Qui êtes-vous ?

Ma photo
Sur ce blog nous racontons notre vie de libertins. Nos récits parlent de nos sorties et de notre vision du libertinage... Les lieux et endroits sont "améliorés", les repas "enrichis", l'histoire est parfois romancée afin que toute ressemblance avec la réalité ne puisse qu'être fortuite. Bonne lecture.
Caresse et Alpha
On this blog we are unveiling our swinger lifestyle. Our stories tell about our swinger parties and develop our vision of this particular way of life.
Places and meals are sometimes "improved", names are changed and the story itself may be "adapted" or even fully invented...
Enjoy your readings
Caresse (she) and Alpha (him)

samedi 20 septembre 2014

Une soirée à l’Elixyr

(Alpha raconte)


Nous avions passé quelques jours dans la région poitevine pour des raisons professionnelles et notre chemin de retour serait buissonnier tout au long du weekend, de Poitiers à Toulouse, en passant par Bordeaux où nous avions prévu de visiter enfin un club dont une amie nous avait dit beaucoup de bien (voir récit suivant).

Après les dernières civilités d’usage, nous filons sur l’autoroute en abandonnant derrière nous Poitiers et sa vie nocturne limitée. Pour cette première étape, nous avons choisi d’aller à l’Elixyr, un club perdu au milieu de nulle part aux portes de la Charente maritime. Nous en avons eu également de très bons échos et surtout, ce club offre une possibilité d’hébergement sur place combinée avec l’entrée au club... Un motel et une pizzeria jouxtent en effet ce club discrètement niché dans un hameau en bordure de l’ancienne route nationale, à une trentaine de kilomètres au sud de Niort.

Comme nous sommes en avance et qu’il fait très beau, nous faisons une halte pour visiter cette ville que nous ne connaissons pas. Nous y découvrons, en face de notre terrasse de café ensoleillée, un donjon médiéval imposant et de vieilles halles de marché. Sympa... mais bon, pas de quoi justifier un séjour de longue durée non plus !

Nous prenons possession de notre chambre au motel LX en fin d’après-midi. Confort simple mais bien adapté à notre style de vie, avec petit déjeuner déjà dans la chambre. Ceci permet de se lever à l’heure souhaitée, après la nuit au club, la seule contrainte étant de libérer la chambre à midi.


Nous dînons au restaurant voisin, qui ne nous laisse pas un souvenir impérissable, puis allons nous préparer dans la chambre, le club Elixyr ouvre à 22h ce vendredi. Je m’habille en noir, pantalon de cuir à lacets et top moulant en lycra, ma chérie met des cuissardes noires, sa guêpière et sa mini-cape en dentelle noires ainsi que son corset de velours noir, qui lui donnent un petit air inquiétant, légèrement satanique.

A l’entrée du club, le patron nous accueille avec raffinement. C’est un homme qu’on sent élégant et professionnel, avec le zeste d’attention au client qui convient parfaitement. Il nous indique que sa charmante épouse, Dominique, va nous faire visiter le lieu. Nous savons que Dominique est sa soumise et que ce club offre notamment un superbe donjon que les propriétaires ne doivent pas être les derniers à utiliser.

Notre hôtesse est une belle femme blonde d’une cinquantaine d’années, vêtue d’une guêpière en vinyle noir largement échancrée, laissant admirer ses seins pointant bien vers l’avant et presque entièrement exhibés de par la forme de sa tenue. Le club est aménagé dans une vaste grange en pierre de la région. Le rez-de-chaussée est principalement occupé par le vaste bar et la piste de danse ainsi que par la partie humide (sauna, jacuzzi), assez sombre avec une cascade lumineuse à l’extrémité du jacuzzi, et le donjon. Dans une aile adjacente, le coin fumeurs a presque la taille d’un club à lui tout seul, avec son propre bar, ses tables, ses chaises et fauteuils « lounge ».

Le bar de la partie discothèque est superbe, très long, large et massif, avec deux barres de pole dance à l’une de ses extrémités, auxquelles on accède par quelques marches, ce qui permet aux exhibs d’aller se montrer debout sur le bar. A l’étage, en surplomb du bar et de la piste de danse, se trouve une vaste mezzanine équipée de quelques matelas puis derrière celle-ci une enfilade de coins câlins aux décorations diverses : rétros aux tons bleus ou rouges, moderne avec notamment une pièce décorée de disques vinyle sur les murs, un coin avec fenêtre sur la mezzanine, traversé par les lasers de la discothèque,  un coin-cage au ras du sol, une « boîte » noire à glory holes... Certains coins peuvent être fermés à clef. Au fond du couloir se trouve également un lit rond, ce qui nous rappelle quelques souvenirs en d’autres temps et d’autres lieux. A noter spécialement : de superbes sanitaires avec plancher en teck et abondance de serviettes de toilette, gels et produits de toilette, et également, chose rarissime, des piles de draps propres en libre service pour utiliser, à la demande, dans les coins câlins. Jusqu’à présent nous n’avions vu cela que dans le superbe club de l’Absolu près de Cannes.

La pièce qui nous intéresse le plus est le donjon du rez-de-chaussée... A droite de l’entrée, derrière une sculpture moderne en métal de taille humaine, une porte s’ouvre au fond d’un recoin sombre sur l’antre du Maître des lieux : un vaste donjon très bien équipé, dans le style de ce que nous avions vu jadis à la Villa Panthère près de Bordeaux. Deux hauts lits à baldaquin au matelas revêtu de vinyle rouge ou noir, avec une série d’anneaux et de chaînes aux extrémités.  Un pilori, une croix de St André en métal, des attaches de toutes sortes dans les poutres de la grange, des râteliers de liens et chaînes aux murs, martinets et autres jouets complètent le tableau.... Quel bel endroit !
.
Nous prenons un premier verre avec Dominique au bar. Le club se remplit petit à petit, nous hésitons à nous installer au donjon mais il est encore vide. Les participants commencent à affluer, beaucoup d’habitués qui se connaissent et se font la bise, mais nous tiquons un peu sur les tenues que nous trouvons un peu trop « rurales » pour un club qui pourtant affiche un dress code assez strict.

Nous montons finalement dans la mezzanine, puis optons pour la boîte noire à trous, dans l’espoir de pouvoir sucer quelques queues. Rapidement nous voyons arriver des hommes seuls et même des couples, intrigués. Certains regardent par les trous pour tenter de voir à l’intérieur – mais c’est entièrement noir. D’autres essayent d’écarter le rideau par où nous sommes entrés... Cela nous énerve rapidement et je me mets à tenir le rideau pour les empêcher de regarder. En attendant, aucun n’ose aventurer sa queue à l’intérieur car un type a chuchoté aux autres, l’air un peu effaré, qu’il y ait un mec à l’intérieur de la boîte ! Nous avons un peu le sentiment d’être arrivés chez les ploucs...On se demande même s’ils savent se servir d’un glory hole ! Mdr !

Finalement, une queue plus téméraire que les autres ose s’avancer. Ma chérie s’en empare et se met à la sucer avec délectation, tandis que je poursuis ma surveillance tous azimuts sur le rideau et les autres trous. Une 2ème bite puis une 3ème apparaissent... Des bras s’introduisent également pour guider la tête de ma Caresse et insidieusement vérifier qu’il s’agit bien d’une femme en lui palpant les seins. Nous commençons à avoir trop chaud dans cet espace confiné et les gens dehors ne sont pas joueurs comme nous aimons, aussi ressortons-nous de notre boîte.

Nous optons pour le coin rétro aux tentures rouges équipé d’un grand miroir, et laissons la porte ouverte. Un homme seul que ma miss a sucé dans le glory hole nous a suivis, un autre arrive sur ses talons. Les deux se masturbent tandis que je me mets à lécher le sexe de ma miss. Le premier homme, déjà bien échauffé par la fellation de ma chérie, s’approche sur sa gauche pour qu’elle le masturbe de la main. Mais elle commence à peine à le caresser que l’homme jouit et éjacule sur son avant-bras et sur le matelas, il était décidément plus que mûr ! Nous décidons de faire un passage aux sanitaires puis de retourner au bar.

Puis nous nous dirigeons vers le donjon... Mais là, argh ! La porte est fermée, des gens ont dû s’enfermer à l’intérieur !!! Nous sommes un peu dépités car nous ne savons pas combien de temps cela va durer. Nous décidons par conséquent de remonter dans la mezzanine où nous nous câlinons à deux en profitant de la musique et du spectacle de la discothèque. Sur le mur derrière le bar, des films érotiques sont projetés. Il s’agit de films muets en noir et blanc, style années 20-30, mettant en scène surtout des femmes dans des scènes saphiques ou D/s. Dans le dernier, que nous regardons en nous caressant mutuellement, deux femmes qui jouent aux dames sont importunées par une troisième qui n’a de cesse d’interrompre leur partie. Les deux premières la neutralisent progressivement en la ligotant et la fessant, elle finit quasiment en hogtied, bâillonnée et fouettée.

Le DJ annonce que des participantes vont monter faire un strip-tease à la barre de pole dance. Nous voyons en effet deux jeunes femmes blondes, maigres, s’effeuiller sur le bar, mais elles sont limite anorexiques, le spectacle n’a rien de palpitant pour nous, au contraire ! Le volume de la musique finit par nous insupporter, nous décidons de repasser dans les coins câlins pour avoir un peu moins de bruit.

Cette fois nous allons dans le coin rétro aux tons bleus. Je reprends mon cunni sur ma chérie quand un homme seul entre en se masturbant ouvertement et s’approche de nous dans mon dos, jusqu’à presque toucher ma chérie sur ma droite. Elle le fait plusieurs fois reculer car elle craint de le voir éjaculer sur elle.

Un 2ème homme entre et referme la porte derrière lui. Il se fait vertement réprimander par ma chérie qui le pétrifie quasiment sur place de « sa voix de Domina » en lui intimant de laisser la porte ouverte. Stressé, le nouvel arrivant a beaucoup de mal à défaire la ceinture de son pantalon, il semble avoir la tremblotte ! Il y parvient enfin, et commence lui aussi à se branler sous nos yeux. Il tente également, par des mimiques de sa bouche, de convaincre ma chérie de le laisser la lécher, mais elle refuse car c’est moi qui suis en pole position et elle n’échange pas son baril d’Ariel même pour 2 barils de lessive ordinaire.

Le premier homme s’éclipse discrètement après s’être fait éjaculer sur le matelas. L’autre commence à devenir insistant et collant, il prétend faire du magnétisme et des massages à ma miss mais la tournure du jeu ne plaît pas à ma chérie : elle me fait arrêter mon cunni et nous redescendons au bar.

Pas beaucoup d’ambiance au rez-de-chaussée non plus, le donjon est de nouveau ouvert, mais vide. Nous finissons par penser que nous serons tout aussi bien dans la chambre de notre motel pour terminer nos câlins à deux.
Nous saluons nos hôtes et regagnons notre chambre pour un doux moment de tendresse avant de nous endormir. Demain nous avons encore de la route à faire, et un autre club nous attend à Bordeaux, nous ne serons pas déçus !

mercredi 10 septembre 2014

La trav nous laisse son mec...

(Sophia raconte)
C’est un nouveau lundi,  journée bi. La brune, Caresse, est de sortie avec Sophia, sa blonde. Nous prenons la mini Austin Cooper bleue intérieur cuir blanc de la brune pour frimer un peu sur la rocade... Les routiers adorent nous voir passer, certains klaxonnent même ou font des appels de phares !
Je me suis travestie outrageusement sexy, une fois de plus, mais pour sortir et aller au club je reste visuellement sage : jean de fille blanc « bootcut » recouvrant mes bottes noires de fille à petits talons (5cm) et surtout mes dessous affriolants : bas résille, porte-jarretelles noir, mini-string rouge... J’ai choisi mes seins de taille C, voir C++ aujourd’hui, ça me fait toujours une silhouette affolante de face comme de profil, les mecs ont la langue pendante en me voyant et certaines femmes sont « jalouses » de mes loches, comme elles osent parfois me l’avouer... lol
C’est notre Michou national qui officie à l’entrée du club, on lui claque la bise et on papote... De vraies pipelettes, et Michel n’est pas en reste sur ce plan.  Nous passons rapidement au vestiaire, je troque mes bottes contre des escarpins sexy de 12 cm et direction les coins câlins. Mais notre coin favori, celui des glory holes est squatté par une trav brune inconnue qui reste dans le noir pour sucer les queues à travers la paroi. Qu’à cela ne tienne, nous allons dans le coin au fond à droite et je m’empresse de gratifier ma chérie d’un cunni lesbien du meilleur cru.  Elle se met rapidement à faire des vocalises, ce qui attire un couple de « lapins » (nous appelons ainsi les couples restant à deux et tirant leur coup en moins de 15mn chrono !). Ils nous matent un moment, sans doute pour s’exciter puis passent faire leurs petites affaires dans le coin voisin... ceux-ci en moins de 5mn, de vrais lapins  Duracell !
Nous continuons sans nous soucier d’eux et ma miss atteint un premier orgasme violent. Puis assez rapidement un deuxième, puis un troisième... A un moment, nous nous apercevons que la trav des glory holes est sortie et nous épie depuis le coin gynéco voisin, en restant tapie dans l’ombre du rideau. Elle finit par quitter définitivement les coins câlins : nous rushons immédiatement dans celui des glory holes, pas question de se le faire piquer deux fois ! Rire !
Très vite apparaît dans le trou de l’angle une belle queue bien en érection. Je m’empresse de lui souhaiter la bienvenue en la flattant de ma main gantée puis en la caressant plus sérieusement. Elle bande vraiment bien, on sent des variations, un petit gargouillis intérieur de temps en temps, c’est une bite émotive. Par chance, nous retrouvons un dernier préso au chocolat – nous sommes en rupture de stock, vue notre consommation effrénée -  je l’équipe et la prends entre mes lèvres maquillées comme une Ferrari volée... Un délice que cette belle grosse queue dure et chocolatée !
Elle est de dimensions idéales pour moi, c’est l’avantage des glory holes, on peut vraiment choisir une bite à sa taille et à son goût. Je la suce longuement, avec application, m’aidant de mes mains pour l’enserrer à la base. L’homme, de l’autre côté, saisit mes doigts et les tire plus loin dans le trou, il veut que je lui attrape les couilles, ce que je fais volontiers. Je les lui crochète avec mes deux doigts extérieurs en fait, mais il veut autre chose : que mes deux doigts médians lui massent la prostate au milieu. Je le saisis ainsi de la main droite, mon majeur et mon annulaire appuyant au milieu entre ses bourses et son anus, tandis que mon index et mon petit doigt lui tirent les couilles vers moi. De l’autre main je continue d’enserrer en rythme la base de sa hampe que je suce goulûment en variant la pression de mes lèvres et de ma langue, ainsi que la profondeur de succion... L’homme oscille et gémit de plaisir.
Ma brunette chérie s’est aussi trouvé une belle grosse queue dans un autre trou sur ma droite. Mais waouh... !! Elle est carrément énorme et, je pense, trop grosse pour sa petite bouche. Elle essaie de bien la sucer mais a manifestement du mal à l’emboucher sur plus de la moitié de sa longueur... Et ça lui fatigue vite la mâchoire !
La porte s’ouvre et nous voyons apparaître une créature blonde et frisée qui n’hésite pas longtemps avant de nous rejoindre sur le matelas. C’est une trav, elle s’appelle Daniela, et elle se met rapidement à sucer une belle queue qui s’est offerte à elle dans un trou du mur à ma gauche. Simultanément Daniela s’est mise à me palper les couilles en écartant mon string de fille sur le côté. Je la sens me les malaxer puis elle commence à insinuer un doigt dans mon petit trou, sans que nous interrompions ni elle ni moi notre fellation à quatre pattes. Je sens alors une main passer à travers le glory hole et me caresser les fesses dénudées sous ma jupe retroussée. Puis cette main se met à me donner des claques sonores !
Cela dit, Daniela ne semble pas montrer beaucoup de conviction à me caresser, elle s’arrête assez vite et je me redresse pour examiner la situation – et aussi pour que l’autre arrête de me fesser, ça ne me procure absolument aucune excitation ! Ma chérie a entre temps lâché la trop grosse queue pour se masser les maxillaires, l’homme à la grosse queue a donc changé de tactique et il lui caresse maintenant le point G.
Un malotru se met à taper sur l’autre côté de la paroi et à siffler en murmurant des demandes. Daniela dit à Caresse que c’est elle qu’il appelle. Ma chérie lui rétorque qu’il va attendre longtemps... D’autant que ma miss s’est mise à chanter sa chanson de plaisir sous les doigts de l’homme à la grosse queue. Daniela abandonne alors la queue du glory hole et se rapproche de ma miss pour la caresser, tandis qu’un autre bras passe à travers le glory hole pour venir lui peloter les seins. Mais Daniela a son idée en tête et réussit progressivement à virer les deux hommes pour s’approprier complètement ma chérie !
Ma miss la trouve collante, ça commence à l’embêter et nous prétextons la chaleur qu’il fait dans cette alcôve (Daniela ne peut le nier, avec sa grosse perruque épaisse et crépue !) pour aller nous rafraîchir à la douche puis au bar. La trav blonde nous suit et papote avec nous un moment avant de s’éclipser vers de nouvelles aventures.
Nous retournons dans le coin des glory holes et trouvons une queue ordinaire à sucer dans l’angle. Ma miss s’allonge sur le dos pour se reposer et s’amuse à me regarder faire une fellation à l’homme inconnu. La porte s’ouvre à nouveau et nous voyons Daniela entrer avec un homme, ils vont s’installer dans un coin câlin au fond...  nous les entendons discuter, l’homme dit à Daniela que ses copines sont sans doute déjà parties. Nous comprenons  qu’il parle sans doute de nous, ils sont passés devant le coin sombre sans nous voir, manifestement.
Au bout de quelques minutes Daniela quitte le coin couples, mais l’homme qui était avec elle reste et finit par s’approcher de notre alcôve. Il se tient à l’entrée en nous regardant puis s’enhardit à entrer, il est déjà nu. Il s’allonge sur notre matelas mais reste à distance, nous ne disons rien et ne le regardons même pas.
Ma miss s’est mise à me sucer pendant que je continue de sucer la bite à travers le trou du mur.  L’homme – il nous dira qu’il s’appelle Cyril – se met à la tripoter entre les cuisses. Il lui titille la chatte puis son petit trou. Ma Caresse se redresse alors et s’assied, empêchant toute continuation. Cyril a un mouvement de recul et, sur la défensive, demande s’il dérange. Ma miss, comme à son habitude, lui répond que... « les hommes c’est pour monsieur ! »   Grand moment de solitude, un ange passe...
Je me remets à sucer dans le glory hole et ma chérie aussi, juste à côté de moi.  Malheureusement nos deux queues s’en vont, l’une après l’autre ! Nous nous regardons avec l’envie d’éclater de rire, mais le Cyril n’a pas bougé. Le désignant de la main, ma miss me dit alors : «t’as une jolie queue ici ! »
Je m’avance à quatre pattes vers Cyril, je ne saurais dire s’il est paralysé de me voir approcher ou s’il en a secrètement envie. Toujours est-il qu’il se laisse faire quand je prends sa queue molle dans ma main pour un premier examen. Je lui dis de s’allonger un peu mieux contre les coussins, et me mets à le masturber puis, quand il est devenu assez dur pour enfiler le préso, à le sucer.
Il aime ça manifestement, il bande comme un âne et ne faiblit plus, je le sens aussi un peu gargouiller à l’intérieur. Il dit finalement qu’il aimerait que je lui suce aussi les couilles. Cette fois, ma chérie intervient pour m’aider : je continue de lui faire la fellation tandis que ma chérie vient entre ses jambes lui prendre les couilles dans sa bouche. Il est aux anges, il nous le dit ! Seul souci, il a les couilles bien poilues, la brune n’aime pas vraiment cette sensation sur sa langue...
Nous switchons donc nos gâteries : la brune se met à sucer la bite de Cyril tandis que je lui prends les couilles. Il a les couilles assez pendantes, c’est pratique car on peut bien les attraper pour les tirer vers le bas. Je lui suce avidement les boules en les engloutissant toutes deux simultanément dans ma bouche pendant que je les lui tire avec la main gauche.
Comme il joue avec le petit cul de la brune, nous comprenons qu’il aime ça et je décide de le doigter lui aussi. J’enfile un préso sur le majeur et l’annulaire de ma main droite, mets un peu de gel et commence à lui enfiler l’ensemble dans le cul... à la recherche de son point G ! Puis je reprends ses couilles avec ma langue et ma main gauche et j’entame un mouvement de va-et-vient de plus en plus fort dans son intimité. Cyril se tortille et crie, ça devient rapidement intenable pour lui de se faire simultanément sucer la bite, les couilles et doigter l’anus. Il ne le supporte pas et nous demande d’arrêter, d’ailleurs il débande et n’a pas joui non plus.
De toute façon, il se fait tard pour lui, encore un homme en couple qui vient seul dans les clubs libertins, il dit qu’il doit rentrer... Il aimerait bien que nous lui donnions un numéro de téléphone mais c’est peine perdue, la brune lui explique que nous ne le faisons plus, il peut toujours nous  envoyer un message sur notre pseudo sur le site du club.
Nous regardons un peu la télé au bar, nous adorons les parodies de Canteloup... puis nous nous changeons pour aller dîner.
La brune a perdu un pari qu’elle doit honorer, nous allons déguster un plateau de fruits de mer dans notre brasserie préférée.

lundi 1 septembre 2014

La taille est-elle si importante ? (2/2)

TAILLE DU PENIS DANS LE MONDE: Les Allemands ont donc bien raison de penser que l'Afrique commence à Strasbourg...
(suite du récit précédent, Sophia raconte)
...De retour dans les glory holes, nous avisons rapidement quelques queues qui se présentent dans les ouvertures, prêtes à se laisser déguster par nos bouches pulpeuses et gourmandes, aux lèvres  fraîchement remaquillées de rouge pendant la pause.
J’en trouve une de belle taille, bien longue, grosse et dure comme il sied à une blonde, et je l’embouche goulûment après l’avoir équipée d’un préservatif tout neuf. Son propriétaire est derrière le trou le plus à droite, un de ceux qui n’a pas de fente supérieure pour permettre à l’homme de nous mater. Il ne sait donc pas qui le suce, la brune ou la blonde... Mais il semble se régaler et ne débande pas une seule seconde, même s’il n’est pas très interactif avec moi.
Au bout d’un assez long moment, je me retourne vers ma chérie allongée à ma droite qui s’amuse à me regarder sucer et je lui suggère de faire entrer mon nouvel amant. Il lui vient alors l’idée d’aller le chercher : elle se redresse et sort du coin câlin... Je l’entends arriver de l’autre côté et surprendre l’homme par-derrière, en riant. Elle lui demande s’il veut venir avec nous... Il ne se fait pas prier, mes lèvres fardées relâchent sa queue pour qu’il puisse faire le tour et nous rejoindre.
Il entre. Surprise !! C’est un tout petit bonhomme, l’air mal à l’aise, très raide et peu causant. Ma chérie le surnommera ensuite le pygmée ! Nous l’accueillons gentiment, comme deux suaves coquines savent le faire, mais notre homme n’a vraiment pas l’air confortable, ça doit être la première fois qu’il est invité à rejoindre un couple de salopes dans le coin couples. Il doit commencer à se dire qu’il n’aurait peut-être pas dû...
Mais il a tort, car nous sommes vraiment adorâââbles avec lui... Il s’allonge sur le dos, tout raide, jambes tendues, et nous pouvons constater que notre "pygmée" est vraiment superbement membré, c’en est même disproportionné compte tenu de sa taille. Son braquemart doit faire au moins 20 cm en érection – et il n’a même pas débandé – alors que le  "pygmée" mesure difficilement 1m65. Comme quoi, il n’y a pas toujours de corrélation entre taille du sexe et taille de l’homme (ou celle de sa voiture)!
Nous avons beau essayer de le mettre à l’aise, rien n’y fait. Sophia se met à le sucer de nouveau pour le détendre, et Caresse lui malaxe les couilles puis les lui suce. Il émet de faibles gémissements, nous pensons qu’il ne s’est probablement jamais fait câliner par deux aussi jolies femmes. Il demeure raide de partout, une vraie « étoile de mer » version masculine... Nous le suçons toutes les deux ainsi un long moment, sans réfréner nos ardeurs, c’est dire. Mais non, trop tendu et stressé, notre « pygmée » ne jouira pas et profitera d’une pause de nos mandibules pour s’éclipser et disparaître du coin couples ! Le pauvre, il n’en pouvait plus... mais il n’a même pas joui !
Un peu dépitées et restées sur notre faim, nous décidons de retourner au bar. Au moment où nous allons sortir du coin câlin, qui voilà ? Notre amie Sandra, avec qui nous avions passé un superbe moment libertin quelques semaines auparavant. Toujours aussi sexy notre grande trav black dans sa robe moulante en vinyle rouge ! Nous l’informons que nous allons au bar, mais elle a plutôt envie d’aller en griller une dans le coin fumeurs... Nous nous retrouverons après. Au bar nous retrouvons Serge avec qui nous nous amusons des pubs qui défilent sur la télé grand écran.
En revenant un peu plus tard dans le coin aux glory holes, pas de Sandra. Nous ne l’avons pas vue au bar non plus, nous la soupçonnons d’avoir grillé non pas une cigarette mais tout son paquet ! Rires... Mais à peine sommes-nous réinstallées sur le matelas que notre amie entre et nous rejoint. Je me suis mise à faire un délicieux cunni lesbien à ma brune, ce spectacle excite visiblement Sandra qui se met rapidement à bander comme un(e) âne(sse). Et il est membré, le coquin, sa grosse queue black, un peu coudée, prend vite de très belles proportions. Sandra ne résiste pas à la fourrer dans la bouche de ma chérie, sans qu’elle ait eu le temps de lui enfiler un préso … une erreur, la prochaine fois, elle sera plus prudente, elle en prendra dans son soutif ! Rire !
La blonde fait grimper la brune au rideau, mais celle-ci n’arrive pas à se lâcher tout en suçant Sandra, elle est mono-tâche ! Impossible de faire deux choses à la fois correctement, être toute à sa blonde, tout en se concentrant sur la fellation qu’elle fait, c’est compliqué...  Elle finit par demander à Sophia d’arrêter et de venir l’aider à sucer le joli morceau qu’elle a finalement pris dans sa main ! 
Je ne peux pas résister, la queue de Sandra est trop tentante, énorme comme je les aime. Mais je ne suis pas une blonde écervelée, je demande un préso à la brune. Sandra s’installe à genoux, penché en arrière, et je le suce à quatre pattes entre ses cuisses, je m’applique à bien exciter sa belle bite bien dure qui ne demande que ça.
Mais soudain la porte s’ouvre, tandis que je m’applique a bien sucer la grosse queue black de Sandra, et apparait...  Horreur !! Emilie !!!!!!! La fausse trav hétéro qui nous avait sévèrement gavées une fois précédente, au point que nous avions été à deux doigts de la dénoncer au patron pour la blacklister définitivement. Alors que je n’ai pas levé ma tête, toute à la fellation que je prodigue à Sandra, j’entends soudain chuchoter mon prénom tout près de mon oreille : Sophia..... Je l’ignore superbement et fais comme si de rien n’était, tout occupée que je suis à sucer ma grosse queue.
Emilie reconnait alors la miss et fait mine de venir s’installer sur le matelas avec nous. Je me redresse alors et dis a ma brune : « on reste à trois, bien sûr » Ma miss explique illico à la nouvelle venue que ben non... elle n’est pas la bienvenue. L’autre n’insiste pas mais reste debout dans l’entrée à se masturber en nous matant... Quel gros lourd, pathétique !!!
La brune me propose son gode ceinture pour que je sodomise Sandra, c’est ce que nous avions fait la dernière fois et la trav black avait pris un pied pas possible, au point d’éjaculer deux fois de suite en moins de 5 mn. Mais cette fois je lui rétorque que c’est son tour à elle ! Ma chérie s’équipe donc du gode et invite Sandra à se mettre sur le côté avec la blonde en 69 pendant qu’elle s’allonge derrière la black. Nous nous donnons ainsi du plaisir mutuellement, les deux travs se suçant la bite en 69 et Sandra se faisant simultanément enculer par le gros gode de 8 pouces de ma chérie. Nous entendons les hommes seuls s’exciter visuellement derrière les trous de la paroi à ce spectacle...
Mais Sandra trouve cette position inconfortable, elle préfère la levrette. Nous nous replaçons en conséquence, Sandra à quatre pattes, Sophia en 69 sous lui et Caresse avec son gros membre derrière Sandra. La pénétration est délicate, le petit cul de Sandra est serré, il faut lui mettre du lubrifiant à plusieurs reprises… la prochaine fois, on lui demande d’apporter le sien ! Rire ! Il a presque vidé notre tube de lubrifiant en une seule aprèm !
Nos parvenons finalement à nous atteler, Sandra prend ma queue dans sa bouche pendant que je me remets à le sucer et que ma chérie lui défonce le petit trou de toute la longueur de son braquemart de 20cm. Mais je suis un peu bloquée là-dessous et je peux à peine bouger, surtout lorsque Sandra se met à être fortement excitée. J’en suis réduite à ne plus pouvoir bouger, juste à endurer dans ma bouche les mouvements de sa queue, au rythme de la sodomie qu’elle subit, et son barreau s’enfonce parfois complètement jusqu’à me faire suffoquer. J’ai aussi très chaud avec mes longs cheveux blonds. Je parviens cependant à glisser ma main gauche entre ses cuisses pour lui saisir les couilles et la base de sa verge et ainsi contrôler un peu plus ses mouvements.
Je bénéficie en revanche d’une vue imprenable, aux premières loges, sur le gros barreau de ma chérie qui bourrine le petit cul de Sandra. Un peu trop près même, à me demander si je ne vais pas recevoir des projections collatérales sur le visage !!! J’utilise aussi ma main gauche un peu comme un parapluie, pour me protéger, tout en serrant les toutes petites couilles de Sandra à la base pour l’exciter davantage. Pendant tout ce temps, Emilie continue de se masturber pathétiquement sous les yeux dépités de ma chérie et de Sandra...
Sandra, comme la dernière fois, a franchi un cran dans l’excitation et se met à bouger comme un beau diable, les pieds crochetés derrière les mollets de ma chérie. Elle s’affale ainsi de plus en plus sur moi et je suis obligée de me dégager de sa queue car je ne peux vraiment plus la sucer. J’arrive à la saisir de la main droite pour au moins la masturber, tout en gardant ses couilles serrées dans ma main gauche. Ca devient assez pénible et difficile... et pas très efficace ! De plus Sandra, toute à son excitation, a elle aussi cessé de me sucer !
Je finis par me dégager de dessous Sandra et m’assieds sur le côté. Ma brune dégouline de transpiration: c’est certain, ça fatigue de bourriner l’autre quand on est en mec ! Mais Sandra s’empale de plus en plus furieusement sur le gode, elle l’engloutit entièrement au fond de son anus qui en veut toujours plus. En même temps, la lanière en cuir du gode masse délicieusement le clito de la miss déjà bien mis en forme par sa blonde tout a l’heure, c’est excitant ! Elle ne pourrait sans doute pas jouir  ainsi, mais que c’est bon… !
Sandra se met à se masturber tout en s’empalant comme un fou sur le gros barreau de silicone ! Il faut dire que ma miss est plutôt bien membrée ! Humm ! Sandra gémit de plus en plus, ses hanches bougent bien, la brune s’agrippe à ses cuisses pour amplifier ses mouvements et le plaquer contre le gode à chaque va-et-vient… à ce rythme là, il ne tient plus longtemps, il a un orgasme et se laisse retomber en arrière dans les bras de ma miss, il a pris un super pied !
Nous avons beaucoup donné cet après-midi, nous nous sommes bien amusées et l’after à la maison va être torride !
P.S. de la brune : ma blonde s’est rapprochée de moi à la fin, j’ai adoré la sentir proche de moi, elle me manquait terriblement. Je n’aime pas plus que ça les jeux en duo, un peu oui, mais dès que c’est un peu long, ça m’ennuie… même si j’aime faire plaisir, à un moment donné, je n’y trouve plus mon compte…sentir ma blonde toute proche, m’apporte un bonheur incroyable… elle a un pouvoir sur moi qui est extraordinaire, je suis bien dès qu’elle est là, qu’elle soit en femme ou en homme, n’a pas d’incidence sur le phénomène...