens que ma chérie va défaillir de déception si je ne lui retrouve pas son Leonidas à sucer…

Pendant que je cherche et retrouve le préso au chocolat, ma Caresse a pris le relais et maintenu la septième queue bien en forme. Je lui passe le petit capuchon de latex noir et j’avise une huitième bite apparue dans le trou de droite. Elle est grosse et déjà bien dure quand je la prends dans ma main, manifestement son propriétaire s’est déjà auto-motivé ou alors il nous a matés longuement à travers le trou. Mais ma chérie me fait signe de revenir vers la queue-champignon, aujourd’hui c’est moi qui suis à la fête.

Je reviens donc vers la petite queue chocolatée, tout en gardant la grosse dans ma main droite. Très rapidement celle-ci a des soubresauts et jouit dans ma main, je sens de nouveau le sperme couler abondamment entre mes doigts, me poissant la paume. Mais j’ai commencé à sucer la petite queue-champignon et je lâche donc la grosse queue qui vient de rendre son jus pour me concentrer sur la petite dernière.

Ma miss profite de cette accalmie pour aller faire quelques ablutions aux toilettes, me laissant seul dans le coin câlin ouvert. « Pas de souci, me dit-elle narquoise, tu risques juste de te faire sauter dessus par deux ou trois mecs… »… A vrai dire, l’idée m’excite mais cela n’arrivera pas, du moins pas aujourd’hui. Je continue de m’appliquer à sucer la queue-champignon qui finit par jouir elle aussi dans ma bouche.

Une petite pause est bienvenue après avoir joué avec ces huit queues, je m’allonge sur le dos au fond du coin câlin, le visage près du trou de droite, et ma Caresse revient pour me sucer. Aux toilettes, elle a rencontré un de nos partenaires avec qui nous avons plusieurs fois joué : José, un homme bi très actif, un vrai plaisir de coquiner avec lui. Bonne nouvelle, me dis-je, mon petit trou devrait aussi être à la fête aujourd’hui… et en effet… hummm… mais pas tout de suite !

Pendant que ma miss me suce de nouveau délicieusement, une neuvième queue point dans le glory hole au-dessus de ma tête : elle est grosse et couillue, je la prends dans ma main pour la mettre en forme. Je surveille tout de même que l’homme ne m’éjacule pas intempestivement sur la figure, je détesterais avoir la tronche barbouillée du sperme d’un inconnu !  

Juste après apparaît une dixième queue dans le trou du milieu. Je la prends dans ma main droite, elle est plus petite et fait des mouvements bizarres, elle se retire complètement et l’homme vient alors me caresser les doigts de sa main. A un moment, il se met carrément à me sucer les doigts !! Ca me fait drôle, je sens ses dents et sa langue, ma chérie m’expliquera plus tard que ça lui arrive souvent, c’est un truc de mec hétéro qui cherche une compagne, le type a dû me prendre pour une fille ! Je n’ai pourtant ni ma perruque blonde  ni mes escarpins…

Il finit d’ailleurs par me lâcher et s’en aller. La grosse queue au-dessus de moi se retire aussi, mais elle prend aussitôt la place laissée par l’inconnu romantique dans le trou du milieu. Je me transfère donc vers elle et la reprends dans ma bouche. Pendant ce temps, ma chérie est retournée s’installer sur les coussins du fond et avise une onzième bite dans le trou de gauche : elle se met à la masturber avec les pieds… une technique déjà éprouvée au 72 jadis !! Mais cette bite bande mou, elle finit par s’en aller, remplacée par un bras qui vient lui caresser le minou. Ca à l’air de lui plaire, je l’entends commencer à chanter, puis à gémir crescendo pendant que la grosse bite de mon partenaire continue ses mouvements dans ma bouche gloutonne. Ma chérie finit par atteindre un premier orgasme pratiquement au moment où j’achève la grosse queue qui jouit dans ma bouche.

Nous sommes un peu « rincés » après ce copieux régime de bananes et les « clients » semblent plus rares. Il est temps de retourner à la douche et au bar, l’après-midi est loin d’être finie…

(à suivre)






dimanche 10 avril 2016

Road-trip autour de Toulouse (1/2)


(Alpha raconte)

Pour le pont de l’Assomption, nous avons décidé de nous faire un programme éclectique tournant autour de deux concerts publics d’un groupe dont nous sommes fans. Nous avions leurs dates et c’était celles du weekend du 15 août qui nous convenaient le mieux : une première date le 15 même aux confins de la Haute-Garonne et de l’Ariège, puis une autre deux jours plus tard, le samedi 17, à Rabastens dans le Tarn.

Nous avions évité les grands axes de circulation et préféré les chemins de traverse… Une petite halte gastronomique et récréative à Belvès, dans le Périgord Noir, augurait bien de ce weekend de détente ! Ma chérie s’endormit dans la voiture, bercée par les virages entre Villefranche-du-Périgord et Cahors… Peu de monde sur l’A20, nous atteignîmes notre fabuleux B&B juste à temps pour piquer une tête dans la grande piscine du parc, avant de gagner la place du village où se déroulait la fête attendue.

Rentrés à 1 heure du matin, nous nous octroyons une bonne grasse matinée dans le calme de la campagne ariégeoise, puis un solide petit déjeuner avec nos hôtes. Nous avons renoncé à aller faire nos provisions au marché de Muret, nous filons donc directement sur Toulouse, ma miss a envie de sushis…

Bien évidemment, le 72 étant à deux pas du restaurant japonais, quoi de plus normal que d’aller y trouver de la fraîcheur et de l’ombre alors que l’après-midi toulousain s’annonce une nouvelle fois accablant de chaleur ? Nous avions réalisé, il y a plusieurs années, qu’un jacuzzi libertin à l’ombre est en effet un bon plan pour se rafraîchir en été, étonnant non ?

La rue du 72 est quasi-vide, pas de surprise nous sommes le 16 août. C’est Sébastien qui nous accueille, heureux de nous voir semble-t-il car la fréquentation est basse… Nous passons au bar prendre le café que nous avons omis au restaurant japonais puis direction le jacuzzi. Pas grand-monde en effet, un couple et deux hommes seuls… Sébastien nous rejoint alors que nous sommes déjà dans le bassin et plonge sa main derrière nos fesses pour placer une sorte de bouchon. Intrigués nous lui demandons ce qu’il fait : c’est un filtre qu’il replace sur une bouche aspirante, mais il me dit que je peux aussi, si je préfère, y mettre ma queue, effet garanti !!

Vu le peu d’action dans le jacuzzi – les hommes seuls semblent en hibernation – je me demande en effet si ce n’est pas ce que je vais faire ! Non, finalement nous préférons aller dans le coin des glory holes, qui sait, peut-être une queue en déshérence viendra-t-elle tenter sa chance dans l’un des trous ?

Nous passons un bon moment à nous câliner sans rien voir arriver. Mais ma chérie ne veut plus attendre, ça fait plusieurs jours que nous n’avons pas eu le temps de faire l’amour avec nos rythmes de vie trépidants ! Elle décide de me ligoter comme à la maison, sur la tranche droite, pieds et poings liés, collier de chien, bâillon-boule, cockring et pinces de seins… Après m’avoir goulûment sucé pour me mettre en forme, elle ne peut résister à l’envie de s’empaler en cuillères sur ma queue énorme.

C’est alors qu’apparaît, dans le trou devant elle, une grosse queue un peu molle, quelle aubaine ! Ma miss la prend dans sa menotte et la masturbe pendant que je continue de la prendre par-derrière. Entravé comme je le suis, je ne peux guère bouger que mon bassin d’avant en arrière, mais c’est amplement suffisant pour lui déclencher un premier orgasme vaginal qui apparemment excite davantage l’homme qu’elle tient dans sa main.

L’homme bande ferme maintenant, sa bite est grosse et dure et ma chérie cherche de sa main libre notre pochette à préservatifs : elle équipe le membre en érection d’un joli tube en latex transparent qu’elle a un peu de mal à dérouler sur toute sa longueur tant ce braquemart est gros. Elle le prend dans sa bouche sans avoir à aucun moment cessé de remuer ses hanches autour de ma propre queue, tendue à se rompre.

Je me demande si elle ne va pas être tentée de faire entrer l’homme, en fait je n’ai pas tellement voix au chapitre avec le bâillon-boule bien serré dans ma bouche. Mais elle ne semble pas intéressée, plusieurs fois elle sort la queue de sa bouche et se remet à la masturber à la main. Elle regarde aussi dans le trou voisin, sur sa gauche, il y a apparemment un autre candidat… Elle m’expliquera ensuite qu’elle avait vu le nouveau venu tenter de caresser la grosse queue du type qu’elle suçait, ce qui lui a fait penser qu’il devait être bi, à la différence du premier qui continue de bander comme un taureau.

Elle ne tarde d’ailleurs pas à l’achever, l’homme rugit sourdement et éjacule à longs traits dans le préservatif qui se remplit de sa semence blanche. Ma miss le lâche aussitôt et se présente à l’autre trou en demandant : « tu veux entrer ? »  Je suis très surpris car elle n’a pas encore joué avec l’homme et bien sûr j’ignore le petit jeu qui s’est produit quelques minutes auparavant. Elle se lève et va lui ouvrir la porte.

Un homme d’une quarantaine d’années entre et se présente : Jean-Paul, il constate avec amusement mon état de soumis ligoté tandis que ma chérie lui explique que c’est un petit jeu que nous affectionnons. Cela ne semble aucunement rebuter Jean-Paul qui monte sur le matelas à genoux devant ma Caresse qui saisit sa queue et se met à le sucer. A ce moment, je suis spectateur passif de leur duo mais aussi offert à leurs regards, ma bite dressée bien dure dans le cockring en cuir qui l’enserre, je ne risque pas de débander après le traitement que m’a fait délicieusement subir ma chérie…

Jean-Paul s’intéresse d’ailleurs à ma queue, il la prend dans sa main droite, semble l’évaluer et la masturbe doucement pendant que ma miss suce ardemment la sienne. Mais elle se redresse et lui dit qu’elle n’aime pas que je m’ennuie, aussi lui propose-t-elle de me donner sa queue à sucer ! Aussitôt dit, aussitôt fait, Jean-Paul s’avance à genoux et vient me fourrer sa bite en érection sous le nez, tandis que ma chérie fait glisser mon bâillon-boule vers le bas. Jean-Paul avance encore et prend possession de ma bouche avec son braquemart turgescent auquel il imprime un mouvement d’avant en arrière.

Ma chérie s’est glissée derrière lui et vient lui titiller les couilles en passant sa petite main entre les cuisses de l’homme. Jean-Paul est disert :
Ouh, il suce bien… ! 
- Oui, c’est une bonne suceuse, lui répond-elle
- Aaaah, c’est dur… !!
Il n’a pas le temps d’achever sa phrase qu’il éjacule puissamment dans ma bouche, y reste encore un moment puis se retire. Il voulait sans doute dire que c’était dur de résister, et en effet il n’a pas tenu longtemps, moins de deux minutes en tout ! Ma miss lui confirme que nous sommes redoutables quand nous nous y mettons à deux…

Jean-Paul s’excuse d’avoir joui si vite, mais franchement cela ne nous dérange pas, l’essentiel est de s’amuser et de prendre du plaisir ensemble. Il s’éclipse vers la douche et nous reprenons nos jeux à deux. Mais nous avons piqué une suée, il est difficile de s’y remettre : retour au bar puis dans le jacuzzi !

Devant le peu d’action et malgré la fatigue naissante, je fais valoir à ma chérie que nous n’aurons pas beaucoup de temps à nous ce soir encore et qu’il vaudrait mieux retourner jouer dans le coin câlin… Il est vrai que nous n’en pouvons plus, les câlins nous manquent depuis trois jours !

Cette fois nous n’allons pas dans les glory holes mais dans une alcôve au fond du coin couples. Au autre couple est dans l’alcôve voisine mais ils partiront 5 mn après notre arrivée. Nous en profitons donc pour nous faire un long câlin à deux, comme nous aimons, et nous atteindrons ainsi un délicieux orgasme à deux. Le manque des derniers jours ? L’ambiance du 72 après une longue absence ? Un plaisir très intense qui ne s’explique pas, mais se savoure !