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Sur ce blog nous racontons notre vie de libertins. Nos récits parlent de nos sorties et de notre vision du libertinage... Les lieux et endroits sont "améliorés", les repas "enrichis", l'histoire est parfois romancée afin que toute ressemblance avec la réalité ne puisse qu'être fortuite. Bonne lecture.
Caresse et Alpha
On this blog we are unveiling our swinger lifestyle. Our stories tell about our swinger parties and develop our vision of this particular way of life.
Places and meals are sometimes "improved", names are changed and the story itself may be "adapted" or even fully invented...
Enjoy your readings
Caresse (she) and Alpha (him)

vendredi 30 juin 2017

Pris par tous les trous...

Je vous ai souvent raconté les nombreuses fellations que j’ai pratiquées dans les glory holes ou dans les cabines coquines, jusqu’à 10 mecs à la suite dans la même séance… Mais je ne vous ai pas parlé d’autres rencontres où je fais aussi la fille pour ces hommes... et pas avec la bouche seulement.


A Toulouse, lorsque je sortais très souvent travesti en blonde sexy (Sophia pour les intimes), il m’est arrivé plus d’une fois que les préliminaires de fellations se poursuivent en cabine avec le ou les heureux bénéficiaires et que je me fasse ainsi sodomiser en levrette, parfois en même temps que je suçais une autre queue… Il y a eu quelques parties mémorables, dont l’une avec nos amis espagnols Rob et Maria. Je me souviens qu’à un certain moment, j’étais sur le dos dans l’angle des glory holes, mes longs cheveux blonds épars autour de moi, en train de me faire enculer par un type très bien membré (je ne suis plus sûr que ce fût Roberto) pendant que je suçais une autre queue sur mon côté gauche et que j’en masturbais une à travers un glory hole sur la droite. Et, cerise sur le gâteau, plusieurs bouches féminines (Caresse, Maria…) en avaient profité pour me sucer en même temps. Je garde en mémoire ce moment comme une représentation tangible de ce que pourrait être le Paradis…


Lors de mes sorties en solitaire à Bordeaux, j’ai le plus souvent renoncé à la blonditude et je sors juste comme je suis, en quinquagénaire grisonnant. On m’a en effet souvent dit – femmes, trans ou hommes – que j’étais sexy et « appétissant », au point même que certaines trans ou certains hommes disent vouloir m’épouser ! Je les déçois quand je leur réponds que je ne cherche personne car je suis déjà en couple et, circonstance aggravante, avec une femme (bio) !!!


Il n’empêche, je rencontre certains partenaires avec qui cela va au-delà d’une simple branlette manuelle ou d’une fellation éjaculatrice dans les glory holes. Quelques-uns en effet, après avoir été passablement excités par mes soins (et surtout ma langue et mes mandibules) me proposent de passer dans une cabine où nous nous enfermons à deux pour ne pas être systématiquement dérangés par les hommes seuls ou les travs qui tournicotent à l’étage.


Il y a un côté « surprise » car on ne distingue pas très bien son partenaire à travers les fentes du mur. Je me souviens ainsi d’un homme très petit, que j’avais longuement sucé et qui bandait bien dur. Sa taille m’a surpris quand il a fait le tour de la paroi pour me rejoindre : je le dominais d’une tête et ceci sans mes escarpins de blonde ! D’habitude, quand je suis dans l’esprit de faire « la fille » je m’attends à des partenaires dominants, plus grands que moi.





Nous passons dans le coin câlin et je m’agenouille pour le remettre en forme ce qui me prend très peu de temps. Me surprenant une deuxième fois, il me fait arrêter en me demandant s’il peut me prendre. Surpris mais ravi, j’acquiesce et m’empresse de l’équiper d’un de nos présos extra strong puis de me lubrifier la raie des fesses. Il me demande de me pencher en avant sur le matelas haut, lui reste debout derrière moi. Il réussit rapidement à m’enfiler mais je dois écarter mes jambes assez largement pour être à la bonne hauteur en raison de sa petite taille. Eh bien, croyez-le ou non, contre toute attente, mon petit amant s’est avéré très efficace pour me faire jouir analement et lui-même n’a guère tardé à éjaculer dans mon intimité. En vrai gentleman, il a pris congé en me remerciant… Comme quoi, on en peut jamais jurer de rien à l’avance !




Un autre, que j’avais pareillement sucé presque jusqu’au point de non-retour, m’a proposé de passer dans le coin câlin aux glory holes (sans ventilo). Il était nettement plus jeune, la trentaine, un peu bedonnant, mais avec un visage souriant. Il s’allonge sur le matelas, je le suce longuement tandis que des queues apparaissent dans les trous de la paroi, ce qui me permet de les caresser à la main. Finalement, mon « ami » souhaite lui aussi me prendre. Je l’équipe et lui demande dans quelle position il souhaite m’enculer : il me dit qu’il préfère rester allongé sur le dos et me demande de m’asseoir sur lui… Alexandre le bienheureux !




Je n’ai pas trop l’habitude, j’essaie de m’enfiler sur sa bite dure en me tenant à genoux de part et d’autre de ses cuisses mais ça ne marche pas. Finalement je m’accroupis sur mes pieds et parviens à enfiler sa queue dans mon petit trou en m’aidant de la main droite. Il m’aide aussi en me tenant par les hanches et se met à me donner des coups de bassin. C’est une position assez nouvelle mais que j’ai trouvée excitante pour moi car plus humiliante que quand je me fais enculer en levrette. L’homme ne tarde pas à jouir dans mon intimité et, après une toilette succinte, me remercie lui aussi pour ce délicieux moment.




Un autre partenaire plutôt taciturne m’avait invité un jour à aller dans ce même coin aux glory holes et nous avions passé un long moment à nous sucer mutuellement en 69. In fine, je l’avais fait jouir à la main.




Parmi ces gentlemen du libertinage bisexuel, François s’est avéré un partenaire très intéressant, qui m’a fait découvrir lui aussi une nouvelle position. Après l’avoir longuement sucé dans les glory holes et constaté qu’il était très bien membré, nous sommes passés aussi dans la cabine climatisée. Après que je l’eusse de nouveau sucé en m’agenouillant devant lui, il avait adopté un style dominant car il me trouvait assez « soumis », surtout quand je lui avais confirmé avoir des jeux de type D/s avec ma Caresse. François m’aurait, lui aussi, bien doté d’un collier de soumis dont il aurait gardé la clef… Une forme de demande en mariage ?




Finalement, il me demande de m’allonger sur le dos sur le matelas haut… Mais lui reste debout à côté. Je ne comprends pas trop bien ce qu’il veut. Il me fait me placer au bord, la nuque sur le rebord du matelas et la tête un peu en arrière dans le vide. Il me présente alors sa bite en érection et me la fourre dans la bouche, tout en bloquant mes bras avec les siens. Je comprends alors qu’il va me faire faire des gorges profondes à l’envers ! Et c’est en effet ce qu’il fait, alternant le teasing de son gland volumineux sur mes lèvres avides et les poussées de son braquemart jusqu’à la garde au fond de ma gorge où il demeure quelques instants pendant que je suis en apnée ! Un jeu très excitant… que je ne demande maintenant qu’à renouveler !!!




Après avoir longuement joué à deux dans la cabine, nous avons ensuite pris ensemble un pot au bar du rez-de-chaussée ce qui nous a permis de mieux faire connaissance et d’échanger nos numéros. Un partenaire précieux, à conserver !!!





P.S.: Deux ans plus tard... bien qu'assez assidu au Container, je n'ai jamais revu François!

mardi 20 juin 2017

Douche de sperme dans les glory holes


(Alpha raconte)
 
Je n’avais pas prévu d’y aller cet après-midi mais l’occasion s’est présentée en dernière minute. Je parviens au Container vers 15h et je salue JC, notre hôte avec qui je prends l’habituel petit café au bar.

Puis je monte dans les glory holes verticaux : il y a déjà des « suceuses » en pleine action. Un homme de petite taille aux fesses bien rebondies est en effet en train de sucer goulûment une bite à travers l’un des trous. Il y a d’autres « suceuses » qui attendent ou regardent en se branlant… je me dis qu’il y a de la concurrence, je vais faire un tour au jacuzzi en attendant que ça se calme. Je constate qu’au moins il n’y a que des hommes aujourd’hui, pas la moindre femelle en vue ni les quelques travesties habituées. Ca devrait donc être assez « chaud » !

Quand je reviens, il n’y a plus personne. Je me mets en position debout dans l’angle, attendant les « clients ». Il en passe deux ou trois, pour une petite sucette sans lendemain : il y a souvent beaucoup de zapping dans cette activité. Puis arrive sur ma droite une petite queue chaude et déjà toute dure. Je peine à l’attraper dans la main droite car elle ne s’enfile pas complètement dans le trou, son propriétaire m’a l’air passablement excité : il va et vient d’avant en arrière en gémissant. Finalement je prends sa bite fermement dans ma main passée à travers la fente du mur et je me contente de la presser en cadence. L’homme devient très dur et se met à soupirer en disant : « Ah je vais jouir, oui c’est bon !… » et de fait, je sens soudain un liquide chaud et gluant dégouliner sur ma main et mon avant-bras. Je desserre lentement mon étreinte avant de laisser filer cet amant trop pressé.

J’ai à peine le temps de le voir partir que le trou du milieu se garnit à son tour d’une queue longue et assez fine. Je l’encourage dans ma main gauche (la droite est poisseuse de sperme) puis dans ma bouche. Il devient bien dur et je m’évertue à l’exciter en le faisant durer : j’alterne gorges profondes, suçotements et aspirations du gland que j’enroule dans ma langue, tout en le serrant à la base de mes doigts. Une autre queue, grosse et un peu courbée à gauche apparaît dans le trou voisin : je la reconnais pour l’avoir sucée tout à l’heure mais elle me semblait un peu suintante, je me contente de la branler de la main gauche. Je continue en même temps de sucer la queue longiligne devant moi mais ma main droite demeure inactive. Dommage, j’avais adoré une fois précédente où j’avais sucé la queue devant moi pendant que j’en masturbais deux autres, une dans chaque main. Un quatrième homme était alors arrivé derrière moi et avait commencé à me branler tout en frottant sa bite dure entre mes fesses… Mmmm, un délicieux moment !

Au bout d’un moment, la grosse bite de gauche a fini par se retirer sans jouir, comme tout à l’heure. Elle est remplacée par une petite bite qui me semble molle quoique excitée. L’homme s’agite de manière désordonnée, j’ai du mal à être synchrone avec lui. Finalement je le serre dans ma main sans bouger, je le laisse prendre son rythme sans interférer. Et d’ailleurs il ne lui faut guère longtemps pour se lâcher : je sens à nouveau une gelée chaude couler sur mon poignet et mon porte-clefs de vestiaire. Un deuxième bracelet…

Je lâche cette queue « achevée » et je me concentre sur celle que je suce car elle me semble elle aussi être presque « à point ».  Je la prends dans ma main et me mets à la masturber activement. Je sens l’homme se tordre et gémir puis il s’immobilise en jouissant sur ma poitrine : quatre ou cinq jets abondants de semence blanche que je sens couler sur mes pectoraux. Un joli collier de perles, à ajouter à mes deux bracelets.

Je me dis qu’il faudrait que je passe à la douche mais ce n’est pas le bon moment : une nouvelle grosse queue apparaît à gauche, déjà emballée d’un préso. Je me mets donc à la sucer, tout en caressant occasionnellement une autre queue de ma main droite encore poisseuse. L’homme a une grosse queue courbe et un gland énorme qui me remplit toute la cavité buccale. Pas de gorge profonde avec lui… En revanche l’aspiration du gland, couplée à l’enserrement des doigts à la base fonctionne bien. L’homme gémit et durcit nettement. Il ne lui faut guère longtemps pour à son tour éjaculer dans le préso qu’il remplit de sa crème épaisse…

Depuis tout à l’heure, j’ai la concurrence d’une trav brune qui tournicote autour des glory holes, zappant d’une queue à l’autre. Je l’ai vue partir dans le coin noir successivement avec plusieurs hommes. Fémininement parlant, je ne la trouve pas très réussie.. mais elle semble quand même avoir du succès, il faudra que je revienne en Sophia un de ces jours.

Pour l’heure, une nouvelle queue est venue se planter dans le trou devant moi, déjà en érection. Je me méfie des hommes un peu trop excités qui pourraient lâcher la purée sans crier gare... Je la prends donc prudemment dans ma main pour examiner son degré d’excitation que je trouve bien élevé. L’homme semble d’ailleurs apprécier que je le masturbe, il bouge bien et ne semble pas demandeur de mes lèvres. Bien m’en prend car il jouit soudain abondamment,  quelques longs traits de sperme chaud, de nouveau sur ma poitrine. Le sperme de son prédécesseur n’avait pas eu le temps de sécher que voilà la deuxième couche. Cette fois je sens des coulures de mon cou jusqu’à mon nombril…

Mais les « clients » se sont dispersés, je décide d’aller voir dans le miroir de la cabine voisine dans quel état je suis. Waouh ! Ce n’est plus un collier de perles, c’est une rivière de diamants !! Avec les bracelets assortis, on dirait que j’ai dévalisé une bijouterie de la place Vendôme ! C’est assez excitant et impressionnant de se voir ainsi couvert de sperme inconnu. Je finis par m’essuyer puis je file me doucher.

En regardant la pendule du bar, je m’aperçois que j’ai vidé les couilles de six mecs en moins de deux heures… j’en suis assez fier ! Je retourne dans les glory holes car j’ai encore du temps et l’envie ne manque pas non plus. Mais je n’y trouve que la trav brune et deux apprenties suceuses ventripotentes qui tournicotent dans tout l’étage. Je décide de passer de l’autre côté pour me faire sucer à mon tour mais, hormis une bouche inconnue qui me fera bander pendant deux minutes, rien d’autre… Je redescends donc du côté des suceuses.

Je vois passer et repasser un petit homme d’une cinquantaine d’années, qui semble lui aussi vouloir sucer. Pas de bol… Mais, au bout d’un moment, il change d’avis et vient se placer de l’autre côté dans le trou me faisant face. Je me mets donc à le câliner et le sucer, il devient bien dur et sa queue, de proportions modestes au départ, devient de taille respectable. Juste assez  pour que je puisse lui faire des gorges profondes, sentir son gland à l’entrée de ma gorge tour en enfouissant mon nez dans sa légère toison pubienne.

Au bout d’un long moment, il me demande en chuchotant si j’accepterais d’aller en cabine avec lui. J’acquiesce et lui propose celle avec le ventilateur, les autres sont trop étouffantes dans l’action. Il s’allonge sur le lit et je lui demande s’il a lui aussi envie de me sucer car je l’avais vu tournicoter dans les glory holes. Il me répond que non, il ne suce pas ! Ah bon, je m’attendais à un petit 69 mais finalement ce sera moi la suceuse encore une fois. Ce n’est évidemment pas pour me déplaire…

Je me place entre ses jambes et reprends mes œuvres, en insistant sur le gland (léchouilles, aspirations), la base que je serre entre mes doigts et les gorges profondes qu’il apprécie particulièrement. Je le suce ainsi longuement, en respirant avec peine dans cette position allongée. Il décide alors de passer ses jambes en ciseau sur mes hanches et me prend la tête avec une main pour m’enfoncer sa queue bien au fond. Puis il innove : il décroise les jambes et vient prendre entre ses deux plantes de pieds mes couilles déjà emprisonnées dans mon cockring en cuir. Il me les malaxe et les étire ainsi, me faisant bander comme un âne…

Il se met alors à donner des coups de bassin pour aller et venir de toute la longueur de sa bite dans ma bouche. Je sens son gland au fond de ma gorge et je m’efforce d’ouvrir grand les lèvres, en sortant la langue, pour qu’il puisse se frayer un chemin le plus profond possible. Soudain il me dit qu’il va jouir et je m’écarte, appuyant la tête sur le haut de sa jambe. Il éjacule alors en quelques traits dans sa main, répandant son sperme sur son ventre et sa poitrine. Une jolie carte d’ïle au trésor ma foi…

Après avoir pris congé en me remerciant, je repasse aux glory holes. La trav tournicote toujours ainsi qu’un de mes anciens amants, un quinquagénaire barbu et finement poilu, doucement parfumé, avec qui j’ai déjà baisé deux fois auparavant. Il a un peu un look de professeur d’université… Je ne sais pas s’il me reconnait car il garde ses lunettes et semble ne pas voir grand-chose dans la pénombre. Après plusieurs passages, il me propose sa queue à sucer dans un glory hole. Je la reconnais, fine à l’extrémité et épaisse à la base… Ce qui permet de l’engloutir profond en ayant le sentiment de bouche bien pleine quand mes lèvres atteignent son pubis. La trav nous observe, je devine avec un peu d’envie.

Mon « professeur » repart faire un tour après m’avoir caressé les fesses au passage et la trav n’y tient plus : elle prend sa place et me propose sa grosse bite courbe… Mmm, bien membrée la demoiselle ! Je la suce un petit moment puis elle s’en va sans un mot. L’heure de rentrer, avant de se transformer en citrouille ?

J’attends, pensant que mon professeur va sûrement revenir me voir quand il aura compris que le club est en train de se vider… Ca ne rate pas, il revient en effet, me fait de nouveau sucer sa belle bite en gorge profonde puis passe me rejoindre dans le tunnel des suceuses. Je reste face à la paroi et il se place dans mon dos, me pinçant les tétons en me fourrant sa bite dure entre les cuisses. Il s’excite un moment ainsi, ce qui me fait bander moi aussi, puis me retourne et nous échangeons pincements de tétons et masturbation queue contre queue. Il me suçote les pointes de seins, que j’ai volumineuses comme deux fraises des bois, et je lui rends la politesse, en me souvenant qu’il était très sensible de ce côté. Puis il se redresse et attend. Je comprends qu’il me faut passer à genoux et le reprendre dans ma bouche…

Des ombres vont et viennent, nous matent puis disparaissent. Je suis maintenant à ses genoux, mains levées pour lui pincer les pointes de seins pendant que je le suce. Lui ondule des hanches en gémissant et en me prenant la tête à deux mains pour m’enfoncer sa bite tout au fond. Plusieurs fois il se retire comme s’il allait jouir, mais non, il me propose de nouveau son gland puis toute sa hampe jusqu’à la garde.

Finalement, il me prévient que ça vient, je me retire et reste à genoux devant lui, yeux fermés tandis qu’il se met à se masturber frénétiquement. Je sens alors plusieurs jets chauds inonder mon visage et dégouliner sur mon menton, ma poitrine… Encore un collier de perles, c’est la journée ! L’homme me remercie et s’éclipse vers la douche. Je retourne m’admirer dans le miroir : waouh, il a juté abondamment, j’en ai plein partout, c’est assez hallucinant…

Je retourne à la douche, la journée a été bonne… Je me suis bien régalé !

samedi 10 juin 2017

Au pays de la Fée Lation


(suite du récit précédent, Sophia raconte)

… Une fois Thierry disparu, ma chérie dit qu’elle va aller  se doucher. Pour ma part, pas question de me déshabiller donc je me contente du Sopalin et du gel hydro-alcoolique et je retourne dans les glory holes. Comme il y fait sombre, pas besoin de refaire mon rouge à lèvres qui doit être complètement vrillé…

Je reprends ma position dans le couloir sombre devant les 4 fentes du mur. Il y a du passage mais rien de très décisif. La petite trav blonde passe à plusieurs reprises mais ne reste pas. Des hommes tournicotent mais ne s’arrêtent pas. Difficile de comprendre ce qu’ils cherchent. J’en suce un ou deux qui, une fois bien mis en forme, s’éclipsent à la recherche d’un(e) autre partenaire. Finalement, c’est une queue de format modeste, mais décidée, qui s’arrête devant moi et je la suce longuement avec beaucoup de plaisir partagé. Puis une autre apparaît dans le trou à ma droite et je la saisis de la main tout en continuant de sucer la première.

La nouvelle venue est beaucoup plus imposante, bien longue et légèrement pointue, avec une petite courbure vers sa gauche. La petite bite que je suce depuis un moment ramollit soudain… j’essaie de regarder à travers la fente, lorsqu’elle se retire : il me semble qu’elle a joui mais je n’en mettrais pas ma main à couper. Je me concentre donc sur la queue courbe que je me mets à sucer.

Elle m’emplit beaucoup plus la bouche, sans être étouffante cependant. Après l’avoir revêtue d’un préso goût fraise, je la suce avec énergie, aspirant son gland puis la tétant sur toute sa longueur. Je la sens enfler et durcir graduellement : des gargouillis la parcourent de temps à autre…

Mais des ombres se faufilent autour de moi. Des hommes seuls… Certains me regardent en train de sucer l’homme, une main tente de s’insinuer sur ma droite vers mon tanga rouge. Un homme se plante derrière moi et me caresse les épaules, je sens son sexe tout dur contre mes fesses : il commence à aller et venir, ce petit jeu semble l’exciter particulièrement et je ne peux pas dire grand-chose avec la bouche pleine !

A un moment où la queue courbe de mon partenaire se retire un peu, j’en profite pour faire la police derrière moi. L’homme à la queue courbée fait le tour de la cloison et nous rejoint. Je le découvre – un jeune homme au crâne rasé, avec un petit collier blanc autour du cou – et je le reconnais car il porte mon préso à la fraise. Je lui demande s’il souhaite que nous allions dans une cabine… car je suis un peu harcelé sur mes arrières ! Il acquiesce et nous retournons dans le coin où nous étions avec Thierry tout à l’heure.

Nous bouclons la porte derrière nous mais nous n’occultons pas la vitre : les voyeurs pourront en profiter… Mon ami – appelons-le Michael - s’installe sur le matelas et je lui retire le préso fraise car il est tout ratatiné sur son sexe qui a complètement débandé. J’en prépare un autre et je me remets à le sucer à genoux sur le matelas. Rapidement il redevient dur, et montre des velléités de me caresser. Je me rapproche de lui, sans cesser de le sucer, Michael me caresse à travers mon tanga en satin rouge.

Je me redresse et lui demande s’il a envie de me sucer, il me fait signe que oui. Je baisse mon tanga sur mes chevilles et l’enlève, puis je me place en 69, à quatre pattes par-dessus lui. Je reprends ma fellation sur son sexe courbé, son gland est un peu conique, légèrement pointu mais volumineux. Il me prend lui aussi dans sa bouche, je sens une chaleur humide et une langue coquine m’envelopper… Un délice.

Nous restons un long moment à nous faire mutuellement plaisir de cette façon lorsque soudain des éclats de voix se font entendre au rez-de-chaussée. Je tends l’oreille, je m’attends à entendre chanter « happy birthday… » mais non, rien. Cela étant, je me redresse et suggère à Michael de faire une pause : il me semble qu’il doit y avoir du gâteau en bas ! Il sourit, nous nous rhabillons et je redescends. Chaque fois que je descends le grand escalier, j’ai l’impression de faire le spectacle en bas avec mes talons de 15 cm…

Je retrouve ma chérie sur la banquette devant le coin fumeurs, assise à côté d’un homme musclé et bronzé : un nommé Carlo. Nous faisons connaissance et ma miss va gentiment nous chercher des cafés. Ma miss a rencontré Carlo dans la douche tout à l’heure. Elle se sentait un peu harcelée par des hommes lourdingues qui voulaient la toucher… Elle a identifié Carlo comme un type cool et respectueux et s’est donc rapprochée de lui, ce qui a eu pour effet de disperser les autres ! C’est assez étonnant et impressionnant de voir comment une femme supposée seule peut être rapidement ennuyée, même dans un club libertin respectueux comme celui-ci.

Puis Carlo s’éclipse et nous restons à deux, je prends ma miss dans mes bras.

Soudain, un groupe hétéroclite d’une dizaine de personnes commence à remonter à l’étage : des femmes seules, des hommes seuls, des travs… Je décide de remonter dans les glory holes pour aller voir s’il y a de l’action. En fait, ils sont tous allés dans le grand coin câlin en L avec des miroirs, où nous nous étions amusés la première fois que nous étions venues au Container en 2012. L’accès est quasiment impossible, il y a trop de monde ! Je suppose que c’est le début d’une partouze tous azimuts mais comme je ne suis pas voyeuse je préfère retourner aux glory holes.

Je prépare mon équipement : un ou deux présos pré-déballés que je mets dans mon soutien-gorge… Pratique les vêtements féminins. Ca zappe encore beaucoup dans les glory holes jusqu’à ce qu’apparaissent un type qui me semble nerveux, brusque… Il s’arrête à l’entrée du couloir, me voit dans l’ombre et se précipite de l’autre côté de la cloison. Il ôte immédiatement sa serviette blanche, ne prend même pas le temps de se masturber en regardant le film de shemales et me présente de suite sa queue déjà en érection dans l’une des fentes !

Je l’examine, la trouve pas spécialement parfumée mais pas trop poilue non plus et pas trop grosse… heureusement, comme nous allons le voir. Je choisis un préso fruité, l’emballe et le prends dans ma bouche. Tout de suite, il se met à donner des coups de boutoir sans discontinuer. Pas utile que je bouge la tête, c’est lui qui fait tout le travail : tantôt il fait des va-et-vient sur un rythme assez frénétique, tantôt il recule jusqu’au bord de mes lèvres, attend, puis me fourre d’un coup toute sa bite dans la bouche en essayant d’aller le plus loin possible. Une fois au fond, il se bloque quelques secondes puis recommence son manège.

Par chance, il n’est pas trop gros ni trop long, mais il me fait suffoquer plusieurs fois à cause du réservoir du préso qui se colle sur ma luette. J’ai des réflexes incontrôlés de déglutition qui me font verser des larmes. Je me dis qu’il ne doit pas souvent se faire sucer par une femme car je pense qu’aucune n’apprécierait vraiment cette façon de faire. J’ai souvent constaté que des hommes avaient en effet des comportements sexuels plus brutaux avec les travs qu’avec les femmes, ça doit faire partie du jeu pour eux…

Nous jouons ainsi un bon moment jusqu’à ce que l’homme se retire et fasse brusquement le tour de la cloison. Je le vois arriver vers moi, il s’arrête à 50 cm… Je le regarde de côté, je me demande ce qu’il va faire : partir vers d’autres aventures ou continuer avec moi ? Je me tourne vers lui, il me regarde sans rien dire, jambes écartées, sexe dur dans sa main droite… le message est clair, il ne va pas partir !

Je me mets donc à genoux sur le sol et je recommence à le sucer Aussitôt il reprend son petit jeu d’avant, mais cette fois en me prenant la tête à deux mains… Gulp ! il me force à lui faire des gorges profondes et je ne profite plus de la cloison pour « gérer » mes respirations… Ca devient parfois un peu difficile, il faut vraiment avoir une envie de soumission pour continuer de jouer ainsi. Des ombres vont et viennent autour de nous, d’autres types s’arrêtent pour nous mater, j’entends les femmes seules hurler d’excitation et de plaisir dans les autres coins câlins…

Finalement, l’homme s’arrête et se retire sans avoir joui. Il recule, me regarde et me remercie… Puis il s’en va. L’un des autres est passé de l’autre côté de la cloison. Quand je me relève, sa queue frétille déjà, bien dure dans la fente centrale. Je m’y colle à nouveau et je la prends dans ma bouche avec un joli préso noir au chocolat. Sa queue est plus épaisse que la précédente et l’homme adopte quasi le même comportement, en moins frénétique toutefois. De nouveau je subis dans ma bouche les assauts de la bite à travers le mur…

Une deuxième bite apparaît à droite mais j’ai aussi une autre suceuse qui est apparue : la trav blonde avec une jolie tenue de soubrette noire et blanche. Elle se met à sucer goulûment la nouvelle venue, je la regarde du coin de l’œil : elle a l’air de savoir y faire. Rapidement l’homme qu’elle suce fait lui aussi le tour de la cloison et la met à genoux pour se faire sucer. Puis il la relève et l’emmène dans une cabine, sans doute pour la sodomiser…

Mon galant s’est mis à s’exciter pour de bon, il donne de furieux coups de hanches contre la cloison qui bouge dangereusement… Finalement, il se retire et fait lui aussi le tour : il arrive devant moi, la bite en érection et cette fois je comprends instantanément le message : je me mets à genoux et le reprends dans ma bouche.

L’homme recommence ses mouvements excités en me tenant la tête lui aussi. Vu le nombre de gorges profondes et de nausées que cela m’a occasionnées depuis tout à l’heure, je me dis que mon maquillage doit être complètement détruit… Finalement l’homme rugit et se bloque au fond de ma gorge : il jouit longuement puis se retire, le préso rempli de crème blanche… Il me remercie et disparaît.

Je me retrouve seule, en vrac… J’essaie de me recoiffer un peu, mon maquillage doit être mort. Je décide de redescendre retrouver ma Caresse. De nouveau, ma descente d’escalier fait le spectacle. Je trouve ma miss allongée sur la grande banquette en cuir noir, dans les bras de Carlo, son protecteur. Le gâteau d’anniversaire est bien arrivé mais il n’en reste déjà presque plus. Je parviens quand même à en saisir une part avant de m’asseoir à côté d’elle.

Ma miss me raconte que les femmes en couples et la petite trav brune très fine ont passé tout leur temps à se trémousser sur la piste de danse depuis mon départ. A un moment, me dit-elle, ils ont passé une chanson humoristique de Kenn’v : « Conte de fées » dont le refrain était :

J'préfère la fée "Lation"
La fée "Lation" c'est ma copine
Et quand elle passe à l'action
Elle me soulage où tu devines

Il commence à se faire tard, nous songeons à rentrer. Mais le patron, nous voyant partir, nous propose un nouveau verre de punch… pour rester encore un peu. Finalement, nous repartons après le punch, il est déjà minuit et demi.

Je reste habillée en fille, avec mes bottes et l’imperméable mais sans le pantalon, les cuisses gainées de résille à l’air. Un épais brouillard est tombé sur Bordeaux, on sent que l’automne arrive… La voiture n’est pas loin, 20 mn après nous sommes rentrées à la maison et nous nous jetons dans notre lit confortable pour un gros dodo reconstituant ! Cette nuit changement d’horaire et demain, grasse matinée !