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Sur ce blog nous racontons notre vie de libertins. Nos récits parlent de nos sorties et de notre vision du libertinage... Les lieux et endroits sont "améliorés", les repas "enrichis", l'histoire est parfois romancée afin que toute ressemblance avec la réalité ne puisse qu'être fortuite. Bonne lecture.
Caresse et Alpha
On this blog we are unveiling our swinger lifestyle. Our stories tell about our swinger parties and develop our vision of this particular way of life.
Places and meals are sometimes "improved", names are changed and the story itself may be "adapted" or even fully invented...
Enjoy your readings
Caresse (she) and Alpha (him)

jeudi 30 octobre 2014

Piranhas et colibri (1/4)


(Alpha raconte)


C’est l’événement. Nos amis espagnols nous ont envoyé un message pour nous dire qu’ils avaient envie de venir nous voir à Toulouse ! Whaouh... Quand on connaît l’aversion de Roberto pour la conduite automobile, c’est un vrai scoop, d’autant que nous ne les avons pas revus depuis plus d’un an.  
 

Nous avions fait leur connaissance via un site libertin sur internet, et finalement décidé de nous rencontrer près de chez eux, en Castille. C’était à Pâques 2010, et nous avions imaginé joindre l’agréable à l’agréable en combinant ce projet avec une visite des plus beaux endroits de cette illustre province espagnole. J’avais ainsi fait découvrir à ma Caresse les superbes villes de Burgos, Salamanca, Avila... puis Tolède et Madrid (voir récits précédents, postés en janvier et février 2011).

C’est à Tolède que nous les avions vus pour la première fois. L’angoisse du « blind date »... de ne pas vraiment savoir qui ils étaient, ni à quoi ils ressemblaient... le premier contact, notre premier dîner et nos deux premières nuits torrides dans un ancien palais de Tolède. Puis une soirée privée dans un appartement de Madrid. Ce voyage avait été un moment fondateur de notre relation, amicale et libertine, sortant des standards habituels, exceptionnelle...

Nous les avions revus l’été suivant, lors de notre traversée vers le Portugal. Une étape libertine inoubliable à Valladolid, dans un ancien monastère reconverti en hôtel 5 étoiles (voir récits parus le 23 avril et le 1er mai 2011).

Enfin, en avril 2011, nous les avions brièvement rencontrés dans un hôtel de Madrid, un déplacement qui combinait travail et loisir, laissant peu de place à ce dernier (voir récits du 10 et 20 mai 2012). Roberto nous avait paru fatigué, un peu absent. Plus de nouvelles depuis, sinon sporadiquement par e-mail.

Et voici qu’ils nous annoncent leur venue pour le long weekend de la Pentecôte ! Quatre jours et quatre nuits chez nous, un vrai challenge et en même temps le plaisir de savoir que nous allions faire de notre mieux pour rendre inoubliable leur séjour de ce côté-ci des Pyrénées. Notre imagination s’est très vite mise en marche pour leur concocter un programme au top.

Ils arrivèrent par l’avion direct de Madrid en fin d’après-midi le vendredi. Nous les attendions à l’aéroport, mais leur avion avait un peu d’avance et finalement nous les avons trouvés dans le hall en train d’arriver, avec leurs bagages déjà récupérés. Embrassades immédiates – toujours un peu délicat en public, étant donné que nous nous bisouillons systématiquement sur les lèvres - de vraies retrouvailles, le bonheur brillait dans nos quatre paires d’yeux.

L’installation dans notre B&B coquin est rapide, nous leur avons préparé la chambre d’amis avec un grand lit « king size » et quelques toiles érotiques aux murs... Ils nous rejoignent ensuite sur la terrasse du jardin pour prendre une bière et discuter un peu, puis ils s’éclipsent à deux dans la chambre pour une petite « sieste »... Atavisme oblige !  Nous verrons les jours suivants qu’ils ont chaque jour besoin de faire cette sieste de l’après-midi, la tradition reste bien vivante chez nos amis Espagnols !

Nous avons prévu, pour cette première soirée, de les emmener au 72, notre club favori. Nous espérons y trouver quelques blacks bien membrés car Roberto nous a fait savoir que c’était un fantasme de Maria... Vers 19h, ils réapparaissent et nous nous préparons pour sortir. Maria s’habille avec une jolie robe courte et des chaussures à petits talons, elle est à croquer !

Nous avons prévu de dîner d’abord au restaurant italo-gascon qui se trouve à l’angle de la rue du club. Cela nous permet de sortir en ville assez tôt pour nous garer plus facilement. De là, nous pourrons ensuite aller au club à pied, c’est à peine à 150m.

Nous arrivons à l’heure et nous nous installons en terrasse. Maria se met en face de ma chérie, je me mets à côté d’elle et Roberto se met à côté de Caresse. Il n’a pas arrêté de faire des messages sur son portable depuis qu’il a quitté la maison. Il nous montre une application professionnelle qu’il a développée sur iPhone. C’est une appli qui est payante, mais qu’il souhaite m’offrir, en signe d’amitié. Pour l’instant, il vient de la mettre au point avec des collègues, il espère semble-t-il  se faire pas mal d’argent avec.

Nous dînons tranquillement en partageant nos plats respectifs – nous aimons en fait tout partager entre nous quatre ! - et en parlant un mélange de français, d’anglais et d’espagnol. A 21h30, une courte promenade digestive nous permet de rejoindre le club. Michel nous accueille avec sa joie et sa gentillesse habituelle, mais il est déçu car il a appelé 12 blacks et aucun n’a répondu, même  pas un non, pas possible, rien ! Cela l’agace un peu, mais nous le mettons à l’aise, cela ne nous empêchera pas de nous amuser.

Nous faisons visiter le club à nos amis : le bar, la partie discothèque, les coins câlins et la partie humide (jacuzzi, sauna, hammam). Nous passons un moment ensemble au bar puis ils décident d’aller faire un petit tour dans le jacuzzi. Ma miss prévient Maria, en riant, qu’il y a plein de piranhas, qu’il faut qu’elle fasse attention ! Elle rit et dit qu’elle se méfiera, et Roberto aussi fera attention…

Nous préférons aller dans les glory holes. Nous y passons un excellent moment, comme la plupart du temps, à sucer des queues dans les trous de la paroi. Nos amis nous rejoindront peu après, pour nous dire que ça ne jouait pas beaucoup dans le jacuzzi et qu’il y avait en effet pas mal de piranhas... et aussi un colibri ! Maria s’explique : ils ont tenté d’approcher un couple, la femme semblait désireuse de jouer entre femmes mais elle se contentait de faire de faux bisous du bout des lèvres, comme un colibri qui tète du nectar dans le pistil d’une fleur...

Ils s’installent dans le coin câlin du fond, où ils seront rejoints par un couple. Mais ils nous diront ensuite que là encore il y eut peu d’interaction, l’autre couple jouant en côte-à-côtisme sur le même matelas, juste des voyeurs exhibs, sinon rien.

Mais nous ne resterons pas trop longtemps au club, pas de blacks en vue et nos amis sont fatigués, malgré la sieste non crapuleuse qu’ils ont pu faire en arrivant chez nous.  Nous rentrons à la maison, il est déjà minuit et demie,  Roberto a soudain envie d’attacher sa belle sur notre croix domestique... Il semble avoir retrouvé de l’énergie à la vue de notre mobilier ! Ma chérie l’aide à attacher Maria par les poignets et les chevilles aux 4 anneaux d’écurie pendant que je fais des photos. Roberto lui ajoute la laisse de chien au cou ainsi qu’un bâillon-boule plein en latex noir. Ma miss relève la robe moulante en cuir noir de Maria et commence à lui lécher la chatte. Son homme lui pince les tétons en même temps, et très vite la belle se tortille et se met à jouir d’un plaisir évident.

Mais nous ne jouerons pas très longtemps ainsi, le weekend est encore jeune et nous avons tous besoin de repos. Nous nous retirons dans nos chambres respectives. Un petit moment d’intimité en couple, c’est si bon !

(à suivre)...

vendredi 10 octobre 2014

« Demain, j’achète une BMW »

(Caresse raconte)
Eh non, nous n’avons pas changé de voiture, Alpha a toujours sa Porsche rouge et moi ma mini Austin bleue intérieur cuir blanc ! En fait Michel le patron du 72 a décidé que le mot de passe de ce vendredi était « demain, j’achète une BMW » à cause de ceci : 

News : Toujours les titres de la Dépêche : "Il attaque BMW pour érection douloureuse !"Henry Wolf, motard californien, a développé un cas de priapisme après avoir passé 4h sur sa BMW en mai 2010. Depuis ce trajet, il ne serait plus en mesure d'avoir une activité sexuelle et aurait une érection douloureuse et persistante. Il a alors porté plainte contre BMW et le fabricant de selles Corbin Pacific....Sérieux, ce con, il lui suffisait de rouler sur la bande d'arrêt d'urgence...reste à savoir si en apprenant la nouvelle sa femme a été paniquée. 


Mot de passe ce soir : "demain j'achète une BMW"

Nous devions rencontrer un couple avec lequel Alpha avait été en contact sur Place Libertine (PL), cela semblait de bon augure : rendez-vous pris pour dîner ensemble à Toulouse et aller au 72 ensuite, échange des numéros de téléphone, goûts – a priori- similaires. Mais à 5 jours du rendez-vous, plus de réponse à nos messages... Alpha se dit qu’ils n’ont peut être pas internet dans leur maison de campagne et décide de leur envoyer un sms, mais il commence à se dire qu’il doit s’agir de fantasmeurs, une race que nous détestons… Peut-être qu’il a raison, car après les chaudes envies qui transparaissaient dans les échanges sur PL, nous apprenons qu’ils préfèrent recevoir des amis verticaux ce vendredi soir ! 
Je soupçonne l’homme du couple d’avoir fait seul les démarches sur le net et, qu’au moment où il en a parlé à sa femme, celle-ci n’ayant pas été associée aux échanges, a refusé catégoriquement. Sans doute avait-elle déjà invité des amis verticaux, connaissant les habitudes libertines prononcées de son mari… Elle n’avait, tout simplement, pas envie d’être le « passeport » de monsieur pendant leur séjour ! En tout cas, cette annulation « bizarre » ne me donne pas envie de les rencontrer, je me trompe peut-être, mais je n’ai pas envie de vérifier, mon intuition étant souvent juste dans 90% des cas. De plus, bien souvent lorsqu’un couple ne s’entend pas au départ, ça ne promet rien de très agréable, il n’est jamais amusant de sortir avec un couple dont l’un se sent contraint, cela se voit très vite !
Le libertinage est un loisir qui s’apprécie pleinement, il faut en avoir vraiment envie pour pouvoir se lâcher et s’amuser sexuellement avec des partenaires différents. Il peut y avoir des moments où l’on en a moins envie et des temps de pause où l’on fait des sorties plus verticales en couple est sain également, cela permet d’avoir un équilibre et d’apprécier à sa juste valeur les moments coquins en club. Trop de sorties peut tuer l’envie, parfois les hommes en couple oublient, un peu vite, que les rendez-vous doivent se prendre à deux ou, si c’est l’un des deux qui est au clavier, il faut savoir nourrir le mental de l’autre en lui racontant les échanges et en y mettant une charge émotionnelle suffisante pour susciter l’envie chez l’autre. 

Alpha sait très bien faire cela, c’est souvent lui qui discute sur les forums, il aime regarder les profils des libertins sur les différents sites, les contacter ou répondre aux contacts que l’on nous fait. Il n’oublie jamais de me parler de ses échanges, de me copier les échanges sur le tchat aussi (sinon ils disparaissent au bout de quelques lignes). Cela me donne l’impression d’être avec lui derrière l’écran, même si c’est rarement le cas. Parfois, il m’alerte et me demande de me connecter pour voir les photos privées que le couple vient d’ouvrir. Il a complètement raison, il m’associe et je ne me sens donc jamais mise à l’écart, cela ne m’empêche pas d’avoir le trac lorsqu’une nouvelle rencontre approche, mais je ne me bloque plus, car je participe aux échanges en fait !
Ce soir là, nous décidons donc, malgré l’annulation du couple, d’aller quand même au 72. Nos amis « ElleetLui » devaient y être, et nous nous complétons assez bien, la miss aime les hommes en forme et rapide, nous apprécions de les sucer dans les glory holes…
Nous arrivons au club un peu avant 22h dans la Porsche rouge d’Alpha. Le club est ouvert depuis 30mn à peine, il n’y a pas grand monde, mais c’est normal. C’est Mélanie, la fille de Michel et Jo, qui est là ce soir, avec un nouveau barman, peut être le remplaçant de Christian !
Alpha, après avoir eu envie de s’habiller en homme, n’a pas résisté: il a choisi, à la dernière minute, d’y aller en nana, façon de parler car il lui faut 2h pour se travestir … Sophia est donc de sortie.
Nous prenons un verre au bar et nous saluons les gens présents, un homme seul nous regarde avec intérêt. A côté de lui, deux jeunes femmes seules discutent ensemble, un couple boit un verre en regardant les autres personnes, un autre homme seul a décidé d’aller faire un tour dans le club… pendant que nous buvons notre verre, deux autres couples arrivent, ainsi qu’une femme seule. Nos amis ElleetLui ne sont pas encore arrivés…il est trop tôt pour eux.
Nous décidons de rejoindre le coin à glory holes avant qu’il ne soit occupé ! Rire !
Nous nous installons en sens inverse de d’habitude, je mets ma tête vers les glory holes et mes pieds vers le mur. Ma Sophia est en forme ce soir, elle me fait un délicieux cunni lesbien pendant qu’une main fine avec de longs doigts me caresse avec douceur les seins et me titille les mamelons, hummm…quel moment délicieux ! Mais je n’ai pas envie de jouir tout de suite, je me redresse et j’embrasse amoureusement ma blonde… Nous entendons alors une voix jeune dire avec l’accent toulousain: « oh oui, ça fait bainder ! »… nous nous amusons de la remarque, un petit jeune nous prend pour deux lesbiennes ! MDR !
Le moment est à savourer, nous sommes joueuses et continuons de nous embrasser à pleine bouche pour faire plaisir à notre voyeur ! Il nous gratifiera à plusieurs reprises, de « holala…ça fait bainder » « oh oui…ça fait bainder »… Je lui dis en souriant qu’il ne m’a pas encore vue avec mon gode ceinture ! N’y tenant plus, il met sa queue dans le glory hole: elle est fine, longue et elle ba(i)nde bien ! J’enfile un préso au chocolat sur ce morceau de choix et j’invite ma blonde à le déguster ! Hummm…elle se régale et le jeune homme aussi. Au bout d’un long moment, il finit cependant par partir sans avoir joui. Sans doute va-t-il se chercher une partenaire de jeu, maintenant qu'il ba(i)nde bien comme il faut ! Et tout guilleret, en se rengorgeant d’avoir été bien sucé par une blonde canon, ma Sophia....
Une autre queue bien grosse est disponible, nous ne nous faisons pas prier pour lui faire des gâteries. Cette fois, je sors un préso à la fraise, le goût est subtil et ça permet de varier les plaisirs. Il faudra prendre de la menthe à la prochaine commande…hummm !
Je suce un peu cette belle queue dont la taille convient mieux à Sophia qui a très vite un bon feeling avec le monsieur propriétaire de l’engin. Je le soupçonne, contrairement au petit jeune, d’avoir vite compris que la blonde était une trav…car son comportement est très différent depuis qu’il joue avec Sophia ! Un coquin celui-là !
Pendant que ma blonde se régale vraiment bien avec son amant, je décide de sucer les queues qui se présentent à moi et heureusement car la blonde s’amuse tellement bien que le moment va durer longtemps… je vais avoir  le temps de faire jouir 3 belles queues, sans me presser et sans trop les presser, juste des hommes endurants dans la moyenne et ayant envie de jouir !
Ma blonde est très excitée, son amant l’a mise dans un état ! Waouh ! L’homme bouge bien, il enfonce sa grosse bite bien profondément dans la bouche de Sophia et se cale plusieurs secondes au fond, pour étouffer la blonde qui retient sa respiration le plus longtemps possible. Il alterne ce jeu avec des mouvements bien cadencés, retirant presque complètement sa queue et titillant les lèvres fardées de ma blonde avec son gros gland puis s’enfonçant de nouveau, d’un coup jusqu’à la garde...
Sophia prend son pied et bande comme un taureau, mais elle n’en peut plus et me demande en gémissant de plaisir : « il faut que tu me suces…je n’en peux plus ! » Je lui fais un cunni lesbien (rire) et comme nous aimons… elle est dans un tel état d’excitation qu’elle ne tarde pas à jouir, en criant son plaisir et en éjaculant un superbe collier de perles sur mes seins ! Humm que j’aime la voir dans un tel état, elle est belle comme un cœur ! Peu de temps après, l’homme éjacule à son tour dans la bouche de Sophia, son jet puissant s’écoule en plusieurs saccades et remplit le préso de crème blanche. Puis il se retire lentement.
Il n’y a plus aucune autre queue en vue… c’est étonnant un tel calme, nous soupçonnons notre amie "Elle" d’être arrivée, nous la savons gourmande. Par curiosité, nous décidons d’aller voir dans le coin cinéma et nous voyons en effet une jeune femme allongée sur le matelas avec une dizaine d’hommes autour d’elle ! Elle est sur le dos et l’un des hommes est en train de la prendre pendant qu’elle en masturbe deux autres. Est-ce la miss ou pas ? Impossible de vraiment le savoir, nous ne reconnaissons pas son homme parmi les hommes présents et nous n’avons pas envie de les déranger. Nous retournons au bar et, comme là aussi il n’y a pas grand monde, nous décidons de rentrer. Il est minuit passé, c’est une heure raisonnable pour rentrer se câliner à la maison.

mercredi 1 octobre 2014

Découverte du Container à Bordeaux


(Sophia raconte)
...Nous poursuivons notre périple de retour et avons décidé, après avoir visité l’Elixyr, près de Niort, de découvrir un nouveau club de Bordeaux dont nous avons entendu dire beaucoup de bien : le Container. C’est un ancien sauna gay transformé en club mixte : gay et bi, avec deux parties distinctes reliées en leur milieu, notamment au niveau du bar et des deux jacuzzis. 

Nous arrivons sur l’agglomération en fin d’après-midi et rejoignons notre sympathique hôtel près de l’aéroport de Mérignac. Nous avions prévu de dîner d’un plateau de fruits de mer, mais une petite sieste réparatrice nous oblige à revoir notre programme. Nous n’avons plus de temps à perdre car nous avons annoncé la venue de Sophia, la blonde, et il faut donc que je me prépare: ça me prend toujours presque deux heures de me transformer en Sophia.

Et il faut de surcroît que je m’applique aujourd’hui, car notre amie Fruitine, qui aurait dû nous accompagner pour nous faire visiter son club préféré où elle est connue comme le loup blanc, a fait défection en dernière minute. Mais elle a signalé notre venue aux patrons du club (Lionel et Alain) ainsi qu’à deux amies travs, Leila et Sandra, qui ont très envie de nous voir... nous sommes attendues !

Une fois prêtes, nous partons sans délai. La nuit est tombée et les couloirs de l’hôtel sont déserts, nous traversons sans encombre le hall pour rejoindre, par la sortie de nuit, notre voiture garée sur le parking de l’hôtel. Je prends le volant, car ma brune n’aime pas conduire, contrairement à moi. Il est déjà tard et nous nous sommes tardivement aperçues que le club faisait journée continue le samedi.

Nous retraversons la Garonne par le centre-ville: beaucoup de feux et de circulation, ce qui nous retarde encore et augmente notre stress. Pas bon ni pour la brune, affamée, ni pour la blonde, stressée de découvrir un nouveau club... Nous manquons même de nous disputer dans la voiture juste avant d’atteindre l’avenue où se situe l’entrepôt reconverti en sauna. Peu de place pour se garer, mais par chance nous en trouvons une idéale sur une petite place carrée à deux pas de là. Ouf, cela nous calme toutes les deux !

Nous atteignons la porte et nous présentons... Un charmant jeune homme nous accueille avec le sourire et nous fait entrer. Une fois à l’intérieur, nous nous sentons beaucoup mieux : le  vestiaire est spacieux  avec un petit coin toilette, ce qui nous permet de finir de nous équiper : je n’ai en effet pas pris le temps de me maquiller avant de quitter l’hôtel ! Nous entendons des voix joyeuses rire et discuter de l’autre côté du rideau. Enfin, nous entrons dans le saint des saints...

Le bar est assez vaste et superbe, ouvert sur ses deux côtés : le nôtre et celui de la partie gay ou homme seul. Deux jeunes femmes sont assises sur les tabourets hauts de notre côté et discutent bruyamment en riant. Nous reconnaissons l’une d’elles comme la personne qui gère le site internet et les réseaux sociaux du club, Sharon. Notre hôte de l’entrée nous sert des rafraîchissements ce qui nous donne le temps de détailler visuellement l’espace du bar, tandis que plusieurs couples et hommes seuls matent les nouvelles venues. Ma chérie dira ensuite que c’était surtout mon  petit cul qui semblait beaucoup les intéresser...

Nous sympathisons avec les patrons du club, je suis pour l’instant la seule trav en vue, pas de Leila ni de Sandra. Les patrons nous informeront qu’elles arriveront plus tard. Ils nous disent qu’ils nous les signaleront quand elles seront là.

Nous explorons le club :

-      le rez-de chaussée, partie humide avec deux jacuzzis et grand hammam, ainsi qu'un fumoir et un petit coin câlin avec vidéo
-       puis nous passons à l’étage et découvrons un labyrinthe de coins câlins plutôt étroits, certains fermant à clef, d’autre non. Un coin gynéco et une pièce entourée de grillages dénommée "cottage DSK"... mdr!
-   nous trouvons également trois coins câlins équipés de 2 à 4 glory holes. De grandes fentes d'environ 30 cm de hauteur, ce qui permet l'ajustement à toutes les morphologies! L'un de ces coins est équipé d'un grand matelas et d'une vidéo (bi). De l'autre côté de la paroi des glory holes se trouve également un petit matelas et chaque trou est équipé d'une fente horizontale à hauteur des yeux pour pouvoir mater la vidéo sur grand écran de l'autre côté. Enfin, il y a aussi 4 glory holes où l'on peut sucer et se faire sucer debout! Jamais vu ça ailleurs: un must qui évite les crampes et les torsions de cervicales... Pour ceux qui se font sucer, il y a aussi une petit vidéo (bi) juste devant leurs yeux.
-    A noter: un grand coin câlin tout en longueur équipé de grands miroirs muraux et sur lequel donne une vitre sans tain pour les voyeurs se trouvant dans les glory holes derrière le grand matelas avec la vidéo;
-      enfin, on trouve également un coin tout noir (black room), des cabines avec ventilateurs pour 3 ou 4 personnes, des canapés dans le couloir et un escalier qui redescend vers la partie humide  et notamment le 2ème jacuzzi jouxtant le premier et communiquant avec lui.

Nous optons pour le grand coin câlin avec un matelas en L et une vitre qui permet d’être observés depuis la pièce voisine. Je suggère à ma brune, qui a envie de s’allonger, de se mettre dans l’angle du L et je reste à genoux sur la moquette entre ses cuisses écartées pour commencer à lui faire un doux cunni comme nous aimons. Mmmmm, elle se régale rapidement mais déjà un visage est apparu derrière la vitre : un homme hilare nous regarde et communique par gestes avec ma chérie. Il finit par comprendre qu’elle lui propose de nous rejoindre, nous avons laissé la porte de notre coin câlin grande ouverte.

Il arrive, se présente et se met à jouer avec nous. Ma coquine le caresse et le suce tandis que je reprends mon cunni sur elle. Mais rapidement, un autre homme entre derrière moi dans le coin câlin, puis un troisième et encore un autre. C’est parti, la nouvelle s’est répandue comme une traînée de poudre, tous les hommes seuls risquent de rappliquer sur nous !

Ils rappliquent en fait sur ma brune, me contournant par la gauche et par la droite. A un moment j’ai compté sept hommes ! L’un d’entre eux a voulu fermer la porte du coin câlin, mais je me suis retournée et lui ai fait mes gros yeux de blonde fâchée, il a aussitôt ré-ouvert. Heureusement que je me suis placée entre les cuisses de ma brune, je peux ainsi surveiller ce qui se passe et protéger son intimité, de ma bouche et de mes mains. Car plusieurs autres mains essaient de s’insinuer, qui sur son clito, qui dans sa chatte dès lors que je relâche ma vigilance !

Curieusement, je ne suis l’objet d’aucune sollicitation, à ma grande surprise. Ma miss, en revanche, masturbe et suce à tout va, elle ne s’attendait pas non plus à être autant sollicitée: les hommes semblent quand même très hétéros ici, bien que ce soit un club ouvertement bi et gay ! Un jeune black sur ma droite a l’air plus doux que les autres et essaie de lui caresser le clito après qu’elle l’a relâché de sa bouche et de sa main pour s’occuper d’un autre. J’en profite pour lentement approcher ma main de sa bite, la saisir et commencer à la masturber : il ne dit rien et se laisse faire, je le fais ainsi bien durcir puis je lui mets un de nos présos et commence à le sucer pendant qu’il se penche en avant pour caresser la chatte de ma miss. Il ne tarde d’ailleurs pas à la faire jouir avec ses doigts et je le relâche à mon tour pour contrôler la situation des allées et venues sur ma gauche.

Plusieurs hommes sont là, un ou deux en train de se faire masturber ou sucer par ma miss, et d’autres en train de se masturber eux-mêmes. Il y a aussi une femme brune en tailleur mini, il s’avérera plus tard que c’est une trav. Elle me regarde, ainsi que les hommes mais ne fait rien pour l’instant. Un homme avec des lunettes est à genoux en train de se masturber sur le matelas à ma gauche, espérant trouver un accès à l’intimité de ma chérie. Je tends ma main gauche et lui prends le sexe, il se laisse caresser, je le masturbe un long moment pendant qu’il s’occupe du clito et des seins de ma miss.

J’ai entendu ma brune jouir déjà plusieurs fois et je m’enquiers de savoir si ça va toujours pour elle. Il semble que oui, mais je lâche quand même la queue de l’homme pour reprendre mon cunni sur ma belle. Du coin de l’œil je constate que la trav brune a aussitôt profité de l’occasion pour se mettre à sucer l’homme que j’ai lâché. Ma miss a apparemment fait jouir deux ou trois hommes et la pression, sur nous, est en train de diminuer: il ne reste plus qu’un homme grisonnant et la trav brune en train de sucer l’homme à lunettes.

L’homme grisonnant semble très enjoué, nous discutons avec lui, il se prénomme Philippe. Il est bi et nous lui proposons de nous occuper de lui toutes les deux: il ne se fait pas prier. Il s’allonge sur le dos et je me mets à le sucer. Rapidement il bande bien dur et sa bite est de proportions idéales pour ma bouche, ni trop grosse ni trop petite. Ma chérie, un peu fatiguée, se contente de lui sucer les couilles et de lui doigter le petit trou. Philippe grimpe au rideau, il exprime clairement son plaisir et nous encourage à continuer ainsi. C’est un trio très agréable avec un vrai libertin joueur comme nous les aimons. Finalement, il sent que sa jouissance approche et me demande de me retirer. Il enlève le préso et se finit lui-même à la main pendant que nous nous mettons à deux pour lui lécher et sucer les couilles... Un joli collier de perles sur son abdomen vient nous récompenser tous les trois !

Nos redescendons au bar et prenons un café, nous sommes un peu fatiguées et décidons de tester la partie humide dont on nous a dit qu’elle était traitée au chlore et non au brome. Nous nous déshabillons au vestiaire et voyons arriver de nouveaux couples jeunes et beaux, dont un jeune homme bodybuildé avec une nana au profil de starlette (trop maigre pour nous qui n’apprécions pas les anorexiques !). C’est d’ailleurs une constatation, dans ce club il y a, semble-t-il, pas mal de jolies filles et de beaux mecs musclés... peut-être parce que c’est aussi un club gay ?

Nous ne restons pas trop longtemps dans le jacuzzi, peut-être un effet psychologique mais notre peau commence à nous gratter au bout de quelques minutes passées dans les bulles... Le hammam est très grand et bien chaud, dans tous les sens du terme. Nous devinons un groupe d’ombres dans un recoin qui n’est manifestement pas là pour enfiler des perles... Mais nous préférons retourner au bar, il est déjà près de minuit et nous sommes un peu fatiguées.

De retour au bar, nous tombons sur Leila et Sandra, les 2 amies travesties de Fruitine.... Les patrons nous les indiquent et nous allons discuter un peu avec elles... mais hélas, Sophia a disparu, c’est Alpha qui est là avec sa serviette humide autour de la taille. Leila est très déçue, elle a été retardée en rentrant d’Angoulême et elle est finalement arrivée plus tard que prévu. Sophia s’est transformée en citrouille, ou plutôt en Alpha dans l’intervalle... La trav brune qui était avec nous là-haut nous rejoint, elle a reconnu Leila et ma brune... mais reste stupéfaite en me voyant. Elle réalise enfin que je suis, enfin j’étais la blonde de là-haut. Et reste médusée en me voyant, me déclare que je suis également très mignon en mec tout en me dévorant des yeux. Nous sentons nettement qu’elle se ferait bien son casse-croûte d’Alpha !

Mais nous avons envie de rentrer à l’hôtel, ma miss ne me l’a pas dit mais elle a très faim: il n’y avait pas de buffet au club ou alors il avait été pillé avant que nous arrivions. Nous nous rhabillons et rendons la clef... L’un des deux patrons me regarde et demande à l’autre s’il me connaît, il est surpris de cette tête qu’il n’a pas vue entrer au club. Avant de comprendre que c’est Sophia la blonde qui ressort en Alpha... !!

Nous repartons par les quais de la Garonne et commettons l’imprudence de laisser de côté une baraque à frites encore ouverte à cette heure avancée, près de minuit. Grave erreur car nous ne trouverons rien d’autre jusqu’à Mérignac et ma brune devra se coucher avec les crocs, une horreur pour elle et presque un cas de divorce. Heureusement elle se rattrapera, dès son réveil, sur le délicieux petit déjeuner de l’hôtel "l’Escadrille" (hôtel que nous recommandons les weekends) !

[Ma Brune veut absolument ajouter qu’il lui en faut beaucoup plus pour qu’elle demande le divorce, mais que par contre une telle erreur de jugement de ma part, ayant conduit à ne pas diner, mérite une punition !]