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Sur ce blog nous racontons notre vie de libertins. Nos récits parlent de nos sorties et de notre vision du libertinage... Les lieux et endroits sont "améliorés", les repas "enrichis", l'histoire est parfois romancée afin que toute ressemblance avec la réalité ne puisse qu'être fortuite. Bonne lecture.
Caresse et Alpha
On this blog we are unveiling our swinger lifestyle. Our stories tell about our swinger parties and develop our vision of this particular way of life.
Places and meals are sometimes "improved", names are changed and the story itself may be "adapted" or even fully invented...
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Caresse (she) and Alpha (him)

mardi 20 juin 2017

Douche de sperme dans les glory holes


(Alpha raconte)
 
Je n’avais pas prévu d’y aller cet après-midi mais l’occasion s’est présentée en dernière minute. Je parviens au Container vers 15h et je salue JC, notre hôte avec qui je prends l’habituel petit café au bar.

Puis je monte dans les glory holes verticaux : il y a déjà des « suceuses » en pleine action. Un homme de petite taille aux fesses bien rebondies est en effet en train de sucer goulûment une bite à travers l’un des trous. Il y a d’autres « suceuses » qui attendent ou regardent en se branlant… je me dis qu’il y a de la concurrence, je vais faire un tour au jacuzzi en attendant que ça se calme. Je constate qu’au moins il n’y a que des hommes aujourd’hui, pas la moindre femelle en vue ni les quelques travesties habituées. Ca devrait donc être assez « chaud » !

Quand je reviens, il n’y a plus personne. Je me mets en position debout dans l’angle, attendant les « clients ». Il en passe deux ou trois, pour une petite sucette sans lendemain : il y a souvent beaucoup de zapping dans cette activité. Puis arrive sur ma droite une petite queue chaude et déjà toute dure. Je peine à l’attraper dans la main droite car elle ne s’enfile pas complètement dans le trou, son propriétaire m’a l’air passablement excité : il va et vient d’avant en arrière en gémissant. Finalement je prends sa bite fermement dans ma main passée à travers la fente du mur et je me contente de la presser en cadence. L’homme devient très dur et se met à soupirer en disant : « Ah je vais jouir, oui c’est bon !… » et de fait, je sens soudain un liquide chaud et gluant dégouliner sur ma main et mon avant-bras. Je desserre lentement mon étreinte avant de laisser filer cet amant trop pressé.

J’ai à peine le temps de le voir partir que le trou du milieu se garnit à son tour d’une queue longue et assez fine. Je l’encourage dans ma main gauche (la droite est poisseuse de sperme) puis dans ma bouche. Il devient bien dur et je m’évertue à l’exciter en le faisant durer : j’alterne gorges profondes, suçotements et aspirations du gland que j’enroule dans ma langue, tout en le serrant à la base de mes doigts. Une autre queue, grosse et un peu courbée à gauche apparaît dans le trou voisin : je la reconnais pour l’avoir sucée tout à l’heure mais elle me semblait un peu suintante, je me contente de la branler de la main gauche. Je continue en même temps de sucer la queue longiligne devant moi mais ma main droite demeure inactive. Dommage, j’avais adoré une fois précédente où j’avais sucé la queue devant moi pendant que j’en masturbais deux autres, une dans chaque main. Un quatrième homme était alors arrivé derrière moi et avait commencé à me branler tout en frottant sa bite dure entre mes fesses… Mmmm, un délicieux moment !

Au bout d’un moment, la grosse bite de gauche a fini par se retirer sans jouir, comme tout à l’heure. Elle est remplacée par une petite bite qui me semble molle quoique excitée. L’homme s’agite de manière désordonnée, j’ai du mal à être synchrone avec lui. Finalement je le serre dans ma main sans bouger, je le laisse prendre son rythme sans interférer. Et d’ailleurs il ne lui faut guère longtemps pour se lâcher : je sens à nouveau une gelée chaude couler sur mon poignet et mon porte-clefs de vestiaire. Un deuxième bracelet…

Je lâche cette queue « achevée » et je me concentre sur celle que je suce car elle me semble elle aussi être presque « à point ».  Je la prends dans ma main et me mets à la masturber activement. Je sens l’homme se tordre et gémir puis il s’immobilise en jouissant sur ma poitrine : quatre ou cinq jets abondants de semence blanche que je sens couler sur mes pectoraux. Un joli collier de perles, à ajouter à mes deux bracelets.

Je me dis qu’il faudrait que je passe à la douche mais ce n’est pas le bon moment : une nouvelle grosse queue apparaît à gauche, déjà emballée d’un préso. Je me mets donc à la sucer, tout en caressant occasionnellement une autre queue de ma main droite encore poisseuse. L’homme a une grosse queue courbe et un gland énorme qui me remplit toute la cavité buccale. Pas de gorge profonde avec lui… En revanche l’aspiration du gland, couplée à l’enserrement des doigts à la base fonctionne bien. L’homme gémit et durcit nettement. Il ne lui faut guère longtemps pour à son tour éjaculer dans le préso qu’il remplit de sa crème épaisse…

Depuis tout à l’heure, j’ai la concurrence d’une trav brune qui tournicote autour des glory holes, zappant d’une queue à l’autre. Je l’ai vue partir dans le coin noir successivement avec plusieurs hommes. Fémininement parlant, je ne la trouve pas très réussie.. mais elle semble quand même avoir du succès, il faudra que je revienne en Sophia un de ces jours.

Pour l’heure, une nouvelle queue est venue se planter dans le trou devant moi, déjà en érection. Je me méfie des hommes un peu trop excités qui pourraient lâcher la purée sans crier gare... Je la prends donc prudemment dans ma main pour examiner son degré d’excitation que je trouve bien élevé. L’homme semble d’ailleurs apprécier que je le masturbe, il bouge bien et ne semble pas demandeur de mes lèvres. Bien m’en prend car il jouit soudain abondamment,  quelques longs traits de sperme chaud, de nouveau sur ma poitrine. Le sperme de son prédécesseur n’avait pas eu le temps de sécher que voilà la deuxième couche. Cette fois je sens des coulures de mon cou jusqu’à mon nombril…

Mais les « clients » se sont dispersés, je décide d’aller voir dans le miroir de la cabine voisine dans quel état je suis. Waouh ! Ce n’est plus un collier de perles, c’est une rivière de diamants !! Avec les bracelets assortis, on dirait que j’ai dévalisé une bijouterie de la place Vendôme ! C’est assez excitant et impressionnant de se voir ainsi couvert de sperme inconnu. Je finis par m’essuyer puis je file me doucher.

En regardant la pendule du bar, je m’aperçois que j’ai vidé les couilles de six mecs en moins de deux heures… j’en suis assez fier ! Je retourne dans les glory holes car j’ai encore du temps et l’envie ne manque pas non plus. Mais je n’y trouve que la trav brune et deux apprenties suceuses ventripotentes qui tournicotent dans tout l’étage. Je décide de passer de l’autre côté pour me faire sucer à mon tour mais, hormis une bouche inconnue qui me fera bander pendant deux minutes, rien d’autre… Je redescends donc du côté des suceuses.

Je vois passer et repasser un petit homme d’une cinquantaine d’années, qui semble lui aussi vouloir sucer. Pas de bol… Mais, au bout d’un moment, il change d’avis et vient se placer de l’autre côté dans le trou me faisant face. Je me mets donc à le câliner et le sucer, il devient bien dur et sa queue, de proportions modestes au départ, devient de taille respectable. Juste assez  pour que je puisse lui faire des gorges profondes, sentir son gland à l’entrée de ma gorge tour en enfouissant mon nez dans sa légère toison pubienne.

Au bout d’un long moment, il me demande en chuchotant si j’accepterais d’aller en cabine avec lui. J’acquiesce et lui propose celle avec le ventilateur, les autres sont trop étouffantes dans l’action. Il s’allonge sur le lit et je lui demande s’il a lui aussi envie de me sucer car je l’avais vu tournicoter dans les glory holes. Il me répond que non, il ne suce pas ! Ah bon, je m’attendais à un petit 69 mais finalement ce sera moi la suceuse encore une fois. Ce n’est évidemment pas pour me déplaire…

Je me place entre ses jambes et reprends mes œuvres, en insistant sur le gland (léchouilles, aspirations), la base que je serre entre mes doigts et les gorges profondes qu’il apprécie particulièrement. Je le suce ainsi longuement, en respirant avec peine dans cette position allongée. Il décide alors de passer ses jambes en ciseau sur mes hanches et me prend la tête avec une main pour m’enfoncer sa queue bien au fond. Puis il innove : il décroise les jambes et vient prendre entre ses deux plantes de pieds mes couilles déjà emprisonnées dans mon cockring en cuir. Il me les malaxe et les étire ainsi, me faisant bander comme un âne…

Il se met alors à donner des coups de bassin pour aller et venir de toute la longueur de sa bite dans ma bouche. Je sens son gland au fond de ma gorge et je m’efforce d’ouvrir grand les lèvres, en sortant la langue, pour qu’il puisse se frayer un chemin le plus profond possible. Soudain il me dit qu’il va jouir et je m’écarte, appuyant la tête sur le haut de sa jambe. Il éjacule alors en quelques traits dans sa main, répandant son sperme sur son ventre et sa poitrine. Une jolie carte d’ïle au trésor ma foi…

Après avoir pris congé en me remerciant, je repasse aux glory holes. La trav tournicote toujours ainsi qu’un de mes anciens amants, un quinquagénaire barbu et finement poilu, doucement parfumé, avec qui j’ai déjà baisé deux fois auparavant. Il a un peu un look de professeur d’université… Je ne sais pas s’il me reconnait car il garde ses lunettes et semble ne pas voir grand-chose dans la pénombre. Après plusieurs passages, il me propose sa queue à sucer dans un glory hole. Je la reconnais, fine à l’extrémité et épaisse à la base… Ce qui permet de l’engloutir profond en ayant le sentiment de bouche bien pleine quand mes lèvres atteignent son pubis. La trav nous observe, je devine avec un peu d’envie.

Mon « professeur » repart faire un tour après m’avoir caressé les fesses au passage et la trav n’y tient plus : elle prend sa place et me propose sa grosse bite courbe… Mmm, bien membrée la demoiselle ! Je la suce un petit moment puis elle s’en va sans un mot. L’heure de rentrer, avant de se transformer en citrouille ?

J’attends, pensant que mon professeur va sûrement revenir me voir quand il aura compris que le club est en train de se vider… Ca ne rate pas, il revient en effet, me fait de nouveau sucer sa belle bite en gorge profonde puis passe me rejoindre dans le tunnel des suceuses. Je reste face à la paroi et il se place dans mon dos, me pinçant les tétons en me fourrant sa bite dure entre les cuisses. Il s’excite un moment ainsi, ce qui me fait bander moi aussi, puis me retourne et nous échangeons pincements de tétons et masturbation queue contre queue. Il me suçote les pointes de seins, que j’ai volumineuses comme deux fraises des bois, et je lui rends la politesse, en me souvenant qu’il était très sensible de ce côté. Puis il se redresse et attend. Je comprends qu’il me faut passer à genoux et le reprendre dans ma bouche…

Des ombres vont et viennent, nous matent puis disparaissent. Je suis maintenant à ses genoux, mains levées pour lui pincer les pointes de seins pendant que je le suce. Lui ondule des hanches en gémissant et en me prenant la tête à deux mains pour m’enfoncer sa bite tout au fond. Plusieurs fois il se retire comme s’il allait jouir, mais non, il me propose de nouveau son gland puis toute sa hampe jusqu’à la garde.

Finalement, il me prévient que ça vient, je me retire et reste à genoux devant lui, yeux fermés tandis qu’il se met à se masturber frénétiquement. Je sens alors plusieurs jets chauds inonder mon visage et dégouliner sur mon menton, ma poitrine… Encore un collier de perles, c’est la journée ! L’homme me remercie et s’éclipse vers la douche. Je retourne m’admirer dans le miroir : waouh, il a juté abondamment, j’en ai plein partout, c’est assez hallucinant…

Je retourne à la douche, la journée a été bonne… Je me suis bien régalé !

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