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Sur ce blog nous racontons notre vie de libertins. Nos récits parlent de nos sorties et de notre vision du libertinage... Les lieux et endroits sont "améliorés", les repas "enrichis", l'histoire est parfois romancée afin que toute ressemblance avec la réalité ne puisse qu'être fortuite. Bonne lecture.
Caresse et Alpha
On this blog we are unveiling our swinger lifestyle. Our stories tell about our swinger parties and develop our vision of this particular way of life.
Places and meals are sometimes "improved", names are changed and the story itself may be "adapted" or even fully invented...
Enjoy your readings
Caresse (she) and Alpha (him)

jeudi 30 septembre 2010

Vacances corsées : Bonifacio

(Alpha raconte)


Cette année, j’ai décidé de faire découvrir à Caresse l’Ile de Beauté. Embarqués à Marseille en soirée, nous arrivons au petit matin à Propriano, juste à temps pour l’ouverture des cafés du port et un premier petit déjeuner avec des croissants frais. Quelques tours de roue à travers le maquis en partie consumé par des incendies et nous voici dans l’enceinte de la perle du sud : Bonifacio.

Nous avons trouvé un superbe hôtel au cœur de la vieille ville, dans une maison ancienne joliment rénovée. La belle réceptionniste, souriante et attirante dans son body léger et son jean moulant, nous montre la chambre : en enfilade, une sorte de salon d’entrée et, en surplomb de trois marches, la chambre elle-même, occupée par un lit king size en fer forgé……. Mmmmm… tout le mobilier est en fer forgé, les chaises et table du salon compris. Volets intérieurs en bois massif, comme je les aime, sur les fenêtres et les deux lanternons du salon. Deux miroirs ornent les murs… Au fond une salle de bains dernier cri, avec tout le confort moderne. Notre début de séjour augure bien !

Très vite, nous nous retrouvons seuls dans notre nouveau royaume temporaire et malgré le lever matinal à l’arrivée du bateau, mon désir pour Caresse monte rapidement. Ce d’autant qu’elle a entrepris de revêtir sa nouvelle tenue de sortie toute blanche, dont elle sait qu’elle m’excite terriblement depuis que nous avons, avant le départ, fait une séance de photos sur la croix de mon donjon : bustier bordé de fronces en dentelle blanche, supportant les seins juste ce qu’il faut mais sans les cacher, au contraire, en les faisant davantage pointer vers l’avant… jarretelles blanches pour retenir les bas résilles blancs… bottines en cuir blanc, à talons hauts… mitaines en résille blanches aussi, remontant sur les avant-bras, bracelets en cuir blanc aux poignets et collier de chienne en cuir blanc également…. Quelle splendeur de la voir ainsi, offerte sur le lit en fer forgé !

Je n’y tiens plus, je saisis notre mallette de jouets…et je lie ses deux poignets avec un mousqueton entre les anneaux équipant les bracelets. Puis je lui lève les poignées par-dessus la tête et les fixe solidement à la tête de lit. Je lui écarte les cuisses doucement et je procède de même avec les chevilles, grâce à nos belles cordes blanches qui servent habituellement plus aux séances de bondage. Je lui écarte les jambes au maximum et j’attache ses chevilles aux extrémités du pied de lit en fer forgé. Ainsi écartelée, Caresse n’a plus qu’à s’offrir à ma vue et à mon bon vouloir, il lui est difficile de protester.

Pour commencer, je lui promène notre petit plumeau sur tout le corps et en particulier sur les parties sensibles, jusqu’à ce qu’elle commence à s’agiter un peu. Je lui mets alors sur la pointe des seins les deux redoutables pinces lestées qui la font gémir à chaque fois : elles tirent de tout leur poids ses tétons de chaque côté. Généreux, je me propose d’atténuer sa douleur en lui faisant produire des endorphines : je me place entre ses cuisses et je la lèche doucement… Elle oublie visiblement assez vite la douleur provoquée par les pinces, car elle se tortille comme jamais en gémissant sans cesse ! Ma langue, légère au début, appuie plus fortement et se promène de son clitoris à son anus, de plus en plus vite, puis elle s’insinue lubriquement dans sa fente déjà toute détrempée. Mmmm, j’adore boire goulûment son nectar d’abricot !
Mais j’aime aussi que nos jeux durent longtemps. Je m’arrête donc et lui applique deux autres pinces, plates celles-ci, sur les grandes lèvres. Je les relie entre elles avec une chaîne assez lourde. Ma caresse se cambre, son corps vibre de partout… je profite de son excitation pour fixer également une chaîne à l’anneau de son collier. Enfin, j’enlève les pinces de seins et je les remplace par des pinces à linge reliées par une troisième chaîne que je soulève et fixe en suspension aux barreaux de la tête de lit. Légèrement tendue, celle-ci tire sur les seins à chaque mouvement, même infime, de ma belle… Et elle ne va pas tarder à reprendre ses ondulations de plaisirs, car je retourne me placer entre ses cuisses toujours largement offertes et maintenant brillantes de son jus d’abricot qui coule de plus en plus !

Je reprends mes activités linguistiques sur son clito et sa vulve, en ajoutant deux doigts dans son vagin, pour stimuler son point G. Ses mouvements se font plus amples et ses gémissements plus forts, la chaîne des pinces tire de plus en plus sur ses seins et celle du bas de plus en plus sur ses grandes lèvres. Je prends en main la chaîne du collier pour la tendre également, que Caresse sente bien qu’elle est soumise au bon plaisir de son maître. Elle mouille abondamment, et vibre de plus en plus fort, son halètement se fait rauque, le plaisir a pris possession de son corps jusqu’à en devenir intenable, elle gémit, se cambre, gémit encore et encore… et elle finit par exploser, en criant sa jouissance, tandis que je continue de m’activer sur son clito et dans son vagin. Pantelante, elle gémit de délice, je décide de passer à un autre jeu.

Je la décroche du lit et je la fais se retourner à quatre pattes en travers sur le lit. Dans cette position, je peux lui entraver les chevilles aux extrémités du lit, je me place devant elle, enfile ma « cockcage » à trois anneaux en latex noir et je la force à me sucer longuement le membre et les testicules, en lui tenant fermement la tête par les cheveux. Après lui avoir de nouveau ligotée les mains dans le dos, je viens derrière elle et je la pénètre d’un seul coup, avant d’entamer un va-et-vient profond et vigoureux. Sa tête repose sur le matelas, mais je la tiens par la chaîne du cou pour l’obliger à la relever. La chaine du bas continue de tirer sur ses grandes lèvres et celle des seins repose sur les draps, un peu de décontraction au moins de ce côté-là ! Au bout d’un moment de ce traitement particulièrement excitant que Caresse peut admirer dans l’un des deux miroirs judicieusement placés, je lui enlève la chaîne des lèvres, reprends celle des seins, la tire derrière sa vulve et je m’introduis à nouveau en elle, la chaine posée sur mon pénis. Cette-fois, ce sont les pointes de ses seins qui sont stimulées, en même temps que son point G. Elle finit par jouir de nouveau et m’inonde de sa délicieuse liqueur.

Il est temps pour moi de conclure également, j’en ai terriblement envie, ma belle m’a mis le feu ! Tout en continuant mon va-et-vient dans son sexe trempé, j’introduis un joli petit plug dans son anus totalement offert. Je peux ainsi, d’un même mouvement, la pénétrer doublement, ce qu’elle apprécie au plus haut point. Mes mouvements enfoncent en effet le plug en même temps que ma queue s’enfouit tout au fond de son sexe chaud et humide. Une fois son anus ainsi préparé, je retire le plug et j’introduis ma queue gonflée à sa place dans son petit trou. Hummm quel délicieuse sensation ! Je tire régulièrement sur la chaîne du cou pour qu’elle sente bien sa soumission et je finis par lui lier le collier avec les mains, en tendant suffisamment pour l’empêcher de me toucher avec ses mains, la coquine ! Je continue mon va-et-vient en écartant ses deux fesses de mes mains redevenues disponibles et je sens ses contractions, l’anneau de son muscle qui voudrait défendre l’entrée de derrière contre mes ardeurs… Pour un homme, la sensation de sodomie est différente de la pénétration vaginale, la montée du plaisir est plus lente mais plus régulière, sans effet de « plateau », et la jouissance peut être aussi explosive qu’inattendue ! Un vrai délice de sentir l’étroitesse de ce passage qui comprime mon membre sur toute sa longueur et surtout à la base. Soudain, j’explose à mon tour, le membre entièrement englouti dans son arrière-train et je me vide en quelques spasmes. Je reste encore un bon moment ainsi, à goûter cette délicieuse sensation, bien retenu par son muscle anal serré autour de moi…
Caresse me confiera un peu plus tard qu’elle a elle aussi pris un pied incroyable. Pas encore un véritable orgasme anal, mais c’est sûr, nous allons poursuivre cette quête du Graal ! Que d’agréables TP en perspectives…

mercredi 29 septembre 2010

la Villa du Maître


(Caresse raconte)
Pendant nos vacances, sur le chemin de retour de notre weekend libertin à Nantes, nous avons décidé de faire une étape chez nos amis américains Kevin et Heather. Nous sommes arrivés, chez eux,  lundi  24 aout en fin de journée… le temps de nous installer, de mieux faire connaissance et d’apprécier la conversation, autour d’un délicieux dîner préparé par notre hôte et il était l’heure de nous rendre en club.
Nos nouveaux amis avaient décidé de nous faire découvrir leur club préféré, la Villa du Maître ! Nous en avions beaucoup entendu parler et visité le site internet de la Villa, mais néanmoins quel choc de la voir en vrai : un club magnifique tout en rouge et noir, à l’ambiance tamisée, dont toute la structure et la décoration a été pensée et réalisée par le Maître des lieux, avec en outre un espace extérieur délicieux doté d’une piscine… Il faudra que nous y revenions en après-midi !
Petit détail concernant ce club inhabituel : c’est en réalité le lieu de vie du Maître et de ses deux soumises, Rose et Alexandra, qui tiennent l’accueil et le bar. La décoration, d’inspiration SM très marquée, reflète le style de vie des habitants du lieu. A l’intérieur, certaines pièces ressemblent à des salons privés avec cheminée de style gothique, lit en forme de cœur rouge, miroirs, tentures cramoisies et lourds chandeliers en fer forgé. On pourrait se croire dans un château-fort du Moyen-Age. …  Alpha trouve le concept plus qu’agréable, je pense que vivre de cette façon ne serait pas pour lui déplaire… quel coquin mon Alpha !
Nous faisons d’ailleurs très vite la connaissance de nos hôtes, en arrivant au bar où seul se trouve accoudé un autre couple. Le Maître est très impressionnant, grand avec une longue chevelure noire très fournie, une barbe noire élégamment taillée, un body moulant sans manches faisant ressortir ses biceps et un pantalon en latex noir tenu par une ceinture argentée avec un fermoir en forme de tête de mort. Ses deux soumises sont en tenue très sexy, bustier très décolleté et mettant en avant leurs plantureuses poitrines, tailles fines, minijupes en cuir noir, jarretelles et bas résille, talons interminables…. Un miroir horizontal derrière le bar nous permet de mieux admirer leur chute de reins et leur intimité chaque fois qu’elles se baissent pour prendre quelque chose sur l’étagère sous le bar.
Après un rapide apéritif d’accueil, le Maître nous fait visiter la Villa, en nous indiquant le code des rideaux… les coins câlins ont la particularité de ne pas avoir de porte, sauf le donjon et un ou deux coins. Des rideaux permettent d’indiquer ce que l’on attend des autres clients libertins du club. Si le rideau est fermé, c’est que l’on ne veut pas être dérangé, si le rideau est ouvert, c’est qu’au contraire, on apprécie la compagnie d’un couple, si le rideau est à moitié ouvert, c’est que la préférence pour coquiner s’adresse aux  femmes seules exclusivement. Amusant ce code et pourtant d’une efficacité redoutable, il est aussi très respectueux des envies de chacun, ce qui dénote une vision très libertine du patron, c’est important, car en cas de conflit, on sait que le respect sera une valeur certaine dans ce club. Cette entrée en matière nous met tout à fait à l’aise, nous savons que nous pouvons nous lâcher en confiance ici. Le clou de la visite, c’est la dernière pièce : le donjon du Maître qu’il a, à la demande de Kevin, accepté de nous ouvrir ce soir : l’impression d’ensemble au premier abord est de pénétrer dans une salle de torture de l’Inquisition, mais dotée de magnifiques fresques félines phosphorescentes et d’un grand lit rouge avec un lourd baldaquin de fer forgé au centre de la pièce. Sur les côtés, on distingue dans la pénombre deux grandes croix de St André, une verticale et une horizontale, recouvertes de cuir rouge, ainsi que des piloris en bois, des cages de diverses tailles et des râteliers supportant tout un assortiment de bracelets de cuir, cravaches, martinets, chaînes, cordes, barres d’écartement…
Une fois la visite terminée, nous retournons au bar pour boire un verre et discuter avec les soumises du Maître. Les deux jeunes femmes sont vraiment très belles, la chirurgie est manifestement passée par là, mais le résultat est à couper le souffle ! Elles sont en plus adorables, charmeuses à souhait, ce qui accentue notre trouble… leurs propos laissent en effet entendre qu’elles nous rejoindront tout à l’heure lorsque le club sera fermé et que les autres clients seront partis, vers 2h du matin. La soirée s’annonce très chaude ! Surtout que Kevin nous a prévenu : le patron ne laisse jamais ses soumises seules, il adore « monter », avec ardeur, toutes les femmes qui passent la porte de son donjon ! De quoi imaginer toutes les combinaisons possibles !
Deux autres couples s’amusaient déjà dans les coins câlins mais, en nous voyant passer tous les quatre pour retourner au donjon, l’un des couples nous a suivis, ils avaient manifestement envie de jouer à plusieurs … Kevin en habitué des lieux, nous montre, tous les accessoires accrochés aux murs ainsi que les diverses entraves, bracelets, anneaux suspendus au baldaquin du lit rouge,  permettant d’attacher facilement toute personne à soumettre !
D’ailleurs, excitée par tant de jouets merveilleux, je ne tiens plus, je demande à Alpha, assis au bord du lit, de se lever et, malgré ses protestations, je lui mets des bracelets aux poignets et je l’attache à la structure du lit. Une fois entravé, Alpha ne peut plus rien m’interdire, j’entreprends alors de lui enlever son pantalon blanc, je le déboutonne, je fais glisser la fermeture éclair, je le lui abaisse lentement, puis son string…  et je commence à le masturber en lui mordillant les tétons, avant de le sucer. Les quatre personnes dans la pièce ne ratent rien du spectacle que nous leur offrons… Alpha est troublé et excité, c’est très visible : son sexe est énorme ! Hummm, qu’il est beau lorsqu’il est dans cet état !
Afin de permettre à Alpha de participer plus activement aux échanges, je lui détache les poignets de la partie supérieure du baldaquin et le force à s’agenouiller entre les cuisses d’Heather qui est restée debout à côté de nous, tandis que Kevin la caresse par-derrière. Alpha comprend tout de suite le rôle qui lui revient et s’applique à caresser Heather doucement et par vagues successives autour de son intimité, puis de façon de plus en plus appuyée et concentrique, en se rapprochant de plus en plus de son sexe. Il atteint le clitoris et les  lèvres d’Heather et y ajoute alors la pression des siennes pour un langoureux baiser intime. Sa langue entre en action sur le clitoris, par petites touches picturales, comme lorsqu’il attaque les finitions d’une toile avec son pinceau. Heather a saisi ses cheveux et lui plaque fortement le visage contre son bas-ventre tout épilé et tout doux, elle aime manifestement ce contact excitant qui la fait onduler et gémir.
Nous nous redressons et nous installons tous les quatre sur le grand lit du Maître. Nos amis, très échauffés, se caressent mutuellement, et l’autre couple, lui aussi très excité par la scène qu’il vient de voir, s’approche du lit, mais Heather refuse leur présence, le monsieur ne lui plait pas… Respectueux le couple quitte la pièce à la recherche d’un autre coin pour coquiner… nous laissant profiter du donjon à loisir. Nous nous caressons tous les quatre. Heather est une femme fontaine et son mari l’a déjà fait jouir une fois pendant qu’Alpha était attaché, elle recommence presque immédiatement sur le lit, c’est impressionnant la quantité de liquide qu’elle « éjacule » en prenant du plaisir… Heureusement Kevin a prévu la quantité de serviettes nécessaire ! Alpha a cette capacité à me faire lubrifier terriblement, mais s’il m’arrive d’être inondée, jamais je n’ai été fontaine comme Heather ! C’est impressionnant et excitant, car nous savons qu’Heather prend un plaisir très intense et de plus en plus fort à chaque fois !
Nous continuons nos caresses deux à deux et à quatre, Alpha, toujours équipé de ses bracelets de cuir et métal aux poignets et aux chevilles se lève alors et se dirige vers les râteliers : il semble avoir des intentions, palpe quelques cravaches et martinets, opte finalement pour une barre d’écartement en métal dotée de bracelets en cuir, qu’il m’attache aux chevilles. Puis il me menotte les poignets et les étire par-dessus ma tête pour les fixer au baldaquin. Je me trouve ainsi allongée, bras tendus et cuisses totalement écartées, offerte à mes trois partenaires. Cette sensation, à elle seule, me fait mouiller encore plus intensément !
Heather s’est positionnée à quatre pattes entre mes cuisses qu’elle lèche goulûment. Les deux hommes se sont approprié mes seins et ma bouche et alternent leurs baisers et succions respectives. Waouh !! La langue d’Heather, très coquine, s’insinue dans tous mes replis, jusqu’à l’intérieur, elle aspire littéralement mon plaisir qui monte prodigieusement, jusqu’à exploser sans possibilité de retenue.
Mais ce n’est pas terminé, Alpha me redresse sur mes genoux et me maintient en laisse de derrière par le cou, tandis qu’il m’offre ainsi à nos amis. Kevin et Heather se partagent l’aubaine et la pression monte de nouveau en moi sous l’impulsion de leurs caresses ininterrompues. Les doigts de Kevin exercent une pression de plus en plus forte sur mon sexe puis s’y insinuent et me fourragent avec énergie. Alpha m’ajoute nos pinces de seins favorites, lestées d’un poids en métal argenté …. Je ne tarde pas à avoir un nouvel orgasme qui me laisse toute démantibulée. Alpha, clément, me détache…
Heather s’est installée à quatre pattes, la bouche sur le sexe d’Alpha qu’elle suce avec un plaisir non dissimulé, en même temps elle me caresse le sexe puis alterne entre Alpha et moi. Tantôt elle suce Alpha et me caresse, tantot elle fait l’inverse, c’est simplement divin ! Pendant ce temps, Kevin, excité par la situation, prend Heather en levrette… elle jouit une nouvelle fois en poussant des cris d’une intensité incroyable ! Je décide alors de ré-attacher Alpha – puisqu’il a toujours ses bracelets – mais cette fois à l’horizontale sur le lit. Le voici de nouveau soumis, prêt à subir toutes nos fantaisies….
A peine remise de son orgasme, Heather poursuit en se partageant de nouveau entre Alpha et moi, elle me met deux doigts dans la chatte et continue de nous lécher/sucer Alpha et moi sans jamais relâcher sa pression. Kevin s’occupe quant à lui de son intimité. Je me redresse pour la caresser plus activement et elle en profite pour se positionner, toujours à quatre pattes, au-dessus d’Alpha, de façon à ce que ses beaux seins lourds ornés de piercings viennent effleurer son visage. Le message passe tout de suite et Alpha, toujours entravé des quatre membres, se met à la téter goulûment, un sein puis l’autre.
Elle se déplace ensuite et se redresse pour saisir les membres des deux hommes, un dans chaque main, pendant que je continue de l’embrasser et de la caresser. Alpha est bien obligé de rester passif, mais Kevin lui fourrage la chatte de sa main bien lubrifiée, un doigt puis l’autre, jusqu’à la fister complètement. Elle hurle soudain de plaisir, tout en continuant ses caresses manuelles qui font à leur tour venir les deux hommes presque simultanément.
Nous nous écroulons tous les quatre et nous épongeons les uns les autres avec les serviettes propres, il fait terriblement chaud dans ce donjon et la surface du lit est très moite, voire carrément humide par endroits… C’est à ce moment que nous voyons entrer par la porte du donjon demeurée ouverte le Maître tenant en laisse ses deux soumises, une de chaque côté.
Il est magnifiquement majestueux avec ses deux esclaves entravées par le cou, et nous réalisons qu’il doit être très tard, nous n’avons encore pas vu le temps passer !  D’un signe de tête, il nous fait comprendre de rester là où nous sommes, sur le lit, et il accroche Rose et Alexandra par le cou à la partie supérieure du baldaquin, juste face à face, de façon qu’elles puissent se caresser l’une l’autre. Pendant ce temps, il vient s’enquérir  de notre confort et de notre soirée, dont il a d’ailleurs en partie suivi le déroulement depuis la porte ouverte du donjon. Il s’assied avec nous et ne tarde pas à s’échauffer au vu du spectacle torride que lui offrent ses deux soumises. Heather et moi entreprenons de le soulager de son body – il fait de plus en plus chaud ici ! – et d’entrouvrir son pantalon de cuir noir… Son membre viril s’avère impressionnant, dans un état d’érection incroyable et nous nous mettons docilement à le caresser et le lécher toutes les deux.
Mais il n’oublie pas que nous sommes en quelque sorte ses invités et il se redresse pour nous offrir un bouquet final avec Rose et Alexandra. Il détache Rose et la fixe écartelée sur la croix verticale, saisit un martinet et la fouette devant nous jusqu’à ce qu’elle crie et se torde de manière totalement incontrôlée. Alexandra, qui se caresse seule pendant ce temps, est très excitée par le spectacle de sa consoeur soumise car elle sait qu’elle ne va pas être oubliée. Effectivement, le Maître cesse de s’occuper de Rose pour revenir vers elle et lui placer deux pinces japonaises sur les seins qui pointent en avant hors de sa guêpière. Il y ajoute une chaîne apparemment assez lourde pour lester les pinces, ce qui arrache une fugitive grimace de douleur à Alexandra. Il peut alors vérifier de sa propre main l’état d’excitation d’Alexandra qui dégouline entre ses cuisses, puis il la prend par derrière et la pénètre avec force jusqu’à ce qu’elle hurle de plaisir. Il la gratifie alors d’un baiser sur les lèvres et l’abandonne à ses sensations pour revenir vers Rose, qui se remet à peine de ses émotions. Il la décroche de la croix, l’oblige à s’agenouiller et à lui faire une fellation profonde, les mains attachées derrière le dos. Par moments, Rose manque de s’étrangler mais elle ne veut surtout rien laisser paraître et s’applique au contraire de plus belle à contenter son maître. Elle y parvient d’ailleurs fort bien puisqu’au bout d’un petit moment celui-ci se raidit en poussant un grognement rauque et en enfournant la totalité de sa grosse queue dans la gorge profonde de Rose. Quelques secondes d’apnée, apparemment maîtrisée grâce à un entraînement intensif, et la bouche de Rose est enfin libérée, lui permettant d’inspirer une bonne bouffée d’air neuf.
Le spectacle nous a enthousiasmés et donné envie de recommencer nos jeux, mais nous sommes vraiment trop fatigués après une semaine de libertinage intensif dont cette soirée constitue le point d’orgue. Nous remercions nos hôtes en prenant avec eux une dernière coupe de champagne au bar, avant de nous en retourner vers nos pénates. Kevin et Heather nous ont avoué le lendemain midi, en se levant pour prendre avec nous leur petit déjeuner, qu’ils avaient « remis les plats » à la maison et éteint les lumières domestiques à seulement 8h du matin !!! De vrais fadas, nous les adorons ces deux-là !!!   

mardi 28 septembre 2010

Le Liberty Station


 (Caresse raconte)

Cette année, un groupe de libertins, dont nous faisons partis, se réunit au Liberty Station, un joli club libertin près de St-Nazaire. C’est un club totalement « sec » jusqu’à 2h (discothèque), ensuite il devient mixte avec l’ouverture de la partie humide comportant un grand jacuzzi, un sauna et un hammam…

Nous sommes venus avec nos amis Franck et Karine et nous retrouvons sur place une dizaine de couples libertins, que nous connaissons pour la plupart, car nous  sortons souvent ensemble. Alpha et moi découvrons aussi de nouveaux libertins que nous ne connaissions que virtuellement. C’est toujours un vrai plaisir que de pouvoir mettre un visage sur un pseudo et de pouvoir parler avec nos amis virtuels! 

Nous sommes reçus très agréablement par les patrons du Liberty : Jean-Louis a prévu un barbecue pour notre groupe, quant à son épouse elle est adorable et très sexy dans son petit short moulant qui dévoile toute la longueur de ses jambes galbées de danseuse…  elle nous embrasse tous comme si elle nous connaissait depuis toujours et elle a un mot gentil pour chacun d’entre nous. La soirée au Liberty devrait être aérienne, le thème de la soirée, c’est « hôtesses de l’air » ! Dommage que nous n’ayons pas été avisés plus tôt, nous aurions pu trouver à nous vêtir de costumes adéquats ! Alpha étant pilote d’avion, nous n’aurions eu aucun mal… mais nous n’avons eu l’information que la veille de la sortie, difficile de s’organiser en si peu de temps. Nous avons fait au mieux, Alpha s’est habillé tout en blanc et j’ai mis une mini-jupe bleue et un petit haut très court couvrant juste mes seins et faisant ressortir ma poitrine, j’aurais pu faire une hôtesse de l’air très sexy, il manquait juste le bibi ! Mais pas grave, je plaisais à mon Alpha qui n’arrivait pas à détourner ses yeux de mon décolleté, c’était l’essentiel ! J’aime lui plaire et j’aime qu’il soit beau pour moi lorsque nous sortons en lieu libertin. Alpha est mon moteur, mon stimulant, il me donne envie d’être belle, de lui plaire, d’être sexy, je me sens femme comme jamais je ne l’ai ressenti auparavant !

Nous nous attablons avec l’ensemble des doctis, le groupe est sympa et les conversations vont bon train pendant tout le repas, nous sommes avec nos amis Franck/Karine ainsi qu’avec Eva et ses deux partenaires Nathan et Joseph, ils se sont en effet inscrits comme trio. Nous connaissons Eva et  son mari Nathan de longue date – la dernière fois que nous les avions vus, c’était pour un TP tendance SM avec nos amis Estelle et Yann dans le donjon d’Alpha….  (voir récit « le donjon ») - mais Joseph est nouveau, un vrai boute-en-train. Hummm un vrai bonheur que de les connaitre et de se retrouver pour une sortie libertine… 

Une fois le repas terminé, nous quittons la salle du dîner pour rejoindre le club. Il est superbe, les photos du site web ne rendent pas hommage à la beauté des dessins faits pour avoir une valeur ajoutée sous la lumière noire. Tous sont en 3D, très colorés, très lumineux et très excitants aussi, toutes les scènes sont très sexe, torrides mais pas vulgaires du tout… un charme fou ! Après avoir passé l’accueil et laissé nos affaires, nous arrivons au bar, sur la droite se trouve une grande piste de danse entourée de fauteuils, de banquettes de différentes formes et tailles… Nous prenons un cocktail de bienvenue et rejoignons les doctis dans un coin de la piste de danse. Des couples sont déjà en train de danser, des hommes seuls se déhanchent et cherchent à charmer les couples présents… heureusement ils restent fair play et n’insistent pas si l’on ne donne pas suite à leurs avances.

Nous dansons un long moment, le DJ pousse la musique et il offre le champagne à la femme qui fera vibrer tout le monde en offrant un strip-tease dans la cage… une jeune et jolie brune grimpe dans la cage et commence à se trémousser en fixant son partenaire dans les yeux, elle danse pour lui, son show, c’est pour lui, c’est une évidence, mais nous en profitons tous et elle sait bouger, elle se déshabille lentement, sensuellement, un vrai supplice pour nous, les esprits s’échauffent… une seconde femme monte sur une estrade voisine et commence à se déshabiller en dansant elle aussi… hummm ! Quel pied que ces deux beautés à moitié nues ! 

Je m’approche avec Alpha de la cage et je demande au partenaire de la jeune brune si nous pouvons caresser son amie à travers les barreaux… il me dit avec regret qu’il vaut mieux éviter, qu’elle n’appréciera pas ! Dommage, mais nous respectons les envies de la demoiselle et nous rejoignons nos amis avec lesquels nous dansons un long moment. 

Au milieu de la soirée, nous décidons d’aller nous désaltérer au bar avec Franck et Karine… l’ambiance est très chaude, les libertins commencent à s’activer et nous décidons d’aller faire un tour dans les coins câlins. Nous montons à l’étage, waouh, les coins ne sont pas vides du tout, bien au contraire… je pousse une porte pour mieux voir et je découvre deux couples en train de jouer, mais l’un des hommes repousse la porte. Lorsqu’il s’aperçoit que je suis une femme, il se ravise et l’ouvre à nouveau comme pour m’inviter, mais cette fois c’est moi qui  décline l’invitation.

Je suis avec Alpha et nous coquinons à deux avec les autres lorsque nous sommes ensemble. Pas question de laisser l’un de nous seul, les plaisirs que nous prenons à plusieurs sont décuplés lorsque nous sommes à deux, pour moi c’est même incroyable, mon plaisir est extrême lorsqu’il est là, s’il s’éloigne, je me bloque, je n’arrive à rien, impossible de me lâcher sans lui et donc de prendre du plaisir… c’est comme ça, je ne cherche plus à comprendre, l’amour que j’éprouve pour lui est sans doute responsable de cet état de fait. Pour une libertine, c’est étrange à vivre, mais j’en ai terminé avec les prises de tête stériles, chercher à comprendre « pourquoi » n’a aucun sens. Une émotion, une sensation se vit, elle s’apprécie ou pas selon le cas, elle peut varier aussi selon le moment… je savoure donc tous mes moments avec Alpha, je me lâche de plus en plus, mon/notre plaisir est de plus en plus intense lorsque nous nous mélangeons avec d’autres, cela pour notre plus grand bonheur à tous les deux…

Nous poursuivons notre découverte des coins coquins du club, la présence en nombre important d’hommes seuls ne me rassure pas, et nous décidons de redescendre. Un coin câlin situé en bas des escaliers nous attire, il est composé d’un immense lit rond placé au centre de la pièce tapissée de miroir des murs au plafond… une merveille cette pièce ! Nous nous allongeons sur le lit, nous nous caressons, nous avons envie l’un de l’autre, nous bouillons de désirs libertins mais il arrive que nous ne trouvions pas d’autres couples pour partager…  Pourtant ce coin câlin n’a pas de porte, juste un rideau de fils au travers duquel des couples et hommes seuls nous regardent de temps à autre. L’un d’entre eux entre même et s’assied juste à côté de nous pour nous regarder. Mais il n’entreprend rien et finit par ressortir…  pas de souci pour nous, si d’autres ne veulent pas venir nous nous donnons du plaisir à deux ! 

Alpha écarte mes jambes, je sens sa bouche embrasser mon clito et sa langue se faire douce et dure à la fois sur mon entrejambes… hummm quel pied ! Je me place en 69 et pendant qu’Alpha continue à me lécher avec gourmandise, je déboutonne son pantalon blanc, je fais descendre la fermeture éclair et je baisse en même temps le pantalon et le string que mon Alpha porte ce soir là.  Son sexe sort d’un coup, comme s’il attendait ce moment depuis longtemps… il est dur et énorme, serré dans les trois anneaux de son cockring,  je le prends dans mes mains, et je le masturbe doucement. Alpha continue de s’activer sur mon clito, m’arrachant des gémissements de plaisir de plus en plus intenses, mes sensations montent progressivement, inéluctablement… je me tords dans ses mains qu’il a placées de chaque côté de mes cuisses qu’il tient fermement pour m’empêcher d’échapper aux plaisirs extraordinaires qu’il me donne ! De mon côté, j’ai pris sa belle queue dans ma bouche et je le suce de plus en plus fort, de plus en plus vite avec une gourmandise extrême également… C’est un véritable feu d’artifice qui explose en nous en même temps… hummm ! Nous sommes heureux, nous planons… quel pied de pourvoir partager ces mêmes envies libertines et de pouvoir donner libre court à nos ébats… de s’entendre si bien sexuellement aussi, car cette alchimie partagée est aussi incroyable que rare, en tout cas à ce point là ! Il nous est arrivé d’avoir des trips avec d’autres partenaires, mais cela n’a rien à voir avec ce que nous pouvons vivre ensemble.

Nous restons un long moment enlacés dans les bras l’un de l’autre, attendant que le plaisir retombe un peu et savourant le bonheur de ce moment… nous émergeons enfin et décidons d’aller au bar,  où nous retrouvons Franck et Karine avec qui nous discutons un peu. Notre bonheur doit se voir et être contagieux car nos amis se mettent à s’embrasser avec gourmandise. Je glisse à l’oreille d’Alpha de lécher les seins de Karine,  je m’accroupis entre les jambes de mon amie et soulève sa minijupe pour la lécher. Elle est bien calée dans les bras de son mari qui l’embrasse et la caresse, elle aime visiblement, ses gémissements et ses contorsions se font de plus en plus forts. Franck est resté assis sur son tabouret haut, le dos au bar, Karine debout dans ses bras, et les autres clients du bar assis à côté ou un peu plus loin à des tables basses ne perdent rien du spectacle que nous leur offrons.

J’échange alors ma place avec celle d’Alpha qui se met à lécher goulûment le sexe délicieux de Karine puis se concentre de la langue sur son clito tandis qu’il la pénètre de deux longs doigts experts dans le vagin. Je la caresse avec son mari, je lui tête les seins, hummm que c’est bon, nos lèvres se rejoignent et nous nous caressons de plus belle, son corps se cambre de plus en plus sous le plaisir, elle sent que ses parties intimes les plus sensibles sont titillées de nos doigts et de nos langues à tous les trois, à la vue de tout le monde…  elle gémit de plus en plus… et soudain elle crie sous l’orgasme qui l’envahit… un vrai bonheur que de la voir si belle, submergée de plaisir !

Il est presque 2h, la partie humide du club va ouvrir, nous décidons d’y aller tous les quatre. Nous rejoignons les vestiaires pour quitter nos vêtements et prendre de grandes serviettes de toilette. La piste de danse est vide, nous ne sommes apparemment pas les seuls à avoir envie de nous détendre dans le jacuzzi semble-t-il… Et effectivement lorsque nous y arrivons, nous découvrons quelques couples enlacés se donnant du plaisir… nous descendons dans l’eau et nous nous enlaçons tous les quatre… nous nous caressons tendrement, sensuellement, le désir monte en nous, nous nous abandonnons les uns aux autres et laissons le plaisir nous envahir, nos doigts se font coquins, nos mains se font douces et caressantes… c’est une symphonie de plaisir à quatre que nous jouons, Karine a mis deux doigts dans ma chatte et elle me caresse mon point G, hummm quel délice que de sentir un merveilleux orgasme monter, monter et tout à coup exploser… Franck est derrière moi, je sens son sexe très dur contre mes fesses, Alpha est devant moi, il caresse Karine qui gémit de plaisir, puis l’embrasse longuement à pleine bouche… elle ne tarde pas à jouir de nouveau et à crier son plaisir… Elle rejoint les bras de son mari et moi ceux d’Alpha pour un câlin très coquin en duo… hummm que c’est bon ce partage libertin !

Nous décidons finalement de rejoindre notre hôtel tous les quatre et repassons une dernière fois devant le grand lit rond… pour dire au revoir à nos 10 ou 12 autres amis doctis qui y sont maintenant entassés dans une excitante orgie, dont le spectacle laisse les autres clients du club un peu pantois. Ils nous invitent avec force gestes à les rejoindre, mais pour nous c’est « game over »…. Franck et Karine ont roulé toute la journée pour venir au Liberty, il faut qu’ils se reposent un peu…. Nous avons encore une grande journée de plaisirs partagés à passer à quatre le lendemain !

lundi 27 septembre 2010

Le Privé

(Caresse raconte)


Nous sommes samedi 11 juillet,  nous sortons avec nos amis Karine et Franck. C’est une soirée réservée aux couples dans le club libertin « Le Privé ». Alpha connait bien ce club, il voulait depuis longtemps me le faire découvrir, car c’est son club de prédilection,  maintenant que je connais ce superbe lieu,  je le comprends parfaitement.

Karine et Franck, nos amis libertins, nous rejoignent vers midi. Nous débutons par un apéro naturiste autour de la piscine d’Alpha, nous poursuivons par un barbecue et une sieste réparatrice agrémentée d’une séance de bondage soft… histoire de s’exercer aux nœuds de base !

Alpha aime partager ses connaissances des nœuds, il propose de faire une démonstration…sur moi ! Proposition acceptée par nos amis, curieux de découvrir cet art qu’est le karada ! Mais mon Alpha est coquin, point de bondage soft. Sous le prétexte d’avoir une corde de seulement 10 m, mon Alpha déclare qu’il est contraint de devoir serrer au maximum son karada de démonstration… et effectivement, une fois les 4 nœuds de devant achevés, le 4ème directement sur mon clitoris, il tend la corde par-derrière pour revenir m’enserrer les seins par-dessus et par-dessous. Il peut ainsi terminer son œuvre par deux tours supplémentaires sur le bas de mon ventre et je comprends alors ce qu’il entendait par le mot « serrer »… ma respiration est terriblement contrainte, à chaque inspiration je sens la corde me restreindre et accroitre l’excitation produite par le frottement du dernier nœud sur mon clitoris et mes lèvres.

C’est extrêmement excitée, que j’invite nos amis à essayer sur eux avec la 2ème corde. Franck s’empare immédiatement de l’idée et commence à faire un karada sur Karine. Toujours prêt à aider, Alpha lui prête main forte, il détaille l’enchaînement des opérations. Au final, Karine étant plus fluette que moi et la 2ème corde faisant 15 mètres au lieu de 10, il en reste un bout assez long pour faire à Karine une superbe queue de marsupilami…. ! Prévenant, Alpha s’empresse de la lui entortiller par une surliure qu’il relie ensuite au poignet droit de Karine.
 
Par chance, Alpha n’a pas ligoté mes mains dans mon dos, comme il en a eu envie en commençant… J’ai donc pu, tout en les regardant, me délier et retrouver ma capacité respiratoire. Ma corde étant disponible, ce fut au tour de Franck d’être savamment attaché ! Cet amusement nous mit tous les quatre d’excellente humeur… Ce fut ensuite au tour de Karine et de Franck de nous montrer quelques nœuds qu’ils connaissaient et de nous révéler ainsi certaines de leurs compétences cachées !

Les heures passent,  il est temps de nous préparer à sortir en club. Avec la chaleur de l’été, les préparatifs d’habillement sont rapides ! Nous rejoignons le club ensemble, Alpha trouve une place de parking dans une rue proche et déserte. C’est l’été, la ville est désertée au profit de la plage, nous permettant de franchir les quelques mètres qui nous séparent de l’entrée du club dans nos tenues de sortie libertines, sans attirer l’attention.

Au Privé, une charmante hôtesse, souriante, nous accueille et nous explique le fonctionnement du club, elle nous annonce qu’il y a de la musique ce soir, qu’un cocktail de bienvenue nous est offert et qu’un buffet sera servi vers 23h00. Nous déposons nos sacs et vestes au vestiaire avant de rejoindre la piste de danse en longeant une très belle et grande piscine. Un délicieux punch nous attend au bar, il se laisse boire comme du petit lait… attention à ne pas y laisser choir la louche de service, Alpha pourrait avoir comme idée de me « punir » sinon !

Karine et Franck décident d’aller fumer une petite cigarette dans le coin fumeur situé à deux pas de la piste de danse, pendant ce temps Alpha décide de me faire tourner la tête en m’entraînant dans un rock-zouk endiablé ! Hummm… qu’Alpha danse à merveille, un talent que je ne lui connaissais pas encore… c’est un homme incroyable et un véritable bonheur de nous aimer et d'être si complice !

Lorsque nos amis reviennent, nous dansons tous les quatre un petit moment avant d’aller aux vestiaires ôter nos vêtements et enfiler un peignoir de bain, afin d’entreprendre la visite guidée des recoins que nous ne connaissons pas encore en dehors d’Alpha qui est comme chez lui ! Humm… le connaissant, il doit venir y coquiner souvent !  

Le club est superbe, la décoration est soignée, le lieu très propre, les boissons non alcoolisées sont en libre service… Des tables et des chaises permettent de se désaltérer ou de prendre un café tranquillement au bord de la piscine ornée de statues d’éphèbes nus, des fresques en trompe-l’œil donnent le sentiment que nous sommes sur une petite place du sud de la France… cette sensation est très agréable, elle contribue à la détente et au farniente ! C’est tout à fait ce qu’il faut à des libertins-épicuriens comme nous qui adorons profiter de la vie et de ses plaisirs.

Mais d’autres plaisirs, justement, nous attendent. Guidés par Alpha, nous longeons la piscine et empruntons un escalier pour rejoindre la partie humide. Nous visitons d’abord le bar rouge, un salon tout en cuir avec un bar et des écrans télé diffusant des films érotiques en boucle. Curieusement, nous n’y trouvons personne… Nous continuons et arrivons dans la zone humide, dans la pénombre à droite, le premier jacuzzi semble bondé, nous comprenons pourquoi il n’y a personne dans le salon rouge ! Un sauna et un hammam sont également à disposition à ce niveau, nous poursuivons notre exploration à l’étage…

Les coins câlins sont nombreux et spacieux, des wc et des douches sont judicieusement placés un peu partout. Le coin « salle de cinéma » est particulièrement occupé, ce lieu fait fantasmer plus d’un libertin que nous pouvons voir grâce à une glace sans tain qui longe la pièce. La salle de cinéma jouxte un donjon bien équipée : une croix, deux « carcans » pour enserrer la tête et les mains, des chaînes au mur, une table similaire à celle de Yann mais en plus rustique ! Et détail important, une grille permettant de fermer le coin pour garder un peu d’intimité… sans leur ôter pour autant le spectacle aux libertins passant devant la grille…  un peu comme la cage de l’Hyppocampe !

D’ailleurs Alpha a tout de suite des idées ! Nous sommes à peine dans le donjon qu’il m’attache les poignées aux bracelets de la croix, je suis alors bien visible des libertins qui passent devant la grille et ne loupent rien du spectacle… humm quelle excitation lorsqu’Alpha dit qu’il va me laisser là et poursuivre la visite avec Karine et Franck, mais une excitation teintée d’appréhension… je n’aimerais pas être abandonnée à la merci des délires d’inconnus ! Alpha le sait… mais sous l’excitation, peut-il pousser le jeu jusqu’à me laisser seule, attachée, vulnérable… nue et désirable ?  J’avoue que la question me trouble et c’est un soulagement lorsqu’enfin Alpha me détache ! Il a sans aucun doute d’autres projets en tête.

Nous poursuivons la visite, les coins câlins sont très variés, certains sont faits pour répondre aux fantasmes les plus extravagants : celui avec des trous dans le mur en forme de figures de cartes à jouer (cœur, pique, …), celui avec des miroirs partout y compris au plafond, la salle du docteur, celle du bureau du DRH, un coin italien avec des masques vénitiens et de lourdes tentures,  un coin africain avec des peaux de léopard, un coin «bateau» avec un lit rond équipé d’un matelas d’eau et décoré de bouées tout autour… certains coins ferment à clé, d’autres non, offrant de nombreux choix aux libertins… Nous finirons la soirée dans le coin en forme de scène de théâtre doublée d’une alcôve à rideaux transparents, devant lequel passent tous les clients venant ou allant à la discothèque située juste en-dessous !

Mais dans l’immédiat, nous redescendons dans la zone humide… le premier jacuzzi est toujours complet… le second est, quant à lui, totalement vide. Nous choisissons ce dernier, plus tranquille, et prenons une douche avant de plonger dans les bulles. L’eau est chaude et profonde comme nous aimons Alpha et moi, mais comme aiment aussi visiblement Karine et Franck. Je me sens enveloppée par la chaleur et je me blottis, très câline, dans les bras d’Alpha, tandis que Karine et Franck s’enlacent à coté de nous… très vite nos corps se touchent, les mains de Franck me caressent les épaules puis les seins, celles d’Alpha caressent délicatement le corps de Karine et rapidement, nous nous caressons tous les quatre. Le visage de Karine et le mien se rapprochent, nos lèvres s’entrouvrent, nos langues se cherchent et s’enlacent dans un baiser doux et langoureux… hummm que j’aime sentir le désir monter en moi, en nous, m’abandonner aux caresses d’Alpha et de Karine, pendant que Franck et moi caressons tendrement Karine !

Nous échangeons nos places, Karine rejoint les bras d’Alpha et moi ceux de Franck… je sens rapidement le membre dur de Franck contre mon intimité… doucement Franck frotte son sexe lentement contre mon clito, mon souffle s’accélère de plus en plus, je sens mon sexe être inondé de cyprine, mon excitation est intense, je gémis, le plaisir monte doucement… je sens la main d’Alpha me caresser les cheveux, quel bonheur de le sentir si proche de moi, l’effet est immédiat, mon excitation s’accentue considérablement dès qu’il me touche ! Je le regarde, Karine et lui s’embrassent langoureusement tout en se caressant. Karine a saisi de sa main experte le membre d’Alpha qu’elle masse avec dextérité tandis qu’il lui caresse doucement le bas-ventre, l’intérieur des cuisses, puis le clitoris et les lèvres pour enfin introduire deux doigts dans sa fente... Karine gémit, elle se cambre sous l’effet du plaisir.

Franck n’a pas cessé ses va et vient, il est doux et tendre, nos lèvres se rejoignent pour un long et langoureux baiser, mon sexe est en feu, le plaisir monte sans cesse, je cherche les yeux d’Alpha qui s’est hissé sur le rebord du jacuzzi, Karine tient fermement son membre gonflé et dur dans ses mains et lui fait une fellation lui donnant un plaisir intense, cette vision de mon Alpha prenant son pied avec Karine me rend folle d’excitation et me procure un orgasme incroyable… hummm que c’est bon, quel plaisir intense !

Franck, la queue bien raide et dure, se glisse alors derrière Karine qui continue de sucer Alpha avec gourmandise, lui soutirant des spasmes et des gémissements de plus en plus forts. Je rejoins Karine et, placée tout contre elle, nous suçons Alpha toutes les deux. Alpha sent nos deux bouches, nos deux langues sur sa queue tendue et ses bourses gonflées, cela le rend fou et son membre se tend encore plus, les spasmes deviennent de plus en plus violents, c’est une véritable torture ! Car Alpha voit Karine le sucer et se faire prendre par Franck en même temps. Il voit également d’autres couples qui se sont glissés dans le jacuzzi et nous observent tous les quatre en se caressant.

Karine n’en peut plus, elle gémit de plaisir, ses gémissements sont de plus en plus intenses, comme son plaisir… car Franck n’a pas cessé ses va et vient par derrière, elle est dans un tel état d’excitation, qu’elle ne tarde pas à avoir un orgasme, ses gémissements se mêlent à ceux d’Alpha, car Karine et moi n’avons pas cessé de pratiquer nos va et vient sur sa queue en érection, prête à exploser. Alpha n’en peut plus, il redescend doucement dans l’eau du jacuzzi pour se détendre, il ne veut pas jouir tout de suite, la soirée ne fait que commencer !
 
Franck se colle contre le bord du jacuzzi, il attire Karine contre lui, Alpha vient se mettre derrière elle,  je suis, quant à moi, à la fois dans les bras de Franck et de Karine… Karine nous embrasse Franck et moi, en nous caressant, Franck sent les deux femmes contre lui et Karine les deux hommes devant et derrière elle. Car Alpha, dans le dos de Karine, lui caresse les épaules, puis il lui agace les pointes des seins, tandis qu’il agite ses hanches derrière les siennes. Karine tend sa croupe vers lui en faisant des mouvements de va et vient, elle lâche Franck, le plaisir la submerge, sentir la queue gonflée d’Alpha effectuer des mouvements incessants d’avant en arrière entre ses grandes lèvres, excite son clito. Elle tourne la tête pour saisir la bouche d’Alpha avec la sienne et enlacer leurs langues, dans une sorte de danse du plaisir ! Franck et Karine prennent du plaisir, Karine gémit de plus en plus fort, elle est prise par devant et par derrière, son excitation est telle qu’elle ne tarde pas à avoir un orgasme incroyablement violent.

Nous sortons du jacuzzi et à notre grande surprise, nous découvrons qu’il est plein de monde, une vingtaine de personnes au total, et qu’il est difficile d’en sortir sans heurter une cuisse ou un pied. De nombreux couples coquinent à deux ou à plusieurs… hummm que c’est bon de voir tous ces libertins se donner du plaisir !

dimanche 26 septembre 2010

un week end en Provence

(Alpha raconte)


C’est le début des vacances, nous avons depuis longtemps fixé une date pour revoir nos amis Pierre et Jennifer (voir récit du point G) dans le sud de la France. Nous sommes en août et les cigales crissent de tous leurs élytres autour de la gare TGV d’Aix-en-Provence, incongrûment posée au sommet d’un plateau calcaire inhabité…

 Mais avant de rejoindre nos amis, nous avons prévu un «pré-weekend» en amoureux dans un endroit magique dont tous nos amis nous ont parlé avec des étoiles dans les yeux : un gite libertin caché dans le maquis varois, et dont heureusement nous avons les coordonnées GPS. Car aujourd’hui la technologie satellitaire et téléphonique s’avère indispensable aux libertins modernes et mobiles, faute de quoi ils risquent de ne jamais atteindre leur but…

Car même équipés, nous ratons la sortie d’autoroute dont, il est vrai, la signalétique est déficiente. Quelques kilomètres plus loin, nous sortons et revenons sur nos pas par les petites routes… Nous découvrons ainsi des endroits improbables, perdus au fil des chemins et dissimulés dans la végétation luxuriante, jusqu’à atteindre une petite « traverse » à peine signalée au milieu d’un champ. Nous nous y engageons, elle se transforme en piste sablonneuse puis s‘engage entre des bâtisses datant de plusieurs siècles. Nous croyons entrer dans une ferme, mais la piste traverse en fait ce minuscule hameau où quelques habitants nous suivent d’un regard entendu : « encore des estrangers qui vont au gîte échangiste… »…

Après deux bifurcations, donnant le sentiment d’être au bout du monde, nous achevons les derniers mètres grâce au guidage téléphonique de notre hôtesse, Catherine.

Une superbe propriété, au bout de cette route poussiéreuse… Toute en terrasses paysagées, du parking en bas à la piscine naturiste en haut, cachée dans les pins et les chênes verts, le domaine étage ses bâtiments fraichement crépis. Un rapide coup d’œil sur les plaques d’immatriculation du parking saturé, nous indique que la France entière, la Belgique et la Suisse sont présentes… Nous parvenons péniblement au sommet des escaliers, pour y trouver Catherine et son mari Thierry.

Ils nous accueillent chaleureusement avec un verre de rosé bien frais. Catherine porte un joli petit short sexy en jean, assez échancré et orné de dentelle blanche ainsi qu’un petit top couvrant juste ce qu’il faut. Thierry est nu. Autour de la piscine, les couples sont allongés nus au soleil et certains sont enlacés. Deux ou trois personnes s’ébattent dans la délicieuse piscine chauffée et en plein soleil. Nous remarquons, en surplomb de la piscine, deux huttes en bois pourvues de matelas… Les fameux «coins câlins dans la pinède », hummm… il nous tarde de les essayer !

Thierry a passé un short, il nous montre notre chambre, grande et décorée avec goût, avec une vue panoramique sur le maquis en contrebas. Nous nous installons rapidement car nous n’y tenons plus depuis Aix. Je brûle de montrer à Caresse ses nouveaux jouets : un soutien-gorge taille unique, bonnets A à Z, en bois et métal, que je lui ai confectionné avec amour ; et une barre d’écartement pour agrémenter les jeux de soumission…

Je lui passe sans attendre ses bracelets blancs aux poignets et un bandeau sur les yeux puis je l’accroche par les poignets à la grille de la fenêtre de la salle de bains au moyen d’une courte chaîne bien tendue. je la déshabille et lui fixe la barre d’écartement aux chevilles, ce qui la fait immédiatement mouiller et gémir. Thierry a laissé entendre, coquin, que nous pouvions laisser ouverte la porte de la chambre, ce que nous avons fait… je remarque que deux ou trois personnes, dont Thierry, jettent des regards vers la fenêtre de la salle de bains, à cause des petits cris de ma belle. je lui en fais part, mais elle ne me croit pas : « mon Alpha prend plaisir à essayer de m’inquiéter alors que je suis dans une position délicate » pense Caresse !

Je viens alors entre ses cuisses écartées et je commence à lui lécher délicatement le clitoris et les lèvres détrempées. Pas question d’en perdre une goutte ! Pour renforcer encore ses sensations, je lui passe son nouveau « soutien-gorge » que je serre au-dessus et en-dessous avec les écrous à oreilles sur les trois tiges filetées. Les seins ainsi comprimés lui arrachent un cri plus aigu et font saillir en avant les tétons gonflés d’excitation. Il ne me reste plus qu’à y fixer les pinces, reliées à une longue chaîne lourde que je suspens à l’étendoir des serviettes de l’autre côté de la salle de bains. Ainsi lestée et entravée, Caresse n‘a plus qu’à subir les allers-retours de ma langue dans et autour de sa fente en feu. J’y ajoute les doigts et entame un rythme endiablé… jusqu’à ce qu’un orgasme ravage ma dulcinée qui hurle de tout son corps sans savoir que les spectateurs de la piscine n’ont pas perdu une miette, enfin de ce qu’ils pouvaient voir et imaginer !

Je délivre Caresse, il est temps de se préparer et d’aller rejoindre les autres pour dîner. Thierry fait les présentations avec les 5 autres couples pensionnaires, les autres clients, venus simplement à la journée, ont déjà quitté les lieux. Il en profite pour faire quelques allusions à la séance de la salle de bains et nous fait d’emblée une réputation parmi cette petite communauté de circonstance… !! Nous constatons d’ailleurs que cette petite démonstration intéresse grandement deux ou trois autres couples, plus bien sûr Catherine et Thierry…

Cette façon de « briser la glace » nous permet de passer un très bon moment à table et de nous découvrir un peu mieux les uns les autres. Très vite nous sympathisons avec nos deux couples voisins : Cléa et Daniel d’un côté, Cynthia et Christophe, nos voisins suisses, de l’autre. Malgré la petite taille du gîte, tous les convives ont fait un effort vestimentaire dans une perspective de séduction. Les hommes restent dans l’ensemble assez classiquement vêtus, pantalons et chemises légères entrouvertes sur leurs poitrines velues… quant aux dames, elles rivalisent de beauté et d’élégance : robes courtes et décolletées, bas et jarretelles ou petits shorts moulants, délicats escarpins avec au minimum 10 cm de talons, bijoux et parfums. Un grand moment d’épicurisme ce dîner, un ravissement de tous les sens ou d’au moins quatre d’entre eux, pour le toucher il faudra attendre encore un peu…

Après le café et un petit digestif offert par la maison, il est manifeste que personne ne souhaite aller se coucher, aussi Thierry propose-t-il d’ouvrir la mini-discothèque aménagée dans la partie basse du bâtiment : une pièce d’environ 25m2, équipée d’une sono, de lumières noires, d’un bar et de banquettes…. Et doté d’un coin câlin assez grand pour 8 personnes à l’extrémité de la piste de danse.

L’idéal pour un petit groupe comme le nôtre… Très rapidement, tout le monde se retrouve à danser ensemble sur la piste. Rythmes fiévreux, salsas, zouks,… tout porte à la sensualité. Cynthia brille particulièrement de mille feux car il se trouve que notre suissesse est d’origine congolaise ! Elle danse lascivement avec Caresse, sous les yeux de Christophe et d’Alpha, puis vient se frotter l’arrière-train devant moi tandis que Christophe colle Caresse par-derrière. Nous nous retrouvons vite enlacés tous les quatre et échangeons nos premiers baisers tout en continuant de danser.

Puis nous encerclons Cléa et Daniel, des pros de la salsa, et commençons à les attirer dans nos jeux. Cléa se retrouve au centre de toutes les attentions, avec Daniel derrière elle, Cynthia et Caresse devant, qui lui déboutonnent son corsage tout en l’embrassant. Ceci me permet, ainsi qu’à Christophe, postés de part et d’autre de Cléa, de chacun lui saisir un sein et de lui sucer… La réaction ne se fait pas attendre, Cléa penche la tête en arrière en gémissant doucement…

La musique change soudain, nous sommes excités et décidons de passer dans le coin câlin. Sans plus attendre, nous nous déshabillons les uns les autres et poursuivons nos explorations intimes : nos mains se font caresses, nos lèvres à tous les quatre se font baisers et chuchotements… je me retrouve sur le dos en train de caresser et embrasser Caresse tandis que Cynthia s’active entre mes cuisses à me sucer à un rythme effréné. Christophe a plongé entre les cuisses de Caresse qu’il lèche goulûment. Puis Cynthia se tourne pour sucer son homme qui s’est redressé pour embrasser Caresse. Alpha vient donc tout naturellement se placer entre les cuisses de Cynthia pour la lécher à son tour.

La pression monte de plus en plus… nos désirs augmentent, nos corps sont en feux, nos mains caressent encore et encore les corps des autres, c’est un ballet de caresses et de plaisirs qui montent entre nous… N’y tenant plus devant la croupe tendue de Caresse qui me titille les seins, Christophe la pénètre avec vigueur pendant que Cynthia et moi nous plaçons en « 69 »… La température monte encore d’un cran, c’est la 1ère fois que ma Caresse se lâche autant avec un couple que nous ne connaissions pas le matin… mais un super feeling a eu lieu entre ma Caresse et Cynthia, cette connivence entre nos deux femmes, à Thierry et moi, était belle et excitante… elles se sont beaucoup charmées au repas, puis sur la piste de danse pour enfin nous offrir un feu d’artifice de bonheur libertin dans le coin câlin de la discothèque !

Les caresses s’accélèrent et presque en même temps, nos deux libertines crient leur jouissance, l’une sous les coups de boutoir de son partenaire, l’autre sous la langue et les doigts du sien… Pour nous relaxer un peu, nous nous caressons tous les quatre, nos mains se font de nouveau tendresse, nos lèvres se font baisers… puis chaque couple se reforme tendrement et nous terminons nos ébats par corps à corps classique et si délicieux avec nos conjoints respectifs.

Soudain Thierry apparaît dans l’embrasure du coin câlin, levant le nez, je réalise qu’il n’y a plus personne sur la piste de danse… « L’heure de la fermeture ? » dis-je à Thierry. Celui-ci secoue négativement la tête, attiré par les doux cris de jouissance, il est juste venu voir le spectacle !
Nous n’avons pas vu le temps passer encore une fois… Après avoir souhaité la bonne nuit ou ce qu’il en reste à nos amis suisses, nous allons nous coucher et constatons, stupéfaits, qu’il est déjà…. 3 heures du matin !

Nous apprendrons le lendemain que Cléa et Daniel se sont éclipsés dans leur chambre pour coquiner avec le couple belge ! Quel dommage qu’ils ne soient pas restés avec nous, le coin câlin était assez grand pour que nous coquinions tous… une autre fois sans doute !

samedi 25 septembre 2010

Du meilleur usage d'un porte-manteau mural

(Caresse raconte)


Nous avions, à notre plus grande surprise, eu la même chambre d’hôtel que la dernière fois. Quel bonheur de retrouver notre porte-manteau ! Les appliques ont été changées et la tête de lit solidement refixée au lit… rires ! Nous ne les avions pas ménagées la dernière fois, nous n’avions rien abîmé fort heureusement, juste fragilisé le mobilier, l’ensemble méritait d’être consolidé, ce qu’a fait l’hôtel. Nous avions la journée pour nous et bien l’intention d’en profiter le plus possible.

J’ai demandé à Alpha de s’allonger dans le sens contraire du lit, il était beau nu, allongé de tout son long sur le lit, me regardant en se demandant ce que j’avais en tête… Je pris notre vanity à accessoires et j’ai vu alors les yeux de mon Alpha pétiller ! J’ai commencé par sortir son magnifique collier de soumis, puis ses bracelets de poignets, de chevilles, ensuite quatre cordes, une chaine et des mousquetons ! Hummm mon Alpha était excité, son membre était d’une virilité exceptionnelle… et son excitation contagieuse, bien que je n’eusse pas besoin de cela, je dégoulinais, mon plaisir était intense et à fleur de peau !

J’ai «habillé» Alpha de son collier, de ses quatre bracelets et j’ai pris une corde que j’ai solidement fixée à l’un des pieds du lit avant d’attacher l’autre extrémité à l’anneau de la cheville droite, j’ai procédé ainsi pour son autre pied et ses bras. J’ai terminé par la chaine que j’ai accrochée à l’anneau du cou d’un coté et au porte-manteau de l’autre côté. La chaine était bien tendue, elle produisait un effet certain sur le cou d’Alpha qui se sentait tiré vers le haut. Je fixai pour finir les pinces aux tétons et j’attachai les pinces à la chaine du cou pour qu’une tension constante agisse et tire sur les tétons. A chaque mouvement de sa tête, Alpha provoquait une secousse des chaines et un tiraillement délicieux sur ses tétons…

Pour l’exciter, je me suis vêtue de gants, sans doigts, en cuir noir, de bracelets de cuir blancs aux poignets et de mon collier de chienne… hummm j’étais très belle en maitresse-femme… en tout cas visiblement mon Alpha appréciait. Il était écartelé au milieu du lit, avec une érection comme jamais je ne lui avais vu… il était incroyablement beau !

Nous étions tous les deux si excités que je n’ai pas pu résister à m’asseoir sur son pieu… humm quel plaisir ces va et vient sur son sexe ! Notre plaisir était partagé, nos souffles s’accéléraient, nos gémissements se répondaient, nous vibrions tous les deux d’un même plaisir. Mais je voulais faire durer ce moment et il était impossible que je continue trop longtemps cet exercice sans prendre le risque de le voir jouir très vite. Je cessai mes va et vient et je vins m’allonger à côté de lui, je l’ai longuement caressé et embrassé… hummm que j’aime ces moments avec Alpha !

Je m’assure, car c’est essentiel, que ses bras et ses pieds sont toujours bien tendus par les cordes avant de le caresser avec une plume… je la passe partout, m’attardant et revenant sur les endroits plus sensibles, dès qu’il réagit en se cambrant légèrement, en gémissant, je me penche et je lèche l’endroit avec ma langue que je fais coquine et douce !

Ce contact de la plume suivi de celui de ma langue a un effet diabolique, Alpha se tord littéralement sur le lit, mais bien fixé par les cordes et la chaine, il ne peut se libérer et il subit ce plaisir que je lui impose si impérieusement… ce n’est que le début, mais il ne le sait pas encore !

Doucement, je viens me placer entre ses jambes écartées grâce aux cordes qui ne lui offrent pas d’autres options quant à la façon d’être… Alpha est offert tout à moi, il est excité d’être ainsi «maltraité » par sa Caresse ! Grrrr… je le mangerais  bien mon Alpha dans ces moments là !

A genoux entre ses jambes, j’écarte ses fesses pour trouver son petit trou… je lubrifie un doigt et je commence à le caresser doucement, le laissant savourer cette caresse toute particulière, avant de doucement remplacer mon doigt par ma langue… humm qu’il aime ce bon anulingus, c’est si bon un bout de langue dur et coquin sur un petit trou sensible et quel plaisir partagé que d’entendre ses gémissements de plaisir ! Son petit trou est si excité que je n’ai plus aucun mal à y entrer ma langue entièrement, je m’assure de son excitation en entrant un, puis deux, puis trois doigts pour un doux va et vient par derrière. Hummm, mais il aime cette caresse mon coquin…

Je sors de notre mallette un plug appelé « le diabolique », il porte bien son nom, c’est un plug énorme et vibrant… Je le lubrifie et je le présente devant l’anus d’Alpha. Il gémit lorsqu’il comprend ce que je suis en train de faire, car il le connait déjà bien notre diabolique, il sait que ça va être sa fête ! Doucement, centimètre par centimètre, le plug entre entièrement, un renflement à la base du plug rend la fin délicate et fait pousser des grognements à Alpha… je ralentis, je remets du lubrifiant à l’endroit stratégique et je continue jusqu’à ce que le plug soit entièrement englouti ! Je laisse la sensation d’être bien rempli s’installer et j’enclenche la vibration du plug… hummm que ce doit être fort, Alpha se tord, il gémit…

Je sors un onguent à la framboise du vanity, je lui en applique sur le sexe…  donnant à celui-ci un aspect luisant et une texture très douce. Avec ma main gantée, je commence à masturber Alpha en faisant subir à son sexe des va et vient de plus en plus rapide, puis j’arrête, remplaçant ma main par  ma bouche et je le suce avec gourmandise, j’aime le sucer, sa queue est belle et si délicieuse avec son goût de framboise, elle est à la taille de ma bouche, un vrai bonheur une entente physique aussi parfaite ! Je continue ce petit jeu un long et bon moment, en prenant soin de titiller le plug enfoncé dans son anus !

J’augmente la variation du plug, mais le niveau maximum est désagréable, Alpha me le dit immédiatement, je reviens tout de suite au niveau inférieur… et je poursuis la masturbation de son sexe, cette fois je ne change plus, je me cale contre son flanc et avec ma main gantée, je le masturbe activement, mes lèvres en profitent pour venir lécher copieusement ses tétons qui dépassent des pinces, un vrai supplice, de longs et puissants gémissements sortent de la bouche d’Alpha, son corps se tord… humm, ses réactions m’excitent et je n’ai plus qu’une envie lui donner le plaisir qu’il attend depuis un long moment maintenant…

J’accentue mes va et vient sur sa queue, ma main se fait douce et rapide, je le sens réagir de plus en plus fortement à mes caresses, il gémit plus fort, se cambre de plus en plus, il ne peut s’empêcher de donner des coups de rein pour accompagner les mouvements de ma main sur son sexe, il n’en peut plus manifestement et soudain je le sens partir, un jet puissant sort de sa queue et vient se répandre sur mon visage, je lèche avec un plaisir non dissimulé son sperme, il est délicieux quasi crémeux et très légèrement amer… ma main continue d’accompagner son orgasme, il éjacule de nombreuses fois avant de rendre les armes dans un soupir de plaisir extrême ! Hummm qu’il est beau mon Alpha lorsqu’il prend son pied !

Je détache Alpha, il me dit " Ma Caresse, je crois que mes fesses ont avalé le diabolique ! " Un coup d’œil sur l’anus et je constate, en effet, que le plug n’apparait plus… Alpha va aux toilettes pour tenter d’expulser le plug sans aucun succès... quel horrible moment d’inquiétude que les minutes qui ont suivi: où était passé ce diabolique, lui si gros, si vibrant… aucun doute il était dans l’intimité d’Alpha et il fallait aller l’y chercher !

J’invitai Alpha à se mettre à quatre pattes et à me tendre ses belles fesses. Pendant qu’il se mettait en position, je lubrifiai mes doigts et ma main tout entière, car j’ignorai jusqu’où je devrais aller… j’ai doucement introduit un doigt, puis deux, puis trois, j’ai senti le plug à l’intérieur sur le côté droit de l’anus, il était bloqué par les muscles puissants d’Alpha. Mes trois doigts ne suffisaient pas, j’avais besoin de mon pouce pour saisir diabolique qui vibrait toujours dans le magnifique cul d’Alpha.

J’ajoutai du lubrifiant sur mes doigts avant d’introduire tout le reste : le quatrième doigt, le pouce, le haut de la main et pour pouvoir saisir le plug toute la main jusqu’au poignet… c’est la 1ere fois que je fistais Alpha… hummm un vrai bonheur que d’attraper le plug et de ressortir tout doucement… un plaisir étrange pour nous deux !

Il faudra que nous essayions à nouveau mon amour. J’aimerais !  :love:  :pt1cable:

vendredi 24 septembre 2010

Le tourniquet ou la roulette libertine

(Alpha raconte)


Nous aimons découvrir divers endroits libertins au fil de nos pérégrinations.

Dans l’un de ces lieux, où nous nous trouvions récemment avec six couples d’amis libertins, nous avons découvert dans les coins câlins, un très grand lit rond tournant, en forme de tourniquet surmonté d’un baldaquin portant des voiles transparents. Six montants délimitaient une sorte d’hexagone inscrit dans le matelas du lit, suggérant que chaque portion, ainsi délimitée, constituait un coin câlin pouvant être occulté par les voiles du baldaquin. A dire vrai, les voiles n’ont pas servi ce soir-là !

Comme nous étions justement six couples, l’idée d’un petit jeu libertin à douze a germé très vite dans nos esprits…. Les six dames se sont allongé chacune dans une partie de l’hexagone, têtes et mains vers le centre – pouvant ainsi se caresser et s’embrasser librement. Une variante pouvait consister à les enchaîner toutes ensemble par les poignets au centre du lit, mais nous n’avions pas le matériel nécessaire… 

Les messieurs se placent debout devant le lit, chacun devant sa compagne. Là encore deux variantes sont possibles :
- on tourne le lit de 60 degrés, soit 1/6 de tour, et chaque couple ainsi nouvellement formé coquine ensemble pendant 5 minutes…. Au bout de 5mn, de nouveau un décalage de 60 degrés, et on continue pendant 5 mn avec le / la  nouveau / nouvelle partenaire… jusqu’à avoir fait le tour complet, et là on est censé « terminer » les coquineries avec sa compagne / son compagnon de départ !
- La deuxième variante consiste à jouer à la roulette : les six hommes font tourner le tourniquet assez vite, puis le lâchent, laissant la roue « constituer » les paires : lorsque le tourniquet s’arrête – aléatoirement – chacun coquine avec la partenaire qui se présente…

On peut bien sûr combiner avec la variante n°1, et relancer le tourniquet plusieurs fois sans jamais être sûr de tomber sur son/sa partenaire de cœur… un peu comme les cours de salsa dans les clubs verticaux, ces changements sont fait pour brasser les couples...bon ok, ici ça brasse quand même plus qu’en cours de salsa!

Ce soir-là, des dames ayant le mal de mer, le lit a un peu tourné, mais très vite il s’est arrêté dans une position stable, malgré un léger tangage… ayant le pied marin, ces mouvements de rotation ne m’ont pas empêché de m’occuper de Caresse et plus précisément de lui titiller ma zone préférée entre ses cuisses. Elle avait, quant à elle, pris soin de m’«habiller » de mes bracelets et collier de cuir noir pour que, dit-elle, je sois à mon avantage ! Tandis que je m’appliquais assidûment à la lécher et à l’exciter de mes doigts, je voyais derrière elle nos amis Yann et Estelle également bien occupés et je sentais derrière moi que Tristan et Yseut ne s’en laissait pas compter. Du coin de l’œil droit, je découvrais par intermittence nos nouveaux amis, Florent et Jade, mélangés à Pierre et Jennifer. Jade était à quatre pattes, sa tête à 20cm à droite de la mienne, Jennifer allongée sous elle et enlacée avec Florent tandis que Pierre s’activait vigoureusement derrière Jade.

Caresse continuait de monter en rythme et en vocalises et je réalisai alors que ma main droite était libre pour caresser Jade. En commençant par ses cheveux, sa nuque et son dos, une peau très lisse et douce au toucher… Puis je laissai glisser ma main vers le bas pour venir lui envelopper les seins tour à tour, en alternant massage rotatif et pression globale et, de temps à autre, saisissant la pointe pour la pincer entre deux doigts. Jade semblait apprécier les multiples sensations qui se rejoignaient en elles, outre ma main, les baisers et la langue de Jennifer, la main de Florent qui alternait avec la mienne et les mains et le sexe de Pierre sur la partie inférieure de son corps qu’elle lui offrait sans retenue.

Entre temps, Caresse s’était trouvée tête bêche avec notre amie Colleen et elles s’embrassaient à pleine bouche, tandis que Cyrus était fort affairé entre les cuisses de sa belle. Soudain, Caresse sembla se bloquer net, et son gémissement se transforma en un cri de jouissance continu, son bas-ventre secoué de spasmes incontrôlables mais qui en demandait encore. Pas de doute, la découverte du point G est un avantage considérable, toute l’expression de son visage en est modifiée depuis qu’elle ajoute, depuis peu, le plaisir vaginal au plaisir clitoridien, depuis longtemps familier.

Après une telle « mise en bouche », nous décidons d’aller nous occuper un peu plus de nos amis. Caresse tourne autour du lit vers la gauche et se retrouve ainsi en trio avec Estelle et Yann, tandis que de mon côté, par la droite du lit, je retrouve d’abord Jennifer, toujours allongée sous Jade, que j’embrasse tout en lui caressant les seins. Cela ne dure pas car Tristan et Yseut sont venus se placer à ma gauche, Yseut gratifiant Tristan d’une fellation dont elle a le secret. Je me place derrière elle pour lui masser les épaules et le dos, ma queue encore excitée lui effleurant les grandes lèvres et les fesses. Puis elle se redresse et monte sur le lit à côté de Tristan pour l’embrasser et, se retournant, écarte les cuisses devant moi. Devant une invitation si belle, je ne peux que m’agenouiller pour lui lécher le sexe, tandis que deux inconnus viennent de monter sur le lit à côté de Tristan, à l’emplacement que Caresse et moi avons laissé libre.

Depuis que nous sommes sur le lit-tourniquet, les allées et venues n’ont pas cessé autour de nous, nous sommes dans un passage qui mène à d’autres coins câlins. Beaucoup de couples passent, nous regardent parfois pendant de longues minutes puis poursuivent leur chemin, avant de revenir nous regarder… Ces deux-là ont décidé de nous rejoindre, l’ambiance a dû leur plaire….

La femme, blonde, est en levrette, son homme derrière elle, et elle a englouti le sexe de Tristan dans sa bouche. De par ma position, et compte tenu de l’exiguïté relative du tourniquet, je sens ses cheveux blonds me chatouiller la joue gauche au rythme de la fellation. Cela ne me déconcentre pas trop, et je continue de m’appliquer avec ferveur, de mes lèvres et de ma langue sur la vulve d’Yseut, et de mes doigts à l’intérieur de son vagin. De l’autre côté du tourniquet, j’entends des petits cris de jouissance que je connais bien, mais je ne peux pas vraiment voir ce qui se passe. Yseut prend soudain un rythme plus soutenu, tandis que Tristan lui chuchote des mots doux et l’embrasse, lui-même toujours aux bons soins de notre blonde suceuse qui semble très appliquée sur ma gauche. Yseut se met à crier et son corps entier est secoué de spasmes au moment où je suis inondé par de grandes vagues de son nectar de plaisir.

Je la délivre de cette douce « torture diabolique » et l’embrasse avant de contourner le lit pour rejoindre ma Caresse que je trouve en train de se faire goulûment lécher et titiller par Estelle, elle-même prise en levrette par Yann. J’arrive juste à temps pour lui faire un baiser d’amour profond qui lui fait ouvrir les yeux et instantanément crier de plaisir sous la langue experte d’Estelle. Je la prends tendrement dans mes bras et lui caresse les épaules, les cheveux, pendant qu’Estelle s’allonge à son tour sur le dos et que Yann la prend de nouveau, cette fois par devant. Je lâche Caresse et embrasse Estelle goulûment, nos langues s’enlacent, ces deux langues qui viennent de faire jouir ma bien-aimée. Elle ne demeure pas inactive et caresse doucement les cheveux d’Estelle d’une main, mes épaules de l’autre. Il ne faut pas longtemps pour qu’Estelle explose à son tour, traversée par une onde de plaisir presque insupportable, qui la fait se recroqueviller pour empêcher qu’on la touche davantage tant son plaisir est fort et très présent dans sa chair.

Cette variante improvisée de la roulette libertine aura réussi à faire tourner bien des têtes, sinon des corps…

jeudi 23 septembre 2010

La découverte de mon point G

(Caresse et Alpha racontent) 




Caresse : Lors d’une conférence à laquelle j’ai participé, une sexologue a déclaré que si l’on n’a pas trouvé son point G avant 40 ans, il est impossible de le trouver ensuite. Ces propos m’ont dérangée, à l’époque je n’avais eu qu’un ou deux orgasmes vaginaux en 20 ans… je me disais que je ne connaitrais donc plus ces plaisirs ! Mes orgasmes clitoridiens me comblaient totalement, pourtant, j’avais secrètement envie de vivre à nouveau l’intensité que seule procure un orgasme vaginal.  

Lors d’une soirée libertine entre amis, au cours de la conversation, j’ai ainsi osé dire que je ne savais pas où était mon point G…. Jennifer me regarda alors droit dans les yeux avec un air adorable, en me disant « tu aimerais que je t’aide à le trouver ? » «Oui, je veux bien… » dis-je troublée par cette femme avec laquelle j’avais déjà un feeling étonnant ! Étonnant, car nous nous rencontrions pour la première fois et habituellement, il me faut rencontrer les gens plusieurs fois avant d’avoir un aussi bon feeling, là le feeling a été immédiat ! Le diner s’est poursuivi agréablement, dans la bonne humeur, avant que ne débutent nos jeux coquins.

La pièce était belle : un grand divan doux et moelleux s’offrait à nous, surmonté d’un large miroir entouré d’une guirlande lumineuse rouge. Le miroir était parfaitement situé, juste à la bonne hauteur ! Il y avait une magnifique croix de St-André et une « table » particulière permettant d’agrémenter les jeux érotiques (celle qui avait servi dans le donjon).  
 
Mon Alpha m’a d’abord attachée en réalisant sur moi un très beau karada, un nœud de base du bondage japonais qui forme une succession de losanges et dont Alpha souhaitait faire la démonstration à nos amis libertins. Pierre, le mari de Jennifer, se montra curieux, lorsque je lui révélai que je faisais la même chose à Alpha et que je pouvais lui montrer… ! Joueur, il a relevé le défi avec un plaisir mêlé de curiosité et d’amusement ! Un vrai libertin épicurien ce Pierre, comme nous les aimons Alpha et moi !
 
Après avoir à mon tour fait un beau karada sur Pierre, je me sentais passablement excitée et j’ai aussitôt sauvagement déshabillé mon Alpha pour l’attacher sur cette croix qui nous tendait les bras, hummm…quel bonheur de voir mon Alpha ainsi entravé, les bras et les pieds attachés en croix, offert à Jennifer et moi, tandis que les autres invités se régalaient du spectacle, confortablement installés dans le canapé… Pour compléter sa panoplie d’esclave sexuel exhibé en public, j’ajoutai le collier de cuir en forme de minerve qui se serre très fort sur la nuque par deux sangles solides. Ce collier, muni de solides anneaux, me permettait de fixer le cou d’Alpha aux anneaux de la croix par une solide chaîne avec des mousquetons.
Ainsi équipé, Alpha ne pouvait plus que subir ce qui allait lui arriver, sans aucune possibilité de s’y soustraire, pas plus qu’il ne pouvait éviter les regards de nos amis. Dans ces conditions, il ne fallut pas longtemps pour voir la queue d’Alpha durcir et grossir sous ma langue, tandis que Jennifer lui caressait le dos et les fesses puis, avant de venir par devant se coller contre lui pour lui suçoter les pointes des seins tout en lui caressant les épaules.
Doucement nous avons inversé nos positions et Jennifer m’a demandé si elle pouvait sucer Alpha, une vraie libertine respectueuse cette belle brune, je lui ai dit de poser la question à Alpha, sa réponse m’a amusée : «mais les hommes disent toujours oui ! », j’ai apprécié que mon accord soit aussi important pour elle que celui d’Alpha, puisque nous étions en couple, c’était beau !
Charmée et en confiance, j’ai pu profiter pleinement de ce moment libertin et quel plaisir de voir mon Alpha gémir sous les coups de langue et sous l’effet des va et vient des lèvres de Jennifer. Je me suis agenouillée de l’autre côté de Jennifer et nous avons sucé Alpha toutes les deux…hummm quel pied pour nous trois… Alpha gémissait de plus en plus, son souffle s’accélérait, son sexe grossissait pendant que ma langue et celle de Jennifer se croisaient sur son membre, magnifiquement dressé, et que nous nous embrassions tout en le caressant…hummm que c’était bon ! 

Alpha : je me tordais de plus en plus de plaisir, livré aux caresses expertes de mes deux partenaires. Comme je me trouvais ainsi nu, attaché et incapable de faire le moindre mouvement, et ce pour la première fois devant un public aussi nombreux, j’avais au départ une appréhension qui s’est très vite muée en délice.
Au moment où les deux femmes s’activaient sur moi, les « spectateurs » du canapé étaient devenus acteurs à leur tour et un deuxième groupe avait commencé à coquiner dans la pénombre un peu plus loin. C’est tout juste si je n’étais pas déçu de ne plus intéresser que mes deux coquines ! Elles n’étaient en tout cas pas bien loin de me faire exploser quand Pierre, toujours équipé de son « treillis japonais », s’est approché, visiblement très excité de nous voir prendre du plaisir tous les trois.

Caresse : Nous délaissant Alpha et moi, Jennifer s’est mise à sucer son mari… je continuais à lécher et titiller mon Alpha si beau, excité et offert ! J’étais sur le point de le détacher afin de continuer nos caresses sur le canapé, quand Jennifer m’a soudainement entraînée vers celui-ci, en me disant qu’elle allait s’occuper de moi et qu’Alpha était très bien ainsi attaché sous entendant que Pierre pourrait s’occuper de lui !
J’étais troublée par Jennifer, j’avais envie d’elle, son excitation était belle et contagieuse. Mais j’avais aussi envie qu’Alpha me touche, c’était un besoin viscéral. Ni lui, ni moi ne sommes voyeurs, nous avons besoin de toucher pour prendre du plaisir, je ne pouvais pas penser jouir en sachant que lui resterait éloigné et n’éprouverait que peu de chose attaché sans aucune stimulation. Mais j’étais déjà allongée contre le canapé et Jennifer activait sa langue entre mes cuisses.

Alpha : Toujours attaché sur ma croix, j’ai soudain vu Caresse s’écarter, entraînée par Jennifer à s’allonger sur le canapé. Mon regard a alors croisé celui de Pierre qui, par solidarité d’esclave peut-être, a entrepris de me décrocher… Ouf ! Enfin libéré (quoique toujours pourvu des bracelets et des chevillières en cuir, Caresse m’avait retiré le collier avant d’être enlevé par Jennifer) j’ai pu m’approcher du canapé où s’ébattaient maintenant les deux groupes et constater que Jennifer était très active vers le bas-ventre de Caresse, tandis qu’un troisième lui suçotait la pointe du sein droit. Ce dernier bénéficiait dans le même temps d’une solide fellation octroyée par une libertine qui n’avait elle-même pas l’air esseulée… Je m’installai à l’endroit qui m’appelait de toute évidence : le sein gauche de Caresse que je rejoignis et entourai de mes deux mains comme un fruit bien mûr que je m’empressai de dévorer à pleines dents, tandis que Pierre s’occupait de la face arrière de Jennifer!

Caresse : … une fois mon Alpha de nouveau à mon contact, j’ai pu me lâcher complètement et profiter du plaisir que Jennifer m’offrait… hummm, après les délicats coups de langue prodigués avec expertise et générosité, Jennifer a introduit deux doigts dans mon vagin et a appuyé à intervalles réguliers, fermement mais sans brutalité, sur une zone intérieure pas très éloignée de mon clitoris, mais qui me procurait des sensations inédites. Pendant ce temps, Alpha alternait suçotements de mon téton et baisers profonds tandis qu’un autre libertin me suçait le sein droit… à ce régime, il ne me fallut pas longtemps pour que mon gémissement se transforme en hurlement de plaisir, mon corps entier secoué de spasmes incontrôlables en s’abandonnant à ces caresses multiples et inondant le visage de mon amie des marques fluides de mon intense plaisir.

Découvrir mon point G avec une femme aussi délicieuse que Jennifer a été un vrai bonheur ! Grâce à elle, je connaissais désormais « l’adresse » de mon point G, à moi d’en prendre soin maintenant et avec Alpha, je savais que ce serait un bonheur sans nom et une réalité proche ! Nous devions en effet passer les 5 nuits suivantes ensemble, nous aurions donc toutes les occasions de profiter de ce cadeau. Et c’est ce que nous avons fait…

Un matin, nos corps nus, encore endormis, se sont rapprochés, nos mains se sont faites caresses, nos langues se sont faites tendresses, nous nous sommes réveillés doucement, laissant le désir monter lentement et doucement en nous jusqu’à ce que nous ayons une folle envie de faire l’amour… Tout en continuant de caresser Alpha, mes lèvres se sont rapprochées de son sexe… ma langue s’est enroulée autour de son membre dur et dressé d’excitation, son souffle s’est accéléré, ses gémissements se sont faits de plus en plus longs, forts… je continuais le va et vient sur sa queue, j’étais de plus en plus excitée par sa voix, ses caresses, par lui que j’aime tant et plus encore dans ces moments intenses entre nous. Je me suis blottie dans ses bras pour l’embrasser tendrement, il a entouré mes épaules de ses bras musclés, ses mains se sont faites tendres et douces, l’une d’elle a rejoint mon intimité, ses doigts m’ont pénétrée, je dégoulinais de plaisir et j’ai gémi lorsqu’il m’a pénétrée, ses doigts ont rapidement trouvé mon point G, je gémissais, le début de l’excitation était moins fort qu’avec mon clito, mais ce plaisir vaginal était si bon que je n’avais pas envie d’autre chose… Alpha m’a stimulée, la pression était forte, mais le geste doux et régulier. Je découvrais ce plaisir, je me laissais porter par les vagues de plaisir qui se déversaient en moi, augmentant de plus en plus au fur et à mesure de la stimulation… Alpha ne se relâchait pas, au contraire son souffle s’est mis à suivre le mien, augmentant encore plus mon plaisir. J’ignorais à quel moment j’allais exploser… je me laissais totalement aller aux plaisirs qu’il me donnait …  hummm quel pied… et soudain un plaisir intense m’a submergée... Bien malgré moi, mon corps s’est cambré et un orgasme vaginal d'une puissance incroyable m’a terrassée, entrainant une lubrification incroyable, j'étais fontaine… C’est un plaisir long, sourd et d’une intensité extraordinaire…

mercredi 22 septembre 2010

La suite du donjon

Alpha raconte

Ces travaux pratiques nous ont donné soif. Nous sortons au soleil sur la terrasse du jardin et j’ouvre pour mes invités une bouteille de champagne avec mon sabre d’apparat. Le bouchon est propulsé du premier coup à 5 mètres, en direction de la piscine dont le bleu profond invite à se rafraîchir. Très rapidement Caresse et Estelle ne peuvent se retenir et se dévêtent à nouveau complètement pour s’immerger avec délice dans l’eau à 26 degrés, coupe de champagne à la main. Il faudra qu’un jour je me décide à construire ce fameux bar de piscine auquel je pense depuis longtemps, ce qui me permettrait de mettre à profit mes talents de barman émérite pour mes invités même lorsqu’ils font trempette….
Tandis que Yann et moi dégustons notre coupe en devisant tranquillement sur la terrasse, les ébats de Caresse et Estelle dans l’eau semblent ne pas se limiter à la natation… D’un œil distrait, nous les apercevons enlacées, embrassées, disparaissant parfois sous l’eau et ne réapparaissant que pour inspirer et ainsi pouvoir également soupirer en gémissant.

Je profite de cet intermède pour retourner avec Yann dans le donjon et terminer de monter la table de « torture ». Très ingénieusement, Yann a prévu quatre montants en fer forgé, qui viennent se loger dans les pieds de la table et montent en un cône divergent jusqu’à environ 1m60 de hauteur. Ils sont vrillés de 10 degrés, afin de permettre différentes orientations en fonction du pied de table dans lequel on les insère. Un vrai bijou, Yann devrait déposer un brevet avant que d’autres lui dérobent son ingénieuse idée…

Caresse vient à peine de se sécher en sortant de l’eau que nous la saisissons par les poignets et l’entraînons de nouveau vers le donjon. Elle semble déjà un peu saturée de plaisir, ce qui ne nous étonne guère, connaissant les aptitudes d’Estelle à amener rapidement ses consoeurs dans des états fort enviables. Nous la couchons sur le dos, à plat sur la table, puis lui fixons les poignets et chevilles aux quatre montants métalliques, avec les bracelets en cuir et de lourdes chaînes. Elle se trouve ainsi totalement offerte aux regards des participants et ce spectacle commence d’ailleurs à nous mettre dans un nouvel état d’excitation. Estelle nous a rejoints et profite elle aussi du spectacle, tant qu’elle en a la liberté… Grand seigneur, Yann me suggère d’essayer maintenant la table qui, me fait-il remarquer, se trouve parfaitement à ma hauteur. Effectivement, c’est sans effort que je m’introduis à fond dans le sexe béant de Caresse qui, les jambes bien écartées et fixées, ne peut que pousser un soupir de résignation sans doute mêlée de plaisir. Estelle et Yann viennent se placer de chaque côté de la table et s’occupent de titiller les pointes de seins de Caresse, chacun de son côté. Très vite, ma belle commence à s’agiter sur la table, à se tortiller pour échapper à cette douce torture… mais rien à faire, les chaînes sont solides et la table est très stable. Ces petits jeux de langue ont fortement excité nos amis et Yann décide de rattacher Estelle à la croix et de la prendre par derrière, comme elle aime. Ne voulant toutefois pas que Caresse soit déçue, ils prennent la précaution de lui placer les pinces lestées sur les tétons, avant de la laisser. Caresse pousse un cri à l’installation de chacune des pinces, car le poids de celles-ci les tire vers le bas. Je la console en venant lui lécher doucement le clitoris, puis ses lèvres détrempées dont je goûte le nectar avec gourmandise. Pour apprécier encore davantage ce cocktail explosif, j’apporte un petit pot de confiture de poire au gingembre et épices, dont je lui badigeonne la vulve. Les épices ajoutent une excitation supplémentaire au contact des tendres parties intimes de ma Caresse, mais je ne laisse pas longtemps la confiture à son contact tant je suis empressé de la lui lécher. Ma langue gourmande s’attarde dans tous les replis de son sexe, de l’extérieur des grandes lèvres jusqu’à l’intérieur des petites et je pousse la pointe de ma langue au maximum dans ses deux orifices naturels pour être bien certain de ne pas laisser une seule goutte de cet onguent érotique. Caresse est tombée en transe et, se tortillant  en vain sur la table, pousse un très long gémissement qui se transforme en feulement rauque de tigresse en rut. Elle est secouée de spasmes violents qui m’indiquent la nécessité de procéder à un aménagement de sa situation qui pourrait devenir inconfortable. Je lui enlève délicatement les deux pinces – ce qui pourtant lui arrache de nouveau un cri de douleur – puis lui détache les poignets et enfin les chevilles. Derrière moi, sur la croix, le spectacle est du meilleur aloi… Et mon excitation est visiblement à son comble !

Recouvrant ses esprits, Caresse reprend aussitôt l’initiative et je me retrouve rapidement attaché de l’autre côté de la croix, poignets en l’air et chevilles plaquées par les chevillières de cuir contre la partie basse. Il faut dire que, pour honorer ces dames, j’ai aussi revêtu mon « costume 3 pièces », un cockring en forme de cage, composé de trois anneaux en latex. Avec le collier de chien autour du cou, lui-même fixé aux anneaux de la croix, et un bandeau noir sur les yeux, Caresse me trouve très réussi et s’empresse de faire des photos. Je pourrai ainsi profiter du spectacle que j’offre à l’insu de mon plein gré… Je sens une bouche chaude s’emparer de mon sexe dressé et le malaxer longuement de la langue, puis dans un va-et-vient longitudinal qui pousse ma pression intérieure de plusieurs crans. Dans le même temps, je sens la chevelure d’Estelle qui me caresse le haut des cuisses comme on le ferait avec une plume. Estelle se trouve en effet derrière moi sur la croix, penchée à 90 degrés vers l’avant (c’est du moins ainsi que je l’ai vue pour la dernière fois avant que le bandeau m’isole visuellement de la scène que nous formons à quatre). Elle crie soudain son plaisir, quand Yann, du moins je le suppose, jouis en elle avec force. Caresse doit sans doute profiter de ce spectacle bien qu’elle ne relâche aucunement son massage bucco-manuel de mon sexe et de mes testicules gonflés, que compriment les anneaux de latex noir qui les enserrent. Je crois discerner quelques chuchotements et ô surprise, la bouche familière de Caresse se retire… pour céder la place à une autre tout aussi active et experte, qui m’arrache des gémissements de plaisir contraint. Quoi de plus délicieux que de se trouver ainsi forcé à son propre plaisir, sans pouvoir ni l’accélérer ni le ralentir, soumis au rythme que mes partenaires voudront bien m’appliquer, à leur convenance?  Pour mon bonheur, elles sont en effet maintenant toutes deux sur moi, je sens leurs deux langues me parcourir de part et d’autre, avec parfois une interruption quand elles se rejoignent et se gratifient mutuellement d’un langoureux baiser. Caresse et Estelle se relaient également pour me mordiller les tétons qu’elles ont préalablement munis de leurs pinces lestées. Privé de la vue, mes sens s’exacerbent et une réelle ivresse s’empare de moi, je ne suis plus que dans mes sensations et celles-ci me débordent sans que je puisse rien en contrôler. Au bout du compte, ma jouissance explosive est une libération au sens propre comme au sens figuré car c’est seulement après que mes geôlières consentent à me détacher !