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Sur ce blog nous racontons notre vie de libertins. Nos récits parlent de nos sorties et de notre vision du libertinage... Les lieux et endroits sont "améliorés", les repas "enrichis", l'histoire est parfois romancée afin que toute ressemblance avec la réalité ne puisse qu'être fortuite. Bonne lecture.
Caresse et Alpha
On this blog we are unveiling our swinger lifestyle. Our stories tell about our swinger parties and develop our vision of this particular way of life.
Places and meals are sometimes "improved", names are changed and the story itself may be "adapted" or even fully invented...
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Caresse (she) and Alpha (him)

dimanche 20 décembre 2015

Un duo de fellations dans un glory hole « inversé »

(Alpha raconte)

Marre de cette météo pourrie, nous sommes dans la deuxième quinzaine de mai, c’est dimanche de Pentecôte et les températures matinales culminent à 12 degrés avec de la pluie chaque jour ! On se demande si le printemps va enfin arriver, nous regrettons la Sicile et son climat si doux, nous ne resterons pas à Bordeaux pour notre retraite, c’est décidé! Du coup, l’envie de retourner au sauna, de nous plonger dans l’eau chaude du jacuzzi bouillonnant redevient irrépressible.

Nous nous garons vers 15h30 sur l’avenue au coin de la rue du club, c’est un weekend long et la ville semble désertée. Mais pas le club, dès l’entrée nous constatons qu’il y a du monde. Et, le temps que nous nous changions et revenions prendre un verre au bar, nous voyons entrer de nouveaux couples sans discontinuer. Tout le monde semble avoir eu la même idée avec cette météo peu propice aux activités d’extérieur !

Nous filons sans tarder vers le jacuzzi, lui aussi est bondé, je me demande si nous allons devoir nous asseoir sur les marches de l’escalier… ma miss, en tête, bute sur le dos musclé d’un trentenaire bien bâti, debout dans le bassin, elle s’empresse de lui caresser les fesses en riant : l’homme lui dit qu’il peut rester là si ça lui fait plaisir, il a l’air joueur et ouvert ! Mais ma belle nous fraye un chemin à travers les corps nus plus ou moins affairés les uns avec les autres et nous parvenons à nous installer à droite de l’escalier, contre la margelle, entre deux hommes seuls plutôt somnolents.

Peu d’action en réalité, la femme d’un couple se fait brouter le minou par le joli petit cul que ma chérie avait caressé en entrant et sinon les couples restent deux par deux. Nos deux hommes seuls sortent assez rapidement du bassin, suivis par des couples dont celui qui avait laissé le jeune jouer avec madame, ce qui nous permet de nous recentrer vers la partie du  jacuzzi où se trouve le débordement. Mais ça ne joue toujours guère, aussi décidons nous de sortir explorer les coins câlins et en premier celui des glory holes.

La partie bi du club est totalement déserte ! Même les coins câlins qui ferment sont inoccupés, surprenant, à croire que tout le monde est donc dans le jacuzzi ou le hammam. Cela ne nous empêche pas de nous installer dans le coin à glory holes et de commencer un doux cunni, que j’avais promis à ma belle depuis la veille au soir (elle s’était endormie comme une masse, épuisée par quelques soucis de famille et la grasse mat’ de ce dimanche ne nous avait pas permis de poursuivre non plus).

Une première queue apparaît, en érection, dans le trou de droite… ma miss l’équipe d’un préso au chocolat et, la serrant à la base, me la désigne d’emblée. Elle a envie de me faire plaisir, car elle sait que j’adore sucer de belles queues, je me dévoue avec empressement. A plusieurs reprises, l’homme se retire doucement et place son visage à la hauteur du trou, pour découvrir le sourire de ma belle. Il aimerait entrer mais elle n’est pas sûre qu’il soit vraiment bi, donc… next ! Une autre queue apparaît dans le trou du milieu, même démarche mais, alors que je m’apprête à la sucer, une main passe par le troisième trou et me caresse les jambes. Ma chérie veut en avoir le cœur net, elle me pousse à lui proposer ma queue pour vérifier : la main la saisit et se met à la masturber… Hummm, enfin un vrai homme bi ! Ma miss veut aller plus loin : « mets ta queue dans le trou pour qu’il te suce » me dit-elle !

Je m’allonge sur le côté droit et introduis mon sexe en érection dans le trou de la paroi, je sens une bouche chaude et humide qui commence à me sucer le gland… C’est le glory hole inversé !!! Dans le même temps, je me mets à sucer la queue équipée de sa capuche en latex dans le trou du milieu… Et ma miss me gobe les boules en me pinçant les tétons : waaaaaaah, je suis aux petits soins, quelles délices !

Mais la position n’est pas idéale pour celui qui me suce, ma chérie propose donc de le faire entrer. Ni une ni deux, l’homme fait le tour de la pièce et se présente à la porte de notre coin câlin : surprise, c’est Joseph, celui de la semaine dernière, excellent !!! Nous nous étions régalés avec lui (voir récit du 10 décembre 2015), on ne va pas s’ennuyer…

Notre ami s’installe sur le dos au milieu du matelas et ma chérie m’aide à le sucer. Nous alternons nos bouches gourmandes sur son sexe et ses couilles, ma miss se souvient qu’il adore ça et elle en profite aussi pour lui doigter l’anus. Mais elle a d’autres idées en tête : je m’équipe de mon cockring en cuir noir, elle me fixe les pinces japonaises sur les tétons, reliées à mon cockring, puis nous invite à nous placer en 69 sur la tranche. Joseph se laisse faire et me prend dans sa bouche tandis que je me remets à sucer sa queue bien dure… Mmmmmm !

Ma chérie s’assied et s’amuse à nous regarder. Ca ne l’excite pas, mais elle prend du plaisir à me voir en prendre, c’est une attitude tout ce qu’il y a de plus libertin et d’ailleurs j’ai les mêmes sensations quand je vois d’autres hommes lui donner du plaisir. Occasionnellement, elle nous caresse pour garder le contact avec nous, avec moi surtout, c’est important pour elle de sentir que nous restons « connectés » en club libertin, comme elle me le dit souvent. Pour passer le temps agréablement, elle s’occupe aussi à caresser les autres queues apparaissant dans les glory holes. Une queue « moyenne » en a ainsi bénéficié un long moment, mais son porteur s’est éclipsé quand elle a voulu prendre la poche à présos, il n’a pas dû comprendre ce qu’elle allait faire, surtout qu’elle devait nous enjamber pour aller chercher le petit sac avec nos préservatifs… un impatient, dommage pour lui !

Une autre queue apparaît en face du glory hole où ma miss s’est placé : petite, courbée et, bizarrement, une bite qui a besoin d’être enfoncée totalement en elle-même de temps à autre pour accroître son excitation…. Amusant et curieux ! Ma miss en profite, puisqu’elle a les présos, pour la sucer un long moment…jusqu’à ce que son propriétaire s’éclipse à son tour. Ma miss commence à avoir très chaud, elle prend la serviette pour s’éponger… et elle ouvre la porte du coin câlin pour faire entrer plus d’air dans la pièce, et peut-être d’autres joueurs….

(à suivre... en 2016!)

jeudi 10 décembre 2015

Un trio bissexuel à la sicilienne

(suite du récit précédent, Alpha raconte)

…Après cette délicieuse petite partouze dans le jacuzzi (voir récit précédent), nous repassons nous rafraîchir à la douche puis au bar. Comme nous devons nous lever tôt le lendemain (lundi), je propose à ma chérie de refaire tout de suite un tour dans les coins câlins pour voir s’il y a un peu d’action, avec l’idée de repartir ensuite pas trop tard.

Nous nous dirigeons vers la partie supposée bissex, nous apprécions le coin aux glory holes car il ferme et dispose d’un bon ventilateur. Nous nous y installons et je commence un délicieux cunnilingus pour ma miss. Nous ne nous faisons guère d’illusions, vu le peu d’affluence aujourd’hui nous ne devrions pas voir beaucoup de queues et encore moins en sucer. Nous allons vite constater le contraire…

J’ai à peine commencé à faire chantonner ma miss sous ma langue qu’elle me tapote tendrement la tête pour me montrer du doigt une belle bite en érection dans le premier trou du mur. Mmmm…. Je me redresse et saisis la poche aux présos tandis qu’elle empoigne le membre et se met à le masturber. Ma Caresse lui enfile un préso au chocolat (nos meilleurs) en le tenant avec ses lèvres puis elle me passe l’engin à sucer tout en le maintenant à la base dans sa main.

Je m’empresse de happer cette belle bite chocolatée entre mes lèvres et me mets à sucer le gland goulûment avant de descendre progressivement le long de la hampe. Mais l’homme se retire alors et vient placer son visage au niveau du trou… il tombe nez à nez avec ma miss qui lui sourit : il lui demande d’entrer mais ma chérie refuse d’un hochement de tête, ça sent trop le gros hétéro qui va se jeter exclusivement sur elle sans vouloir jouer avec nous deux.

Une autre queue apparaît dans le trou du milieu, elle est courbée et déjà dure : je la prends dans ma main et la masturbe, je la sens gargouiller presque à chaque mouvement de va-et-vient de ma main, j’ai l’impression que l’homme est bien mûr et ne va pas tarder à éjaculer. Ma miss a également retrouvé une queue dans son glory et l’équipe d’un préso au chocolat. Elle suce cette nouvelle bite un bon moment pendant que je continue de masturber celle de mon partenaire qui ne tarde pas à se raidir et à dégorger son jus blanc dans ma main, jusque sur le matelas. Me voilà bon pour un nettoyage avec les lingettes désinfectantes et le rouleau de sopalin !

Je rejoins ma miss mais son chevalier servant s’est lui aussi retiré… Nous nous retrouvons à deux et reprenons nos caresses allongés l’un contre l’autre, je suis dos à la paroi. Je sens alors une main me caresser les fesses à travers un glory hole… Je le signale à ma chérie, amusée, qui me fait pivoter d’un quart de tour pour me mettre sur le dos. Elle veut vérifier qu’il n’y a pas d’erreur, que l’homme me caresse en toute conscience et pas en prenant le bas de mon dos pour celui d’une femme. La main se déplace sur mon pubis et me saisit le sexe, le masturbe avec application : c’est un vrai homme bi !

Ma chérie me fait encore pivoter d’un quart de tour pour que je sois face aux glory holes, sur la tranche. Je pousse mon sexe en érection dans ce trou et je sens une bouche humide l’absorber et le sucer. Mmmm, l’homme sait y faire, il me fait grimper dans les tours, bien que la position de soit pas hyper confortable, la cloison est gênante en fait. Mon visage se trouve à la hauteur du premier glory hole et ô surprise, y apparaît une grosse queue chocolatée ! Le porteur d’un de nos présos est revenu….

Je le prends dans ma bouche et le suce avec application pendant que la bouche inconnue me suce également. Douce sensation, de se sentir sucé en même temps que je suce moi-même une grosse queue bien dure… Ma miss me stimule en me serrant les couilles dans sa main et en me pinçant doucement les tétons.

La queue chocolatée finit par se retirer et nous décidons de faire entrer mon suceur, pour plus de confort. Ma Caresse va lui ouvrir la porte : c’est un homme de petite taille, un peu dégarni, prénommé Joseph… et qui porte un préso au chocolat sur son sexe !

Joseph s’installe parmi nous, il en pince manifestement beaucoup plus pour moi que pour ma miss : il s’allonge contre mes cuisses et se remet illico à me sucer, pendant que ma chérie le suce à son tour. Puis elle lui propose de se mettre en triangle, une position que nous nommons dorénavant « sicilienne» par allusion au symbole de l’île méditerranéenne : la gorgone triskélès, représentant les trois caps qui délimitent les extrémités de l’île. Dans cette position, Joseph me suce, Caresse le suce et moi je lui fais un cunni.

Mais ma miss réalise vite que notre ami a vraiment envie de moi, elle nous propose de nous mettre en 69, ce qui permet à Joseph et à moi de chacun sucer une belle queue… pendant qu’elle nous caresse, nous encourage, nous pince et profite avec délices du plaisir que nous donnons en nous "régalant" terriblement. Puis une queue black apparait dans un glory hole, ma miss croit reconnaître un libertin que nous avions sucé ici même la fois précédente, un jeune homme africain bien doté par la nature, mais dont le sexe reste relativement "mou" malgré d’ardentes stimulations.
Pendant que ma miss s’occupe du nouveau venu à travers la paroi, Joseph et moi ne ménageons pas notre peine pour nous donner du plaisir. Il bouge bien des hanches et enfonce de temps à autre sa queue tout au fond de ma gorge. Je fais de même avec lui ce qui lui procure des soubresauts de plaisir, entrecoupés de commentaires d’encouragement : « oh oui, c’est bon comme ça… !! »

Ma chérie réapparaît, l’homme s’est éclipsé après sa demande de pénétrer ma miss à travers le glory hole, visiblement il ne tenait pas à entrer dans le coin câlin avec nous... (rires). Ma miss a essayé de répondre à son attente comprenant son embarras, mais la hauteur du trou nécessitait de faire des acrobaties incroyables, elle décide d'abandonner l'idée, entrainant le départ de l'homme seul.

De retour à nos jeux, elle vient m’aider à stimuler Joseph en lui léchant et suçant les boules, il apprécie visiblement beaucoup cette faveur, ses gémissements le prouvent ! Puis ma miss a une idée, elle lui demande : «  tu aurais envie de le prendre ? Il adore » Joseph répond : « pourquoi pas ! »

Je me redresse et me place en position à quatre pattes pendant que ma miss enduit mon petit trou et la queue de Joseph de lubrifiant. Joseph, debout sur le matelas derrière moi, vise et s’introduit presque d’un coup dans mon petit cul, waaaaah je le sens passer, il m’agrippe par les hanches et se met à me besogner énergiquement. Ses mains se baladent et remontent à mes épaules, je me redresse, bien cambré, pour qu’il puisse avoir une prise solide. De temps à autre, il s’arrête, fiché tout au fond de mon cul, et je l’entends gémir de plaisir… je me demande s’il n’est pas en train de débander ou s’il a un peu trop chaud ? …Jusqu’à ce que je jette un coup d’œil latéral dans le grand miroir mural de la pièce : je me vois à quatre pattes en train de me faire sodomiser en levrette par Joseph et ma miss allongée sur le dos, la tête entre ses jambes ! Je tâte de la main entre mes cuisses et découvre ses cheveux : la coquine est en train de gober les couilles de notre ami et de lui doigter l’anus ! Je comprends mieux ses soupirs de plaisir et ses moments d’arrêt extatiques !

Mais Joseph n’st pas un petit joueur, il ne débande pas pour autant et à chaque fois il reprend ses mouvements de va-et-vient avec une dose d’excitation supplémentaire. Ses coups de hanche sont maintenant de vrais coups de boutoir qui me défoncent et m’arrachent de doux gémissements de plaisir. Finalement, il se raidit de tout son être en expurgeant un long soupir, je devine qu’il a joui et éjaculé dans mon intimité, la queue enfoncée jusqu’à la garde dans mon petit cul.

Nous sommes épuisés et retombons en nage sur le matelas, pantelants… Il nous faudra quelques minutes avant de nous dire que nous avons bien mérité une bonne douche, le ventilateur ne suffit plus, à trois dans cette pièce la température monte très vite !

Nous nous douchons à trois, puis laissons Joseph profiter du sauna et quittons le club vers 22h, c’est cool, nous ne serons pas rentrés trop tard ce soir, la nuit vient à peine de tomber.

Quelle excellente soirée nous avons encore passée !

mardi 1 décembre 2015

Partouze à huit dans le jacuzzi


(Alpha raconte)

De retour de nos vacances siciliennes ensoleillées, nous trouvons une météo morose et des températures plutôt fraîches pour un mois de mai. Nous ne manquons certes pas d’activités à la maison, mais finalement nous décidons de nous rendre, en fin de journée, à notre club préféré, histoire de nous détendre dans l’eau chaude du jacuzzi.

Nous y arrivons vers 19h et trouvons une place de stationnement dans la rue même. L’arrière de notre carrosse dépasse un peu sur le passage clouté mais ça ne doit pas justifier de récolter une prune.

Une jeune femme brune sexy nous fait entrer, il fait tout de suite très doux dès l’entrée, atmosphère chaude et tamisée. Nous passons au vestiaire, le club semble assez vide, nous avons dû arriver dans le creux de fin d’après-midi. Pas grave, nous n’avons pas d’attente, juste l’envie de nous prélasser à deux dans le jacuzzi et peut-être le sauna.

Nous prenons un verre au bar, ce qui nous permet de voir arriver un ou deux couples charmants, puis direction la douche et le jacuzzi. Celui-ci est très vide également, juste deux hommes seuls marinent aux deux extrémités du bassin. Nous en profitons pour nous installer au milieu, devant le matelas qui surplombe le débordement.

L’homme seul de gauche finit par sortir. Un couple apparaît, deux beaux jeunes gens, la femme a de longs cheveux noirs et tout ce qu’il faut où il faut. Mais ils s’installent en face de nous, diamétralement opposés, sur l’autre bord du bassin. Ils semblent très fermés sur eux-mêmes et, de fait, ils resteront tout le temps à deux, miss empalée de face sur son homme, sans interagir avec personne, avant de quitter eux aussi le bassin. Je me hisse sur le rebord afin que ma Caresse me fasse une fellation comme elle sait si bien les faire. Rapidement je deviens très dur, c’est délicieux…

Un autre couple arrive, ainsi que des hommes seuls. Le nouveau couple vient s’asseoir à notre droite, vite suivis par un ou deux hommes seuls. L’homme du couple semble grand et avenant, la jeune femme a des cheveux bouclés mi-longs, elle est de taille fine et semble très tendre avec son chéri. Rapidement, un homme seul aux cheveux grisonnants s’insère derrière elle sur son côté droit, elle se laisse faire.

Un autre homme seul est venu subrepticement se placer derrière ma chérie qui tourne le dos au jacuzzi pendant qu’elle s’occupe de moi. Je redescends dans l’eau et me mets moi aussi à la caresser. L’homme est très doux, me dira-t-elle par la suite, il est caressant et respectueux, c’est à noter car ce n’est pas toujours le cas !

Et justement, l’homme grisonnant derrière ma voisine de droite ne semble pas être dans ce cas… Il a l’air lourd et insistant. Ma miss me fait soudain comprendre que l’homme du couple, à sa gauche, a commencé à promener une main baladeuse sur elle, c’est un signe pour que je me rapproche de sa miss à lui. Elle est un peu trop loin sur ma droite cependant, je me glisse par à coups un peu plus sur ma droite pour me rapprocher d’elle jusqu’à pouvoir la toucher de ma main droite.

Elle a la peau très douce, les épaules frêles et la taille fine. En revanche, je suis bluffé par ses seins qui flottent comme deux bouées à la surface de l’eau : ils sont énormes, un peu plus volumineux que ceux de ma chérie, mais surtout très flasques. Je les palpe longuement, ils sont à la fois lourds et mous, c’est un peu curieux mais pas désagréable. Je sens la main de la jeune femme venir me caresser la cuisse et chercher mon sexe sous l’eau… Hummm, je l’enlace de mon bras droit mais là, l’homme assis à sa droite me saisit rudement et me l’enlève ! Pas bi le monsieur, je me dis, de toute façon il est vrai que son poitrail couvert de soies de sanglier blanches me râpait un peu la peau du bras, je n’appréciais pas ce contact non plus !

Je ne suis pas le seul à ne pas l’apprécier, j’ai vraiment le sentiment que la jeune femme n’a pas envie de ce type, sans doute trop brutal car son homme à elle est au contraire très doux et caressant. Elle saisit chaque occasion de se rapprocher de moi, en attirant ma cuisse vers elle et en passant la sienne par-dessus. L’homme qui était derrière ma chérie ne l’a pas lâchée et nous formons maintenant un « tas » à six, deux couples et deux hommes seuls.

Ma chérie me saisit la main gauche et l’amène, sous l’eau, sur la bite de l’homme du couple, en pleine érection. Je la prends dans ma main et la caresse, l’homme bande très dur et il bouge légèrement dans ma main pour maintenir et amplifier son excitation. Il a très bien compris que c’est moi qui le masturbe et il joue le jeu, trop bon de trouver de vrais libertins bi !

Mais il doit sentir que sa chérie n’est pas au mieux, il lui demande à voix basse si ça va. Elle répond que oui mais nous avons l’impression que c’est pour ne pas casser l’ambiance, elle donne l’impression de se forcer un peu. L’homme grisonnant m’enlève le bras une deuxième fois, cette fois je suis à deux doigts de le tancer, pour qui se prend-il ?? Mais ma partenaire ne le rejette pas, j’hésite donc à être plus royaliste que la reine !

Il finit par se mettre debout à droite de la jeune femme, il faut dire qu’elle s’est petit à petit quasiment retrouvée assise sur mes cuisses… L’homme lui tend sa bite à sucer, mais là elle lui fait non de la tête. Dépité, il s’éloigne en nous lançant un regard mauvais, vraiment un homme irrespectueux, comment de telles personnes peuvent-elles espérer jouer avec d’autres en club libertin quand leur égoïsme transparait de si forte manière ?

La jeune femme est maintenant plus détendue, je la sens se relaxer tandis que je prends ses deux seins à pleines mains en en malaxant doucement les pointes. Ma chérie m’a soufflé que son homme mordait bien ses tétons, la jeune femme doit donc être habituée à ce type de traitement… mais placé derrière elle qui est assise sur mes genoux, je vais avoir du mal à lui mordre les pointes des seins !

Ma Caresse est passée devant l’homme de ma partenaire, de sorte que les deux femmes sont maintenant au contact face à face, avec nous, les hommes, échangés derrière elles. L’homme seul de ma miss est toujours là, sur sa droite et un autre homme seul vient s’jouter entre lui et moi. De l’autre côté, le départ du gros lourd a ouvert la voie à deux autres hommes seuls ! Nous voici donc en configuration de partouze à huit, deux femmes et six hommes…

D’autres hommes tournent autour, il faut dire que nous faisons le spectacle ce soir, mais ils ne parviendront pas à s’immiscer dans le jeu. Les deux femmes ont commencé un ballet bisexuel très sensuel : la jeune femme adore malaxer la poitrine plantureuse de ma chérie, la saisir par les fesses pour l’attirer vers elle et frotter son minou contre le sien. Les mains se promènent partout, sur les seins, les hanches, l’abdomen, le pubis… des baisers s’échangent aussi. Je lâche le sein gauche de ma jeune partenaire et vient chercher son clito, momentanément disponible. Elle a une chatte largement ouverte, les lèvres dilatées et le clitoris bien érigé, c’est un vrai plaisir que de le lui caresser.

Elle bouge bien des hanches, en rythme avec ma caresse intime, pour que mes doigts appuient bien sur son clito, je sens sa respiration s’accélérer. Mais elle se redresse un peu, elle semble vouloir que je m’intéresse aussi à l’étage inférieur, ce que je fais de suite, insérant délicatement deux doigts dans son vagin. Je me mets à la recherche de son point G mais, dans ma position derrière elle, je ne peux enfoncer mes doigts assez loin pour bien la ramoner, malgré ses mouvements coopératifs. Elle finit par me retirer doucement la main pour que je revienne sur son clito.

En revanche, les mouvements de son joli petit cul sur mon sexe me font de nouveau bander très dur et la miss semble apprécier de sentir ma queue bien raide titiller la raie de ses fesses. Les deux hommes seuls sur notre droite se partagent maintenant ses seins, ils lui sucent et lui caressent les tétons.

Ma chérie n’est pas en reste, face à nous. L’homme du couple n’a cessé de lui caresser le minou et de lui mordiller les tétons, tandis que les deux hommes seuls, sur sa droite, tentent également de la stimuler par diverses caresses. Je m’efforce de garder le contact avec elle en la caressant de ma main gauche et je  l’entends sa mélopée orgasmique caractéristique plusieurs fois de suite.

Finalement, la jeune femme installée sur mes genoux se laisse aller en arrière sur mon épaule et s’allonge en direction de ma chérie, presque à l’horizontale, à fleur d’eau. Je la supporte de mes cuisses et de mes mains pour qu’elle soit bien tenue, elle se met à onduler et à gémir à voix haute, très vite elle jouit d’un orgasme bref mais violent que l’un des hommes lui a procuré de ses doigts experts dans le vagin.

Nous nous rassemblons ensuite dans l’eau puis nous nous séparons, les deux couples se reforment et les hommes seuls se dispersent. Après une petite douche réconfortante, nous passons nous rafraîchir au bar-lounge. Mais la soirée n’est pas encore finie pour autant…


(à suivre)

vendredi 20 novembre 2015

Un homme bi avec des couilles énormes (2/2)


Suite du récit précédent
(Sophia raconte)

… Tandis que notre loser s’enfuie la queue basse, un nouveau venu contourne Serge, il vient s’installer sur le dos et m’invite à admirer ses couilles : elles sont carrément énormes, jamais vu ça, impossible d’en serrer une à la fois dans ma main ! Sa queue est à l’avenant, sans excès, mais les couilles sont vraiment disproportionnées. Eric (c’est son prénom) en est très fier : « elles te plaisent ? »  demande-t-il. Je lui réponds que oui et aussi à ma brune, sans aucun doute. Il s’allonge et je commence à le sucer avec gourmandise.

Le vieux lourdaud qui avait détalé moins de 5 mn auparavant revient…. ! Mais seul cette fois-ci (madame a dû en avoir assez de le suivre partout et est sans doute restée au bar), il commence à peloter le sein gauche de ma miss, alors que Serge est encore en train de la prendre en missionnaire. Elle lui enlève sèchement la main en disant que nous partageons les hommes à deux et qu’il a clairement prouvé qu’il n’était pas bi, inutile d’insister. Il ressort pour la deuxième fois la queue basse… puis revient et recommence… Cette fois c’est moi, la grande blonde avec ma voix de mec, qui lui dis que la brune n’en a pas envie, là il repart sans discuter !

C’est tout de même invraisemblable des types comme ça, ils n’ont honte de rien. Non content de se prendre un premier râteau dans l’hilarité générale, sous les yeux de sa compagne, le type revient encore et encore… On croit rêver, à ce niveau ce n’est plus de l’irrespect, c’est à se demander s’il a encore un neurone viable, car même une très grande frustration de sexe ne justifie pas un tel acharnement !

J’entends soudain Serge rugir de plaisir. Sans même tourner la tête – je me délecte trop de la grosse bite d’Eric qui va et vient dans ma bouche et me la remplit entièrement -  je devine que Serge a joui avec ma chérie… Je les entends causer un peu, puis Serge reprend ses affaires et ils filent tous les deux prendre une douche pendant qu’Eric et moi gardons la place chaude en nous faisant plaisir à deux. Nous reverrons Serge un peu plus tard dans la soirée : en train de participer à un gang bang dans un coin câlin ouvert, une jeune femme blonde se faisant prendre successivement par 5 ou 6 hommes, dont notre héros qui a la chance d’être un homme multi-orgasmique !

Ma chérie revient propre et rafraîchie, elle va pouvoir m’aider à sucer notre partenaire super couillu… Elle découvre avec stupeur la taille des génitoires de notre homme : on dirait qu’il s’est fait greffer des couilles de taureau ! Ma brune et moi alternons nos caresses sur le sexe énorme de notre nouvel ami, tantôt sur les couilles, tantôt sur la bite. J’ai vraiment du mal avec ses couilles, mes mains sont relativement petites (taille 8 pour les gants) et en saisir, ne serait-ce qu’une dans ma main, n’est pas évident. A fortiori pour les prendre dans ma bouche, je ne peux le faire qu’une à la fois et même ainsi j’en suis presque à étouffer !

Ma chérie semble mieux se débrouiller que moi, il faut dire qu’elle aime beaucoup ça et nous avons une sorte de spécialisation implicite : elle s’occupe plutôt des couilles et moi de la bite en général. Ma chérie lui suce les couilles avec avidité pendant que ma bouche coulisse sur le membre tendu d’Eric. Mais ma miss a aussi sa botte secrète : elle se met à lui doigter le petit trou et, constatant un bon répondant, se met à le lui travailler comme elle sait si bien faire. A la différence d’autres hommes qui apprécient cette caresse, Eric ne débande pas, bien au contraire. Nous jouons ainsi un long moment et je sens son braquemart se raidir encore davantage dans ma bouche sous toutes ces stimulations.

Notre ami est très joueur, il s’amuse beaucoup et commente les phases de son excitation. En revanche il ne tente pas grand-chose sur moi, juste une petite caresse sans conviction de mon sexe érigé entre mes cuisses (sucer une grosse bite m’excite toujours beaucoup). Il me dit apprécier lui aussi la taille de mes couilles, la blonde que je suis se sent toute flattée de ce compliment et je n’ai pourtant pas mis mon cockring en cuir cette fois-ci.

Tout à coup, Eric nous demande d’arrêter de le caresser, il semble terriblement excité, saisit son sexe dans sa main et se masturbe énergiquement. En quelques secondes, il parvient à l’orgasme et jouit en éjaculant un abondant flot de semence pâle. Il nous remercie et sort prendre une douche tandis que nous retournons nous désaltérer au bar. Miss prend un cocktail sans alcool – le Bora-Bora – et moi un Ice Tea.

Pour finir la soirée, nous décidons de retourner voir le nouveau coin exhib, doté de beaux matelas, d’une cage, d’une croix et de miroirs, qui a remplacé l’ancienne salle de cinéma porno. Nous nous câlinons à deux sur le matelas devant la fausse cheminée où brûle un faux feu. Peu de partenaires en vue, hormis un jeune asiatique qui n’osera pas nous aborder, il faut dire qu’en passant devant l’une des cabines nous avons vu le gang bang auquel Serge participait… Nous nous sommes dit que la jeune femme allait rincer tous les hommes seuls et qu’il n’y en aurait plus un de valable, sauf peut-être Serge qui est très endurant.

L'homme du coin à glory hole apparait, il n'a visiblement toujours pas compris et il essaye de nouveau de se joindre à nous. Ma miss lui dit que nous ne sommes toujours pas intéressés, il repart une nouvelle fois la queue entre les jambes ! Nous ne pouvons pas nous empêcher d'éclater de rire, tant la situation en devient comique !

Soudain apparaît un homme seul, inconnu, qui s’arrête et vient nous regarder de près en commençant à se masturber sous sa serviette. Ma brune lui demande s’il est bi, il répond : « euh, oui… modérément… »   Nous sentons qu’il n’est pas très à l’aise mais il a dû se dire que c’était sa seule chance de jouer avec un couple sans repartir bredouille ! Pas du tout comme un autre homme seul rencontré au Différent qui se disait bi débutant et m’avait illico sucé comme un dieu pendant plus d’une demi-heure…

Le nouveau venu se prénomme Raphaël, il s’allonge et nous commençons à le caresser, le sucer, mais un rien le fait débander, il ne se lâche pas. Nous continuons ainsi, up and down, jusqu’à ce que Sonia vienne annoncer que le club ferme dans 10 mn pour les hommes seuls, il est déjà 19h visiblement. Raphaël est un peu frustré d’avoir commencé à jouer tard, il voudrait une petite prolongation, il commence à bien se sentir avec nous mais nous n’aurons pas le temps… encore un qui demandera à nous revoir !

Le buffet tarde beaucoup: Jo et Michel sont au cap d'Agde et ce sera pizza ce soir, mais commandées tard, elles n'arriveront pas avant 21h. Nous regardons un peu les infos à la télé, puis je décide de quitter mon apparence de Sophia pour redevenir Alpha et profiter un peu du jacuzzi. Nous avons le bassin pour nous tout seuls, ma miss en profite pour me faire une fellation diabolique: elle me fait devenir dur et gros comme cela m’est rarement arrivé… Mais il nous faut repartir bientôt, nous devons aller récupérer ma fille après son boulot pour aller dîner en ville ensemble. Un moment rare depuis que nous sommes à Bordeaux et que nous n'avons pas envie de rater.



jeudi 1 octobre 2015

De la vie de château à l'empire des sens (1/2)

Première partie: la vie de château
(Alpha raconte)

Pour fêter mon anniversaire, ma chérie m’a concocté en secret et avec amour un petit weekend surprise. La connaissant, je m’attends à quelque chose de très épicurien, bien que je n’aie pas la moindre idée de ce qu’elle a préparé, elle a été super discrète et de plus elle a brouillé les pistes en me donnant de fausses indications. A priori, je pensais à une virée du côté de La Rochelle.

En fait, nous prenons la route le vendredi après-midi, direction la Charente, pas maritime… Pas tout à fait ce que j’avais imaginé ! Nous roulons jusqu’à Barbezieux – joli petit "port de pêche" – où nous quittons la grand-route pour les chemins de traverse : grands dieux, où allons-nous ? Nous traversons des coteaux couverts de vignobles, nous devons être dans la zone de production du cognac. Et en effet, apparaît au milieu des vignes, incongru, un énorme cube sombre en tôle qui domine tout le paysage et porte le nom d’une grande marque de ce breuvage : le siège, ou peut-être juste un entrepôt de cette entreprise séculaire. Mais nous approchons de notre destination…

Nous trouvons peu après notre étape pour ce soir : ma chérie me révèle qu’elle a dégoté un B&B de luxe dans un splendide château ! Nous franchissons le portail et avançons sur l’allée de gravier pour nous garer à droite du château, magnifique, somptueux dans le soleil de fin d’après-midi ! La châtelaine, Sylvie, nous accueille chaleureusement et nous installe dans notre chambre royale à l’étage. Tout est surdimensionné ici, la taille des pièces, les plafonds, l’escalier du hall… La chambre a un balcon qui donne sur le parc arboré et la piscine, tout est décoré avec beaucoup de goût. Pas très étonnant : nous apprendrons par la suite que notre hôtesse est architecte d’intérieur, et qu’elle a quitté Paris pour vivre ce rêve de la vie de château ! Son mari a dirigé les rénovations nécessaires et aménagé tous les extérieurs, un travail de titan…

Nous finissons l’après-midi dans le grand jacuzzi du rez-de-chaussée, un superbe bassin pour 4 personnes avec un salon de massage attenant. Délicieux !!

Nous dînons au château, il n’y a rien de valable de toute façon à 15km à la ronde et la table du château est renommée, nous nous régalons ! La salle à manger est immense, environ 120m2 pour juste deux couples (un jeune couple est également venu passer un weekend romantique, ils disparaîtront dans leur chambre dès le dîner terminé). Nous passons la soirée au salon avec nos hôtes, devant la grande cheminée. Nous bavardons agréablement, ce sont des gens qui gagnent à être connus, avec qui nous sentons une réelle connivence épicurienne : Mr fume un cigare en regardant du coin de l’œil un match de rugby, tout en discutant avec nous, Mme nous parle de leurs voyages aux Etats-Unis et un peu partout sur la planète.

Nous profitons de notre première nuit d’amour comme dans un rêve, c’est vraiment un splendide cadeau que m’a fait ma miss.

Le lendemain matin, nous prenons un délicieux petit déjeuner avant de poursuivre notre route. Nous avons encore du chemin à faire et nous commençons par passer à Angoulême pour un apéritif et un déjeuner succinct au royaume de la BD. Nous avons ensuite au programme la visite d’un autre château, celui de la Rochefoucauld, un bijou étonnamment conservé, où nous passons un agréable moment à nous déguiser en châtelains et découvrons, au détour d'un souterrain, la fée Mélusine.

Puis nous repartons vers le nord-est… Bizarre ! Ma chérie me donne une indication qui me met la puce à l’oreille quand elle dit que nous avons encore deux heures de route !! Waouh, c’est pas la porte à côté… je commence à subodorer que nous nous rapprochons d’un club libertin dont nous avons tout récemment découvert l’existence et qui, sur internet, nous avait paru extraordinaire.

Et effectivement, nous arrivons deux heures plus tard à proximité de Guéret où ma miss nous a réservé une chambre dans une jolie auberge de charme : vieilles pierres, poutres au plafond et, avantage non négligeable, une porte donnant directement sur le parking sans repasser par la réception. Ce sera pour nous un atout quand, après le dîner à l’auberge, la patronne nous souhaitera une bonne nuit… Nous aurions eu du mal à lui expliquer pourquoi nous ressortions en voiture dans la nuit noire vers 22h30 en pleine cambrousse ! On ne se sentait pas vraiment de lui donner une explication du genre : « ben quoi, on sort dans la boîte à partouze voisine, c’est pour ça qu’on est venus de si loin!… »

(à suivre)