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Sur ce blog nous racontons notre vie de libertins. Nos récits parlent de nos sorties et de notre vision du libertinage... Les lieux et endroits sont "améliorés", les repas "enrichis", l'histoire est parfois romancée afin que toute ressemblance avec la réalité ne puisse qu'être fortuite. Bonne lecture.
Caresse et Alpha
On this blog we are unveiling our swinger lifestyle. Our stories tell about our swinger parties and develop our vision of this particular way of life.
Places and meals are sometimes "improved", names are changed and the story itself may be "adapted" or even fully invented...
Enjoy your readings
Caresse (she) and Alpha (him)

vendredi 14 novembre 2014

Soirée privée à 5: 2 hommes, 2 femmes et 1 trav (3/4)


(1ère partie)
(Alpha / Sophia raconte)

… après les émotions de ces derniers jours (voir récits précédents), un peu de repos n’est pas superflu. Nous nous octroyons donc une grasse matinée dominicale, ce d’autant que nous avons un programme que nous savons chargé pour la soirée…

Il fait très beau et nous avons installé un petit déjeuner campagnard sous le vaste barnum de la terrasse. Roberto me montre l’appli pour Iphone qu’il a créée et m’en offre une copie qu’il installe sur mon appareil. Les dames ont décidé de profiter du jardin, une sorte de jardin d’Eden en été car il n’y a aucun vis-à-vis grâce aux hautes haies de lauriers qui nous dissimulent aux regards des voisins. Nous en avons souvent profité, ne serait-ce que pour nous adonner avec joie et régularité au naturisme, mais aussi pour des occasions libertines avec des amis triés sur le volet, pour un barbecue coquin autour de la piscine et de son bar… Sans me vanter, j’ai en effet quelques talents de barman, d’aucuns qui nous lisent ici pourraient d’ailleurs en témoigner…

Les deux femmes se sont installées dans les transats à bascule, à l’ombre du grand cerisier. C’est justement la saison des cerises et les arbres commencent à donner, même si c’est encore un peu juste pour les confitures cette année. Il a fait trop froid à la fin de l’hiver, la végétation a presque une semaine de retard sur la normale. Devant l'engouement des dames, je décide d’installer également le hamac, entre le cerisier et l’abricotier, un arbre que nous affectionnons particulièrement pour son tronc bien droit qui en fait un parfait « totem » indien pour y attacher une victime soumise… et aussi pour ses fruits savoureux: cette année 2012 sera d’ailleurs un grand cru avec une production de plusieurs dizaines de fruits bien mûrs, du jamais vu dans ce jardin !

Pendant que nous, les hommes, devisons sérieusement de logiciels et de téléphonie, nos deux coquines se câlinent l’une l’autre sous le cerisier. Miss Caresse commence à brouter le minou de la belle espagnole qui se met à gémir de cette façon caractéristique que nous connaissons bien. Seulement, si la haie prévient les vis-à-vis, il n’en va pas de même pour les sons…. Nous leur faisons signe qu’il est temps de retourner faire quelques courses à Muret, en vue du repas de midi !

Nous prenons la Golf Cabriolet, avec une telle journée c’est le véhicule le mieux adapté. Maria monte devant à ma droite et Roberto s’installe derrière avec ma chérie. Nous devons passer chez notre boucher chercher la viande à fondue, 800 g de poire fondante, ça ne se trouve pas comme ça! Il faut un boucher de grande qualité et c’est la chance que nous avons de l’avoir à deux pas de la maison. Il nous faudra aussi réapprovisionner le stock de bière, nous ne pensions pas que nos amis aimaient autant ce breuvage: notre stock a fondu comme neige au soleil !

Comme il fait très beau, nous profitons de notre passage en ville pour prendre l’apéro à une terrasse ensoleillée. Caresse et moi prenons un Monaco… Roberto et Maria, une Kro !!

De retour à la maison, nous nous régalons d’une délicieuse fondue bourguignonne. En vrais épicuriens, nos amis espagnols sont toujours intéressés à découvrir de nouvelles saveurs gastronomiques. Ils ne sont, une nouvelle fois, pas déçus. Roberto demande ensuite sa sieste quotidienne, mais cette fois Maria n’en a pas envie et elle essaie de le dissuader. Il insiste, mais finit par lui dire qu’elle peut ne pas l’accompagner et rester avec nous si elle veut. Pour lui, c’est sans appel, la sieste est un vrai besoin physiologique !!

En fin d’après-midi, Roberto se réveille et s’apprête. Maria s’habille pour sa part d’une délicieuse petite robe noire en simili cuir avec des sortes de clous, elle a mis des bas noirs et des sous-vêtements avec des étoiles vertes bleutées, elle est délicieusement sexy et elle le sait… Alpha se transforme en Sophia ce soir, nos amis attendent ce moment avec impatience depuis qu’ils ont vu les photos. Compte tenu des températures estivales Sophia sera en tenue d’été : petit top rouge à fines bretelles, minijupe blanche bien moulante, collier en plumes et métal, bracelets fantaisie… Maquillage appuyé, Sophia a pris soin de refaire le vernis de ses ongles en bleu. Elle fait aussi l’effort d’enfiler des bas transparents légèrement brillants retenus par un porte-jarretelles noir, visible sous la minijupe, et ses escarpins vernis noirs à très hauts talons (15cm).

Roberto a mis son pantalon de cuir et une chemise noire, il est très séduisant ainsi. Comme nous attendons l’arrivée de notre ami Terrence, Caresse ne peut pas s’habiller trop sexy tout de suite, au cas où il faudrait aller le chercher dans le village : elle est la seule à ne pas être habillée sexy, ça la gêne et la démoralise, mais elle fait avec ! Heureusement, notre ami Terrence a le sens de l’orientation (et un bon gps), il arrive sans encombres à 19h30, ce qui permet à ma chérie d’aller à son tour revêtir une tenue noire sexy avec bas et porte-jarretelles.

Nous faisons les présentations. Nous avons prévu un apéro sur la terrasse et un barbecue pour dîner, c’est la belle saison et c’est tellement convivial. Sophia étant un peu trop soignée, c’est finalement Terrence qui se colle à la manœuvre du barbecue, attisant les braises et surveillant la cuisson des côtelettes. Il nous a amené une délicieuse bouteille de vin de Bordeaux pour accompagner le dîner qui se déroule plaisamment: tout le monde semble en phase, le nouveau venu semble plaire à nos amis espagnols… tant mieux, c’est toujours un peu aléatoire les alchimies de groupe.

Nous passons au salon car la nuit commence à tomber. Sophia laisse remonter à la surface les talents de barman d’Alpha pour concocter de délicieux Irish Coffees. Puis, insensiblement, nous passons vers la chambre à coucher que nous avons aménagée pour l’occasion comme nous l’avions déjà fait pour la soirée privée avec Paul, Marjorie et ce même Terrence : la croix resplendit sur le mur principal et notre matelas king size est transformé en coin câlin pluriel, avec draps neufs et profusion de gros coussins...

(à suivre)

jeudi 6 novembre 2014

Coquineries en ville (2/4)


(Alpha raconte)
...Après une bonne nuit de repos bien mérité, nous prenons un plantureux petit déjeuner sur la terrasse ensoleillée du jardin. Il fait super beau, Maria a mis un petit tablier de soubrette et elle fait la bonne espagnole! En revanche, Roberto a du travail, il s’est installé à son ordinateur, ravi d’avoir du réseau pour pouvoir se connecter, au grand désarroi de Maria, qui aimerait une plus grande présence de son homme. Lorsqu’il n’est pas là, elle est plus distante, comme pour afficher qu’il ne se passera rien sans lui, mais tout en restant très aguicheuse malgré tout. Elle a apporté beaucoup de belles robes et de sous-vêtements sexy, ce n’est pas pour rien ! Nonméo… !

Nous avons prévu de leur faire découvrir le marché typique de la petite ville à côté de chez nous : un vrai marché coloré et odorant du sud-ouest, un régal pour la vue et les narines, toujours un véritable plaisir d’en faire le tour les samedis matins ! Et aussi parce que nous avons l’intention d’y faire des provisions de fromage en vue d’un « wine & cheese » à la française...  nous y connaissons une fromagère en or, son St Nectaire fermier est à tomber à genoux !

Comme il est tard et que nous n’aurons pas le temps de repasser par la maison avant d’aller à Toulouse, nous prenons la glacière pour pouvoir y mettre le fromage. Après le tour du marché, nous filons à Toulouse. C’est le weekend de la Pentecôte, il n’y a pas trop de monde et nous trouvons à nous garer facilement, presque au bord de la Garonne. Nous faisons une petite promenade apéritive autour d’Esquirol. Nous y découvrons par hasard un magasin d’articles de cirque où, amusant, l’on trouve toutes sortes de cordes en différentes matières, notamment du chanvre, ce qui permet d’autres activités que les acrobaties... Mmm, Roberto en achète quelques mètres !

Après un coup d’œil à la cour intérieure de l’hôtel d’Assézat, nous gagnons le restaurant où nous avons réservé une table pour 4. Nos amis sont favorablement impressionnés par le cadre, le service et la qualité de la gastronomie. Nous ne pouvions pas faire moins, connaissant les goûts de Roberto, il fallait bien un restaurant de ce niveau pour le satisfaire.

Puis nous faisons une balade dans la ville, en commençant par notre boutique coquine préférée... Nos amis Antoine et Coralie sont présents, mais Coralie est occupée avec une cliente à l’étage. Antoine nous fait l’article, il commence par nous faire visiter ses installations en sous-sol : petit « musée » du sexe, vitrines de sextoys et mini-donjon, celui où nous avons déjà fait plusieurs soirées avec eux. Puis il montre à Maria et Roberto les autres trésors que recèle son antre : robes sexy, lingerie, escarpins et cuissardes... Roberto se laisse tenter à essayer des escarpins noirs... Il est vrai que ce n’est pas toujours évident pour un homme, surtout en Espagne, d’essayer de tels articles dans un magasin ! Mais ici, pas de problème, Antoine est très compréhensif et sait mettre à l’aise ses clients.

Nous faisons quelques photos... Dans l’intervalle, Maria s’est éclipsée pour essayer de petites robes sexy dans la cabine d’essayage spacieuse et équipée de grands miroirs où nous avions jadis rencontré la délicieuse Mylène (voir récit du 16 octobre 2010). Coralie vient de terminer l’épilation de sa cliente et elle a rejoint ma Caresse pour la saluer. Puis elle vient faire connaissance avec Roberto et m’embrasser à mon tour. Rapidement, les deux femmes s’éclipsent pour s’enquérir de Maria, tandis que je reste avec Roberto et Antoine au rayon des escarpins. Nous poursuivons les essayages...

Ma chérie me racontera par la suite qu’elles sont arrivées dans la cabine d’essayage où elles ont trouvé Maria merveilleusement sexy dans une petite robe courte et moulante en vinyle noir. Après les présentations d’usage, Coralie s’est empressée d’aider Maria à ajuster sa tenue, mais ma coquine s’est, elle, agenouillée et a commencé à lécher le minou de notre amie espagnole. Comme vous le savez, Maria est une bombe mais pas une bombe à retardement, elle se déclenche presque immédiatement ! Elle s’est mise tout de suite à gémir en se tordant doucement sous la langue habile de ma miss, comme elle l’avait fait dès notre première rencontre à Tolède (voir récits du 15 et du 23 janvier 2011). 

Coralie ne peut rester longtemps indifférente devant une telle scène... Elle enlace Maria de ses bras et se met à l’embrasser sur la bouche, d’un long et langoureux French kiss à la belle Espagnole, ce qui permet aussi de lui bâillonner la bouche pour étouffer ses gémissements. En même temps, elle lui écarte les pans de la minirobe en vinyle et découvre ses deux seins saillants. Elle les prend dans ses mains et les caresse doucement en les malaxant et en pinçant légèrement ses tétons. Coralie a beau être une vraie sadique avec les hommes – j’en sais quelque chose.... – elle sait aussi être douce avec les femmes.

Elle se penche ensuite pour sucer les pointes de seins de Maria, qui peut profiter du spectacle dans les grands miroirs de la cabine d’essayage. Puis elle rejoint ma chérie pour lécher la chatte de l’Espagnole de leurs deux langues.  Maria se mord la main pour ne pas crier, il y a en effet quelques clients dans la boutique et Antoine, alerté par son sixième sens, s’est empressé de s’occuper d’eux pour éviter qu’ils ne se posent trop de questions sur ce qui peut bien se passer dans cette cabine d’essayage !

Maria a deux ou trois orgasmes assez violents, et nos deux coquines la laissent un peu pour s’embrasser et se caresser l’une l’autre. Mais Roberto a terminé ses essayages, il ne se décide finalement pas à acheter les escarpins noirs. Antoine nous a fait un café, et nous passons à la cabine chercher nos femmes pour prendre le café avec nous, d’autant que d’autres clients sont entrés dans la boutique, Coralie va devoir aller aider son homme. Nous les trouvons toutes les trois en train de s’embrasser en tous sens, Maria à moitié dénudée, ma chérie et Coralie encore habillées. Mmmm, Roberto adore ce genre de situation, je devine qu’il doit être en érection sous son pantalon de toile, la soirée risque d’être très chaude !

Le café permet de faire un peu tomber la température, Coralie a été enchantée de faire la connaissance de nos nouveaux amis, mais il se fait tard et nous avons encore des choses à faire : nous voulons en effet les emmener visiter la péniche de la violette, amarrée devant la gare Matabiau, car nos amis cherchent de petits cadeaux typiques à ramener. Ensuite, nous rentrons à la maison, Roberto a exprimé son besoin de sieste quotidienne, vu l’état dans lequel la boutique l’a mis nous ne sommes pas certains que celle-ci ne sera pas crapuleuse !

Le soir nous décidons de ressortir en ville pour explorer un nouveau club que nous avons longtemps fréquenté avant de cesser d’y aller pour cause d’allergie au brome utilisé pour traiter le jacuzzi : les Bains de St Aubin. Maria s’est de nouveau habillée très sexy mais elle ne peut pas rester habillée dans ce club à dominante humide. Elle est un peu déçue mais fait contre mauvaise fortune bon cœur. Nous leur faisons visiter les installations, partie humide (sauna, hammam, jacuzzi), coins câlins, mini-donjon (notre préféré) et coin couples avec la belle croix de St André qui nous rappelle tant de bons souvenirs…

Finalement nos amis opteront pour le jacuzzi et nous pour les glory holes du mini-donjon. Beaucoup de passage dans ce coin, mais comme d’habitude peu de gens vraiment joueurs. Pareillement, Roberto et Maria seront un peu déçus du peu d’interaction avec les autres couples dans le jacuzzi. Ils finissent par nous rejoindre dans la cage du donjon et nous reprenons une séance de coquineries à quatre comme nous aimons. Maria s'assied contre les barreaux de la cage et ma chérie se met à lui faire un cunni qui la met rapidement sous pression. Roberto et moi admirons la scène, pour ma part je fais des photos (censurées...), mais rapidement Roberto n'y tient plus: il saisit le martinet en cuir noir de ma chérie et lui flagelle modérément le dos pendant qu'il se masturbe. Puis il enfile un préso et la prend en levrette tandis qu'elle continue de lécher Maria qui gémit de plus en plus fort et enchaîne orgasme sur orgasme.

Finalement, la belle Espagnole n'en peut plus, elle se dégage sur le côté pendant que son homme continue de tringler ma miss en lui arrachant des soupirs de plaisir. Je me place devant elle pour qu'elle me suce en même temps mais ses orgasmes deviennent trop violents et elle a du mal à continuer. Qu'à cela ne tienne, Maria a eu le temps de récupérer, je fais un quart de tour et lui présente ma queue qu'elle enfourne sans hésitation dans sa bouche. Mmmm, un moment délicieux.... Roberto finit par jouir dans le vagin de ma miss tandis que j'éjacule pour ma part entre les seins de Maria...

La journée a été belle, nous ne rentrons pas trop tard et finissons la soirée devant un verre à la maison, à discuter jusqu’à 2h du matin. Le meilleur du weekend reste à venir…

(à suivre)