(Alpha raconte)
Ma Caresse était restée avec moi ce lundi, mais elle avait un rendez-vous professionnel dans la matinée. Nous nous fixons rendez-vous pour déjeuner dans l’un de nos restos préférés du centre-ville, une adresse secrète que nous ne dévoilons qu’aux meilleurs amis. Il fait plutôt beau et nous pouvons profiter de la douce température car portes et fenêtres sont grandes ouvertes.
Nous reprenons ensuite la voiture et trouvons une place en bordure du canal. Comme nous sortons du bureau, nous sommes en tenue de ville, mais j’ai pris un petit sac en cuir avec l’essentiel des affaires de Sophia... au cas où ! Un petit attroupement attire notre attention devant la porte du club. Nous reconnaissons Jo, en train de fumer, Michel et leur fille Mélanie qui font de grands gestes... Branle-bas de combat! Les aubergines sont en train de distribuer des papillons, il faut déplacer les voitures mal garées ou faire semblant d’aller chercher un ticket à la machine. Jo, pendant ce temps, « charme » les uniformes pour les retarder dans leur entreprise...
Nous distribuons les bisous et entrons à l’ombre dans le hall d’entrée du club, grand ouvert sur la rue. Ma Caresse remarque au passage le regard en-dessous de l’un des fonctionnaires municipaux, manifestement intéressé, voire émoustillé à la vue d’une « vraie libertine » en chair et en os ! On sent dans ce regard tout le poids du fantasme non assouvi... Ma chérie se rencogne un peu plus dans l’ombre pour échapper à ce regard lubrique.
Scoop : Michel nous apprend que, non seulement le jacuzzi a été rénové mais mieux, il est repassé au chlore. Exit le brome et ses intoxications allergiques ! Nous allons pouvoir retourner faire des trempettes coquines: nous savons depuis notre dernière croisière que nous n’avons pas de sensibilité au chlore, les jacuzzis du bateau n’ont en effet eu aucun effet secondaire sur nos peaux sensibles. Nous passons rapidement au vestiaire nous déshabiller, douche rapide et zou... nous voici de retour dans le jacuzzi. Mmmm, quel délice !
Il y quelques hommes seuls autour de nous et un couple à l’autre extrémité du bassin, déjà entouré par une grappe de « piranhas »... Ma chérie s’est assise dans l’angle de la banquette, moi à genoux dans l’eau devant elle, dans une position donc qui n’offre aucune invitation a priori. Néanmoins, l’homme sur sa gauche commence à lui caresser la cuisse. Il faut préciser que, hasard de calendrier, la mise en fonction du jacuzzi rénové du
Au bout d’un moment, nous décidons de permuter nos positions dans le jacuzzi, je me mets contre le mur et ma miss se love dans mes bras, dos au jacuzzi. C’est un signal pour « la curée » : en quelques instants nous sommes entourés de « piranhas », 4 ou 5 en tout, qui commencent à peloter ma miss de partout. Une main se glisse sous l’eau et commence à me masturber subrepticement: nous sommes en journée bi, rien d’anormal ! Ma chérie se met rapidement à chanter sa chanson de plaisir, ce qui active encore davantage les prétendants, l’un d’eux commence à lui fourrer sa queue dans la bouche. Plus à droite, un homme à la forte carrure s’approche debout dans l’eau en se masturbant ouvertement et se dirige... vers moi, avec une certaine velléité de se faire sucer lui aussi, apparemment !
Comme nous n’avons pas de préso à portée de main - on oublie vite les bonnes habitudes, faute de pratique - je décide que ça commence à faire beaucoup et je suggère à ma miss que nous sortions du bain. D’ailleurs nous ne sommes pas encore passés au bar et nous comptions bien y prendre, en arrivant, le café que nous n’avions pas pris au resto. Nous nous frayons un chemin hors de l’eau, nous nous rinçons à la douche et allons prendre ce café avec nos hôtes.
Puis nous passons dans notre coin habituel, celui des glory holes. Rapidement, les 5 trous se garnissent de queues gourmandes, nous en choisissons chacun une et commençons à les caresser. Assez vite, la mienne bande bien fort et je l’équipe d’un délicieux préso au chocolat. Ma chérie n’a pas cette chance, à peine a-t-elle branlé la sienne qu’elle décharge soudainement un jet de sperme dans sa main... Encore un éjaculateur précoce !
La bite que je suce est très bonne, bien grosse et bien dure, je me régale. Ma chérie en trouve une autre, l’équipe d’un préso à la fraise mais elle a juste commencé à la sucer que l’homme se retire et disparaît avec le délicieux préso !! Grrrrrr... Dépitée, elle revient vers moi et me caresse tendrement. Déjà très excitée, elle décide de sortir son gros gode-ceinture de 8 pouces . Elle, moi et le gode faisons toujours beaucoup d’effet sur les hommes qui matent de l’autre côté de la paroi.
Elle se place à genoux derrière moi, m’enduit le petit trou, qu’elle appelle « ma chatte » en souvenir d’une rencontre à Ibiza (voir récits parus en mai 2013), d’un peu de lubrifiant, puis elle me pénètre progressivement en faisant un mouvement de va-et-vient, pour m’enfoncer son engin jusqu’à la garde.... Ouch !
Je me fais enculer par ma chérie pendant un long moment, tout en suçant la grosse queue chocolatée, un double plaisir bien agréable. Mais ma Caresse a trop chaud, elle défait son harnais, tout en laissant le gode en place au fond de mon petit trou. Elle se met à le mouvoir avec la main, le mouvement est excitant et savamment dosé, je suis au paradis, d’autant qu’un bras passe par le glory hole latéral et prend le relais, beaucoup plus vigoureusement ! Je déguste, mais cela reste heureusement supportable et je prends beaucoup de plaisir ce qui me fait bander comme un taureau.
Je m’active de plus belle sur la bite chocolatée et ne tarde pas à la faire longuement éjaculer dans ma bouche, en plusieurs saccades... Mmmmm, la bite ne ramollit pas pour autant, elle demeure enfoncée en moi encore un moment, s’affaissant progressivement. L’homme semble se retirer à regret, je la laisse lentement sortir et la caresse une dernière fois de la main : « encore un qui est tombé amoureux de toi » dira ma belle.... lol !
Dans l’intervalle, ma Caresse a trouvé une autre queue, plutôt fine comme elle les préfère, et elle lui a mis un préso au chocolat (nous avons récemment réapprovisionné en chocolats et en fraises....). Le jeune homme lui demande d’entrer jouer avec nous, ma miss se tourne vers moi, interrogatrice. Je lui dis que je ne sais pas, je ne l’ai pas testé ! Elle lui demande s’il est bi, le jeune homme acquiesce et je le prends à mon tour dans ma bouche. Au bout d’un moment, j’avoue à ma miss, avec plaisir, qu’il est « bon pour le service », je donne mon assentiment et ma chérie va lui ouvrir la porte.
Il dit s’appeler Baptiste, c’est un jeune homme de moins de 30 ans, d’allure et de visage sympathiques. Il bande dur, comme nous avons déjà pu le constater. Il s’allonge avec nous sur le matelas et je le reprends dans ma bouche. Ma miss se met à lui sucer les boules, puis elle lui fait un anulingus. Ses soupirs et mouvements nous indiquent qu’il apprécie tout cela. Mais à un moment il nous dit être gêné d’être vu de dehors, il demande à aller dans un des coins câlins du fond, sans glory holes. Je lui propose plutôt d’éteindre la lumière, car nous n’avons pas envie de nous faire « piquer » le coin à glory holes ! Cela lui convient, nous reprenons donc nos jeux bissexuels dans le noir. Nous entendons toujours les hommes seuls piaffer derrière nous de l’autre côté de la cloison.
Baptiste se sent beaucoup mieux, il se lâche davantage, ondule du bassin et soupire de plaisir. Il exprime verbalement son appréciation, il est vrai que notre double caresse buccale est réputée diabolique. Ma chérie a changé de position et s’est mise à califourchon au-dessus de lui pour qu’il lui lèche le minou. Bien stimulé des deux côtés : la chatte de ma miss qui suinte sur sa langue et ma bouche qui avale son braquemart tout entier, tout en lui serrant les couilles avec ma main, Baptiste est de plus en plus excité, son plaisir atteint des sommets et il ne peut se retenir plus longtemps de jouir, il fait jaillir 5 longs jets de sa semence virile dans ma bouche....hummm quel pied pour nous trois !
Quand nous rallumons, il a l’air « groggy » et reste encore un bon moment avec nous, causant avec ma chérie pendant que je me concentre sur une nouvelle queue apparue dans un trou. Il nous remercie et demande à nous revoir, encore un qui est tombé amoureux ! Plus tard il nous enverra un gentil e-mail de remerciement avec ses coordonnées. Avant de nous quitter, il avoue à ma Caresse qu’il aurait aimé la lécher plus longuement... Pour ma part, je viens de faire éjaculer la nouvelle queue en à peine trois minutes, ma main est couverte de sperme, il faut que je sorte me laver ! Ma miss vient se rafraîchir également...
Nous arrêtons là pour cet après-midi. Nous avons en effet prévu de revenir... ce soir, car ma miss doit prendre un train de nuit à la gare Matabiau. Nous repartons autour de 16h30, ce qui nous permet d’éviter les embouteillages de la rocade et nous donne ainsi largement le temps de dîner et de nous préparer pour la soirée, car ce soir ma brune sort.... avec sa blonde !
(à suivre...)
Ah les fameux "morts de faim" ! ils sont partout à l'affut de la moindre coquine sans défense.
RépondreSupprimerPas facile de les éliminer car ils payent leurs entrées au prix fort et les établissements ont besoin d'eux pour vivre malgré tout.
Le respect des autres se perd et on finit par avoir des clubs désertés par les vrais libertins.
Philippe
Tout à fait exact, le libertin de qualité est une espèce en voie de disparition!
SupprimerC'est pas faute d'essayer de se reproduire. lol
SupprimerPhilippe
Très joli billet!
RépondreSupprimerAh... Ces morts de faim...
Ils sont en train de faire aujourd'hui le succès des soirées privées, où les hôtes organisent des soirées avec invitation d'un ou deux hommes seuls triés sur le volet!
Nous restons persuadé qu'il reste des gentlemen... mais la majorité de morts la faim écrase la minorité de gentlemen...
D'ailleurs... Nous avons déjà eu des trios avec des gentlemen, comme le montre les récits trios sur notre blog...
Le dernier avec Eddy par exemple... Un homme qui nous a admirablement reçu chez lui et a traité Kristel avec respect...
D'ailleurs... Le premier "change" avec Eddy se fit au sein d'une soirée privée organisée par des amis...
En Belgique, en parlant avec certaines personnes, on se rend compte que le prix relativement élevé demandé aux hommes seuls leur donne une impression de "droit à la consommation".
On remarque d'ailleurs de plus en plus de soirée ou après-midi gang bang dans les clubs... Histoire de faire un chiffre d'affaire pour les clubs... Histoire de proposer un "menu" aux hommes...
Quelqu'un chante "la liberté de penser"... J'aimerais entendre en club "la liberté de dire non" :)
Mais chez nous... En 2015, les sorties en clubs se feront plus mélangiste qu'échangiste...
Kristel a trop été déçue par les morts la faim... Et ce que femme veut... Dieu le veut :)