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Sur ce blog nous racontons notre vie de libertins. Nos récits parlent de nos sorties et de notre vision du libertinage... Les lieux et endroits sont "améliorés", les repas "enrichis", l'histoire est parfois romancée afin que toute ressemblance avec la réalité ne puisse qu'être fortuite. Bonne lecture.
Caresse et Alpha
On this blog we are unveiling our swinger lifestyle. Our stories tell about our swinger parties and develop our vision of this particular way of life.
Places and meals are sometimes "improved", names are changed and the story itself may be "adapted" or even fully invented...
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Caresse (she) and Alpha (him)

mardi 30 mai 2017

Love Boat Party au Container


(Sophia raconte - Caresse enrichit)

C’est samedi soir et c’est aussi l’anniversaire des patrons du Container, le club annonce une soirée « Love Boat Party »… Bien que ce soit les vacances scolaires, il devrait y avoir du monde et de l’ambiance sur ce paquebot!

Ma Caresse a un rhume… « Pour les fellations, je passerai mon tour » dit-elle en me regardant amusée, car j’ai très envie de ressortir « Sophia », la blonde volcanique : elle n’est pas revenue dans les clubs bordelais depuis notre passage au printemps 2012 (voir récit paru le 1er octobre 2014) !

Vers 17h30, je commence à me transformer en belle blonde plantureuse, après avoir, pendant l’après-midi, mis la main à un nouveau tableau qui représente justement une blonde sexy à moitié allongée dans une pose suggestive… Elle pourrait être la sœur jumelle de Sophia !

Comme c’est la première sortie de Sophia sur Bordeaux depuis bien longtemps, je mets le paquet : épilation poussée des parties critiques, maquillage précis et très travaillé des yeux et du visage en général, décolleté soigné aux petits oignons… Côté vestimentaire, je choisis des bas résilles tout neufs avec le porte-jarretelles noir assorti, minijupe en jean bleu (ma chérie adore le côté « sexe » de cette jupe, elle me donne clairement un air « salope » !), corset rouge très serré et petit top rouge par-dessus.

Comme c’est l’anniversaire des patrons du Container, je vous fais un cadeau : les mensurations de Sophia, que je viens de prendre pour me commander un nouveau corset « underbust / waist training » qui devrait me faire perdre encore un ou deux crans de taille (vers une vraie taille de guêpe) : 125 – 95 – 112  (cm). Pour une nana comme Sophia (1m92 sur talons) ça fait déjà un effet certain comme dit ma miss… nous approchons des proportions idéales selon les canons occidentaux.

Nous dînons léger, puis nous partons vers le club à la nuit tombée. Nous y parvenons sans encombres 20 mn plus tard, un peu avant 21h, et trouvons même à nous garer dans la rue du club. A peine 150m à faire à pied, mais j’ai quand même pris la précaution de mettre un pantalon ample sur mes bottes de fille et un imperméable pour dissimuler mes formes sexy et mes longs cheveux blonds.

Nous sommes accueillies avec jovialité, comme toujours au Container ou les patrons savent recevoir. Tout le monde se sent bien dans ce club et les patrons y sont pour beaucoup ! Le must, en venant en couple « femme + trav », est que nous disposons de deux casiers dans le vestiaire couples, pour mettre toutes nos petites affaires, il nous faut bien ça !

Il ne me faut pas longtemps pour me préparer, juste mes escarpins à enfiler pendant que ma miss s’équipe de son paréo aux motifs amazoniens. Nous faisons notre entrée au bar sous le regard des hommes et femmes déjà présents. La petite trav blonde que nous avions vue la dernière fois est là, ma chérie me dira en aparté qu’elle n’a pas cessé de me dévorer des yeux.

On nous sert un délicieux punch aux fruits exotiques pendant que nous discutons un peu. L’ambiance est bon enfant, tout le monde se connait et se fait la bise, tous sexes confondus. Il faut dire que ce club est « toutes orientations » : hétéro, bi, gay… avec une certaine proportion justement d’hommes bi ou gay. Ce soir il y a aussi quelques couples, des femmes seules et des travs : 4 ou 5 en me comptant.

Au bout de quelques minutes, nous décidons d’aller à l’étage voir l’ambiance dans les glory holes verticaux (ceux on l’on suce debout). A peine sur l’escalier, nous sommes suivies par une troupe d’hommes seuls avec pour unique vêtement leur serviette blanche autour des hanches. Une fois arrivées dans les glory holes, j’ai à peine le temps de me déchausser que notre petit couloir sombre est envahi par cinq ou six hommes qui s’agglutinent autour de nous !

Le temps de sortir un ou deux présos de mon sac Ibiza, je les regarde d’un air amusé et leur fait remarquer qu’ils devraient plutôt aller de l’autre côté de la paroi garnie de quatre fentes verticales… Certains obtempèrent de suite et les deux trous du milieu se garnissent chacun d’une queue en semi-érection. Waouh, je suis un peu étonnée de les voir déjà si mûrs, à croire que ces types sont ici depuis le début d’après-midi et qu’ils ont accumulé 6 ou 7 heures de frustration !

Ca doit être à peu près ça car j’ai à peine fait quelques allers-retours sur la bite de l’homme en face de moi qu’il m’éjacule son jus chaud dans la main… Oups ! Ma chérie m’appelle pour me montrer la queue qui lui est offerte. Je découvre un très gros membre tout flasque, doté d’un gland champignon, vraiment étonnant de proportions, même au repos il est maousse ! Ma miss semble vouloir le confier à mes bons soins mais je décline l’offre : trop laborieux et, une fois en forme sûrement beaucoup trop gros ! Son propriétaire doit avoir du mal à trouver chaussure à son pied… ou plus prosaïquement une bouche disposée à le sucer ! Je comprends que ma miss s’abstienne, d’autant qu’avec le super rhume qu’elle a sucer s’annonce compliqué pour elle !

Devant moi apparaît une nouvelle queue et je préfère me concentrer sur celle-ci qui a aussi un drôle de gland en forme de champignon, mais qui est de proportions plus civilisées. Ma miss se fait harceler par plusieurs hommes restés de notre côté des glory holes. Soudain je vois ma miss tout lâcher et s’en aller vers l’escalier. Elle me racontera un peu plus tard que les types la pelotaient de partout et la goutte d’eau qui a fait déborder sa patience c’est celui qui commençait à la presser par-derrière avec sa bite dure entre les cuisses… cherchant manifestement à la pénétrer sans préservatif, un comble dans un club libertin !

Je ne m’inquiète pas outre-mesure, je savais qu’elle n’avait pas très envie de jouer ce soir, je me dis qu’elle va se réfugier au bar : je la rejoindrai quand j’en aurai terminé avec mon galant. Justement ça ne va pas durer longtemps : les indélicats se sont à peine égayés, après le départ de ma miss, que mon nouvel amant jouit lui aussi dans ma main et sur mes seins ! Re-oups ! Il a « vrillé » mon top rouge, l’animal, et je suis poisseuse de partout ! Comme je ne peux pas aller me doucher, je décide de passer dans le coin câlin voisin où il y a un distributeur d’essuie-tout et du gel hydro-alcoolique pour les mains.

Ma miss me dira ensuite qu’elle était remontée à ce moment-là pour me rassurer sur le fait que tout allait bien, qu’elle préférait rester au bar, mais comme elle ne m’a pas trouvée elle a conclu que je devais m’amuser quelque part et est redescendue.

C’est là que je la retrouve, assise confortablement dans le canapé en cuir noir à côté de Thierry, un jeune homme bi de 30 ans, divorcé et vivant à Bordeaux. Il a les yeux bleus et c’est un vrai libertin. Il aime jouer avec des couples et se faire sucer par monsieur, il adore les mots crus pendant l’acte et se faire pincer les tétons… tiens donc ! Sinon il fréquente le QG, un bar libertin, le X (aux Chartrons) et le Métropole (pas mal pour trouver des hommes bi !).

Je m’assieds à côté de ma Caresse pour souffler un peu. Pendant que je passe aux toilettes pour me laver les mains à l’eau, Thierry est monté à l’étage nous attendre et je retrouve ma miss en compagnie d’un autre homme. Elle ne reste jamais seule bien longtemps, ma Caresse ! Ce qui n’est pas pour lui déplaire, car lorsqu’elle est avec un homme galant, elle n’est plus du tout embêtée par tous les autres : elle est donc ravie de « choisir », parmi les hommes présents, les vrais libertins respectueux et de passer du temps à discuter avec eux…

Cette fois, c’est un homme un peu âgé, la cinquantaine, au visage hilare et avenant. Elle me présente Bernard, un commercial qui fait tous les salons de la région pour vendre des outils. Ca fait 25 ans qu’il libertine seul, son épouse n’appréciant pas l’ambiance des clubs, au grand regret de Bernard, qui aimerait partager ces moments de détente avec elle.

Caresse me dit que Thierry nous attend mais j’ai d’abord envie de faire une petite pause après toutes ces émotions. Elle me montre Thierry, adossé au mur en haut de l’escalier, qui nous attend manifestement avec impatience. Il faut dire que visiblement les couples ne jouent pas beaucoup ce soir, heureusement qu’il y a quelques travs (dont moi) pour assurer, comme dit ma miss !

OK, on remonte, ma chérie passe aux toilettes se rafraîchir pendant que je commence à monter l’escalier sur mes talons de 15 cm. En haut de l’escalier, je demande à Thierry si c’est bien lui qui a discuté avec ma chérie. Devant sa réponse affirmative, je lui dis de venir avec nous car il y a déjà une cohorte d’hommes seuls sur les talons de ma Caresse qui gravit à son tour l’escalier… Nous allons dans le coin câlin de la dernière fois, le grand avec le ventilo, et je ferme la porte au verrou derrière Thierry. Celui-ci ferme aussi le panneau coulissant qui masque une vitre derrière laquelle les voyeurs du couloir peuvent sinon se rincer l’œil. Nous entendons le troupeau s’agglutiner au-dehors et certains malotrus tenter d’ouvrir la porte bien qu’elle soit manifestement close.

Nous nous installons tous les trois sur le matelas et je décide de prodiguer un petit cunni à ma miss pendant qu’elle commence à sucer Thierry. Elle le revêt rapidement d’un préso noir au chocolat puis me demande de prendre le relais. Nous changeons de positions, pour faire une sorte de triangle : Thierry se place à 45 degrés tête-bêche avec ma miss pendant que j’entreprends de lui sucer la bite chocolatée. Ma chérie se contente de me caresser à la main, à travers mes bas résilles et mon tanga en satin rouge.

Thierry est bien membré, dans la moyenne, et il bande bien dur, sans faiblir. Un vrai plaisir que de le sucer et, manifestement, lécher la chatte dégoulinante de ma miss contribue à son excitation. Je sens plusieurs fois son sexe gargouiller, comme s’il allait éjaculer… Finalement, il se redresse et décide de prendre ma chérie en missionnaire. J’en profite pour me reposer un peu en faisant des bisous à ma miss qui gémit de plaisir croissant. Mais il ne faut pas longtemps à Thierry pour exploser de jouissance, à peine deux ou trois minutes… ma chérie n’a, elle, pas joui. Notre ami remercie, se nettoie un peu au Sopalin et sort pour aller se doucher…

(à suivre)






samedi 20 mai 2017

Rencontres inattendues dans la pièce à trous (2/2)



(suite du récit précédent, Alpha raconte)

…La pièce à trous (glory holes) du Triton va s’avérer être la plus agréable de toutes celles que nous avons fréquentées jusqu’ici, y compris au 72 et au Différent. De prime abord, elle n’est pas très engageante car elle se présente comme une petite cabine carrée très sombre de 2m sur 2m, avec un matelas au sol, dotée de nombreux trous dans les parois. La porte qui donne sur le couloir principal du club ferme néanmoins avec une petite targette, ce qui est un avantage sur d’autres glory holes rencontrés ailleurs.

A l’usage, cette petite pièce s’avère très confortable car elle a un éclairage variable avec temporisation et un ventilateur efficace fixé au plafond. Avec les trous d’aération au ras du sol, il y a une vraie circulation d’air qui permet de ne pas rendre l’endroit irrespirable. Deux seulement des parois sont équipées de trous, auxquels on accède de l’extérieur par un couloir en L fermé par un rideau. La cloison qui jouxte la salle cinéma d’à côté et la porte elle-même n’ont pas de trous. Dans la cloison opposée, la première à gauche pour qui entre par le rideau, il y a 5 trous carrés ou rectangulaires de dimensions et hauteurs différentes. Plus haut, au niveau des yeux, il y a aussi des ouvertures rectangulaires.

Le positionnement des trous oblige à sucer à genoux, ce qui est la position la plus confortable pour celui qui suce car le cou reste droit : les vertèbres cervicales ne fatiguent pas et la respiration est aisée. Les glory holes de forme étroite et allongée en vertical sont les plus intéressants car ils permettent aussi un « réglage » en hauteur, en fonction de la taille du partenaire. Ceci permet de trouver l’angle d’attaque idéal et de ne pas s’user l’arête du nez contre le bord du trou ou la cloison elle-même. Dans la cloison du fond, il y a deux grands trous carrés de 25cm sur 25cm qui permettent de passer les bras, pour des caresses manuelles, et également des fentes à hauteur des yeux.

Nous nous installons confortablement en attendant nos « clients »… Comme nous sommes en journée bi, nous pensons ne pas rester au chômage longtemps. Effectivement, une première queue apparaît dans le trou du milieu, un de forme rectangulaire haute. Ma chérie s’en occupe, la met en forme puis l’équipe d’un préso à la fraise avant de me la transmettre. Je prends le relais et déguste ce gros gland délicieusement parfumé de fraise.

Ma miss s’écarte un peu et avise une deuxième queue dans la cloison arrière, celle avec les grandes ouvertures de 25x25. Elle s’approche et se met à la masturber : cette queue est très fine et longue mais a besoin d’être encouragée. Rapidement, toutefois, elle prend tout son développement et ma miss s’apprête à lui mettre un préso pour poursuivre la stimulation par une fellation dont elle a le secret. En fait, le jeune homme semble avoir déjà passé le point de non-retour car, tandis que ma miss cherche un préservatif tout frais dans notre pochette de réserve, l’homme se masturbe et éjacule soudain à longs jets sur la poitrine de ma chérie qui pousse un cri, visiblement surprise. La lance à incendie du pompier pyromane lui fait un collier de perles abondant, voire même une rivière de perles, avant même que ma miss ait pu réaliser ce qui lui arrive. Je l’entends alors grogner : « Beuh, il faut que j’aille prendre une douche…. »

Pour ma part, je n’ai pas lâché la grosse bite bien dure que je suce depuis un moment et je ne suis donc pas très conscient de ce qui vient d’arriver à ma Caresse. Je comprends qu’elle a rapidement fait jouir son partenaire, mais les détails ne me seront donnés que plus tard ! Elle sort pour se rendre à la douche et je reboucle la porte derrière elle. Entre temps, mon partenaire s’est éclipsé lui aussi mais sans avoir joui. Je suis un peu dépité : ma miss a déjà fait jouir deux types et moi un seulement… Grrr !

Ma chérie revient, frappe à la porte : je lui ouvre et nous refermons derrière elle. Nous n’attendons pas longtemps, je pense qu’elle a été suivie depuis la douche où plusieurs hommes l’ont lourdement reluquée… Une première queue se présente un peu timidement dans le deuxième trou en partant de la gauche, un trou carré. Je m’en occupe à la main puis je la prends en bouche pour lui donner toute la dureté voulue. Une main passe dans le premier trou à gauche et vient me caresser l’épaule. Une deuxième apparaît dans le troisième trou et ma chérie vient se positionner devant lui pour se faire caresser les seins. L’homme inconnu, de l’autre côté, a ainsi la possibilité de se faire sucer pendant qu’il nous caresse l’un et l’autre avec ses mains.

Mais un deuxième candidat entre par le rideau et vient prendre la place de la main de l’homme au niveau du troisième trou, celui où se trouve ma miss. Il lui présente sa queue, courte et épaisse, au gland circoncis. Elle se met à le branler et à le sucer, pendant que je continue avec mon partenaire qui s’est mis à gémir de plaisir. Il s’amuse à donner des coups de boutoir et à m’enfoncer sa bite tout au fond de la gorge, jusqu’à sentir mes lèvres humides contre son pubis. Il maintient alors cette position comme pour me faire suffoquer… mais il ne sait pas que je suis bien entraîné, j’arrive quand même à respirer et il ne me provoque qu’une ou deux fois un haut-le-cœur en venant se coller tout au fond de ma bouche.

J’entends que le mouvement s’accélère sur ma droite, ma miss est en train de venir à bout de son troisième partenaire du jour, quelle crapule ! L’homme gémit puis jouit brutalement en inondant le préso de crème blanche dans la bouche de ma miss. Voyant cela, mon partenaire se met à me bourriner de plus belle, visiblement la situation l’excite lui aussi. Il bouge ses hanches tellement fort que je me demande s’il ne va pas finir par démolir la cloison : je la sens bouger à chacun de ses coups de boutoir, un vrai mâle en rut ! Il gémit un peu plus fort et je l’entends dire : « ouiiiii, ouiiii…. » puis il s’immobilise au fond de ma gorge – mais je respire quand même – en déchargeant bruyamment son foutre chaud dans ma bouche. Mmmmm, je reviens au score : 2 à 3 mais ma miss a encore l’avantage.

Cela étant, son dernier partenaire l’a épuisée et elle s’est allongée sur le matelas. Un grand moment se passe sans plus personne. Nous sommes à deux doigts de quitter la pièce à trous et de redescendre, pensant que c’est la fin d’après-midi et que le club s’est vidé… quand soudain je vois le rideau s’écarter et deux ombres s’introduire dans le couloir sombre de l’autre côté de la paroi des trous.

J’ai mis ma main dans le deuxième trou pour indiquer que c’est dans celui-ci que je suce. Une main touche la mienne et la caresse… Puis je sens qu’on écarte les pans d’une serviette et ma main entre en contact avec un bas-ventre doux. Mais je ne vois pas de bite poindre dans le noir. Je suis un peu interloqué et je caresse le doux pubis épilé en me demandant, un peu perplexe, ce que souhaite mon nouveau partenaire.

Au bout d’un moment de ce petit jeu, rien n’évoluant, je regarde un peu mieux par le trou… et je devine qu’il s’agit d’un pubis féminin ! Du coup je me dis que c’est le (seul) couple de gens un peu âgés que nous avions vus en bas. Effectivement, dans le glory hole voisin apparaît une queue en semi-érection. Je me décale un peu sur la droite pour la saisir dans ma main tandis que je continue de caresser le blanc pubis de ma main gauche. Je me mets à sucer l’homme pour le mettre en forme, ma miss ayant décidé de rester allongée pour profiter du spectacle.

Pendant de longues minutes je me retrouve ainsi à m’occuper de la femme et du mari : j’atteins le clito de madame qui se met à onduler légèrement tandis que je fais une fellation à monsieur qui est devenu bien dur. Ma chérie est tout de même venue m’aider à enfiler le préso à l’homme car j’avais un peu de mal avec les deux mains occupées. Je sens madame prendre son plaisir en silence : ses lèvres vaginales deviennent humides et elle ondule de plus belle en s’empalant sur mes doigts tandis que son homme va et vient dans ma bouche. Au bout d’un moment, l’homme rugit et atteint l’orgasme en éjaculant abondamment entre mes lèvres tandis que sa femme se fiche profondément sur mon index et mon majeur pendant que mon pouce lui stimule le clitoris. L’homme se retire puis la femme également et ils quittent le couloir, me laissant avec la main gauche trempée de liqueur féminine.

Et je suis satisfait : j’ai rattrapé ma chérie au score : 3 partout. « Quatre pour toi » me fait-elle remarquer en ajoutant la femme du couple…

En redescendant au bar, après un petit passage dans le jacuzzi, nous retomberons sur ce couple au bar et passerons un moment à discuter avec eux. Ils semblent retraités et reviennent d’Espagne en passant par les clubs qu’ils apprécient. Ils sont de St Quentin, dans l’Aisne, et nous font l’éloge de plusieurs clubs que nous ne connaissons pas encore dans le Nord de la France. Il va falloir qu’on y retourne pour aller les tester à notre tour !




mercredi 10 mai 2017

Un quatuor bisexuel (1/2)

(Alpha raconte)
Etant cette année en vacances dans la région, nous décidons de retourner dans ce club que nous avions apprécié trois ans auparavant : le Triton, à Narbonne.

Le site annonce de nouvelles programmations et en particulier les mardis sont spécifiquement dédiés bisexualité, homosexualité et travestisme (bi, gay, trav). Idéal pour nous, car nous avons de plus en plus tendance à nous ennuyer en soirée purement hétéro, même en mixte.

Cette fois nous y allons en après-midi, nous pensons avoir plus de chances de rencontrer des hommes seuls bi qui viennent pendant que madame croient qu’ils sont au boulot… ce sera effectivement le cas, beaucoup d’hommes seuls dont certains plutôt pressés… de conclure et de rentrer à la maison !

Nous arrivons en ville peu après l’ouverture du club, vers 14h30. Difficile de se garer ici en journée, le quartier est plutôt actif avec pas mal de garages et d’ateliers de mécanique qui bourdonnent comme une ruche. Après avoir un peu tourné nous trouvons une place de stationnement payante et ombragée. Cool…

Au club, ma miss a vite l’impression un peu stressante d’être la seule femme présente. Ce n’est d’ailleurs pas une illusion : parmi les personnes qui vont et viennent, nous ne voyons que des hommes. J’ai aussi repéré une trav brune qui rôdait dans le couloir pendant que je me déshabillais, mais bon, ça n’atténue pas l’impression de solitude de ma Caresse.

Nous passons dans la zone humide : idem dans le jacuzzi, trois hommes seuls semblent somnoler dans celui que nous choisissons, le plus sombre, tandis que deux autres hommes seuls conversent dans celui d’à-côté. Je soupçonne la trav d’être montée dans les coins câlins de l’étage pour sucer les amateurs de fellation.

Pour rassurer ma chérie qui n’est pas en grande forme, je la mets dans l’angle libre du jacuzzi et je m’assois devant elle, entre ses cuisses. Elle ne risque ainsi pas la moindre approche, je veille au grain ! Et j’ai mon discours tout prêt en tête : aujourd’hui madame ne joue pas, c’est moi qui prends sa place…

Mais pas besoin d’en arriver là, rien ne se passe dans le bassin et c’est ma miss qui commence à s’ennuyer la première. Moi je suis bien, à me prélasser sans rien faire dans l’eau chaude. Les hommes seuls environnants nous ignorent complètement, aucun ne tente quoi que ce soit pour nous approcher.

Soudain je vois apparaître près des douches… un couple !!! Je le signale immédiatement à ma Caresse : « Tu n’es plus seule, regarde il y a une autre femme… » C’est un couple assez âgé certes, mais un couple tout de même. Ils se douchent puis l’homme nous rejoint dans le bassin il s’assied en face de nous. La femme ne vient pas, elle va s’asseoir à l’écart sur un banc devant le hammam… je trouve ça un peu bizarre.

Ma chérie s’est glissée sur mon côté droit et a commencé à me masturber tout en me pinçant les tétons. Elle parvient ainsi rapidement à me faire bander. Elle semble vouloir provoquer l’action car rien ne semble se déclencher parmi ceux qui nous entourent. Mais cette initiative ne porte guère plus de fruits. Les hommes seuls sortent les uns après les autres du jacuzzi, y compris l’homme du couple, et nous nous retrouvons seuls dans l’eau !

Bon, eh bien nous n’avons plus qu’à passer voir ce qui se passe là-haut. Retour au bar, puis nous gravissons l’escalier de l’entrée qui aboutit sur le grand coin câlin avec l’aquarium : vide ! Juste derrière, nous retrouvons le joli coin câlin où je m’étais fait sauter dessus par deux hommes seuls simultanément il y a trois ans. Un peu plus loin, dans le « hall » où se distribuent la majorité des coins câlins, deux créatures un peu inquiétantes attendent dans la pénombre : deux travesties immenses, juchées sur des talons de 15 cm, tout de noir vêtues et portant un masque doré. Style « Eyes Wide Shut »… Elles semblent attendre, telles des prostituées, à l’entrée des coins câlins.

La première aborde ma chérie de sa voix grave. Ma miss est ébahie par leur look et leurs talons, elle se tourne vers moi pour vérifier si je suis d’accord pour jouer avec cette créature. Avec mon assentiment nous passons dans un coin câlin que nous avons déjà fréquenté la dernière fois: celui du lit rond avec une décoration exotique et un gros ventilateur. Notre « amie » est vêtue d’un corset en vinyle noir, de bas résille noir et d’escarpins également noirs et vernis. Elle porte une petite jupette noire qui dévoile un sexe masculin de belles proportions mas fortement touffu à la base. Une fois dans le coin câlin, plusieurs hommes seuls entrent sur nos talons mais ma miss ne laisse entrer que le premier, un jeune homme mignon et pas très baraqué.

Pendant que la grande trav s’allonge sur le matelas, le jeune homme, nu se masturbe debout, il a l’air un peu timide. Je lui fais signe de nous rejoindre car ma chérie a déjà commencé à caresser la trav. Mais il ne vient pas vers moi, il préfère continuer à se branler devant nous. Il s’avérera qu’en fait, malgré le thème de la journée, ce jeune homme n’était pas vraiment bi ! Invité par ma chérie à prendre son relais sur la grosse bite de la trav, je me place à genoux entre ses cuisses écartées et le jeune en profite en effet pour jeter son dévolu sur ma miss.

Je m’applique à bien sucer notre « amie » qui m’encourage de la voix. Elle bande déjà bien dur et son sexe n’est pas trop long ni trop gros. Heureusement car elle a très envie de me faire faire des gorges profondes : à maintes reprises, elle donne des coups de bassin pour s’enfoncer dans ma bouche jusqu’à la garde. Je l’endure sans sourciller ce qui semble un peu l’étonner. Elle ne sait pas que j’ai pas mal d’entraînement en la matière, hé, hé…

Pendant ce temps, le jeune a entrepris ma miss que j’ai entendue crier de plaisir déjà une première fois. Je les entends se mettre à quatre pattes et je devine que le jeune homme la prend en levrette. Ca ne dure pas longtemps : il jouit très rapidement, ma miss me dira ensuite qu’il était limite éjaculateur précoce… Ah, ces jeunes, ça ne tient pas la route longtemps…

Du coup ma chérie revient vers la trav et moi tandis que le jeune prend congé. La grande trav brune m’a demandé de cesser ma fellation car j’allais la faire « partir » et elle propose plutôt de me sucer. Ma Caresse suggère un petit 69, elle sait que j’adore ça… Je m’allonge quasi sur le dos et ma compagne travestie se place à quatre pattes par-dessus moi. Je reprends sa queue dure dans ma bouche tandis qu’elle enfourne la mienne. Je la tiens par les cuisses, agréablement gainées dans des bas résille. Joli spectacle, qui suscite un nouvel afflux de visiteurs : au moment où le jeune homme nous quitte, trois personnes entrent dans le coin câlin, le couple aperçu en bas et un homme seul. Mais ma miss n’a pas envie de les « gérer ». Elle leur demande à tous les trois de sortir et de nous laisser avec la trav.

Elle s’allonge à côté de nous et s’occupe du joli petit cul de notre amie sous sa mini jupette. La trav brune en profite pour lui doigter la chatte sans cesser pour autant de me sucer. Quant à moi je continue consciencieusement mes caresses buccales sur le sexe de la brune. J’entends ma miss jouir de nouveau, deux fois de suite. Elle me dira ensuite que la trav était très efficace et bien à l’écoute de ce qu’elle lui disait. Mais de nouveau, notre « amie » gémit de plaisir et me dit : « Arrête, tu me fais partir »  et, se redressant, elle saisit sa bite dans sa main et jouit immédiatement dedans. Reconnaissante , elle ne tarit pas d’éloges, de concert avec ma Caresse, pour me qualifier de bonne suceuse ! Puis elle prend congé et nous laisse à deux dans le coin câlin.

Je m’installe au fond sur les coussins et ma chérie se met à son tour à me sucer. Plusieurs hommes seuls ouvrent la porte mais la referment ensuite. L’un d’entre eux, plus intrépide, entre et s’assied sur le matelas. Mais ma miss lui explique illico que « les hommes c’est pour monsieur »… Son interlocuteur s’excuse platement et sort en nous souhaitant de bien nous amuser. Encore un qui n’est pas bi mais qui vient quand même en journée bi !

Nous finissons par remballer nos petites affaires et sortir de cette pièce : j’ai envie d’aller voir ce qui se passe dans la pièce à trous…

(à suivre)

lundi 1 mai 2017

L'été indien au Container

(Alpha raconte)

Nous avons décidé de retourner au Container ce samedi, le thème de la soirée est « l’été indien »… Nous ne savons pas trop si nous devons en tenir compte pour notre tenue. Des plumes peut-être ?

Nous arrivons vers 20h et sommes chaleureusement accueillis par les patrons du club. Au bar, nous tombons de suite sur un sémillant quinquagénaire, Bertrand, qui était en train de discuter avec une petite blonde… Une trav en fait, comme nous le découvrirons par la suite. Celle-ci s’éclipse prestement à notre arrivée et le Bertrand immédiatement flashe sur nous. C’est un bavard impénitent : en moins de 10 mn nous connaissons déjà la moitié de sa vie d’aventurier au long cours, retiré dans les vignes de Bergerac… ses dernières vacances à Bornéo… et son orientation sexuelle franchement hétéro : il ne cesse d’envoyer de fines allusions à ma miss qui fait celle qui n’entend pas.

Lionel, un des patrons, nous donne des jetons de casino style Las Vegas, pour les échanger plus tard dans la soirée contre un « indien » : Orangina + grenadine. Pour l’immédiat, nous décidons d’aller voir l’ambiance dans le jacuzzi.

Nous passons à la douche et traversons le premier bassin, trop chaud, pour aller dans le second. Curieusement, il se remplit, dans la minute qui suit, de six hommes seuls apparus d’on ne sait où. Il faut dire que ma chérie est la seule femme (bio) pour l’instant dans le club, nous sommes arrivés un peu tôt par rapport au début prévu de la soirée à 21h.

Ma miss se carre dans un angle, derrière moi, juste à côté de l’arrivée d’eau chaude en cascade. Nous discutons un peu, Bertrand est venu s’installer pile poil en face de ma miss… Les hommes seuls me pressent un peu sur ma gauche, celui qui est juste à côté de moi commence à me caresser mollement le sexe sous l’eau. Je sens toutefois que ma miss n’est pas complètement à l’aise, elle se sent « morceau de viande » au milieu des alligators… Je lui chuchote qu’on va monter à l’étage mais qu’on ne s’arrêtera pas dans les coins câlins : on redescendra au bar par l’autre escalier.

Nous sirotons nos verres au bar en attendant 21h. Le club se remplit à vue d’œil : plusieurs travs, des couples… Une blonde et une brune plus âgée nous les font confondre avec des femmes à première vue : ce sont en fait deux jolies travs très réussies. Nous décidons de remonter dans le coin des glory holes où l’on peut sucer debout à travers la cloison. Plusieurs queues se présentent à nous dans les fentes obscures du mur. Ma Caresse suce Bertrand puis me le passe dans le trou du milieu. Je vais le sucer un long moment, il a une bite assez grosse et bien dure. Il avait avoué à ma chérie que, bien qu’hétéro, il n’avait rien contre se faire sucer par un homme dans les glory holes du moment qu’il ne le voyait pas… Il va être servi !

Une autre queue est apparue sur ma droite, je la prends dans la main tout en continuant de sucer Bertrand. Mais je l’ai à peine caressée depuis deux minutes que la nouvelle venue me gicle dans la main, je sens une substance chaude et poisseuse me dégouliner dans la paume et le long de mon avant-bras. Il y a des hommes vraiment très émotifs !

Mais ma chérie commence à avoir mal aux jambes de rester debout, elle me dit qu’elle retourne s’asseoir au bar et que je peux rester là à m’amuser. Je continue donc de sucer Bertrand puis, alternativement, une ou deux autres survenues sur ma gauche. Bertrand commence lui aussi à avoir mal aux jambes… Il déclare forfait et s’en va. Je suce encore quelques queues dont une petite très poilue et une grosse un peu courbe. L’une d’entre elles jouit dans ma bouche mais les candidats à la fellation commencent à se clairsemer. Je décide de rejoindre ma chérie au bar.

Lorsque je redescends, je trouve ma miss allongée dans le grand canapé noir en cuir, devant la piste de danse. Sur celle-ci, une jolie jeune femme brune danse seule devant le grand miroir, entièrement nue. Elle est gracieuse et lance des œillades à son ami assis sur un tabouret haut à sa gauche, ainsi que de jolis sourires à ma miss. J’en profite aussi, tout en sirotant un petit café.

Puis nous retournons au jacuzzi, bien décidés à nous amuser cette fois. Nous y trouvons, dans le premier bassin définitivement très « chaud », deux femmes plus vraiment seules : une en quatuor, l’autre en trio. La première se fait prendre debout dans l’eau par un jeune homme frisé que les patrons nous ont présenté au bar tout à l’heure, pendant que son ami surnommé Mickey la lèche par-dessous et qu’elle suce un black allongé entre les deux jacuzzis. La seconde est avec deux hommes, un peu plus loin. Elle les suce l’un après l’autre puis se fait prendre en levrette dans l’eau par un jeune black tandis qu’elle fait une fellation à un jeune homme assis sur le rebord du bassin – nous découvrirons peu après qu’il se prénomme Jean-Daniel.

Nous nous installons à côté du quatuor mais nous ne restons pas seuls : Mickey semble s’ennuyer un peu et vient vers nous (nous avions un peu discuté avec lui au bar). Ma miss empoigne sa bite en érection et se met à le sucer… mais me le transmet rapidement, nous savons que Mickey est clairement bi voire limite homo, pas de problème ! Pendant ce temps ma miss l’embrasse, le caresse et lui doigte le petit trou… Mickey lui suce les tétons en retour, et nous jouons un bon moment ainsi.

Mais Mickey veut changer un peu de position. Il me fait me placer à l’horizontale, à fleur d’eau, pour me sucer à son tour. La position n’est pas super confortable pour moi, je préfère me mettre carrément debout sur la banquette même si je suis un peu rebuté à l’idée de ne plus sentir l’eau chaude m’envelopper. Mickey, polyvalent, joue aussi avec le clito de ma belle, continue de lui sucer les seins. Puis il décide de la prendre en levrette pendant que je me réinstalle dans l’eau chaude et que je caresse les seins de ma miss en l’embrassant. Il la fait ainsi jouir deux ou trois fois de suite.

Puis il s’assied à son tour sur le muret de séparation pour que ma Caresse le suce. Bertrand nous a de nouveau rejoints mais il reste assis en face sur l’autre banquette, il se contente de nous regarder. Ma chérie me passe de nouveau la queue du Mickey et elle vient se mettre derrière moi pour jouer avec mon petit cul. La première nana, celle qui jouait en quatuor, semble avoir terminé ses ébats : elle quitte le bassin tandis que le jeune black qu’elle suçait tombe malencontreusement dans l’autre jacuzzi ! Tout le monde rigole, on n’a pas bien compris comment il s’y est pris. D’ailleurs, en revenant dans le premier bassin pour sortir vers la douche, il trébuche de nouveau et manque de s’étaler sur moi !

En échange, nous voyons arriver un couple d’âge mûr qui passe à la douche puis vient s’installer dans le jacuzzi, à l’angle complètement opposé du nôtre. Je les observe du coin de l’œil tout en continuant de sucer Mickey, pendant que ma miss me doigte l’anus : ils ont un air assez effarés, ils ne semblent pas être des habitués de ce club. En tout cas ils n’ont apparemment jamais vu un homme en sucer un autre, à voir leurs yeux écarquillés…

Heureusement Bertrand est là : il se rapproche du couple et commence à les baratiner. Il nous dira plus tard qu’ils se sont finalement bien détendus et que la dame a commencé ensuite à montrer des velléités bien plus coquines que son mari !

Au bout d’un moment, l’autre femme – celle qui était en trio – sort elle aussi et Mickey décide de rejoindre son ami frisé ailleurs dans le club. Le jeune homme qui se faisait sucer par cette deuxième femme, Jean-Daniel, nous rejoint. Ca fait un moment qu’il nous lorgnait du coin de l’œil et nos jeux avec Mickey lui ont apparemment bien plu.  Nous échangeons avec lui quelques fellations dans le jacuzzi, puis nous décidons de monter dans une cabine à l’étage.

Nous choisissons celle qui a un grand miroir et un ventilo de plafond. Je me remets à sucer Jean-Daniel qui a un membre assez gros et bien dur mais rapidement il désire me rendre la politesse : il m’allonge sur le dos et vient me chevaucher en 69 pour que nous nous sucions mutuellement. Je sens sa grosse queue m’emplir la bouche et ses couilles me couvrir les yeux pendant qu’il enfourne mon sexe dans sa bouche. C’est lui qui a toute l’initiative car je ne peux guère bouger dans cette position.

Ce que je ne savais pas c’est qu’il avait demandé à ma chérie de s’occuper de son petit trou. Et pas qu’un peu : il aimerait qu’elle le fiste ! Ma miss a, heureusement, de petites mains. Elle s’enduit abondamment de lubrifiant puis lui insère un, deux trois et quatre doigts… Je sens nettement, à chaque fois, sa bite durcir davantage dans ma bouche prisonnière de ses mouvements de hanches qui deviennent de plus en plus irréguliers : manifestement, ma miss lui fait beaucoup d’effet, il prend un plaisir qui devient incontrôlable. C’est pas tous les jours fist !…

Elle finit par entrer la main entière jusqu’au poignet et demande à Jean-Daniel, qui n’en revient pas, de vérifier dans le grand miroir pour s’en convaincre. Waouh ! Il prend un pied pas possible mais c’est tellement fort qu’il ne parvient plus à me sucer. En revanche, moi j’ai sa queue bien profondément fichée dans ma bouche – heureusement qu’elle s’est un peu ramollie – et toujours ses couilles en bandeau sur mes yeux.

On finit par changer de position. Il a envie de pénétration et ma chérie lui suggère de viser mon petit cul plutôt que le sien. Il ne se fait pas prier et je me place à quatre pattes, cuisses écartées, pendant que ma chérie me passe un peu de lubrifiant. Jean-Daniel me prend par derrière, très précautionneusement : à tout moment, il s’est montré attentif avec nous deux, nous demandant constamment si tout allait bien, un vrai gentleman libertin comme on en rencontre hélas de moins en moins.

Il me pénètre sur toute la longueur de sa grosse queue par touches successives. Je sens son barreau qui me remplit et me soutire quelques petits cris de plaisir. Je me suis redressé sur mes bras pour qu’il puisse me tenir par les épaules comme le font certains de mes amants mais il préfère me tenir par les hanches : « La tête dans l’oreiller, Alpha… » me dit-il ! C’est bien la première fois que je me fais sodomiser ainsi, la tête dans l’oreiller !

Nous changeons de position au bout d’un moment : nous nous installons sur la tranche, face au miroir, sans nous dételer. Ma miss peut ainsi participer en se remettant à fister Jean-Daniel. Je me love devant lui, sa bite fichée dans mon intimité, je me sens comme une femme blottie dans le creux d’un homme prévenant et protecteur : une sensation amusante pour moi qui suis habituellement plutôt dans le rôle inverse !

Nous faisons ainsi un long câlin doux avant de passer à autre chose : douche pour Jean-Daniel et ma Caresse, retour dans les glory holes verticaux pour moi. En fait c’est un peu la Berezina dans les glory holes : juste une petite « suceuse » aux cheveux gris et absolument aucun candidat… Je reste debout à côté de lui, pour attendre un éventuel client. Mais l’autre commence à se rapprocher, me palper puis me sucer les pointes de seins. Enfin, il s’agenouille et me suce un peu.

Au bout d’un petit moment, il disparaît mais je n’ai toujours pas de volontaire pour se faire sucer. L’autre revient après avoir constaté qu’il n’y avait personne nulle part, et recommence à me peloter et me sucer. A un moment où il relâche un peu sa pression, j’en profite pour passer de l’autre côté de la paroi et lui présenter ma queue à travers une fente du mur. Au moins je pourrai en même temps profiter du film de shemales !

Soudain je vois apparaître le Bertrand : ma Caresse l’a croisé en bas et me l’a envoyé dans les glory holes, il y a pris goût le coquin ! Il me raconte ses dernières aventures dans le jacuzzi avec le couple âgé que nous avions vu arriver. Puis ma suceuse disparaît pour de bon. Je décide de retourner avec ma chérie en bas et je croise, dans le couloir sombre qui mène à l’escalier, deux créatures longilignes tout en noir, suivies de 4 ou 5 hommes seuls. Je les prends pour des travestis fétichistes mais c’est en fait une grande nana fine et son soumis tout de noir avec un collier de chien, qu’elle tient en laisse. Ma Caresse les a longuement observés au bar et Mickey lui a dit qu’il avait pris un râteau en tentant de les approcher. Ce sont manifestement des D/s fétichistes purement exhib, ils ne feront rien de toute la soirée.

Pour notre part, nous nous sommes bien amusés, il est l’heure de continuer nos coquineries à la maison.