(Alpha raconte)
Je n’avais pas prévu d’y aller
cet après-midi mais l’occasion s’est présentée en dernière minute. Je parviens
au Container vers 15h et je salue JC, notre hôte avec qui je prends l’habituel
petit café au bar.
Puis je monte dans les glory
holes verticaux : il y a déjà des « suceuses » en pleine action.
Un homme de petite taille aux fesses bien rebondies est en effet en train de
sucer goulûment une bite à travers l’un des trous. Il y a d’autres « suceuses »
qui attendent ou regardent en se branlant… je me dis qu’il y a de la
concurrence, je vais faire un tour au jacuzzi en attendant que ça se calme. Je
constate qu’au moins il n’y a que des hommes aujourd’hui, pas la moindre
femelle en vue ni les quelques travesties habituées. Ca devrait donc être assez
« chaud » !
Quand je reviens, il n’y a plus
personne. Je me mets en position debout dans l’angle, attendant les
« clients ». Il en passe deux ou trois, pour une petite sucette sans
lendemain : il y a souvent beaucoup de zapping dans cette activité. Puis
arrive sur ma droite une petite queue chaude et déjà toute dure. Je peine à
l’attraper dans la main droite car elle ne s’enfile pas complètement dans le
trou, son propriétaire m’a l’air passablement excité : il va et vient
d’avant en arrière en gémissant. Finalement je prends sa bite fermement dans ma
main passée à travers la fente du mur et je me contente de la presser en
cadence. L’homme devient très dur et se met à soupirer en disant : « Ah je vais jouir, oui c’est bon !… »
et de fait, je sens soudain un liquide chaud et gluant dégouliner sur ma main
et mon avant-bras. Je desserre lentement mon étreinte avant de laisser filer
cet amant trop pressé.
J’ai à peine le temps de le voir
partir que le trou du milieu se garnit à son tour d’une queue longue et assez
fine. Je l’encourage dans ma main gauche (la droite est poisseuse de sperme)
puis dans ma bouche. Il devient bien dur et je m’évertue à l’exciter en le faisant
durer : j’alterne gorges profondes, suçotements et aspirations du gland
que j’enroule dans ma langue, tout en le serrant à la base de mes doigts. Une
autre queue, grosse et un peu courbée à gauche apparaît dans le trou
voisin : je la reconnais pour l’avoir sucée tout à l’heure mais elle me
semblait un peu suintante, je me contente de la branler de la main gauche. Je
continue en même temps de sucer la queue longiligne devant moi mais ma main
droite demeure inactive. Dommage, j’avais adoré une fois précédente où j’avais
sucé la queue devant moi pendant que j’en masturbais deux autres, une dans
chaque main. Un quatrième homme était alors arrivé derrière moi et avait
commencé à me branler tout en frottant sa bite dure entre mes fesses… Mmmm, un
délicieux moment !
Au bout d’un moment, la grosse
bite de gauche a fini par se retirer sans jouir, comme tout à l’heure. Elle est
remplacée par une petite bite qui me semble molle quoique excitée. L’homme
s’agite de manière désordonnée, j’ai du mal à être synchrone avec lui.
Finalement je le serre dans ma main sans bouger, je le laisse prendre son
rythme sans interférer. Et d’ailleurs il ne lui faut guère longtemps pour se
lâcher : je sens à nouveau une gelée chaude couler sur mon poignet et mon
porte-clefs de vestiaire. Un deuxième bracelet…
Je lâche cette queue « achevée »
et je me concentre sur celle que je suce car elle me semble elle aussi être
presque « à point ». Je la
prends dans ma main et me mets à la masturber activement. Je sens l’homme se
tordre et gémir puis il s’immobilise en jouissant sur ma poitrine : quatre
ou cinq jets abondants de semence blanche que je sens couler sur mes pectoraux.
Un joli collier de perles, à ajouter à mes deux bracelets.
Je me dis qu’il faudrait que je
passe à la douche mais ce n’est pas le bon moment : une nouvelle grosse
queue apparaît à gauche, déjà emballée d’un préso. Je me mets donc à la sucer,
tout en caressant occasionnellement une autre queue de ma main droite encore
poisseuse. L’homme a une grosse queue courbe et un gland énorme qui me remplit
toute la cavité buccale. Pas de gorge profonde avec lui… En revanche
l’aspiration du gland, couplée à l’enserrement des doigts à la base fonctionne
bien. L’homme gémit et durcit nettement. Il ne lui faut guère longtemps pour à
son tour éjaculer dans le préso qu’il remplit de sa crème épaisse…
Depuis tout à l’heure, j’ai la
concurrence d’une trav brune qui tournicote autour des glory holes, zappant
d’une queue à l’autre. Je l’ai vue partir dans le coin noir successivement avec
plusieurs hommes. Fémininement parlant, je ne la trouve pas très réussie.. mais
elle semble quand même avoir du succès, il faudra que je revienne en Sophia un de
ces jours.
Mais les « clients » se
sont dispersés, je décide d’aller voir dans le miroir de la cabine voisine dans
quel état je suis. Waouh ! Ce n’est plus un collier de perles, c’est une
rivière de diamants !! Avec les bracelets assortis, on dirait que j’ai
dévalisé une bijouterie de la place Vendôme ! C’est assez excitant et
impressionnant de se voir ainsi couvert de sperme inconnu. Je finis par
m’essuyer puis je file me doucher.
En regardant la pendule du bar, je
m’aperçois que j’ai vidé les couilles de six mecs en moins de deux heures… j’en
suis assez fier ! Je retourne dans les glory holes car j’ai encore du
temps et l’envie ne manque pas non plus. Mais je n’y trouve que la trav brune
et deux apprenties suceuses ventripotentes qui tournicotent dans tout l’étage.
Je décide de passer de l’autre côté pour me faire sucer à mon tour mais, hormis
une bouche inconnue qui me fera bander pendant deux minutes, rien d’autre… Je
redescends donc du côté des suceuses.
Je vois passer et repasser un
petit homme d’une cinquantaine d’années, qui semble lui aussi vouloir sucer.
Pas de bol… Mais, au bout d’un moment, il change d’avis et vient se placer de
l’autre côté dans le trou me faisant face. Je me mets donc à le câliner et le
sucer, il devient bien dur et sa queue, de proportions modestes au départ,
devient de taille respectable. Juste assez
pour que je puisse lui faire des gorges profondes, sentir son gland à
l’entrée de ma gorge tour en enfouissant mon nez dans sa légère toison
pubienne.
Au bout d’un long moment, il me
demande en chuchotant si j’accepterais d’aller en cabine avec lui. J’acquiesce
et lui propose celle avec le ventilateur, les autres sont trop étouffantes dans
l’action. Il s’allonge sur le lit et je lui demande s’il a lui aussi envie de
me sucer car je l’avais vu tournicoter dans les glory holes. Il me répond que
non, il ne suce pas ! Ah bon, je m’attendais à un petit 69 mais finalement
ce sera moi la suceuse encore une fois. Ce n’est évidemment pas pour me déplaire…
Je me place entre ses jambes et
reprends mes œuvres, en insistant sur le gland (léchouilles, aspirations), la
base que je serre entre mes doigts et les gorges profondes qu’il apprécie
particulièrement. Je le suce ainsi longuement, en respirant avec peine dans
cette position allongée. Il décide alors de passer ses jambes en ciseau sur mes
hanches et me prend la tête avec une main pour m’enfoncer sa queue bien au
fond. Puis il innove : il décroise les jambes et vient prendre entre ses
deux plantes de pieds mes couilles déjà emprisonnées dans mon cockring en cuir.
Il me les malaxe et les étire ainsi, me faisant bander comme un âne…
Il se met alors à donner des
coups de bassin pour aller et venir de toute la longueur de sa bite dans ma
bouche. Je sens son gland au fond de ma gorge et je m’efforce d’ouvrir grand
les lèvres, en sortant la langue, pour qu’il puisse se frayer un chemin le plus
profond possible. Soudain il me dit qu’il va jouir et je m’écarte, appuyant la
tête sur le haut de sa jambe. Il éjacule alors en quelques traits dans sa main,
répandant son sperme sur son ventre et sa poitrine. Une jolie carte d’ïle au
trésor ma foi…
Après avoir pris congé en me
remerciant, je repasse aux glory holes. La trav tournicote toujours ainsi qu’un
de mes anciens amants, un quinquagénaire barbu et finement poilu, doucement
parfumé, avec qui j’ai déjà baisé deux fois auparavant. Il a un peu un look de
professeur d’université… Je ne sais pas s’il me reconnait car il garde ses
lunettes et semble ne pas voir grand-chose dans la pénombre. Après plusieurs
passages, il me propose sa queue à sucer dans un glory hole. Je la reconnais,
fine à l’extrémité et épaisse à la base… Ce qui permet de l’engloutir profond
en ayant le sentiment de bouche bien pleine quand mes lèvres atteignent son
pubis. La trav nous observe, je devine avec un peu d’envie.
Mon « professeur »
repart faire un tour après m’avoir caressé les fesses au passage et la trav n’y
tient plus : elle prend sa place et me propose sa grosse bite courbe… Mmm,
bien membrée la demoiselle ! Je la suce un petit moment puis elle s’en va
sans un mot. L’heure de rentrer, avant de se transformer en citrouille ?
J’attends, pensant que mon professeur
va sûrement revenir me voir quand il aura compris que le club est en train de
se vider… Ca ne rate pas, il revient en effet, me fait de nouveau sucer sa
belle bite en gorge profonde puis passe me rejoindre dans le tunnel des
suceuses. Je reste face à la paroi et il se place dans mon dos, me pinçant les
tétons en me fourrant sa bite dure entre les cuisses. Il s’excite un moment
ainsi, ce qui me fait bander moi aussi, puis me retourne et nous échangeons
pincements de tétons et masturbation queue contre queue. Il me suçote les
pointes de seins, que j’ai volumineuses comme deux fraises des bois, et je lui
rends la politesse, en me souvenant qu’il était très sensible de ce côté. Puis
il se redresse et attend. Je comprends qu’il me faut passer à genoux et le
reprendre dans ma bouche…
Des ombres vont et viennent, nous
matent puis disparaissent. Je suis maintenant à ses genoux, mains levées pour
lui pincer les pointes de seins pendant que je le suce. Lui ondule des hanches
en gémissant et en me prenant la tête à deux mains pour m’enfoncer sa bite tout
au fond. Plusieurs fois il se retire comme s’il allait jouir, mais non, il me
propose de nouveau son gland puis toute sa hampe jusqu’à la garde.
Finalement, il me prévient que ça
vient, je me retire et reste à genoux devant lui, yeux fermés tandis qu’il se
met à se masturber frénétiquement. Je sens alors plusieurs jets chauds inonder mon
visage et dégouliner sur mon menton, ma poitrine… Encore un collier de perles,
c’est la journée ! L’homme me remercie et s’éclipse vers la douche. Je
retourne m’admirer dans le miroir : waouh, il a juté abondamment, j’en ai
plein partout, c’est assez hallucinant…
Je retourne à la douche, la journée a été bonne… Je me suis
bien régalé !
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