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Sur ce blog nous racontons notre vie de libertins. Nos récits parlent de nos sorties et de notre vision du libertinage... Les lieux et endroits sont "améliorés", les repas "enrichis", l'histoire est parfois romancée afin que toute ressemblance avec la réalité ne puisse qu'être fortuite. Bonne lecture.
Caresse et Alpha
On this blog we are unveiling our swinger lifestyle. Our stories tell about our swinger parties and develop our vision of this particular way of life.
Places and meals are sometimes "improved", names are changed and the story itself may be "adapted" or even fully invented...
Enjoy your readings
Caresse (she) and Alpha (him)

jeudi 20 février 2014

Pipes en soldes (1/3)

(Sophia raconte)



Nous sommes en pleine période de soldes et avons profité de notre temps libre pour faire quelques emplettes entre filles et compléter ma garde-robe de blonde. Ce lundi, il est temps de l’étrenner dans notre club coquin préféré. Nous l’avons annoncé sur le site internet du club : lundi, on solde les pipes....... « Pendant que vos nanas feront chauffer votre carte bleue dans les boutiques, nous ferons chauffer vos queues dans les glory holes... » C’est finalement une sorte de garderie des maris pendant les soldes, une activité socialement utile pour la paix des ménages...

La brune travaille cet après-midi, nous sommes donc convenues de nous rejoindre directement au club vers 18h. Je n’ai pas de temps à perdre : rentrée du bureau vers 15h30 sous un fallacieux prétexte médical, il me faut deux heures pleines pour me transformer en blonde sulfureuse. Outre le maquillage et le choix des sous-vêtements sexy (guêpière à jarretelles, bas résille, string et serre-tailles bien ajusté), j’opte pour mon petit top noir à fines bretelles, une ceinture à grande boucle argentée et la jolie petite jupe bleue à pois et volants, très sexy, ainsi que mon petit tour de cou Catanzaro en dentelle noire, avec lequel ma miss me trouve un air super « soubrette sexy », et mes nouvelles boucles d’oreille en grappes pendantes.

Pour sortir incognito et ne pas me faire trop remarquer dans la rue, j’ai ma nouvelle tenue de camouflage : jean blanc de fille style « bootcut », bottes noires de fille à talon bas et surtout un long imperméable de nana à capuche, pour envelopper mes longs cheveux blonds. Je prends la route aux heures de sortie de bureau et me trouve prise dans un embouteillage de presque une heure sur la rocade, ce qui permet aux automobilistes qui passent à ma hauteur de me mater discrètement, j’adore cette sensation !

Par chance, il y a presque une dizaine de places de stationnement libres dans la rue du club, je peux me garer juste devant l’entrée. Autant j’apprécie d’être remarquée au volant de ma voiture, autant je n’ai pas très envie de me faire draguer dans la rue ! La brune m’a téléphoné pour me dire qu’elle venait de sortir du métro, à 800m de là, elle ne va donc pas tarder et me suggère de l’attendre au bar en lui commandant un coca light. Je sonne, notre hôte m’ouvre et, en me voyant, me dit qu’il ne m’avait pas reconnue au travers de la caméra... lol !

Je m’installe au vestiaire et n’ai même pas le temps de me changer que la brune me rejoint ! Yes !!! J’enlève le pantalon et les bottes, et j’enfile mes nouvelles bottines à lacets et talons de 7 cm achetées en soldes. De vraies pantoufles, qui me font aussi un peu moins grande, moins impressionnante que d’habitude. Nous allons prendre un café et un coca au bar, ce qui permet de discuter un moment avec les couples et hommes présents.

Mais nous avons annoncé que nous ferions des pipes, aussi passons-nous rapidement dans le coin à glory holes. Certains anticipent notre mouvement et sont déjà en attente à la porte de la cabine à trous. A peine avons-nous étendu nos serviettes sur le matelas que déjà deux ou trois queues frétillent dans les trous du mur ! Pas de doute, il y a de l’attente ! Ma chérie ne tarde pas à se saisir de l’une d’elles, elle l’a choisie en fonction du goût de sa blonde, longue et large, avec un gros gland rose très appétissant.

Le temps d’enlever mes bottines pour ne pas vriller le matelas, ma miss a mis cette queue en grande forme, elle apparaît en effet de dimensions plus que respectables, je fais un peu ma timide en la voyant ainsi dressée. Mais ma chérie m’intime de la prendre à mon tour et je m’y résous sans difficulté: mes lèvres s’ouvrent pour gober le gros gland puis avaler une partie de cette hampe énorme. Une fois dans l’action, je retrouve mes réflexes de blonde et me mets à la sucer avec habileté, alternant les caresses de mes lèvres et de ma langue pour la faire enfler et devenir bien dure.

Ma miss s’est trouvé une nouvelle queue dans le trou d’à-côté, elle la suce avec un préso au chocolat et semble se régaler. Ma grosse queue s’est un peu démotivée et j'ai dû la raffermir dans ma main, mais son propriétaire semble avoir envie d’aller un peu se promener. Je rejoins donc ma brune adorée qui me repasse sa queue chocolatée, plus petite que la précédente. Je ne comprends pas tout de suite ce qu’elle a en tête, mais un cliquetis dans mon dos me le fait soupçonner : elle vient de revêtir son gros gode-ceinture de 8 pouces (20 cm) et s’apprête à me sodomiser !

« Ce sera plus excitant pour les mateurs de l’autre côté du mur » dit-elle en riant. Je sens sa grosse bite en silicone dur s’enfoncer d’un coup dans mon petit trou qu’elle a préalablement lubrifié, whaouhhh.... elle est bien membrée ma miss, je déguste, sans pour autant lâcher la queue au chocolat que j’ai dans la bouche. Ma chérie est à genoux derrière moi, dévoilant son plantureux décolleté, à peine retenu par son body moulant, à la vue des hommes de l’autre côté de la paroi... Leur excitation est palpable, je sens la queue du mien se durcir fortement pendant que la brune me régale l’anus de ses coups de boutoir.

Je ne peux de ce fait plus utiliser mes doigts pour serrer la base de la bite que je suce, car je suis obligée de m’appuyer sur les mains et le front contre la cloison. Ma tête oscille au rythme des va-et-vient du gode au fond de mon intimité, et ma bouche va ainsi au rythme de mes hanches sur le sexe masculin qui coulisse de mes lèvres à ma gorge. Je prends un double plaisir énorme, et me mets à gémir sous l’emprise de mes sensations. Finalement, la bite de l’homme se raidit d’un coup au fond de ma bouche et il éjacule longuement dans le préso au chocolat.... Il était temps, la sodomie devenait insoutenable de plaisir, je demande à ma brune de faire une pause aussi, elle n’est pas près d’éjaculer, elle !

Elle enlève les lanières de son gode, mais me le laisse en place ! Une nouvelle queue a pris place dans le trou devant moi, ma miss lui met un préso pour me permettre de la sucer comme il se doit ! Ce que je fais avec un plaisir non dissimulé !

(fin de la 1ère partie)

lundi 10 février 2014

Partouzes au 72 (3ème round)

(Suite du récit précédent, Sophia raconte)

...nous avons décidé de passer le début de soirée avec notre ami Terrence qui est venu de loin et qui s’est beaucoup partagé pendant cet après-midi de partouzes débridées. Aussi, quand nous annonçons que nous retournons jouer dans les alcôves câlines, nous sommes obligées d’expliquer à Christian et Geoffroy – revenu de sa mission de taxi de ces dames – que nous souhaitons rester à trois... Geoffroy comprend très bien,  il a sûrement d’autres opportunités à explorer ce soir, le club se remplit pas mal à première vue, avec notamment de nouvelles travs qui n’étaient pas là cet après-midi. Mais Christian a plus de mal, curieux ces libertins qui tombent « amoureux » dès la première fois qu’on coquine avec eux... Ca a un peu tendance à nous « gonfler », la brune comme la blonde !

Nous nous installons dans l’alcôve climatisée du fond pour, cette fois, éviter les voyeurs des glory holes. De plus, nous savons que certaines des travs arrivées ce soir deviennent très boudeuses quand nous monopolisons ce coin-là un peu trop à leur goût, elles adorent sucer des bites à travers les trous de la paroi, dans le noir...

Je m’allonge sur le matelas mais Terrence reste debout à côté, je suis obligée de me tourner vers la gauche pour lui sucer la queue. Ma brune chérie s’est allongée à côté de moi pour me faire une fellation dont elle a le secret, j’adore ses lèvres gourmandes et sa langue coquine qui s’entortille autour de mon gland et me lèche dans les moindres recoins ! Mais Terrence n’est pas bien installé, nous lui proposons de monter sur le matelas avec nous, ce qui nous permet de faire un petit 69.

Il s’allonge tête-bêche avec moi et nous commençons à nous sucer mutuellement. Ma miss en profite pour passer derrière Terrence et lui doigter le petit trou. Il est déjà terriblement excité de l’après-midi qu’il vient de passer, aussi me fait-il ralentir un peu mon rythme, il craint d’éjaculer prématurément dans ma bouche, d’autant que nous n’utilisons pas de préso entre nous pour les fellations! Je me concentre donc sur ses couilles bien épilées que je malaxe avec ma langue en les serrant à la base avec mes lèvres fardées.

Puis nous changeons à nouveau de position, Terrence s’équipe d’un préso et ma brune se met à quatre pattes devant lui. Il lui saisit les hanches et se met à la prendre par-derrière. Moi je me glisse devant ma chérie et m’accroupis pour lui présenter ma queue bien mise en forme par Terrence. Nous restons ainsi un moment, ma Caresse se faisant prendre pendant qu’elle me suce de nouveau le sexe. Je vois alors une silhouette d’homme dans l’encadrement de l’alcôve...

Curieux, un homme seul qui a réussi à entrer dans le coin couples... sans doute à la faveur de l’entrée d’un autre couple, mais dans ce cas il aurait dû rester avec ce couple. Je n’aime pas trop cela, mais l’homme reste sur le seuil à nous regarder tout en se masturbant.

Il se rapproche petit à petit du matelas, le voici très près de ma chérie, je n’aime pas beaucoup cette approche alors que nous ne lui avons pas fait signe de se joindre à nous. Ma miss lâche un instant ma queue, se retourne et reconnaît l’homme : c’est Karl ! Elle lui fait signe de venir avec nous sur le matelas. C’est seulement à ce moment que je le reconnais aussi, me voici soulagée !!

Ma miss en a un peu assez de se faire prendre à quatre pattes, surtout que nous avons déjà pu constater l’endurance de Karl : s’il prend la place de Terrence, ma chérie n’est pas sortie de l’auberge ! Nous nous reconfigurons donc : Terrence s’allonge au fond sur le dos et je le reprends dans ma bouche pendant que Karl caresse les seins de ma brune et l’embrasse.

Il bande déjà très dur et inévitablement demande à ma Caresse s’il peut la prendre.... Il est insatiable, aujourd’hui il a déjà pris Sidonie en DP, Marjorie, Kittie et/ou Anouk et peut-être d’autres encore ! Ma miss botte en touche : non merci, s’il a envie de pénétrer quelqu’un ce soir, ce sera... la blonde !

Karl ne se démonte pas : OK, dit-il, en revêtant un préservatif... Il est vrai que je suis déjà dans une position affriolante, les fesses en l’air en train de sucer Terrence. C’est presque un appel au crime ! Karl n’a qu’à s’agenouiller derrière moi, pendant que ma miss me passe une couche de lubrifiant anal – Lubrifist, rien ne lui résiste ! – et je sens sa grosse queue s’enfoncer en deux ou trois poussées seulement entre mes fesses.

Il me tient par les hanches, juste en-dessous de mon corset noir... Mon string en dentelle rouge est tombé depuis bien longtemps, il a une vue imprenable sur mes jarretelles noires qui tiennent mes bas résilles. Ma taille de guêpe et mes longs cheveux blonds dans le dos contribuent à accroître, s’il est encore possible, son excitation.

Je le sens s’activer avec un bon rythme, donnant de temps à autre de furieux coups de bassin en ahanant. De mon côté je n’ai pas lâché la bite de Terrence entre mes lèvres, mais je suis obligée de m’appuyer sur les deux mains pour tenir la position sous les coups de boutoir de Karl. De ce fait, je deviens plus passive et laisse mon amant imprimer son mouvement à tout mon corps, tête comprise. C’est donc au rythme des poussées de Karl au fond de mon petit trou que ma bouche coulisse sur le membre turgescent de Terrence, qui s’est rejeté en arrière, les yeux presque révulsés...

J’ai constaté que, dans ce genre de situation, je ressens un doux sentiment de féminité passive, mon sexe devient inexistant, je ne le sens plus, tout entière immergée dans les sensations excitantes que me procurent la sodomie et la fellation simultanées...  Ma miss, un peu épuisée par cette journée de folie où nous avons enchaîné les partouzes depuis plusieurs heures se contente de mordiller les tétons de Karl, une caresse qui l’excite aussi beaucoup.

Je sens la bite de Terrence se durcir durablement dans ma bouche mais il se contrôle, je le connais, il résiste à la montée de son orgasme pour faire durer le plaisir. Derrière moi, en revanche, le mouvement s’accélère, Karl se met à grogner de plaisir et soudain se fige, immobile, son barreau entièrement enfoncé dans mon petit trou : il jouit ainsi pendant un long moment... Puis il se retire en soupirant, il a de nouveau besoin d’une bonne douche... quel étalon celui-là !

Mais Terrence n’en a pas fini : il demande à ma miss s’il peut la prendre de nouveau. Nous savons qu’il aime se « finir » plutôt dans l’intimité d’une femme, et ma chérie consent à se laisser de nouveau prendre en levrette. Je me repositionne devant elle de façon à ce qu’elle puisse aussi me sucer....

Karl revient peu après, douché de frais, il va pouvoir se reposer un peu en profitant du spectacle. Celui-ci ne sera d’ailleurs pas très long : excité par l’accumulation de toute la journée, Terrence vient enfin dans la chatte de ma brune, il éjacule sans bruit et se retire, épuisé... Ma miss poursuit sa fellation sur moi jusqu’à me faire jouir moi aussi dans sa main, un joli collier de perles éclabousse ses superbes seins...

Retour à la douche puis au bar pour prendre un dernier verre avec nos amis, un vrai plaisir que de sortir en club libertin avec eux... Mais nous sommes lessivées, il est temps de rentrer se coucher !

samedi 1 février 2014

Partouzes au 72 (2ème round)

(suite du récit précédent, Sophia raconte)

... Après quelques rafraîchissements, nous retournons dans les coins câlins. L’équipe est constituée de coquins qui en veulent, ils ont très envie de jouer depuis le début de l’après-midi ! Geoffroy s’est éclipsé pour ramener ses deux cavalières chez elles mais il a promis de revenir un peu plus tard.

Nous nous retrouvons donc à 6 dans le coin aux glory holes : Paul et Marjorie (leurs amis sont partis également), Karl, Terrence et nous, la brune et la blonde. Quelques hommes seuls piaffent déjà d’impatience derrière les trous du mur et d’autres passeront dans le coin câlin en « visiteurs » au cours de nos jeux à 6...

Paul s’est installé un peu sur le côté pour profiter aussi de notre spectacle, tandis que sa petite femme occupe le centre du matelas avec les deux autres coquins : elle suce la bite de Terrence pendant que Karl s’occupe de sa chatte par-derrière. Ma chérie lui stimule les tétons et l’embrasse de temps à autre. Quant à moi, je me suis adossée à la paroi du fond, en attente, un glory hole de part et d’autre. Justement deux queues s’y présentent, je saisis l’une avec ma main droite, l’autre avec la gauche et me mets à les masturber énergiquement tout en profitant du spectacle.

Marjorie est au four et au moulin, mais elle adore ça. Elle switche fréquemment de la queue de Terrence à celle de son petit mari. Pour ma part, je sens rapidement que la queue de droite frémit dangereusement, et en effet je sens soudain un liquide chaud emplir ma main et dégouliner sur le matelas : en voilà un de « cuit » comme dirait ma miss ! Je me concentre sur le deuxième et ne tarde pas à le faire jouir dans ma main également. Je suis bonne pour un passage aux toilettes !

Je prends mon petit sac doré d’Ibiza qui contient tout le nécessaire pour me refaire une blondeur, tant qu’à passer aux toilettes autant en profiter ! Dans le couloir, les hommes en serviette de bain s’écartent sur mon passage, il faut dire que je suis imposante avec mes 15cm de talons alors qu’eux sont pieds nus, un avantage certain pour se faire respecter en tant que blonde... lol

Je me recoiffe, me refais les yeux avec le mascara high volume et les lèvres avec mon rouge à lèvres le plus vif, le plus provocant : j’adore sucer des queues avec les lèvres outrageusement fardées de rouge ! Mon retour dans le couloir suscite un certain intérêt parmi les hommes présents, certains me pressent pour entrer avec moi dans le coin des couples mais je ne me laisse pas faire, on ne se connaît même pas que je sache ! Encore que... dans les glory holes, on ne fait connaissance qu'avec une toute petite partie de l'individu de l'autre côté de la paroi, eux ils nous reconnaissent ensuite mais nous pas forcément!


De retour dans le coin de notre partouze à six, je m’installe sur le matelas pour aider mes consoeurs qui sont à la peine depuis un bon bout de temps. Ma brune me passe le relais pour sucer Terrence, toujours aussi dur depuis le début de la soirée. Je me régale de sa queue large mais courte qui ne m’étouffe pas, comme d’autres, au fond de ma gorge . Puis c’est au tour de Karl : il s’installe sur le matelas et je le suce goulûment, sa queue a un peu les mêmes caractéristiques que Terrence mais elle est nettement plus longue. L’un comme l’autre savent s’en servir, c’est un vrai plaisir de jouer avec eux.

Je sens pendant ce temps d’autres bouches qui me sucent la bite, je reconnaîtrai celles de ma chérie et de Marjorie. Paul n’est pas vraiment bi, mais sa chérie est excitée à l’idée de le faire sucer par la blonde : elle lui demande s’il est d’accord, il ne dit pas vraiment non car au fond, il a envie de sa blonde ! Je ne me fais pas prier et enfourne sa queue, elle aussi bien dure, pendant que sa chérie suce la mienne. Hmmmmm, un régal !

Puis je me mets en 69 avec ma Caresse, elle par-dessus moi, pendant que Karl la prend de nouveau en levrette. Elle me suce la pine pendant que je titille son clito avec ma langue et je peux aussi admirer le membre puissant de Karl qui coulisse dans son vagin, à quelques centimètres de mon visage. De temps à autre, je peux prendre les couilles de Karl dans ma bouche pendant qu’il lime ma belle afin d’augmenter son excitation. Il finit par venir de nouveau en poussant un rugissement étouffé. Cet homme est étonnant, nous nous rendrons compte après coup qu’il a  joui 3 ou 4 fois de suite dans la même soirée, sans que cela diminue ses performances sexuelles ensuite !

Cela fait encore un bon moment que nous jouons, nous avons de nouveau besoin de passer nous rafraîchir au bar... (à suivre)