Sexe torride dans les glory holes

(Alpha raconte)

 C’était la fin de nos vacances, en juin. Nous étions peu sortis pendant notre séjour en Roussillon, juste deux fois au Triton à Narbonne. C’est donc avec plaisir que nous avons décidé de retourner au Différent ce dimanche.

Au moment de partir, Caresse se fait rincer par une forte averse tandis que je l’attends déjà dans la voiture. Le temps de gagner le quartier des Chartrons et le soleil est revenu… Qui plus est nous trouvons une superbe place de parking à l’angle de la rue du club : nickel, car se garer en ville avec le 4x4 ce n’était pas gagné d’avance !

La patron est ravi de nous revoir et nous fait remarquer que nous avons été longtemps absents. Nous lui expliquons que nous revenons de vacances et, dans le feu de la discussion, ramassons nos serviettes et gagnons le vestiaire… sans payer ! Je m’en aperçois quand je commence à me déshabiller et le patron apparaît juste à ce moment pour nous le signaler. Hilares, et avec nos plates excuses, nous lui réglons notre dîme.

Petit café au bar, le club semble calme. Nous décidons de zapper le jacuzzi et d’aller direct dans le coin des glory holes. Petit coup d’œil en passant dans le jacu : je distingue un groupe de 4 ou 5 personnes dans l’eau et deux ou trois hommes seuls dispersés en embuscade autour. Pas grand-monde en effet.

Nous arrivons dans notre coin et décidons de nous boucler à l’intérieur. Miss Caresse n’est pas en grande forme et n’a pas très envie de coquiner aujourd’hui. Elle s’allonge et je commence à lui faire un doux cunni sur son minou fraîchement épilé. Ma chérie monte dans les tours, mais ça monte et ça descend, elle ne parvient pas à la jouissance. Soudain elle avise une queue qui se présente dans le premier trou, le plus malcommode car situé dans l’angle. Elle la saisit et me demande un préso qu’elle enfile directement avant de me la confier.

Ma miss s’écarte pour aller se reposer un peu plus loin des trous. Je commence à sucer cette bite pas trop longue ni trop grosse mais bien dure. Son propriétaire semble motivé, il faut dire qu’il a regardé par le trou et aperçu la frimousse de ma miss, il est donc persuadé que c’est elle qui le suce. Nous jouons à deux un long moment, il se pose clairement en maître du jeu car c’est lui qui décide de ses mouvements de hanches, de la profondeur de sa pénétration et du rythme d’ensemble. Parfois, il me taquine du bout du gland, sans aller plus loin, parfois il s’enfonce tout au fond de ma bouche et se maintient ainsi pendant une bonne dizaine de secondes. Je comprends que je dois me montrer plus actif quand il prend sa queue dans sa main et me la fait tourner négligemment entre les lèvres. Je me mets alors à le sucer consciencieusement, en allant et venant sur une bonne longueur de sa hampe et, en général, il finit par me caler son engin tout au fond de la bouche ensuite.

Au bout d’un moment, n’ayant toujours pas joui, il commence à glisser ses doigts et à me titiller les lèvres et le menton. Je n’aime pas trop ce genre de jeu, ça finit par me lasser. Je l’abandonne et je viens me caler contre ma chérie allongée derrière moi. Nous nous faisons un doux câlin et je lui explique la situation. Je ne m’en étais pas aperçu mais ma miss avait aussi sucé une queue pendant ce temps-là. Elle s’était placée dans le troisième trou mais l’homme avait souhaité entrer et ma chérie a refusé. Il est donc parti.

Je demande à ma coquine de me sucer et je me mets debout. Elle reste à genoux sur le matelas et me suce avec amour et efficacité comme toujours. Pour amplifier ma stimulation, elle m’a revêtu de mon cockring en cuir noir et de mes pinces de tétons reliées à mon sexe. Je me mets à bander très fort et dur, ma miss me mène de ses lèvres au bord de la jouissance.

C’est à ce moment qu’apparait une nouvelle queue longue et dure dans le troisième trou, juste à côté de nous. Je m’en saisis de la main gauche et ma Caresse en profite pour se reposer un peu. Je m’agenouille à côté de la nouvelle bite et la prends en main. Mais à peine ai-je effectué un ou deux allers-retours du poignet que je sens un jus chaud et gluant poisser ma main et couler le long de mon avant-bras. Le type a éjaculé en un temps record… Il avait dû se masturber longuement en nous regardant, il n’a pas tenu la distance !

Ma miss me passe du papier essuie-tout et des lingettes, il y a du ménage à faire. Plus de bite en vue, ma Caresse se remet à me sucer mais très vite la position lui est inconfortable au niveau des cervicales, elle préfère que je la prenne en levrette. Je reste debout et elle se met à quatre pattes au bord du matelas. Sa chatte est trempée et je m’y glisse comme dans du beurre. « Tu es gros…» gémit-elle…  Pas étonnant, je suis excité depuis le début de nos jeux et je bande comme un âne avec le cockring qui me serre la base du sexe et les couilles : j’ai dû gagner une taille de sexe, de L à XL.

Je la sens sur le point de jouir, je dose mes mouvements tout en m’enfonçant entièrement dans son vagin. C’est à ce moment qu’apparaît une nouvelle bite dans le glory hole du milieu. Elle a l’air engageante mais bon, je suis occupé : je la laisse pour l’instant au risque de la voir partir. Soudain ma chérie se met à crier de jouissance, elle est ravagée par un puissant orgasme vaginal… puis s’écroule en avant, tandis que je ressors mon braquemart encore tout dur et détrempé de sa mouille abondante.

J’approche mon visage du trou mais point de queue, juste une main qui caresse la mienne. Au bout de quelques instants, je me dis que ce comportement peut signifier que l’homme de l’autre côté ne cherche pas à se faire sucer mais plutôt à me sucer… J’introduis ma queue encore en érection, mouillée et odorante, dans le quatrième trou, celui où je peux rester debout : immédiatement je sens une main qui la prend délicatement et une bouche qui se met à la sucer. Une main s’accroche au bord du troisième trou et ma chérie s’en approche pour la caresser et se faire caresser en même temps.

Je me suis plaqué contre la paroi, les bras en l’air, me tenant de la main gauche à la tablette qui porte le ventilateur et de la droite eu bord supérieur du troisième glory hole. J’ai fait passer mes couilles de l’autre côté de la paroi pour pouvoir me plaquer complètement contre elle. L’homme inconnu me suce avec efficacité, il me fait monter dans les tours. Je le sens aller et venir sur toute la longueur de ma queue avec ses lèvres et sa langue humide. Il me fait gémir de plaisir, parfois me reprend un peu dans sa main puis m’enfourne à nouveau dans sa bouche suave. Pour sa part, il doit se régaler avec le goût de chatte de ma miss que doit avoir ma queue après avoir trempé dix minutes dans son vagin…

Au bout d’un long moment pendant lequel il m’a amené au bord de la jouissance, l’homme se retire en arrière. Je me penche pour regarder et m’aperçois qu’il vient de fourrer son sexe en érection dans le trou par lequel il me suçait. Je lui rends donc la politesse et commence à prendre sa bite longue et fine dans ma main puis dans ma bouche. J’ai à peine entamé quelques va-et-vient que je sens un liquide chaud dans ma bouche… Je me retire aussitôt et recrache tout par terre. J’ai eu l’impression qu’il avait éjaculé dans ma bouche sans prévenir, mais je ne suis pas sûr qu’il ne s’agisse pas seulement de mon abondante salive.

L’homme s’est retiré et a disparu mais je suis assez inquiet. Je me rince du mieux possible, en repassant sous la douche, il faudra que j’aille consulter sans tarder. Pour l’instant, nous retournons dans le coin des glory holes. Ma miss donne des signes de fatigue, elle s’allonge sur le matelas tandis qu’une nouvelle queue apparaît dans le trou médian. C’est une queue de belle taille et je commence à m’en occuper mais ce trou ne me convient pas au niveau confort : je passe mon bras par le quatrième trou pour tapoter la cuisse de l’homme et lui signifier de plutôt venir dans ce trou-ci. Il comprend parfaitement et se repositionne dans le quatrième trou.

Je le reprends dans ma bouche mais l’homme se retire au bout de quelques instants et présente son visage dans le trou. Je comprends que lui aussi veut me sucer et je lui présente ma bite dans son cockring en cuir. Je fais aussi passer mes couilles de l’autre côté et je m’accroche aux deux glory holes sur ma droite et ma gauche. L’homme me suce très bien et me refait bander très dur. Je sens alors sur ma main droite la chaleur douce d’un corps lisse. Je pense d’abord que c’est le bas-ventre d’une femme, comme cela nous était arrivé la dernière fois, et mes doigts glissent dessus à la recherche d’un clitoris et des lèvres féminines. Mais non, je ne trouve rien, une zone certes un peu plus velue, mais rien de féminin. Finalement mes doigts découvrent une raie entre deux fesses et un petit trou humide…

Je comprends que c’est mon partenaire, qui continue à me sucer sans discontinuer, et désire que je lui doigte l’anus en même temps. Je me tourne vers ma miss pour qu’elle vienne m’aider mais je l’entends ronfler doucement sur le matelas.. Pas d’aide de ce côté, il va falloir que je m’en occupe moi-même. L’homme m’aide en écartant ses fesses, et je n’ai aucun mal à lui introduire mon majeur droit, même si ma position est un peu vrillée car j’ai encore ma bite dans sa bouche. Nous jouons ainsi un long moment et j’hésite à le faire entrer pour que nous ayons une position plus confortable. J’aurais peut-être dû mais je me suis dit que s’il appréciait les glory holes c’était peut-être pour rester incognito.

Au bout d’un moment, la position doit être encore plus inconfortable pour lui que pour moi. Il s’écarte, cesse de me sucer et me présente ses fesses dans le trou en face de moi. Le message est clair, il veut que je le sodomise… Malheureusement, ma miss dort toujours et, le temps que je trouve un préservatif, que je l’ouvre, que je prenne du lubrifiant…. j’ai fortement débandé et je ne parviens pas à m’équiper ! Ma miss se réveille à cet instant et me trouve ne train d’enfiler un préso tout en me masturbant pour me redonner de la vigueur. Je lui explique la situation et elle m’observe amusée, en me voyant reprendre tout mon ampleur : « Mmmm, tu te masturbes bien, tu es gros….. » mais l’homme s’est éclipsé ! Je n’ai plus qu’à faire profiter ma chérie de cette érection revenue un peu tard.

Je la reprends en levrette sur le bord du matelas et rapidement je la fais jouir à nouveau. Ses cris de plaisir ont attiré des spectateurs, je retrouve une queue dans le quatrième trou. Je laisse ma chérie et vient détailler la nouvelle venue : je la connais, c’est une grosse bite que j’ai déjà sucé moultes fois. Son propriétaire bande plutôt mou, ne bouge pas du tout et ne jouit jamais.

Je la prends dans ma main droite pour la mettre un peu en forme, puis dans ma bouche sans préso. Je me dis que je devrai de toute façon faire un test demain à cause de l’avant-dernier que je soupçonne avoir joui dans ma bouche et celle-ci, ce toute façon, ne jouit pas… En effet, après une érection de moyenne qualité, la grosse bite ramollit un peu – grand bien me fasse car vu sa taille j’aurais du mal s’il bandait complètement, même molle il me remplit bien la bouche ! Ma chérie s’est réinstallée en back-office sur le matelas pour profiter du spectacle. Je me masturbe de la main droite tout en suçant la grosse queue et en lui serrant les couilles dans la main gauche. Il ne me faut plus longtemps pour que j’éjacule dans ma main, je sens mon sperme couler entre mes doigts et sur mes cuisses. Il va falloir faire le ménage de nouveau car je transpire aussi à grosses gouttes et j’ai beaucoup bavé sur mes jambes et sur le sol…

Nous rangeons nos petites affaires, nettoyons le coin câlin et décidons de rentrer à la maison.

Une après-midi d’émotions fortes, et encore une belle collection de queues malgré un départ un peu mou.

Initiation d'un couple débutant (3/3)

 (suite des deux récits précédents, Alpha raconte)

…En sortant de notre douche à quatre, nous croisons le couple entrevu au bar qui paraissait un peu intimidé dans son coin. La jeune femme brune, visiblement rassurée de voir ma chérie – enfin, une autre femme ! - lui demande où sont  les douches pour femmes… Euh, ma miss éclate de rire intérieurement et, comme elle n’est pas dans l’humeur de chaperonner une inconnue, fût-elle mignonne à croquer, lui explique crûment qu’il n’y en a pas, que toutes les douches sont mixtes…. Avant de la planter là, un peu désemparée dans son peignoir blanc qu’elle serre de ses deux bras.  Heureusement son homme vient à la rescousse et l’emmène se doucher avec lui.

Après un petit passage aux toilettes, nous atteignons la porte du coin couples et croisons de nouveau la brunette et son homme. Nous entrons dans le coin couples et ils nous emboîtent immédiatement le pas, visiblement soulagés que je referme la porte derrière eux, pour empêcher d’entrer une meute de jeunes hommes affamés ! Nous nous installons dans le premier coin à gauche, celui des glory holes, et je commence un cunni sur le doux minou de ma chérie.

J’ai à peine commencé que j’entends du bruit à l’entrée de notre coin. Ma miss regarde derrière moi et voit entrer la jeune femme brune toujours dans son peignoir blanc, suivie de son homme, nu. Elle interroge ma miss du regard, celle-ci lui donne son assentiment pour qu’ils s’installent sur le matelas avec nous. En passant devant les trous de la paroi, toute emmitouflée dans son peignoir blanc, la jeune femme – prénommée Fabienne – pousse des cris à chaque fois qu’un bras passe à travers un trou pour la peloter. Elle se recroqueville en serrant ses bras autour de son peignoir… Nous nous regardons avec ma miss : elle n’a pas l’air d’être une grande habituée !

Son ami, Roland, est plus âgé et plus expérimenté aussi. Il nous explique qu’il voulait emmener Fabienne au Privé mais que ce club est fermé aujourd’hui car il doit prochainement déménager plus près de la rocade – c’est ce qu’ils nous avaient dit la dernière fois que nous y étions allés, le mois dernier. Mais c’est sa première fois à elle, sa première sortie en club libertin ! Et Roland a opté pour le 72 parce que le Privé était fermé. Un choix pas très heureux quand on sait que le samedi après-midi au 72 est mixte et, de plus, 100% bi… Pour une première sortie en milieu libertin, c’est sans doute un peu hard pour elle !

Finalement Fabienne réussit à échapper aux mains baladeuses des glory holes et à se rapprocher de moi, toujours enveloppée dans son peignoir de bain. Pour la rassurer un peu plus, je lui propose de passer derrière elle, sur son côté droit : ainsi, elle se retrouve entre Caresse et moi et c’est moi qui suis en première ligne devant les trous ! Roland s’installe quant à lui entre les cuisses de ma chérie qui me suggère de câliner un peu la jeune débutante. Je lu caresse les cheveux et le visage qu’elle tourne vers moi, puis je lui écarte doucement son peignoir pour caresser son décolleté. Je l’écarte encore un peu plus pour découvrir ses seins, elle se laisse faire et m’aide même à la dénuder. Je me mets à lui faire des bisous, dans le cou, sur le haut de la poitrine puis sur les tétons, tout en descendant ma main droite vers son bas-ventre.

J’entreprends de dénouer sa ceinture, elle m’aide à l’enlever en se cambrant un peu plus, puis elle écarte les pans de son peignoir, offrant à ma vue son joli pubis tout doux et bien entretenu. Ma main s’y aventure tout doucement, sans brusquerie, pour ne pas effaroucher la belle qui semble cependant plutôt à l’aise dans mes bras. Je sens en même temps des mains qui me caressent les fesses et les pieds à travers les glory holes…

Ma main droite folâtre sur son joli minou bien épilé avec un petit triangle de poils sombres et doux bien taillés à la même longueur. Mes doigts commencent à explorer son petit bouton de plaisir, je la sens vibrer doucement et se mettre à onduler imperceptiblement. Ses tétons se sont érigés sous mes mordillements et je décide donc de passer à l’étage inférieur. Ma bouche atteint le petit triangle crépu et ma langue s’insinue sur le clitoris déjà plus dur. Je lui fais mon cunnilingus des grands jours, tout en douceur, avec ma langue qui s’enroule longuement et coquinement autour du clito avant de venir goûter ses lèvres déjà humides.   

Elle se met à onduler de plus en plus en écartant les pans de son peignoir pour se montrer dans toute sa nudité. Ma langue fouille son intimité dans ses moindres replis et je sens la jeune femme mouiller de plus en plus, en même temps qu’elle se met à gémir faiblement. Elle me semble très réceptive et désireuse de cette expérience pour sa première fois. Je commence à introduire mon majeur dans sa vulve détrempée… heureusement qu’elle est bien mouillée car son vagin est serré, je peine à y introduire mon doigt ! Mais elle en a envie, elle bouge des hanches pour m’aider. Autant la première phalange a été difficile, autant les deux suivantes entreront comme dans du beurre : la miss vient s’empaler dessus de toutes ses forces.

Depuis un moment, un bras lui caresse doucement les cheveux à travers un trou de la paroi. Une voix se met à chuchoter à ma chérie : « C’est Cyril… je peux entrer ? »  Le reconnaissant, ma miss n’a pas d’états d’âme et va lui ouvrir la porte. Mais à peine est-il entré avec nous qu’il jette son dévolu sur Fabienne. Malheureusement pour lui, je suis déjà en train de monopoliser le minou de la jeune femme qui a déjà joui deux fois sous ma langue et mes doigts. Cyril se rabat donc sur ses seins.

Je fais jouir Fabienne une troisième fois, elle aime vraiment que je la doigte tout en lui léchant le clito. De l’autre côté du mur nous entendons des halètements, puis un homme qui, manifestement, jouit. Nous devinons que la jeune trav brune du bar a dû passer les sucer de l’autre côté, directement du producteur à la consommatrice en somme !

Je me redresse alors et regarde Fabienne, d’un air interrogateur, pour lui demander ce dont elle aurait envie maintenant. Elle a les yeux mi-clos et Cyril, opportuniste, se jette sur l’occasion pour me remplacer entre les cuisses de la jeune femme. Il sort immédiatement un préso dont il équipe son braquemart XXL et se met en tête de prendre Fabienne en missionnaire.

Il y parvient en deux ou trois poussées : la jeune femme est en effet bien mouillée avec ce que je lui ai fait… mais elle grimace, elle ne semble pas apprécier – pas très étonnant vu son étroitesse vaginale et la taille de l’engin de Cyril - bien qu’elle ne lui dise pas de stopper. Ma chérie s’en aperçoit et comprend que Fabienne n’en a pas envie : elle demande à Cyril de se retirer et de nous laisser. En libertin gentleman qu’il est, il ne proteste pas et s’en va.

Nous terminons nos ébats en nous caressant et en discutant tous les quatre. Finalement la jeune femme brune a apprécié ce moment et nous en remercie, ainsi que son homme. Nous les reverrons un peu plus tard au vestiaire, l’air satisfaits. Ils nous remercieront encore avant de prendre congé.

Ejaculations multiples (2/3)

(suite du récit du 20 décembre 2016, Alpha raconte)

…Nous décidons de sortir du jacuzzi et d’aller nous doucher. Nous passons ensuite dans le coin couples - qui présente l’avantage de fermer à clef - pour nous « reposer » dans la cabine des glory holes !

Ma miss s’allonge au fond, loin des trous pour éviter les sollicitations et je commence à lui faire un cunni de relaxation. Mais très vite, des queues se présentent dans les trous du mur. Ma miss me les désigne et je m’empresse d’en saisir une première, de bonne taille, que je mets en forme dans ma main avant de la sucer.

Des bras passent à traves les autres trous, tentant de caresser les seins plantureux de ma miss. On entend aussi des voix : « C’est untel, on était ensemble dans le jacuzzi tout à l’heure… » Ma miss répond que oui, elle le sait, mais là elle a envie de se reposer !

La première queue s’est retirée du trou après que je l’eus mise en forme mais elle est immédiatement remplacée par une autre. Puis une seconde apparaît dans le trou voisin. J’embouche la première et je masturbe la seconde de ma main droite, ce qui me permet de satisfaire deux hommes simultanément. Bien que je n’aie pas revêtu ma perruque blonde ce jour, je m’entraîne à essayer d’être la femme parfaite qui est en moi…

Ma chérie se repose tranquillement, je crois même l’entendre légèrement ronfler à un moment. Il y a du va-et-vient de l’autre côté de la paroi et aussi dans le coin couples. Apparemment un couple est entré et est allé coquiner dans l’une des alcôves du fond.

Je finis par « terminer » mes deux partenaires. Le premier jouit dans ma bouche à long traits saccadés de sperme épais qui emplissent le préso fraise de crème blanche. Je ne lâche pas le second pour autant et bien m’en prend : il jouit dans ma main quelques instants plus tard, je sens sa semence chaude et gluante me poisser la main et couler entre mes doigts.

Ma chérie s’est réveillée et a cédé aux caresses d’un bras passé à travers les trous. Il lui caresse délicatement le minou et lui chuchote que c’est André, mon amant du jacuzzi. Il demande à entrer et ma miss n’hésite pas une demi-seconde à lui ouvrir la porte ! En se disant qu’il allait sauter sur moi…

En effet, ça ne loupe pas. A peine installé sur le matelas – je découvre alors son visage que je n’avais guère pu détailler dans l’obscurité du jacuzzi -  il désire que je le suce. Je m’y remets de bon gré – je suis une fille docile – et ma chérie s’allonge, relax, de l’autre côté de lui pendant qu’il continue de lui caresser doucement les seins.

Puis il veut se remettre en 69 avec moi. De nouveau, il me chevauche et je me retrouve avec sa queue dans la bouche, ses couilles qui battent sur mon visage pendant qu’il me suce et me fourre son majeur dans l’anus, tout en caressant ma chérie de sa main libre. Pour faire bonne mesure, je décide de lui doigter aussi le petit trou !

Voyant qu’il bande très dur, ma miss lui suggère : « Si tu veux, tu peux le sodomiser, il adore ça… »  Il ne faut pas le lui dire deux fois. Comme monté sur ressorts, il se redresse et s’équipe d’un de nos solides présos que lui passe ma miss pendant qu’elle attrape le pot de lubrifiant anal dans notre sac à malices.

Elle m’enduit un peu la raie des fesses pendant que je me place à quatre pattes, puis je sens André qui me saisit les hanches et tente d’enfoncer son dard dans mon petit trou glissant. Son gland tout dur cherche le petit trou, butant maladroitement au-dessus ou à côté avant de trouver le bon angle. Je le sens alors s’insinuer au bon endroit et je sais qu’il va ensuite s’y introduire de tout son long, plus de résistance possible. En deux coups de boutoir en effet, la bite d’André m’encule sur toute sa longueur. Je sens son membre bien dur coulisser en moi et me remplir, en même temps qu’André me tire en arrière par les hanches comme une fille. Je me mets, involontairement, à émettre de petits couinements. Et j’entends ma miss dire à André : «  Oui vas-y, fait la couiner, ma blonde, j’adore l’entendre couiner de plaisir… »

J’aperçois alors, légèrement sur ma droite, une grosse queue bien dure dans un trou du mur et je me mets à la masturber de la main droite.  En me décalant un peu, et en entraînant André qui me ramone avec énergie, je parviens à prendre la nouvelle venue dans ma bouche mais sans pouvoir effectuer moi-même de va-et-vient : comme tout à l’heure en 69,  je suis soumis au rythme d’André, c’est lui qui m’imprime ses mouvements. La grosse bite du mur le comprend et elle se met à bouger d’elle-même dans ma bouche. Je me retrouve ainsi bourré des deux côtés, avec une grosse queue bien profond dans ma gorge et une autre bien profond dans mon cul. Le seul inconvénient dans cette position délicieuse est que mes couinements sont passablement étouffés…

Je ne sais pas si c’est pour cette raison mais André semble débander un peu. Il a mis beaucoup d’énergie à m’enculer mais n’a pas joui. Il se retire et le préso reste serré dans mon petit trou ! J’ai dû beaucoup le comprimer… le pauvre ! La grosse queue du mur se retire également sans jouir, je soupçonne que c’était celle de Pascal (voir récit précédent).

La porte du coin couples s’ouvre de nouveau et plusieurs personnes entrent : sans doute un couple – que nous n’avons pas vu – mais surtout… Cyril et Vincent qui viennent nous rejoindre ! Ma chérie, en les voyant, leur met les points sur les i en leur expliquant qu’elle n’est pas en manque, qu’elle a un homme merveilleux à la maison qui la comble entièrement et que nous sortons en club pour faire des choses qui nous amusent et que nous ne pouvons pas faire à deux…. Mais sûrement pas pour qu’elle enchaîne les hommes seuls à la queue-leu-leu !

Respectueux, Vincent comprend et se retire. Mais Cyril demande quand même de rester, juste pour un petit câlin… Bonne fille, ma Caresse le prend avec elle et lui laisse faire un petit cunnilingus pendant que je me remets à sucer André. Il s’avèrera que ce cunni était finalement très moyen. Cyril finit dans les bras de ma miss, en position fœtale contre ses seins, tandis qu’elle masturbe sa grosse bite dure de la main gauche. André, un peu voyeur, les mate et je sens qu’il durcit beaucoup à cette vue : sa queue se raidit fortement dans ma bouche et se met à gargouiller. Gulp !

Il me chuchote à l’oreille : « Fais moi jouir maintenant… je sens que je vais jouir » Je lâche sa queue d’entre mes lèvres et me mets à le masturber à la main, en phase avec ma chérie qui masturbe Cyril. Ce dernier a la tête en arrière et gémit doucement, il a l’air au 6^ème ciel…  Je sens qu’André n’est pas loin non plus. Soudain Cyril crie plus fort : « Ah ouiiii… je viens » et il éjacule abondamment dans la main de ma chérie. A ce spectacle, André dit qu’il vient lui aussi. Il me prend la tête dans sa main gauche et me la pousse vers son pubis. Il éjacule à son tour en trois ou quatre jets et me fait un collier de perles sur le visage, la poitrine et la main…

Waouh… rare d’être aussi synchrones ! Nous sommes tous bons pour une douche ! (à suivre)

HAPPY NEW YEAR 2017!!!

CHERS ET FIDELES LECTEURS,

Cette année 2017 sera notre dernière année de publications libertines sur ce blog.
Après plus de 7 ans de bons et loyaux services, nous n'alimenterons plus la liste de nos récits, pour l'essentiel issus de notre expérience directe, pour la simple et bonne raison que nous avons cessé de les écrire depuis déjà un bon bout de temps!
Cela ne signifie pas que nous fermerons ce blog pour autant, vous pourrez donc continuer d'y accéder et de venir relire ces récits pour votre plaisir - ce que nous faisons aussi de temps en temps pour nous rappeler de bons souvenirs...
Cela ne signifie pas non plus que nous arrêterons nos sorties libertines, pas plus que nous ne les avons arrêtées depuis que nous avons cessé d'écrire. Disons simplement que les rencontres qui valent la peine d'être racontées se sont quelque peu raréfiées...

Dans tous les cas nous vous remercions de nous avoir lus et , pour certains d'entre vous, de nous avoir laissé vos commentaires. Nous espérons pour notre part que nos aventures libertines vous ont intéressés et divertis et que vous avez pris du plaisir à les lire, comme nous en avons pris à les écrire.

Bien libertinement à vous tous.

Caresse & Alpha / Sophia