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Sur ce blog nous racontons notre vie de libertins. Nos récits parlent de nos sorties et de notre vision du libertinage... Les lieux et endroits sont "améliorés", les repas "enrichis", l'histoire est parfois romancée afin que toute ressemblance avec la réalité ne puisse qu'être fortuite. Bonne lecture.
Caresse et Alpha
On this blog we are unveiling our swinger lifestyle. Our stories tell about our swinger parties and develop our vision of this particular way of life.
Places and meals are sometimes "improved", names are changed and the story itself may be "adapted" or even fully invented...
Enjoy your readings
Caresse (she) and Alpha (him)

lundi 20 mai 2013

Une journée coquine au Liberty Loft d'Ibiza

(Alpha raconte)

Après une grasse matinée dont nous avons un peu pris l’habitude depuis une semaine, nous nous installons en bord de piscine pour nos activités de bronzette et de baignade… Nous adorons cette belle piscine à 30 degrés, un vrai bonheur de s’y plonger. Quelques longueurs, un peu de détente sur les matelas pneus, puis nous profitons du jacuzzi adjacent qui présente l’avantage d’être alimenté par l’eau de la piscine et donc traité au chlore, non au brome. Caresse adore !

(Piscine du Liberty Loft... On l'adore !)
Nous nous prélassons dans les jets bouillonnants, tandis que d’autres libertins sont allongés sur les chaises longues ou discutent attablés sous la tonnelle. Ma miss, très coquine, s’agenouille entre mes cuisses tandis que je me hisse sur le rebord du jacuzzi pour bronzer mes petites fesses… Elle commence à m’entreprendre à la main puis à la bouche. Elle me suce le sexe avec délectation, je suis aux anges, avec elle entre mes jambes et le soleil qui me caresse le dos…

Un livreur a sonné à l’entrée de la résidence et traverse le coin repas jusqu’au bar, non sans jeter un coup d’œil à la ronde. Il n’a sûrement pas manqué le spectacle que nous donnons, mais garde un air détaché, sans avoir l’air de s’y attarder. Il y a aussi aujourd’hui deux ou trois hommes seuls venus passer la journée, ils sont installés sur les chaises longues. Ma miss les lorgne du coin de l’œil mais aucun ne semble décidé à s’approcher de nous dans le jacuzzi. Nous ne comprenons pas encore toutes les subtilités des codes d’approche des Espagnols !

Au bout d’un moment, après une bonne séance de séchage et de bronzette, nos sens déjà éveillés par la mise en bouche dans le jacuzzi reprennent le dessus : ma miss s’étend sur la chaise longue pour que je lui prodigue un petit cunnilingus. Je m’exécute avec célérité, j’adore lui lécher la chatte et la faire monter dans la jouissance. Mais cette fois, un jeune homme ne tarde pas à s’approcher et s’installer sur la chaise voisine de la nôtre. C’est un jeune Espagnol, brun avec de beaux yeux bleus. Il a l’air gentil, il nous regarde sans rien dire…

Ma chérie est bien montée dans les tours, mais elle a vu le jeune homme s’approcher et n’a pas de ressenti négatif avec lui. Apres m’avoir demandé si j’étais d’accord et obtenu mon acquiescement, elle lui fait signe de venir sur la chaise longue à côté de nous… il se lève et se place à ma gauche, à demi allongé sur le dos… Ma chérie m’a fait m’allonger, moi aussi, sur sa chaise longue et elle a repris sa fellation sur moi tandis qu’elle saisit la queue du jeune homme et la caresse avec sa dextérité coutumière. Le jeune Espagnol bande déjà très ferme, tout comme moi, avec l’excitation accumulée depuis les premières caresses de ma miss dans le jacuzzi.

Puis ma miss alterne ses privautés : elle prend le jeune homme dans sa bouche et me reprend dans sa main. Mon jeune voisin, que j’observe à la dérobée, a les yeux révulsés, ça fait plaisir à voir, il est très expressif…. Moi aussi je sens la sève monter, ça devient difficilement soutenable !

Soudain il fait un geste de la main et dit : « Stop » à ma Caresse…. Juste à temps, il éjacule dans la seconde qui suit, sa semence blanche s’épanche de part et d’autre de son gland dressé… Il nous fait un gentil sourire, un peu désolé d’avoir joui si vite. Il nous explique qu’il travaille ici à Ibiza, il est représentant de commerce et va de ville en ville. Il va d’ailleurs devoir partir car il travaille cet après-midi. Il nous remercie de l’avoir invité, nous lui sourions en retour, le plaisir était partagé, c’est toujours agréable de coquiner avec des libertins respectueux, même si les échanges sont courts...

C’est l’heure du déjeuner, nous en profitons pour nous mettre un peu plus à l’ombre. Malgré notre rythme plutôt oisif depuis une semaine les journées passent à grande vitesse. Après le café, c’est l’heure de la sieste. Nous nous installons à l’ombre, dans la grande tente qui fait office de coin câlin. Ma chérie veut terminer ce qu’elle a commencé, et m’attache à plat sur le grand matelas au milieu de la tente, pieds et bras écartelés par des cordes aux quatre coins du baldaquin recouvert de grands voilages. Puis elle reprend ses tortures, en m’équipant de mes pinces de tétons et de mon bâillon-boule…

Un couple de trentenaires – des Espagnols – se prélasse sur les chaises longues juste devant l’entrée de la tente, l’homme nous mate depuis le début de nos jeux, il bande comme un taureau. Mais au lieu de nous rejoindre, il retourne sa jeune femme à quatre pattes sur la chaise longue et se met à la prendre en levrette. La femme a gardé ses lunettes de soleil, elle n’a pas vraiment l’air de prendre son pied, elle est un peu étoile de mer et attend que ça se passe. Comme le dit ma miss, ça lui échappe, ça nous échappe…comment peut-on être si inerte lorsque l’on sexe !

Pour ma part, je suis terriblement excité par ce que me fait ma miss et heureusement qu’elle m’a équipé du bâillon-boule sinon toute l’assistance en profiterait ! A force de me torturer de sa main et de ses lèvres, elle finit par me faire jouir, j’éjacule dans sa bouche et elle avale avec délices mon sperme chaud.

Nous passons à la douche, dommage que le jeune couple espagnol ne nous ait pas rejoints… Il faut dire que leur jeu a été bâché en moins de 5mn, monsieur doit être un lapin version Duracell… Après la douche régénérante, nous retournons dans la piscine dans un coin à l’ombre.

Nos amis Jérôme et Victoria sont rentrés de leur virée shopping et viennent d’arriver à la piscine. Victoria bronze sur un matelas flottant sur l’eau tandis que Jérôme fait des photos. Victoria nous titille verbalement depuis 5 bonnes minutes en se plaignant qu’il n’y ait personne pour lui humecter le dos…

Jérôme l’a rejointe dans l’eau et a commencé à la caresser entre les cuisses. Ma chérie, d’un seul coup, me prend par la main et m’entraine vers le radeau de Victoria. Nous venons pour l’humecter et prendre soin de sa sieste… Nous nous plaçons de part et d’autre de son matelas, et commençons l’un et l’autre à nous occuper de la moitié de son corps pendant que Jérôme lui fait un cunnilingus.

Victoria semble sensible, plusieurs fois elle demande à Jérôme de ralentir, d’y aller moins fort… Ma miss et moi lui caressons les seins, les bras le cou, le ventre, en lui ajoutant un peu d’eau de temps à autre. Victoria est aux anges, elle semble apprécier cette douce caresse multiple. Nous lui pinçons légèrement les tétons, elle ne s’en plaint pas, puis nous les lui mordillons… Jérôme continue de s’activer et Victoria se raidit, elle se cambre sur le matelas en gémissant dans le soleil déclinant… C’est doux et excitant à la fois. Elle finit par avoir un orgasme et nous la laissons se décontracter avec Jérôme qui la prend dans ses bras.

L’heure du dîner approche, je décide de me travestir en fille sexy pour ce soir. Je m’apprête longuement dans la chambre : bas résille sur mes escarpins noirs de 12cm, mini jupe blanche en toile
de jean, corset bleu nuit bien serré, soutien-gorge et tanga rouges, longs gants noirs, bijoux, maquillage et ma longue perruque blonde. Je prends aussi mes achats de la veille pour les montrer à ma copine Victoria : mes deux shorts ultra courts et échancrés sur les fesses, un en jeans bleu clair, l’autre blanc, et ma mini jupe en jeans bleue, le tout dans mon nouveau sac doré marqué Ibiza, le parfait sac de la blonde mono neuronale !!! Un sac de « pétasse blonde » comme dit ma Caresse en mode connaisseuse ! Rire !

Ma chérie est elle aussi super sexy dans sa tenue de vinyle noir, bas et escarpins assortis…. Elle adopte son profil de mec hétéro, une vraie calamité pour une blonde, pire que moi en temps normal ! Tous ses neurones sont tombés en dessous de la ceinture….. lol ! Une chance qu’elle ait laissé son gode-ceinture à la maison !!!

Nous sortons de la chambre pour rejoindre les autres à l’apéritif au bord de la piscine. Mon arrivée fait bien sûr sensation. Deux jeunes Espagnols viennent me glisser à l’oreille : « muy guapa »… Un couple d’Italiens arrivés la veille n’en croit pas ses yeux ; ils me demandent de poser pour une photo avec eux. Déjà la célébrité……

Mais c’est ma copine Victoria, blonde comme moi, qui est la plus fascinée… Elle vient me prendre dans ses bras, pour faire aussi des photos à deux devant la piscine… Je lui dis que j’ai amené mes courses de la veille pour les lui montrer : elle ne tient plus en place, elle veut voir ça tout de suite. Nous nous asseyons dans le petit canapé d’extérieur et je lui montre mes trouvailles une à une.

Nous poursuivons par le dîner, sous une grande tente berbère. Délicieux comme à l’accoutumée… La jeune serveuse s’est habituée à me voir ainsi travesti et nous ne sommes pas loin de croire qu’elle apprécie… La première fois elle avait halluciné, mais maintenant elle me fait de jolis sourires et je sens une complicité dans ses yeux, ma Caresse dit que les travestis ont un réel double succès, avec les hommes et avec les femmes, je le vérifie de plus en plus !

Nous retournons vers la piscine prendre le café… Il fait maintenant bien nuit… Nous allons nous installer avec ma chérie sur une chaise longue car nous n’avons pas l’intention de sortir en boîte ce soir. Un groupe, dont Jérôme et Victoria, se prépare à partir, mais un autre couple d’amis, Didier et Line, nous signalent qu’ils vont aller dans leur chambre pour une séance un peu « spéciale », ils nous invitent à les rejoindre dans 10 mn… Nous acquiesçons et les laissons s’éloigner pendant que nous profitons de la belle et douce soirée sous la voûte étoilée.

Deux silhouettes apparaissent, deux jeunes hommes espagnols seuls, sans doute venus passer la soirée au Liberty Loft. Ils viennent vers nous et nous demandent suavement s’ils peuvent se joindre à nous. Je leur réponds de ma voix d’homme : « non, nous préférons passer l’instant à deux ». A leur tête surprise, nous comprenons qu’ils nous ont pris pour deux vraies filles, ils décampent sans demander leur reste et en riant nerveusement de leur méprise !! mdr !!

Les 10 minutes sont écoulées, nous remontons vers notre chambre et trouvons la porte de Didier et Line entr’ouverte, de la lumière à l’intérieur. Didier est un bel homme mince et athlétique, crâne rasé, lourds piercings aux tétons, qui adore se faire prendre comme une chienne et n’est pas non plus insensible aux jeux homosexuels, à ce que nous avons compris. Line est sa maîtresse et elle a promis de le corriger sévèrement ce soir…

Nous les trouvons en pleine action, ils nous sourient et nous font signe de nous installer sur le canapé qu’ils ont préparé juste pour nous. Didier est à quatre pattes sur la table basse du salon, les fesses tournées à 45 degrés vers le canapé où nous prenons place, avec un miroir de l’autre côté pour qu’il puisse se regarder se faire fister par sa maitresse. Line s’équipe de gants en latex et de beaucoup de lubrifiant, ils nous expliquent qu’il va se faire défoncer « la chatte » par Line qui a déjà commencé à introduire les doigts de sa main droite dans son anus dilaté par 20 ans de pratique.

Didier nous dit qu’il adore ce sentiment d’être pris comme une salope, et Line ne se prive pas de le traiter de jolis noms d’oiseau tandis qu’elle le fiste de toute sa main droite, dans un mouvement soutenu de va-et-vient. Son avant bras est de plus en plus englouti par l’orifice béant de Didier, et ce dernier pousse régulièrement des rugissements de douleur et de plaisir mélangés.

Ils nous demandent de bien vouloir prendre des photos pour eux, et nous nous empressons de satisfaire leur demande, sous tous les angles. Line fiste Didier avec le poing serré et elle le pénètre sur quasiment toute la longueur de son avant-bras, le spectacle est fascinant. Une courte pause, elle a équipé sa deuxième main qu’elle ajoute à la première. D’abord à plat, les deux mains  ensemble puis, progressivement, elle introduit les deux mains ensemble, les deux poignets puis les deux avant-bras…

Nous la soupçonnons d’écarter les mains à l’intérieur…Didier rugit de plus belle jusqu’au moment où il s’écroule, Line aussi est fatiguée, elle a besoin de récupérer de l’énergie. Ce jeu est très physique tant pour elle que pour lui !

Nous discutons un peu, nous leur avons dit que nous n’étions pas dans de tels trips SM hard mais nous leur montrons notre petit sac de jouets… Collier, bracelets, pinces, plug, cordes, martinets… Line n’est pas familière des martinets, mais Didier lui explique comment s’en servir et ma miss propose de faire la démo sur sa blonde… elle m’enjoint donc de me positionner penchée face au mur, de relever ma minijupe et de présenter mes fesses – bien moulées dans leur petit tanga en soie rouge – en cambrant bien les reins.

Elle commence avec le long martinet noir en cuir, les lanières commencent à s’abattre sur mon postérieur offert à la vue de tous. Puis c’est le tour de son petit martinet rouge qu’elle a acheté la veille au superbe magasin SM d’Ibiza, Sa Majesté… Mes fesses rosissent sous les coups savamment portés, je les sens chauffer mais je demeure stoïque en bonne soumise qui se respecte. Line est fascinée, elle n’a pas encore pratiqué ce genre de jeux.

Pour compléter la figure, Didier vient se placer devant moi et m’oblige à sucer son énorme queue, en érection depuis tout à l’heure… Il me prend la tête et les cheveux pour m’enfoncer son braquemart bien profond dans la bouche, je manque de suffoquer, tandis que les coups de martinet continuent de pleuvoir sur mes fesses. Avec toute l’excitation accumulée, Didier ne tarde pas à éjaculer, à mon grand soulagement, car j’aurais vraiment eu du mal à garder longtemps sa queue surdimensionnée dans ma bouche…

Il est temps de prendre congé, de se doucher une n-ième fois et d’aller enfin se coucher !

vendredi 10 mai 2013

Les chaudes nuits d’Ibiza

(Alpha raconte)

Nous n’étions pas venus à Ibiza à cause de la réputation de ses nuits supposées torrides dans les célèbres discothèques de l’île, mais uniquement parce que nous y avions trouvé un hôtel 100% naturiste et libertin. A l’usage, au bout de quelques jours et après une sortie de nuit organisée par notre hôte dans l’une de ces discothèques, nous nous sommes finalement intéressés d’un peu plus près à la question !

Le deuxième soir déjà, Daniel nous avait emmenés voir le coucher de soleil au Café del Mar. Un must… Ignorants, mais curieux, nous y sommes donc allés et nous ne fûmes pas déçus. Sur la promenade de St Antoni, face à la mer et au soleil descendant graduellement dans des tons orangé de plus en plus saturés, les plus célèbres cafés de l’île égrènent leurs terrasses : Café del Mar, Café Mambo,… A partir de 18h30, c’est l’affluence, les tables et les meilleures places au bar sont prises d’assaut par la foule des aficionados du soleil couchant, devenu une véritable tradition ici.

Les DJ dosent la musique électronique qui fait la renommée des lieux comme les barmen dosent leurs cocktails, le tout en plein air. Nous nous sommes accoudés au bar du Café del Mar avec  nos amis hollandais, Lise et Will, face à la mer et à la promenade qui passe à nos pieds. Et quel spectacle : celui du soleil s’éclipse souvent devant les merveilleux petits culs qui se pavanent, minijupes et minishorts, paréos et bikinis… Les serveuses de la bière Corona ne sont pas les dernières avec leurs petits shorts moulants à rayures. Pas de doute, nous sommes bel et bien dans le temple de l’exhib verticale !

Mais la suite reste à venir...

Nous avons entendu parler d’un défilé nocturne dans les rues d’Ibiza. Quelques-unes des plus grandes discothèques de l’île organisent traditionnellement les mercredis un défilé de leurs employés et danseuses en tenues extravagantes dans les ruelles du port et de la ville basse, au travers du quartier gay : la Troya est le nom de cette manifestation. Intrigués, nous nous y rendons assez tôt en soirée car nous avons aussi entendu parler d’un extraordinaire magasin tenu par des Français et proposant toutes sortes de tenues et gadgets SM en cuir, vinyle, latex…

Recommandés par Daniel, nous pouvons montrer patte blanche et accéder à ce lieu discret. Les propriétaires nous reçoivent chaleureusement et nous font visiter leur incroyable caverne d’Ali Baba à côté de laquelle les chaînes de magasins sexy et même la plus grande boutique fétichiste de Paris peuvent aller se rhabiller. Beaucoup de créations artisanales ou faites sur mesure, les patrons sont de vrais artisans capables de réaliser les plus fous de vos fantasmes vestimentaires ou ludiques !

Ils nous recommandent à leur tour un restaurant sur le port, afin d’échapper aux pièges à touristes. Grâce à cette recommandation, nous serons en effet choyés par le personnel et la patronne elle-même. Il semble qu’à Ibiza tout fonctionne ainsi, par relations et recommandations. Cela nous étonne mais nous ne nous plaignons pas de pouvoir aussi en bénéficier. Nous nous postons ensuite en terrasse d’un bar du quartier gay, également recommandé par nos compatriotes. Des couples gays y prennent un verre et s’interpellent joyeusement, une trav discrète et élégante en tailleur chic nous donne l’impression d’attendre un rendez-vous de boulot bien qu’il soit déjà plus de 22h30…. Nous allons comprendre pourquoi ensuite !
La parade approche, nous distinguons au loin des géants dépassant de la foule, des flashs crépitent. En s’approchant, nous voyons que ce sont des marquis et marquises poudrés et emperruqués du XVIIIème siècle qui déambulent sur des échasses d’un mètre… Ils sont suivis des danseuses du Privilège, toutes semblables avec leurs perruques carrées argentées, leurs escarpins de 12 cm et pas beaucoup de tissu entre les deux ! On a un peu l’impression d’un défilé de mannequins, tous identiques, d’une boutique de lingerie…

Viennent enfin les plus délirants, ceux de l’Amnesia, l’une des plus grandes boîtes d’Ibiza. Un défilé sur le mode satirique, brocardant la religion avec un faux pape tout en blanc poussant devant lui une papamobile de carton-pâte, des évêques et cardinaux lubriques, des nonnes en cornette, escarpins, bas résille et porte-jarretelles….. quelques personnages bibliques aussi : deux lesbiennes jouent Adam et Eve en se roulant des pelles, deux autres se tiennent par la main, l’une d’elles a le crâne rasé et un collier de chien en métal autour du cou… Un diable très bien bâti évolue entièrement nu et éclate d’un rire sardonique à chaque arrêt du cortège. Tout ce petit monde se fraye difficilement un chemin dans les venelles étroites du port, mais le défilé suscite une fascination évidente dans les yeux des nombreux touristes.

Nous découvrons, dans le sillage du défilé, notre trav de tout à l’heure, son classeur sous le bras. Elle les accompagne, elle doit faire partie de l’entreprise organisatrice du défilé, c’est donc pour cette raison qu’elle était habillée en tailleur de travail !

Un autre jour, Daniel nous fait découvrir ses bons plans : direction le bar Itaca, en bord de plage. Un concept nouveau pour nous : là encore, grosse sono, tables en terrasse bondées de jeunes hommes et jeunes femmes rivalisant de looks, bars enfiévrés à l’intérieur qui débitent du mojito et autres nectars au kilomètre…

Un saxophoniste et un percussionniste jouent dans la salle en appui du DJ et de ses basses qui nous font vibrer la cage thoracique. Mais le délire vient surtout des « animatrices » de la salle: drag queens extravagantes de 2m de haut, danseuses ultra sexy, gorille et chat zébré posant avec les touristes… Deux danseuses en cuir et latex évoluent au milieu du public armées d’une cravache, saisissent de temps à autre un client et miment une scène SM pour les nombreux photographes… Dehors un feu d’artifice illumine le ciel de l’autre côté de la baie.

Après un long moment dans ce bar de plage peu commun, nous allons au Sin (le « péché »), une boîte de strip tease dans la « rue de la soif » du quartier ouest. Filtrage sévère à l’entrée mais Daniel est connu comme le loup blanc, c’est notre sésame et nous descendons l’escalier accompagnés de nos dames légitimes jusqu’au bar situé dans la cave. Une quinzaine de jeunes femmes splendides y évolue, entre le bar et la grande cage de pole dance. Comme nous sommes accompagnés, elles ne nous font pas trop d’avances, mais on voit bien que les hommes seuls sont assez sollicités. A la demande de Daniel, une splendide brésilienne à la noire crinière nous fera un show torride de pole dance qu’elle terminera en string…

Après ce délicieux moment, nous nous rendons à la discothèque « Es Paradies ». A l’extérieur c’est déjà le show, lasers et éclairages créent le décor et une foule assez jeune encombre les abords. Grâce à Daniel, nous avons un accès VIP et nous ne faisons pas la queue. Nous voici dedans en à peine deux minutes, Daniel nous demande de nous rassembler vers l’un des bars, il doit aller parlementer pour nous faire accéder au carré VIP. Le spectacle, à l’intérieur, est stupéfiant, les Romains, même les plus décadents, de l’Antiquité en auraient été soufflés.

La musique, assourdissante, est d’un style hypnotique, on sent qu’à la longue on doit partir dans une sorte de transe. Par-dessus la foule des danseurs, enfin des clients qui s’agitent un peu dans l’ombre et la chaleur, une immense soucoupe volante violemment éclairée avec 4 passerelles d’accès domine l’ensemble. Elle est peuplée de somptueuses créatures en hauts talons, mini-strings et plumes d’autruche qui se déhanchent au gré de la musique. Sur un gros ballon suspendu très haut au plafond, une autre créature, plutôt androgyne, nous offre un lent spectacle gymnique tout en force et en grâce…

Daniel nous rejoint, c’est ok, il nous fait passer par une petite porte dérobée et un discret escalier de fer jusqu’au nirvana du lieu, le balcon du DJ… ce soir, c’est un Anglais (connu paraît-il) qui officie, il nous salue les uns après les autres d’une cordiale et franche poignée de main, de même que son assistant, un black, préposé aux jeux de lumière semble-t-il. Assis dans l’ombre, en grande conversation, un autre DJ, français celui-là et beaucoup, beaucoup plus connu… même moi, je connais son nom, c’est dire ! Mais nous le laissons tranquille, il semble un peu étonné, d’habitude tous les fans veulent se faire prendre en photo avec lui… Perso, je ne savais même pas à quoi il ressemblait jusqu’à ce soir-là !
Le spectacle de la salle nous intéresse davantage, nous avons une superbe vue plongeante et surtout nous pouvons admirer les danseuses de beaucoup plus près, au même niveau qu’elles. Pas de doute, cette ambiance est réellement fascinante, bien que tout ceci reste très vertical bien sûr ! Après un long moment en ce lieu hallucinant, nous prenons congé de notre hôte, toujours aussi avenant et rentrons au Liberty Loft.

Nous ne serons pas vraiment tentés de participer aux autres soirées et nuits que nous proposera Daniel et pas non plus celle du célèbre DJ français jouant à guichets fermés deux jours plus tard au Pacha, la boîte la plus ancienne et la plus connue de l’île. Rentrer systématiquement à 5h du matin après une soirée verticale en discothèque compromettrait trop nos activités libertines du lendemain !

mercredi 1 mai 2013

Coquineries hollandaises à Ibiza

(Caresse laisse la plume a Alpha... Ou lorsque Alpha raconte en se mettant dans la peau de sa Caresse ! )

...Après un délicieux dîner avec nos nouveaux amis sous la grande tente berbère du Liberty Loft, nous passons prendre le café au bar de la piscine.
Un couple de hollandais, Liz et Will, a sympathisé avec nous, nous sommes les seuls à pouvoir avoir une conversation en anglais avec eux et surtout nous avons rapidement découvert que nous avions quelques affinités : Liz est une maîtresse reconnue en Hollande, elle apprécie de fister et de fouetter les hommes qui croisent son chemin et se définit elle-même comme une « Bondage Queen »…. Will est son soumis attitré ! C’est par ailleurs un homme à l’œil vif et l’intelligence pétillante qui fait une partie de son business dans le cinéma porno et le commerce d’objets coquins, il est propriétaire d’un sex shop en Hollande !
Au début de leur séjour, des clients du club, un peu choqués sans doute, avaient empêché que Liz se livre à une démonstration de bondage le soir à la piscine, sans doute cela ne leur plaisait-il pas ou, chose que nous avons souvent constatée en club, craignaient-ils que cela ne donne des idées aux hommes (ou aux femmes...) présents.
Liz nous en avait parlé comme d'une interdiction venant des patrons du club, mais cela nous semblait bizarre, ils nous paraissaient très ouverts. Nous en avons parlé avec eux, ils nous ont confirmé qu’il n’y avait pas de problème dès lors que leurs clients ne protestaient pas. Ce soir là, nous proposons à Liz de sortir son sac de cordes de chanvre traitées par ses soins, comme il se doit chez les vraies « mistresses ».
Will se plie aux ordres de sa maîtresse, il se met torse nu devant le bar. Comme chaque soir au moment de l’apéritif, tout le monde est dans les fauteuils, un verre de sangria maison à la main et, ce soir, l’œil un peu plus pétillant que d'habitude. Liz m’a demandé de l’assister, elle a choisi une corde blanche et effectue un nœud complexe et très esthétique pour servir de muselière à Will. En quelques minutes elle lui a fait tout un bondage de la tête et poursuit son œuvre sur son torse avec une sorte de karada serré qui lui fait office de "soutien-gorge"… Le tout est une véritable œuvre d’art !
Ce n’est qu’une petite mise en bouche, tout le monde apprécie le spectacle, pas de pisse-vinaigre ce soir pour bouder son plaisir. Fort de ce premier succès, Liz entreprend de me faire un soutien gorge également, elle a de la matière avec mon bonnet C+ et elle met, en quelques minutes, mes seins en valeur dans un magnifique écrin de corde blanche. Elle l’a fait en tournoyant délicieusement autour de moi et en me câlinant avec une sensualité toute à elle… un régal que ce moment sous le regard de nos deux hommes et des autres libertins présents autour de la piscine…
Nous nous éclipsons au bout d’un moment pour aller profiter un peu du jacuzzi en plein air sous les étoiles. Nous nous y câlinons un moment, je suce avec délices mon Alpha assis sur le rebord avant de voir approcher nos amis hollandais. Dans un premier temps, ils se font un petit massage à deux sous la tente face au jacuzzi. Puis ils viennent dans le jacuzzi à leur tour. Mais mon Alpha en a assez de l’eau, il sort se sécher en me disant quelque chose que je ne comprends pas, il s’éloigne vers la grande tente berbère qui abrite le grand coin câlin du Liberty Loft, avec au centre un vaste matelas à baldaquin.
Alors qu’Alpha a disparu sous la tente, Will, toujours encordé du haut, et sa maîtresse entrent dans le jacuzzi…
Je les invite d’un sourire complice, Liz vient contre moi et nous nous caressons dans le bassin. Will reste sagement à nos côtés, il participe en caressant sa maîtresse, mais il ne me touche pas. Mon Alpha ne revient pas... Comme j’apprécie de coquiner avec lui, rester seule avec nos amis me dérange de plus en plus. Je propose à nos amis de sortir de l’eau pour le rejoindre sous la tente.
Je sors la première du jacuzzi, me sèche dans une grande serviette et je découvre, sous la tente, mon Alpha « habillé » de ses bracelets et de ses chevillères en cuir noir, il est mignon à croquer comme ça, cela m’excite terriblement ! Il nous attend sur le grand matelas central. Il a manifestement envie de se soumettre ce soir, et avec une mistress comme Liz ça va être un feu d’artifice ! Mon Alpha n’aime que le haut de gamme, je crois qu’il va être servi et je sens que je vais prendre un cours moi aussi !
Excitée, je sors les cordes et j’attache mon Alpha debout à l’un des poteaux d’angle du baldaquin. Les pieds sertis dans les chevillères sont attachés serrés en bas du poteau, tandis que ses mains sont liées dans le dos avec ses bracelets.
Ainsi préparé, totalement nu et soumis, il est tout offert pour la venue de Liz qui entre justement dans la tente. En le voyant ainsi, elle pousse un petit grognement de plaisir…
Pour compléter les sensations de mon Alpha, je bande ses yeux: il pourra ainsi se concentrer sur ce qu’il ressent sans être perturbé par les gens qui tournent autour du matelas. Liz se met à pincer doucement, de ses doigts aux ongles longs, le corps d’Alpha, aucune partie n’y échappe, elle pince avec ses ongles plus qu’avec ses doigts plongeant Alpha dans un état incroyable… Il se tortille en gémissant doucement, il n’a pas l’habitude de ce genre de traitement, tout son corps réagit positivement, plus elle le pince, plus il gémit et montre son plaisir.
Silencieusement, des couples curieux se rapprochent pour profiter du spectacle, mais ils restent discrets et surtout ils se tiennent à distance. Je passe mon beau martinet-gode en cuir noir à Elisabeth mais, après un essai, elle trouve qu’il ne lui convient pas, elle sort le sien, beaucoup plus fin et qu’elle maitrise avec une aisance extrême…
Nous jouons à trois, Will toujours muselé et ligoté du torse est le valet de Liz, il lui passe ses instruments de torture et obéit au moindre de ses ordres. Alpha tâte successivement du petit fouet de la belle Néerlandaise, puis de son paddle: elle lui fait expérimenter une variété de pincements, de coups divers et variés avec des instruments tous différents. Nous terminons de l’habiller avec les pinces japonaises sur les pointes des seins, torture terrible si elle n’est pas dosée et portée au moment opportun.
Mais Alpha est debout depuis un long moment, nous le détachons et je lui donne l’ordre de se coucher sur le matelas. Je lui dis de se mettre sur le dos au milieu du matelas et je lui attache les bras et le pied gauche avec les bracelets de cuir et les cordes aux montants du baldaquin.
Liz se charge de son pied droit qu’elle attache avec un de ses liens en chanvre d’une fort belle façon, sans utiliser de bracelet. Alpha me dira plus tard que la corde était aussi douce qu’un bracelet de cuir et idéalement serrée et tendue, l’œuvre dune pro !
Il est temps de passer aux choses sérieuses, je montre l’exemple en commençant à sucer mon homme immobilisé par les cordes. Il bande déjà très dur sous l’effet des caresses et pincements que nous lui octroyons depuis un long moment, j'invite Liz à prendre le relais.
Elle ne se fait pas prier et enfourne le gland, puis le sexe tout entier de mon Alpha dans sa chaude bouche experte. Pour ma part, j’en profite pour lui offrir un doux anulingus qui la fait monter au 6ème ciel (pour le 7ème ce sera un peu plus tard)…. Rire !
Puis Liz intime à Will de lui succéder et celui-ci s’exécute sans broncher, il prend sa place et poursuit la fellation sur le sexe de mon Alpha pendant un long moment : mmm… toujours un excitant spectacle que de voir deux hommes entre eux, les autres spectateurs ont l’air aussi très émoustillés et commencent à se caresser dans les autres coins de la tente berbère. Pendant ce temps Alpha savoure à nouveau de multiples pincements, il me dira plus tard qu’il avait complètement perdu le fil de qui faisait quoi – même s’il se doutait que Lizbeth et Willem l’avaient sucé – et qu’il s’était abandonné à ses multiples sensations étourdissantes et enivrantes.
Notre amie équipe son soumis avec un « bâillon-sexe »: c’est un harnais facial en forme de bâillon-boule avec un gode sur le devant et un autre, plus petit, vers l’intérieur de la bouche. Ainsi, Will peut avoir la sensation d’avoir un sexe dans sa bouche pendant qu’il pénètre sa belle maîtresse avec le gode, actionné par ses mouvements de tête. C’est ainsi qu’il la prend : Liz écarte ses larges cuisses pour que Will, agenouillé sur le sol, puisse la pénétrer avec le bâillon-gode, tandis qu’elle se remet à sucer le sexe d’Alpha, à quatre pattes au dessus de lui et que moi je suce et mordille les tétons de mon Alpha. Liz m’a prévenue que Will joue exclusivement avec Alpha et elle, il est fidèle à sa maîtresse et ne joue pas avec les autres femmes. Cela ne me pose aucun souci…aucune envie de soumettre l’homme d’une autre maîtresse, c’est le mien que j’aime attacher, pas celui des autres !
Nous changeons de positions : Liz se met en 69 au-dessus d’Alpha, j’écarte ses fesses pour qu’Alpha puisse respirer, car notre amie est merveilleusement pourvue par la nature, elle a de magnifiques fesses ! Mon chéri s’empresse de lui prodiguer un cunnilingus comme il sait si bien faire, ce qui fait chanter la belle, elle mouille très vite et très abondamment sous les va-et-vient de la langue coquine d’Alpha. Pendant cette scène, Will a enlevé le bâillon-gode et s’est remis à sucer Alpha qui se tortille de plaisir sous cette caresse délicieuse, malgré les cordes.
Liz demande à Will, en langue néerlandaise que je ne comprends pas, d’aller chercher quelque chose dans leur chambre. Il y va aussitôt et revient avec une bouteille pleine de glace, mon Alpha a toujours les yeux bandés, il ne voit rien, c’est donc un mystère pour lui, mais tout autant pour moi….  Je vais vite comprendre à quoi sert cet objet insolite : Notre amie prend la bouteille par le goulot et elle passe le cul rempli de glace sur les couilles d’Alpha et sur son sexe, puis sur ses tétons pendant un long moment… Cela fait gémir Alpha, visiblement cette torture-là fonctionne aussi…
Elle voudrait maintenant fister Alpha, elle me le demande et je lui dis «ok, but slowly ». Elle détache la jambe droite d’Alpha et la lui redresse en l’attachant plus haut, je fais de même avec l’autre jambe, ce qui a pour effet de mieux lui écarter les deux jambes et de mettre bien en évidence son joli petit trou !
Will passe un gant en latex noir à sa maîtresse, elle l’enfile avec un professionnalisme évident, montrant son habitude et sa maîtrise, je n’ai aucune inquiétude, elle est respectueuse et n’ira pas au-delà de ce qu’Alpha acceptera… Le gant en latex lui épouse les doigts et la main comme une seconde peau, elle l’enduit de lubrifiant et commence à pénétrer Alpha avec deux doigts, puis trois, elle fait des va-et-vient rapides, le quatrième doigt rejoint les autres et enfin le pouce… la main de la domina est totalement avalée par le postérieur de mon Alpha. Liz va même jusqu’à avancer encore un peu plus profondément, son poignet disparaît à son tour… c’est impressionnant ! Alpha gémit et se tortille sans cesse, j’imagine qu’il a perdu toute notion de ce qui se passe, il savoure l’instant, ces sensations sont nouvelles pour lui et même si ce n’est pas son truc, comme il le dira par la suite, il fallait vivre ce moment pour le savoir !
Liz retire son poignet, sa paume, son pouce, et ses doigts, Will prend le gant et le range dans un sac, sa maîtresse est terriblement excitée! Après avoir pris des nouvelles d’Alpha et vérifié qu’il se sentait bien, elle s’allonge sur le matelas en écartant les jambes, Will comprend tout de suite et s’allonge entre ses jambes avec le bâillon-gode sur la bouche: il la pénètre avec, tout en utilisant ses mains pour la sodomiser et lui titiller l’un des tétons… elle gémit de plus en plus, Will l’insulte, il lui « fait un film » : "je suis ta salope, tu aimes que je sois ta petite salope à toi ! Que je te prenne comme ça"…(traduction a posteriori, pas dans le feu de l'action, je ne comprends toujours pas vraiment le néerlandais...)
Pendant que Will parle, il ne peut plus la pénétrer avec le bâillon-gode, c’est Liz qui se masturbe avec un stimulateur énorme qu’elle met à l’intérieur de son vagin pour exciter son point G, pendant que de la main, elle se masturbe très énergiquement le clito… Tout à coup, elle jouit bruyamment, en lançant un jet puissant sur Will, il est trempé ! Sa maîtresse est fontaine et elle vient de lui faire prendre une douche, il se couche contre elle, il a la banane, ravi du plaisir qu’ils viennent de partager !
Pour les regarder, Alpha et moi nous nous étions blottis dans les bras l’un de l’autre et je lui avais enlevé les cordes et le bandeau des yeux. Il faut dire que le spectacle était à la hauteur de ce que nous venions de partager avec eux… Liz nous dira plus tard qu’elle n’en pouvait plus, qu’elle était trop excitée pour attendre… que d’habitude en club, elle choisit 10 hommes et que tous ils la prennent chacun leur tour, elle aime les gang bangs en fait et ici, au club, les hommes ne sont pas très joueurs, c’est le premier soir qu’elle joue un peu… Cela se reproduira pour elle le lendemain soir, dans un club libertin en ville, avec un petit groupe de 5 hommes ! Rire !
Nous sommes fatigués tous les quatre et nous décidons d’aller nous coucher… la fin de journée a été belle, la nuit le sera tout autant !