...Après une bonne nuit de repos
bien mérité, nous prenons un plantureux petit déjeuner sur la terrasse
ensoleillée du jardin. Il fait super beau, Maria a mis un petit tablier de
soubrette et elle fait la bonne espagnole! En revanche, Roberto a du travail,
il s’est installé à son ordinateur, ravi d’avoir du réseau pour pouvoir se
connecter, au grand désarroi de Maria, qui aimerait une plus grande présence de
son homme. Lorsqu’il n’est pas là, elle est plus distante, comme pour afficher
qu’il ne se passera rien sans lui, mais tout en restant très aguicheuse malgré
tout. Elle a apporté beaucoup de belles robes et de sous-vêtements sexy, ce
n’est pas pour rien ! Nonméo… !
Nous avons prévu de leur faire
découvrir le marché typique de la petite ville à côté de chez nous : un
vrai marché coloré et odorant du sud-ouest, un régal pour la vue et les
narines, toujours un véritable plaisir d’en faire le tour les samedis matins !
Et aussi parce que nous avons l’intention d’y faire des provisions de fromage
en vue d’un « wine &
cheese » à la française... nous
y connaissons une fromagère en or, son St Nectaire fermier est à tomber à
genoux !
Comme il est tard et que nous
n’aurons pas le temps de repasser par la maison avant d’aller à Toulouse, nous
prenons la glacière pour pouvoir y mettre le fromage. Après le tour du marché,
nous filons à Toulouse. C’est le weekend de la Pentecôte, il n’y a pas
trop de monde et nous trouvons à nous garer facilement, presque au bord de la Garonne. Nous faisons une
petite promenade apéritive autour d’Esquirol. Nous y découvrons par hasard un
magasin d’articles de cirque où, amusant, l’on trouve toutes sortes de cordes
en différentes matières, notamment du chanvre, ce qui permet d’autres activités
que les acrobaties... Mmm, Roberto en achète quelques mètres !
Après un coup d’œil à la cour
intérieure de l’hôtel d’Assézat, nous gagnons le restaurant où nous avons
réservé une table pour 4. Nos amis sont favorablement impressionnés par le
cadre, le service et la qualité de la gastronomie. Nous ne pouvions pas faire
moins, connaissant les goûts de Roberto, il fallait bien un restaurant de ce
niveau pour le satisfaire.
Puis nous faisons une balade dans
la ville, en commençant par notre boutique coquine préférée... Nos amis Antoine
et Coralie sont présents, mais Coralie est occupée avec une cliente à l’étage.
Antoine nous fait l’article, il commence par nous faire visiter ses
installations en sous-sol : petit « musée » du sexe, vitrines de
sextoys et mini-donjon, celui où nous avons déjà fait plusieurs soirées
avec eux. Puis il montre à Maria et Roberto les autres trésors que recèle son
antre : robes sexy, lingerie, escarpins et cuissardes... Roberto se laisse
tenter à essayer des escarpins noirs... Il est vrai que ce n’est pas toujours
évident pour un homme, surtout en Espagne, d’essayer de tels articles dans un
magasin ! Mais ici, pas de problème, Antoine est très compréhensif et sait
mettre à l’aise ses clients.
Nous faisons quelques photos... Dans
l’intervalle, Maria s’est éclipsée pour essayer de petites robes sexy dans la
cabine d’essayage spacieuse et équipée de grands miroirs où nous avions jadis rencontré
la délicieuse Mylène (voir récit du 16
octobre 2010). Coralie vient de terminer l’épilation de sa cliente et elle
a rejoint ma Caresse pour la saluer. Puis elle vient faire connaissance avec
Roberto et m’embrasser à mon tour. Rapidement, les deux femmes s’éclipsent pour
s’enquérir de Maria, tandis que je reste avec Roberto et Antoine au rayon des
escarpins. Nous poursuivons les essayages...
Ma chérie me racontera par la
suite qu’elles sont arrivées dans la cabine d’essayage où elles ont trouvé
Maria merveilleusement sexy dans une petite robe courte et moulante en vinyle
noir. Après les présentations d’usage, Coralie s’est empressée d’aider Maria à
ajuster sa tenue, mais ma coquine s’est, elle, agenouillée et a commencé à
lécher le minou de notre amie espagnole. Comme vous le savez, Maria est une
bombe mais pas une bombe à retardement, elle se déclenche presque
immédiatement ! Elle s’est mise tout de suite à gémir en se tordant
doucement sous la langue habile de ma miss, comme elle l’avait fait dès notre
première rencontre à Tolède (voir récits du
15 et du 23 janvier 2011).
Coralie ne peut rester longtemps
indifférente devant une telle scène... Elle enlace Maria de ses bras et se met
à l’embrasser sur la bouche, d’un long et langoureux French kiss à la belle
Espagnole, ce qui permet aussi de lui bâillonner la bouche pour étouffer ses
gémissements. En même temps, elle lui écarte les pans de la minirobe en vinyle
et découvre ses deux seins saillants. Elle les prend dans ses mains et les
caresse doucement en les malaxant et en pinçant légèrement ses tétons. Coralie
a beau être une vraie sadique avec les hommes – j’en sais quelque chose.... –
elle sait aussi être douce avec les femmes.
Elle se penche ensuite pour sucer
les pointes de seins de Maria, qui peut profiter du spectacle dans les grands miroirs
de la cabine d’essayage. Puis elle rejoint ma chérie pour lécher la chatte de
l’Espagnole de leurs deux langues. Maria
se mord la main pour ne pas crier, il y a en effet quelques clients dans la
boutique et Antoine, alerté par son sixième sens, s’est empressé de s’occuper
d’eux pour éviter qu’ils ne se posent trop de questions sur ce qui peut bien se
passer dans cette cabine d’essayage !
Maria a deux ou trois orgasmes
assez violents, et nos deux coquines la laissent un peu pour s’embrasser et se
caresser l’une l’autre. Mais Roberto a terminé ses essayages, il ne se décide
finalement pas à acheter les escarpins noirs. Antoine nous a fait un café, et
nous passons à la cabine chercher nos femmes pour prendre le café avec nous,
d’autant que d’autres clients sont entrés dans la boutique, Coralie va devoir
aller aider son homme. Nous les trouvons toutes les trois en train de
s’embrasser en tous sens, Maria à moitié dénudée, ma chérie et Coralie encore
habillées. Mmmm, Roberto adore ce genre de situation, je devine qu’il doit être
en érection sous son pantalon de toile, la soirée risque d’être très
chaude !
Le café permet de faire un peu tomber
la température, Coralie a été enchantée de faire la connaissance de nos
nouveaux amis, mais il se fait tard et nous avons encore des choses à
faire : nous voulons en effet les emmener visiter la péniche de la
violette, amarrée devant la gare Matabiau, car nos amis cherchent de petits
cadeaux typiques à ramener. Ensuite, nous rentrons à la maison, Roberto a
exprimé son besoin de sieste quotidienne, vu l’état dans lequel la boutique l’a
mis nous ne sommes pas certains que celle-ci ne sera pas crapuleuse !
Le soir nous décidons de
ressortir en ville pour explorer un nouveau club que nous avons longtemps
fréquenté avant de cesser d’y aller pour cause d’allergie au brome utilisé pour
traiter le jacuzzi : les Bains de St Aubin. Maria s’est de nouveau
habillée très sexy mais elle ne peut pas rester habillée dans ce club à
dominante humide. Elle est un peu déçue mais fait contre mauvaise fortune bon
cœur. Nous leur faisons visiter les installations, partie humide (sauna,
hammam, jacuzzi), coins câlins, mini-donjon (notre préféré) et coin couples
avec la belle croix de St André qui nous rappelle tant de bons souvenirs…
Finalement nos amis opteront pour
le jacuzzi et nous pour les glory holes du mini-donjon. Beaucoup de passage
dans ce coin, mais comme d’habitude peu de gens vraiment joueurs. Pareillement,
Roberto et Maria seront un peu déçus du peu d’interaction avec les autres couples
dans le jacuzzi. Ils finissent par nous rejoindre dans la cage du donjon et nous reprenons une séance de coquineries à quatre comme nous aimons. Maria s'assied contre les barreaux de la cage et ma chérie se met à lui faire un cunni qui la met rapidement sous pression. Roberto et moi admirons la scène, pour ma part je fais des photos (censurées...), mais rapidement Roberto n'y tient plus: il saisit le martinet en cuir noir de ma chérie et lui flagelle modérément le dos pendant qu'il se masturbe. Puis il enfile un préso et la prend en levrette tandis qu'elle continue de lécher Maria qui gémit de plus en plus fort et enchaîne orgasme sur orgasme.
Finalement, la belle Espagnole n'en peut plus, elle se dégage sur le côté pendant que son homme continue de tringler ma miss en lui arrachant des soupirs de plaisir. Je me place devant elle pour qu'elle me suce en même temps mais ses orgasmes deviennent trop violents et elle a du mal à continuer. Qu'à cela ne tienne, Maria a eu le temps de récupérer, je fais un quart de tour et lui présente ma queue qu'elle enfourne sans hésitation dans sa bouche. Mmmm, un moment délicieux.... Roberto finit par jouir dans le vagin de ma miss tandis que j'éjacule pour ma part entre les seins de Maria...
La journée a été belle, nous ne rentrons pas trop tard et finissons la soirée devant un verre à la maison, à discuter jusqu’à 2h du matin. Le meilleur du weekend reste à venir…
La journée a été belle, nous ne rentrons pas trop tard et finissons la soirée devant un verre à la maison, à discuter jusqu’à 2h du matin. Le meilleur du weekend reste à venir…
(à suivre)
Quelle suite ! wahouuuu ! vu l'annonce en fin de cette 2ème partie, j'ai hâte de découvrir la suivante.
RépondreSupprimerPhilippe
Très beau récit... bravo...
RépondreSupprimerPlume très sympa
http://confessionssecretes.erog.fr/
Merci pour ce sympathique commentaire. Au plaisir d'en lire d'autres!
SupprimerVoilà longtemps que je n'étais pas passée par ici....Vos récits sont toujours aussi évocateurs et il semble que vous ayez trouvé des partenaires à la hauteur ! Ce n'est pas encore demain que nous irons à Toulouse, mais si vous passez en Ile de France... :)
RépondreSupprimerMais en effet, on ne te voyait plus... Bon, on allait voir de temps en temps ton blog et on savait donc que tu étais toujours là ;-)) Merci pour cet aimable commentaire, il est vrai que nos soirées avec nos amis espagnols ont toujours été parmi nos meilleures soirées libertines. La suite est à venir... En Espana hace mucho calor! Bises de nous deux
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