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Sur ce blog nous racontons notre vie de libertins. Nos récits parlent de nos sorties et de notre vision du libertinage... Les lieux et endroits sont "améliorés", les repas "enrichis", l'histoire est parfois romancée afin que toute ressemblance avec la réalité ne puisse qu'être fortuite. Bonne lecture.
Caresse et Alpha
On this blog we are unveiling our swinger lifestyle. Our stories tell about our swinger parties and develop our vision of this particular way of life.
Places and meals are sometimes "improved", names are changed and the story itself may be "adapted" or even fully invented...
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Caresse (she) and Alpha (him)

mercredi 20 novembre 2013

Débandade en début de soirée (1/3)

(Caresse raconte)

Nous nous étions donné rendez-vous pour la première fois directement au club. Alpha était passé par la maison pour se faire « belle » et moi je partais directement du travail. Le trajet jusqu’à mon bureau se faisant dans les embouteillages à l’heure de sortie des bureaux, il n’avait pas envie d’y passer une heure comme la dernière fois. Non pas qu’il déteste se faire mater en blonde sexy au volant de sa grosse cylindrée… au contraire ! Et pour moi, aussi une occasion de tester seule un trajet en métro vers notre club… Avec succès grâce à ma boussole de téléphone mobile !

J’arrive d’ailleurs la première au club, à 17h20. J’entre, je préviens le patron que j’attends ma blonde, il me donne une clé pour déposer mon manteau au vestiaire et il me propose d’attendre au bar. Mais je n’aurai même pas le temps de commander un café. Alors que je m’assois au bar, Alpha me téléphone, il vient de se garer sur une superbe place de parking qui l’attendait juste devant la porte du 72. Il me demande de venir l’aider en allant chercher un ticket à l’horodateur en haut de la rue (ma blonde n’adore pas faire un aller-retour avec ses hauts talons dans la rue en plein jour….). Je sors donc du club en tee-shirt sexy, je fais le nécessaire pour récupérer un ticket à l’horodateur et j’aide ma blonde à porter ses petites affaires dans le club : un sac pour les vêtements d’homme, le petit sac dorée de pétasse qui lui va si bien et le sac de jouets coquins. Une vraie blonde, avec milles choses à trimbaler pour à peine quelques heures de sortie !

Michel donne une autre clé à ma blonde et il nous donne des serviettes. Un homme seul est justement en train de partir, il dit en souriant : « Je n’ai pas de chance, vous arrivez toujours lorsque je m’en vais ! Quel dommage ! »  C’est en effet journée bissex aujourd’hui et les hommes présents kiffent grave les travs, autant sinon plus que les femmes bio !

Nous allons poser nos affaires dans les vestiaires. Un couple est en train de se rhabiller, une jeune blonde de 25 ans et un homme de 35 ans, brun et a priori très hétéro. Ils ne nous regardent pas du tout. Ils s’occupent d’eux et semblent pressés de partir. Nous apprendrons un peu plus tard, qu’ils ont bien animé le club et que la jeune blonde a joué « à donf » avec plusieurs hommes, elle les a littéralement rincés !

A notre tour d’enflammer le club, mais à deux ! Je mets mon paréo rose ! Ma blonde se recoiffe, elle vérifie son reflet dans le miroir. Tout est parfait nous pouvons aller au bar boire un verre, pour moi ce sera un coca, pour ma blonde un café. Nous restons au bar quelques instants. Il n’y a pas grand monde. Deux hommes discutent sur les tabourets, ils n’ont pas l’air d’être venus pour coquiner ou alors ils ont déjà fini, ils sont centrés sur eux et pas vraiment tournés vers les autres. En fait, nous constaterons un peu plus tard que la jeune femme blonde croisée au vestiaire les a vraiment vidés de leur jus, nous aurons beaucoup de mal à faire bander quiconque en début de soirée…

Des hommes seuls tournent cependant en rond, certains nous connaissent peut être déjà ! Ils savent qu’ils vont bien s’amuser avec nous, ils piaffent peut-être d’impatience, en tout cas, on peut le penser au vu des coups d’œil qu’ils nous lancent à chaque fois qu’ils passent par le bar.

Nous avons terminé nos consommations, c’est le moment de rejoindre le coin couples pour voir si les glory holes sont dispos. C’est toujours une grande déception lorsque le coin est occupé. Mais ce soir, l’alcove est libre ! Nous nous installons tranquillement dans notre petit coin favori et ma blonde commence un délicieux cunni entre mes cuisses ! Quel bonheur ! C’est presque devenu un rituel, mais il y a des rituels que j’adore ! Outre nous-mêmes, celui-ci permet aussi d’échauffer les voyeurs qui nous matent à travers les trous de la paroi. Hummm !

Nous les entendons d’ailleurs s’agiter, les hommes seuls sont présents ! Nous voyons rapidement apparaître une queue comme je les aime, de taille moyenne, large, pas trop longue, sans poils et qui sent bon ! C’est si rare qu’il faut le préciser ! Nous lui mettons un préso et commençons à la sucer avec plaisir tous les deux… Mais une seconde queue apparaît, je la revêts également d’un préso et nous nous partageons les deux queues : une pour Alpha et une pour moi ! La soirée commence bien !

Pourtant, au bout d’un moment et malgré nos efforts et notre technique éprouvée, les queues ont du mal à bander. Nous nous regardons un peu étonnés en nous retenant de rire : nous nous disons que c’est la fin d’après-midi et qu’elles doivent être fatiguées si elles sont là depuis 14h… Pendant que je suce la belle queue devant moi, je sens aussi des bras passer dans les glory holes sur le côté, ils me caressent avec un vrai plaisir partagé, ça change des gros lourds que l’on rencontre parfois en club.

Je savoure ces échanges très agréables. Comme je fatigue un peu de la mâchoire, je décide de m’allonger sur le gros coussin contre le fond du coin câlin, cela n’empêche pas les caresses mais limite l’accès à mon intimité. Le propriétaire de la queue que je suçais entame alors un superbe massage du pied…quel bonheur ! Nous avons bien envie de le faire entrer avec nous, il nous dit s’appeler Joël, qu’il serait bien venu avec nous, mais qu’il est rincé par l’aprem torride qu’il a passé à cause d’une jeune blonde… D’après lui, elle est arrivée avec son ami en début d’après-midi et elle n’a pas cessé de coquiner avec tous les hommes qui étaient là… un moment très, très chaud pour tous ! Ce qui explique que les hommes sont plutôt mous ce soir, en fait ils n’ont pas encore récupéré !

Nous poursuivons quand même nos jeux, je sens des mains qui veulent jouer avec mon point G. Je laisse faire, la première main est celle de Joël, il est doux et très habile, il trouve mon point G assez vite et le stimule lentement, il le fait grimper dans les tours et exploser d’un seul coup. Que c’est bon ! Une autre main prend le relais, elle est plus brutale, l’homme semble croire que plus l’on « bourrine » avec la main et mieux c’est ! Mais quelle horreur ! Il me fait mal, je suis obligée de lui retirer la main. Cela faisait longtemps que cela ne m’était pas arrivé ! Depuis que nous n’allons plus dans les jacuzzis, je n’ai plus ce souci !

Joël reprend la main, il a compris que quelque chose n’allait pas, comme il nous le dira ensuite, il s’agissait de 2 jeunes, ils n’étaient pas très actifs, plutôt attentistes. Je connais bien ce genre d’hommes, ils attendent tout et ne donnent pas grand-chose. Il y a en beaucoup en club libertin ! Les hommes en couple sont souvent plus intéressants, bien que parfois je plaigne certaines femmes !

Ma blonde est un peu désoeuvrée en ce début de soirée, elle a cessé de sucer la molle queue qui lui était échue et se contente de la masturber sans conviction, à la main. Rien à faire, elle bande mou, elle n’a plus de jus ! Ma blonde doit donc se contenter du spectacle de sa brune se faisant papouiller simultanément par 4 bras anonymes passés à travers les trous !

Au bout d’un moment, Joël nous dit que nous sommes super tous les deux et qu’il souhaite nous offrir un verre au bar avant de rentrer. Comme nous jouons depuis quasi 1h30, nous désaltérer n’est pas du luxe. Nous acceptons avec plaisir. Nous rassemblons nos affaires et sortons du coin couples pour le rejoindre, c’est un homme un peu âgé mais avec un visage terriblement joueur et coquin. Nous passons un très bon moment en sa compagnie, un vrai libertin.

Il nous parlera de l’après midi, du plaisir qu’il aurait à avoir une complice de jeux, car sa femme ne veut pas libertiner, elle le laisse libre de sortir seul, mais il ne cache pas qu’il lui manque quelqu’un. Il a aimé sentir notre complicité, il est visiblement heureux pour nous. Nous apprendrons qu’il a échappé à la mort de peu en tombant de 4 m de haut ! Il revient de loin et savoure la vie, nous le comprenons bien ! Mais il doit partir, c’est l’heure pour lui de rentrer. Nous l’embrassons et lui souhaitons une bonne semaine.

(Fin de la première partie)