Qui êtes-vous ?

Ma photo
Sur ce blog nous racontons notre vie de libertins. Nos récits parlent de nos sorties et de notre vision du libertinage... Les lieux et endroits sont "améliorés", les repas "enrichis", l'histoire est parfois romancée afin que toute ressemblance avec la réalité ne puisse qu'être fortuite. Bonne lecture.
Caresse et Alpha
On this blog we are unveiling our swinger lifestyle. Our stories tell about our swinger parties and develop our vision of this particular way of life.
Places and meals are sometimes "improved", names are changed and the story itself may be "adapted" or even fully invented...
Enjoy your readings
Caresse (she) and Alpha (him)

mercredi 20 décembre 2017

Pourquoi l’échangisme n’est-il pas l’aboutissement du libertinage ?




Il faut se souvenir que dans une époque pas si ancienne le mot « libertinage » avait quasiment disparu du vocabulaire standard, au profit du mot « échangisme » qui caractérisait les pratiques du moment (soirées et clubs échangistes – alias boites à partouzes - qui n’étaient pas encore dits « libertins »). Après des années de pruderie et de censure dans la France d’après-guerre, le passage de Mai 68 avait libéré certains esprits…

L’échangisme d’alors était essentiellement le fait d’hommes en couples qui amenaient sur le « marché » leur épouse plus ou moins consentante pour servir de monnaie d’échange (d’où le terme « échangisme ») : je te prête ma femme contre la tienne. Ceci permettait aux invétérés queutards masculins de se "taper" une autre femme sans risquer des conséquences dommageables (le mari de l’autre qui pouvait s’avérer un dangereux criminel passionnel ; la réaction de madame qui aurait pu commencer à s’imaginer demander le divorce…).

Le libertinage était alors un terme démodé du XVIIIème siècle qui faisait penser à des aristocrates en perruque poudrée s’envoyant en l’air dans les ors des palais de l’Ancien Régime… A contrario, en cette période de modernité qu’était le troisième quart du XXème siècle, personne ne se revendiquait libertin, ni en couple ni en solo. En couple on pouvait être échangiste (car on avait une femme à troquer contre une autre), en solo on était juste une personne animée de pulsions sexuelles… Pas le moindre libertin à l’horizon !

Les choses ont changé subrepticement, petit à petit… Où en est-on aujourd’hui ?

Un facteur sans doute fondamental dans ce changement réside dans la prise de conscience par les femmes de leur propre autonomie et également la revendication au grand jour de leur plaisir sexuel. L’épouse que Papy emmenait en boîte à partouzes pour l’échanger contre une autre a commencé à se dire qu’elle aussi pouvait avoir voix au chapitre… Qu’elle pouvait s’insurger ou sinon, à tout le moins, y trouver elle aussi son compte. Revendiquer son propre plaisir, et pas seulement faire plaisir à Monsieur ou juste se dire « pendant qu’il en saute une autre, au moins il me laisse tranquille… ».

La libertine assumée était en train de naître… Libertine en couple, mais aussi apparition d’une espèce rare : la libertine solo. Cette évolution, en phase avec celle de la société, et sans doute aidée par les media de grande diffusion, a fait ressusciter le vieux concept éculé de « libertinage »… Pour parler politiquement correct, il fallait en effet désormais éviter d’employer des expressions comme échangiste ou partouzard, termes de plus en plus mal connotés. La nouvelle langue de bois s’est mise à parler de libertinage (et de libertins), de sexe pluriel (ou de pluralité)…

Dans l’échangisme de la fin du siècle précédent, il y avait néanmoins encore des « partouzards », ceux qui le faisaient à plus de deux (pluralité) : triolisme et plus si affinités. A la différence des échangistes, qui ne font finalement que reproduire un schéma bien connu du monde « vertical » (le 1+1), les partouzards ont besoin de tiers pour assouvir leurs penchants. En ce sens, leur démarche est plus authentique qu’un adultère déguisé à deux, car les relations à plus de deux nécessitent d'ouvrir la porte à autre chose que l’on ne trouve pas à l’intérieur de la cellule du couple.

Cela étant, l’ancienne génération des « échangistes » et des « partouzards » ne s’est pas éteinte subitement comme les dinosaures : les espèces anciennes ont donc dû cohabiter avec les nouvelles. De ce fait est née la confusion et un amalgame fait par tous les ignorants des réalités du milieu, entre « libertins » et « échangistes ». Certains dinosaures en ont rajouté une couche en laissant accroire que le stade ultime, le nec plus ultra du libertinage était en fait… l’échangisme !! Habile tentative de refuser le changement pour essayer de maintenir les bonnes vieilles pratiques où Bobonne n’avait rien à dire !

En réalité il n’en est rien. L’échangisme apparaît aujourd’hui pour ce qu’il a toujours été : de l’adultère consenti, une pratique sexuelle parmi d’autres, et qui n’est probablement pas la plus proche de l’esprit actuel du libertinage. L’échangisme n’est donc en rien un aboutissement et encore moins le nec plus ultra du libertinage façon XXIème siècle !

Dans le libertinage du début de ce siècle, la femme a acquis un droit de parole égal à l’homme, elle est donc à parité pour faire valoir ses désirs et ses refus. De ce fait, à la différence de leurs ancêtres échangistes, les libertins en couple marchent aujourd'hui sur des œufs: plus question de troquer leur moitié contre celle d’un autre en toute impunité.

Les couples plus « ouverts » sont également bien plus nombreux qu’il y a 30 ans. De ce fait, ils ressemblent de plus en plus à Monsieur et Madame Tout-le-monde, plus ou moins formatés par les media, à ceci près qu’ils ont une envie d’expériences sexuelles nouvelles et que certains en sont à considérer d'en ""tester" certaines. Il reste néanmoins, dans les clubs libertins, une impressionnante marée de fantasmeurs qui ne sauteront jamais le pas, et il devient par conséquent de plus en plus laborieux de trier parmi eux pour trouver de véritables partenaires libertins.

Dans ce troupeau grossissant des libertins autoproclamés du XXIème siècle – on estime qu’ils sont environ de 300.000 à 500.000 en France, soit 0,5% à 0,8% de la population – on trouve donc bien sûr des échangistes et des partouzards, mais aussi des mélangistes, des triolistes, des côte-à-côtistes, des exhibitionnistes, des candaulistes… et même des gens dont la pratique se limite au voyeurisme quand ce n’est pas juste qu’ils ont des pulsions sexuelles les amenant à rechercher l’âme sœur idéalisée dans le milieu sexuellement libéré du libertinage… Bref, c’est le bordel et on n’y comprend plus rien !

La manifestation la plus concrète de ce nouveau rôle pris par les femmes dans le libertinage, outre qu’elles soient considérées comme l’élément central qui décide en matière de sexe pour le couple, c’est la vague surprenante de bisexualité féminine affichée. Aux Etats-Unis, quasi 90% des couples déclarés libertins (swingers[1]) s’annoncent : homme hétéro, femme bi !!! En France aussi, la bissexualité féminine est très « in ». Outre l’exemple donné par certaines vedettes du show-biz, une raison en est sans doute que les femmes en couple libertin y voient l’avantage de ne pas se sentir dans l’obligation de frayer avec l’homme de l’autre couple… Les hommes, eux, doivent se dire que c’est une bonne façon de rompre la glace, dans un premier temps, en espérant ensuite pouvoir sauter sur la femme de l’autre couple…

Dans la réalité des clubs, ce que l’on voit le plus souvent aujourd’hui, ce sont deux femmes en couple qui jouent à touche-pipi pendant que leurs mecs respectifs les caressent nonchalamment ou les observent de loin, accoudés au bar de la discothèque. Et les jeux souvent s’arrêtent là. Les hommes potentiellement échangistes en sont donc pour leurs frais…

A vrai dire, il faut comprendre ces femmes : si elles-mêmes sont disposées à laisser leur homme à une autre, c’est trop souvent parce qu’il peine à vraiment les satisfaire. Mais c’est probablement le cas aussi avec le couple en face, et rien ne garantit qu’elles vont gagner au change… Finalement, se papouiller avec l’autre femme est encore un moindre mal ! 

Bien sûr, ce n’est pas non plus le cas général. Il y a certes des femmes sincèrement bi (mais sans doute pas plus, en proportion, que d’hommes réellement bi) et il y a des femmes qui refusent clairement la bisexualité. Il y en a aussi qui, bi ou pas, sont prêtes à partager leur homme qu’elles considèrent pourtant comme un excellent coup. Mais, dans ce cas, elles souhaitent ne pas récupérer un tromblon en face… Si c’est le cas, elles ont toute latitude pour mettre fin aux jeux, même abruptement.

De ce fait, le libertinage de couple à couple est devenu nettement plus difficile ces derniers temps. Il devient rarissime de trouver un couple dont les deux membres soient en phase et qui corresponde aux attentes d’un autre couple. Par ailleurs, la pruderie est partiellement de retour et les pratiques des libertins d’aujourd’hui sont nettement plus soft, quand elles ne sortent pas carrément du cadre de la sexualité plurielle. Les clubs libertins se sont finalement banalisés (démocratisés?) en s’ouvrant au plus grand nombre, au point de pouvoir dans certains cas se confondre avec des clubs ou discothèques classiques.

Le libertinage sincère et authentique n’est pas mort pour autant, c’est d’y accéder qui est devenu compliqué. Et pour cela, nulle recette miracle, qu’on soit seul ou en couple. Les sites libertins sur internet, qui font miroiter leurs promesses aux impétrants dotés de cartes de crédit, n’y changent fondamentalement rien. La meilleure approche demeure finalement le hasard des rencontres que l’on peut faire en club libertin ou en soirée privée, à condition d’être assez regardant sur le choix de ces clubs ou de ces soirées.

Et bien entendu, la lecture assidue de notre blog pour vous éviter les impasses et chausse-trapes sur la route dorée du libertinage de couple!!!! Nous vous invitons donc à lire et relire encore tous nos récits publiés depuis 8 ans!

Bonnes découvertes à tous !!












[1] Swingers ne veut pas dire échangiste en anglais. Le terme pour échangisme est « full swap », à distinguer de « soft swap » qui correspond à mélangisme en français

vendredi 1 décembre 2017

Découverte du sauna NZ à Amsterdam


(Alpha raconte)

Nous avions décidé de passer le weekend à Amsterdam, après deux jours de travail sur place pour assister à une conférence internationale. Ma miss m’avait rejoint le vendredi après-midi, en vol direct depuis Bordeaux. Maintenant que nous y sommes allés plusieurs fois, nous sommes rôdés pour l’organisation : nous réservons notre hôtel high-tech basé sur le site même de l’aéroport. Ainsi, à l’arrivée de l’avion, nous n’avons à marcher que 300 ou 400m pour atteindre le lobby du Citizen M, un hôtel à l’esprit décalé que nous trouvons extrêmement sympathique: self check-in puis accès à la chambre psychédélique, complètement domotisée à partir d’un mini Ipad. Douche et WC sont deux cylindres translucides de part et d’autre de l’entrée, la douche étant équipée d’un éclairage aux 7 couleurs de l’arc-en-ciel et l’eau n’arrivant que lorsque ses portes sont bien hermétiquement closes. Au rez-de-chaussée, outre un grand bar et un coin repas, on trouve plusieurs vastes salons aux fauteuils et banquettes confortables, permettant de se réunir, de travailler, d’aller sur internet…

Une fois nos bagages déposés, nous pouvons ainsi retourner, les mains dans les poches, vers l’aérogare… qui contient aussi la gare ! A l’aéroport de Schiphol, la gare est en effet intégrée à l’aérogare, les voies passant en sous-sol. Moyennant un prix modique (7,20€ l’aller-retour), nous pouvons rejoindre la gare centrale d’Amsterdam en 20 mn ou moins (si c’est un Intercity). De la gare centrale, nous pouvons aller partout dans la ville, notamment par le tramway ou le métro, voire même le bateau.

Le premier soir, nous voulions tenter le musée van Gogh en nocturne… Mais hélas, même le soir, les queues y sont interminables. Comme nous ne réussirons pas non plus à réserver par internet, nous remettons cette visite à une prochaine fois. Finalement nous passons cette première soirée agréablement entre un bar irlandais où passe en boucle à la télé une compétition internationale de fléchettes,  et le Hard Rock Café proche de Leidseplein.

Le lendemain, malgré une météo maussade, nous visiterons tranquillement le quartier du Jordaan et son marché, puis le centre-ville autour du Dam avant de retourner à notre bar à jus favori, le Latei sur Zeedijk. Ce bar à jus jouxte le quartier chinois et nous ne résistons pas à aller y manger un canard laqué. Puis nous terminons notre promenade en traversant le quartier rouge jusqu’au bar de l’Hôtel International, avant de rentrer à Schiphol.

Le dimanche, ma chérie ne se sent pas en forme et je décide de retourner seul en ville. Je vais visiter un quartier excentré, vers la Utrechtsestraat, au-delà de Rembrandtplein. Je reviens à pied vers le centre-ville pour acheter des chaussons fourrés en forme de sabots. Puis je vais me restaurer près du Singelgracht, dans une petite gargote où on trouve des omelettes. C’est alors que je repense aux saunas que nous avions trouvés sur internet : le Sauna Deco, sur le Herengracht, sauna apparemment libertin mais vieillot et sur lequel les commentaires n’étaient pas très bons. Et le sauna NZ, récent et avec de très bons commentaires. Seul détail: c’est un sauna… gay !

Je réfléchis tout en dégustant mon omelette, j’hésite un peu. Je vérifie les adresses sur mon Ipad : le NZ est vraiment à deux pas. Je me décide à y aller, il n’est que 14h, je peux y passer facilement 3 heures, notre vol retour n’est que ce soir à 20h.

En sortant de mon déjeuner, je traverse une ruelle déserte un peu en contrebas… garnie de vitrines aux lumières rouges ! On n’est pourtant pas dans le quartier pour ça, mais je reçois néanmoins plusieurs invitations par gestes de plantureuses beautés peu vêtues de type antillais.

Je traverse une artère importante au nom imprononçable (Nieuwezids Voorburgwal) et je contourne l’hôtel Crowne Plaza. Le sauna NZ se trouve dans la ruelle juste derrière, Nieuwezijds Armsteeg. Je passe une première fois devant, la façade est très discrète et la porte est constituée d’une baie vitrée noire à travers laquelle on ne peut pas voir. Puis je reviens sur mes pas et je me décide : deux jeunes hommes viennent d’y entrer avant moi. Je débouche dans le hall au moment où mes deux prédécesseurs s’engouffrent dans le couloir des vestiaires.

Le portier est aimable et m’explique le fonctionnement du club. Il me dit que j’ai de la chance car il me donne… l’avant-dernière clef de vestiaire ! Quand je m’apercevrai, à l’intérieur, qu’il y a environ 250 casiers… ça signifie que je vais y trouver 250 homosexuels en goguette ! Gloups… je crains que ça ne chauffe pour mon petit cul !

Le vestiaire lui-même est assez bondé. Je déniche mon casier, tout autour il y a des types qui sont assis, se reposent, discutent ou se brossent les dents. Je me déshabille entièrement puis je me ceins avec la grande serviette qui m’a été remise à l’entrée. Une fois mon casier bouclé, je me dirige vers la grande salle lounge…

Stupeur, elle est blindée de monde : toutes les banquettes sont couvertes d’hommes presque nus qui forment une joyeuse et bruyante troupe. Certains s’enlacent ou s’embrassent. L’ambiance est bonne, mais exclusivement masculine. Je me rends au bar, seul endroit où je trouve un tabouret haut libre pour moi. A l’entrée on m’a donné un jeton pour une boisson gratuite : j’ai droit à tout ce que le bar peut offrir, y compris cocktails et boissons alcoolisées. Je me contente d’une bière pression, j’entends garder toute ma tête pour la suite…

Je fais un peu ma timide, heureusement que j’ai déjà fréquenté des saunas bi : je reste calme. Après avoir fini ma bière, je m’enhardis à aller visiter le club. Au fond du lounge, je trouve d’abord une zone humide avec un petit jacuzzi (8 places max), des douches et WC ainsi qu’un grand sauna finlandais et un hammam. Je prends une bonne douche au milieu d’un va-et-vient d’hommes nus. Puis je vais visiter le sauna. J’y trouve deux banquettes en U et, surprise, sur l’un des côtés, deux grands baies vitrées sans tain donnant… sur les douches. Je m’aperçois alors que les personnes dans le sauna peuvent ainsi se rincer l’œil en matant les beaux mâles sous la douche… dont je faisais partie il y a 2 mn !

C’est de bonne guerre. Personne ne me fait d’avance dans le sauna, il y a juste un type en train de faire une fellation à un autre type un peu plus loin sur ma gauche. Je sais par expérience que ce genre de jeu ne peut durer bien longtemps dans un sauna, je ne me formalise pas plus que ça. Les deux amants sortent peu après.

Je ressors moi aussi, repasse à la douche (froide cette fois, celle au-dessus de laquelle se trouve un gros seau en bois que l’on peut actionner en tirant sur une chaîne. Puis je continue mon exploration. Je trouve une sorte de labyrinthe de couloirs sombres ou à lumière tamisée rouge avec, tout le long, de petits recoins sombres et des cabines équipées de matelas, certaines pouvant fermer à clef. Il y a beaucoup de monde, et dans les couloirs et dans les cabines, ça frôle beaucoup et je sens des mains baladeuses me caresser les fesses.

Je trouve aussi un sling avec un type allongé dessus dans une cabine : il semble attendre de la visite mais je m’abstiens d’entrer. C’est un peu plus loin que je trouve mon « bonheur » : des glory holes, mais en quantité « industrielle ». Il s’agit d’une grande pièce carrée, le couloir en faisant tout le tour. Au centre, il y a une structure de cloisons symétrique, autour d’une pièce ovale où l’on entre en écartant un rideau de cuir. Dans cette pièce, on trouve 3 glory holes sur chaque mur latéral, donc 6 trous en tout. Ces trous donnent sur des recoins où l’on accède par le couloir périphérique. Chacun de ces recoins possède au moins 3 ou 4 trous, dont un donnant sur l’alcôve ovale et les autres sur les recoins voisins. Au total cela doit faire une bonne vingtaine de glory holes dans tous les sens !

C’est là que je passerai le plus clair de mon temps et j’y constaterai un peu la même chose que dans les clubs français que je fréquente. Il y a des moments de « pointe » et des moments désertiques, beaucoup de zapping. En fait, pas mal de participants se sucent ou s’enfilent directement dans les recoins, sans passer par les trous dans les cloisons ! Je tenterai plusieurs fois l’alcôve ovale, sans succès. Finalement, c’est en allant dans un des recoins latéraux que j’aurai la possibilité de sucer la belle grosse queue bien dure d’un jeune black.

Je quitte le sauna NZ vers 16h, en sortant je découvre une file d’attente (j’ai failli dire : une queue !) d’au moins 30m dans la rue ! Tous ces jeunes hommes attendent pour entrer, je comprends mieux la remarque du portier à mon arrivée : l’heure de pointe n’était pas à 14h, bien que le sauna fût déjà plein à cette heure-là, elle est plutôt clairement en fin d’après-midi.

Je retourne à la gare centrale prendre un train pour Schiphol et rejoindre ma chérie. Cette expérience a été intéressante et je confirme les bons commentaires sur le sauna NZ. C’est en effet un endroit propre où les gens sont très respectueux.

mercredi 1 novembre 2017

Partouze dans le jacuzzi du Container


(Alpha raconte)

Cela faisait quelque temps que nous n’étions pas sortis ensemble en club. Caresse était en effet en période de convalescence, mais cette fois, avec les derniers feux de la canicule estivale et 37° à l’ombre annoncés ce samedi, elle accepte ma proposition d’aller nous rafraîchir dans l’ombre d’un jacuzzi.

C’est en effet bien mieux que d’aller à la plage : pas d’embouteillages, pas de plage bondée avec impossibilité de se garer, pas besoin de transporter parasols et pailles de plage à travers le cagnard sur 400m de dunes de sable, pas de risque de coup de soleil et la possibilité de faire des coquineries ouvertement (ce qui est interdit sur une plage familiale).

En fait de fluidité sur la rocade, nous tombons quand même dans un embouteillage dû à tous ces vacanciers remontant du sud de la France vers la rentrée des classes. Heureusement nous avons branché Waze… qui nous donne immédiatement un itinéraire de délestage à travers Talence et Bègles. Au final, nous traversons ces banlieues désertes, et débouchons sur les berges de Garonne en un temps record, sans avoir subi le moindre bouchon. En à peine 25mn nous arrivons dans la rue du club, déserte elle aussi. Des panneaux interdiction de stationner sont disposés sur le trottoir en raison de travaux annoncés, mais nous sommes samedi, pas de travailleurs en vue : nous nous garons devant la porte du club.

C’est Lionel qui officie, nous entrons et, derrière nous un couple, qui semble avoir un homme seul sur les talons. Il parlemente avec Lionel qui flaire le mauvais plan et refuse l’entrée à l’homme seul inconnu du club, la femme du couple est rassurée, car elle le trouvait bizarre, genre ultra lourd. L’homme insiste longuement, mais finira par renoncer.

A l’intérieur, il semble y avoir du monde et nous filons directement à la douche car Lionel est encore en train de parlementer avec l’inconnu insistant. Douche puis immersion dans le jacuzzi avec sa nouvelle couleur bleu-violet, très joli et rafraîchissant ! Nous nous calons dans un coin et nous nous laissons aller, c’est bon de profiter de l’eau chaude sans réfléchir à rien… Les hommes seuls présents nous laissent tranquilles… pour l’instant !

Nous sommes rejoints par l’autre couple qui s’installe un peu sur notre droite. Puis un 3e couple arrive, ils se douchent et vont au hammam. Au bout d’un moment, nous ressortons du jacuzzi et allons prendre un café au bar pour discuter un peu avec Lionel.

Puis je propose à ma chérie de monter dans les glory holes debout à l’étage. A peine y sommes-nous que les trous se garnissent de queues de diverses dimensions. L’effet « Caresse »… quand j’y suis seul il y a généralement moins d’enthousiasme. Je trouve une grosse queue bien dure dans le trou le plus à gauche et ma miss se régale dans le trou voisin, juste à ma droite. Mais elle se fait aussi approcher par derrière, des mains baladeuses glissent sur son paréo… Je lui dis qu’il ne faut pas qu’elle se laisse faire, ici ça peut vite partir en pluralité si les hommes seuls sentent une ouverture…

Un troisième suceur s’est installé à la droite de ma miss.  Du coin de l’œil, je la vois ensuite s’occuper d’un ou deux types qui sont avec nous dans le couloir obscur des suceuses. Elle s’agenouille et les suce alternativement, tandis que je continue de m’occuper de la belle bite XXL bien dure qui bouge agréablement entre mes lèvres.

Finalement ma Caresse se relève et me dit qu’elle va faire une pause, elle redescend dans le canapé du salon en bas. Je reste avec ma grosse queue et l’autre suceur dans le troisième trou. Mais son partenaire s’en va et il se rapproche de moi, jusqu’à souffler son haleine fétide à 50cm de mes narines. Il commence à m’insupporter et il passe les bornes quand il essaie de saisir de la main la bite que je suis en train de sucer. Je le rabroue vertement et il s’en va.

Je continue encore un bon moment à sucer l’homme de l’autre côté de la paroi, il est terriblement endurant.  Finalement il se retire doucement et se baisse, plaçant son visage dans l’ouverture : «  Mais à qui donc appartient cette douce langue ? » me dit-il… C’est à ce moment que je décide de faire moi aussi une pause et de redescendre rejoindre ma chérie.

Je lui propose un deuxième tour dans le jacuzzi, il est encore trop tôt pour quitter le club, et il doit faire vraiment très chaud dehors. Quand nous arrivons dans notre bassin bleuté, il est désert. Mais pas l’autre jacuzzi, de l’autre côté de la petite plage intermédiaire : il est occupé par le 3e couple entouré de 4 hommes seuls. La femme, blonde aux cheveux courts, semble aimer la pluralité car elle s’occupe de tous les hommes alentour, des mains, de la langue et de la chatte. A un des hommes seuls qui le lui demande, elle répond se prénommer Lola...

Nous sommes rejoints par un puis deux hommes seuls, ils sont plus intéressés par ce qui se passe dans le deuxième jacuzzi que par notre couple tendrement enlacé dans un angle sous la cascade d’eau. Le premier est un jeune homme au crâne rasé très bien membré : son braquemart est énorme et déjà en semi-érection… Le second est un homme barbu et velu, avec une bite de bonnes dimensions, sans exagération.

A un moment, la femme blonde atterrit sur la plage centrale, avec son homme qui lui lèche l’entrecuisse et les 3 autres qui s’occupent de sa bouche et de ses seins. L’homme au crâne rasé s’approche, lui caresse lui aussi un sein en insinuant sa grosse saucisse sur les lèvres de la blonde. Elle le fait reculer, non pour le repousser, mais pour mieux le saisir dans sa main gauche. Du coup, le barbu se sent encouragé et se rapproche lui aussi.

La femme se tourne un peu sur le côté et croise le regard de ma miss. De la main elle lui fait signe de s’approcher, on sent qu’elle a besoin d’aide pour faire face à la horde de mâles en rut qui la cernent ! Ma chérie se redresse, elle est d’humeur joueuse et s’avance dans l’eau pour rejoindre la blonde. Elle s’interpose entre certains hommes et rapidement le mari lui cède la place pour qu’elle lèche le minou de sa chérie.

Pour ma part, je suis resté dans l’eau et je veille sur ses arrières. Justement le jeune au crâne rasé est passé derrière elle et frotte lentement son braquemart XXL dans le creux de ses reins. En passant ma main entre ses cuisses, je sens d’ailleurs une main étrangère qui lui stimule la chatte par-devant.

Nous jouons ainsi pendant un moment quand ma miss s’écarte en me tirant par la main. Je ne comprends pas de suite ce qu’elle veut mais elle me pousse la tête entre les cuisses de la femme blonde allongée sur le dos… Je prends donc sa place et je me mets à lécher le clitoris de l’inconnue qui gémit et ondule des hanches tout en suçant une bite et en en masturbant deux autres. La femme blonde – je confirme, son petit duvet pubien est blond aussi – donne de violents coups de bassin, elle semble vouloir que je lui lèche davantage les lèvres que le clito. Je m’enhardis donc à lui fourrer un doigt dans sa chatte humide, afin de lui stimuler le point G.

Elle ondule de plus belle, stoppant parfois quand j’ai la langue enfouie entre ses lèvres avant de me présenter à nouveau son clito. Elle bouge vraiment par à-coups violents, j’ai peur qu’elle se fasse mal en heurtant mes dents avec son os pubien. Finalement j’ajoute l’index à mon majeur dans son vagin et je les enfonce tous les deux plus profond. Ca semble lui convenir, elle ondule plus rapidement et vient s’empaler à fond sur mes doigts. Ma chérie me dira après coup qu’elle semble habituée à du hard, car son mec semble avoir du mal à bander.

Pendant que je suce la jeune femme, Caresse se fait pénétrer par le jeune chauve : elle le sent passer tant il est bien membré, mais elle est très excitée par l’ambiance et ça ne pose pas de souci, je l’entends jouir très rapidement ! Le jeune chauve sort du jacuzzi pour aller se doucher, car il a joui également, le jeune homme barbu en profite pour prendre ma chérie. Elle vérifie qu’il a bien un préservatif et le laisse faire, mais il doit être gêné par les mouvements que fait Caresse pour sucer les tétons de la jeune blonde, il n’arrive pas à bander correctement. Caresse cambre les reins pour l’aider, mais le groupe se sépare sans qu’il ait réussi à jouir.

Après avoir joué ainsi un long moment, la femme glisse en effet sur le côté et se laisse retomber dans l’eau de l’autre jacuzzi, dans les bras de son mari. Nous retournons dans notre bassin avec nos deux hommes seuls. L’homme au crâne rasé ressort du jacuzzi mais le barbu reste collé à la gauche de ma chérie. Finalement nous sortons aussi.

Nous repassons au salon et je laisse ma chérie se détendre au bar pendant que je remonte une dernière fois dans les glory holes. L’ambiance est retombée. J’attends un peu et, au moment où je pense redescendre au salon pour emmener ma miss et rentrer à la maison, un « client » arrive de l’autre côté des glory holes. Il me présente sa queue, moyenne mais bien dure et me fait faire des gorge profondes en enfouissant mon nez dans son pubis fourni.

Je le suce ainsi plusieurs minutes puis il se retire et fait le tour de la paroi. Il se place à côté de moi, je reconnais le barbu du jacuzzi. Il attend… sans doute que je me mette à genoux pour finir de le sucer. Mais non, alors que je m’agenouille, il me dit : « allons plutôt dans une cabine ». Nous traversons l’étage et choisissons la grande cabine avec un ventilateur et une fenêtre. Il cherche du gel, je comprends alors que ce n’est pas pour que je le suce qu’il m’a amené ici.

Il me fait mettre à quatre pattes sur le matelas, enduit son préso de gel et commence à chercher mon petit trou. Je sens le bout de son gland buter à l’entrée de mon orifice anal et, d’un coup s’enfoncer à l’intérieur. L’homme est doux et prévenant, comme il l’était déjà dans les glory holes. Il me ramone avec délicatesse mais s’enfonce toujours plus avant dans mon intimité. Il m’agrippe tantôt par les hanches, tantôt par les épaules, m’obligeant à me redresser devant le grand miroir : je m’y vois de face avec l’homme derrière moi qui me sodomise, c’est très excitant !

Finalement il m’oblige à poser le haut du corps sur le matelas (« la tête dans l’oreiller ») et se met à me bourriner plus fort. Il râle soudain, fiché tout au fond de mon cul, il jouit longuement dans mon petit trou conquis de haute lutte. Puis il se retire délicatement en tenant bien le préso par la base : il le ressort, rempli de crème blanche.

L’homme me fait un beau sourire, me demandant si je vais bien. Je lui réponds que oui, que ça a été aussi un plaisir pour moi. Nous échangeons quelques propos puis il me salue en me disant : «  alors à une prochaine fois peut-être ! »

Je redescends et raconte mon aventure à ma chérie… qui n’est pas vraiment surprise. L’homme était venu la voir sur le canapé et c’est elle qui l’a envoyé là-haut en lui disant que j’y étais pour sucer des queues dans les glory holes !

Nous repartons du club en nous disant que nous avons passé un bel après-midi avec des gens respectueux dans une bonne ambiance libertine. Cela faisait longtemps que nous ne nous étions pas amusés comme ça dans une partouze aquatique !

dimanche 15 octobre 2017

Avec un jeune couple dans les glory holes

Vélo à Toulouse...
De passage à Toulouse pour le weekend, nous avons décidé de retourner incognito au 72, un samedi après-midi. Le club a encore évolué, les installations rénovées sont splendides. C’est vraiment, aujourd’hui, le plus beau de tous les clubs que nous avons fréquentés, et aussi celui où l’ambiance est la meilleure. Ceci grâce à l’action soutenue des patrons et, maintenant, de leur descendance : qu’ils en soient ici chaleureusement remerciés !

Nous y étions déjà revenus la semaine précédente en fait. Nous avions ainsi découvert de nouvelles installations : le coin couples rénové et réaménagé, avec de nouveaux glory holes (4) jouxtant la chaise gynéco, et 2 autres dans le coin à droite en entrant. Tout au fond du club, l’ancienne salle cinéma, qui avait déjà été équipée d’une croix de St André et d’une cheminée avec un faux feu surplombant le matelas derrière la grille, a été complétée par une « fucking machine » et une grille servant de porte à l’ensemble, pouvant être fermée de l’intérieur comme un véritable donjon. D’autres aménagements ont été réalisés également au niveau du bar : chaînes et bracelets de cuir par-dessus une barre de pole dance et sur un plan incliné en bois dans un coin câlin semi-ouvert équipé de voilages dans un angle de la salle bar-discothèque…

Pour l’heure nous sommes heureux de retrouver le chaud jacuzzi qui nous enveloppe de son doux bouillonnement. Je ne me suis en effet pas travesti car Sophia est en vacances en été… Peu d’hommes seuls avec nous, et très respectueux, aucun ne tente une approche.

Puis nous passons à la douche et gagnons le coin couples dont la serrure a également été modernisée avec une clef magnétique comme dans les hôtels. Nous nous installons dans le coin à glory holes où nous éteignons la lumière… Très vite, de l’agitation se fait entendre de l’autre côté de la cloison et on distingue à grand peine des choses qui obstruent la faible luminosité extérieure filtrant à travers les trous du mur. Ici c’est un nez, là une main… enfin, une queue en érection !

Nous en trouvons quelques-unes qui se présentent à la queue leu leu ( !) et nous nous régalons à les sucer avec énergie. Pendant que ma miss m’en repasse une chocolatée dont elle n’a plus envie, je continue de masturber de la main droite celle que je tenais dans mon glory hole. Je n’aurai pas le temps d’achever mon barreau chocolaté que cette queue me giclera abondamment dans la main… me la poissant bien, doigts et paumes, au point que je devrai sortir pour aller me nettoyer à l’eau et au savon dans les toilettes !

Nous avons entendu du remue-ménage dans les autres alcôves du coin couples et avons distingué deux ou trois autres couples, dont un de jeunes (moins de trente ans), s’ébattant à côté. Après mes ablutions, je suis revenu rejoindre ma miss qui, un peu fatiguée, s’est allongée sur le matelas. Je reprends position vers la cloison où piaffent encore deux belles bites. Mais à peine ai-je commencé à m’en occuper que j’entends des voix qui se rapprochent et des silhouettes se profilent dans l’embrasure de notre porte. Ma chérie décide de rallumer pour voir qui arrive…

C’est le couple de jeunes : lui un beau gars tout bronzé, apparemment déluré et décidé, qui montre à sa copine, elle aussi bronzée intégrale, ce que c’est qu’un glory hole… Il explique à ma miss que sa copine – Sandra – a très envie d’essayer. Et ma miss ne se fait pas prier pour les inviter à venir partager avec nous !

Ils me rejoignent au fond du matelas et la jeune femme se saisit d’une de mes deux queues, la masturbe énergiquement avant de l’emboucher. Pendant que je contemple son joli corps de naïade aux longs cheveux noirs, son ami continue de plaisanter avec ma Caresse. Il ressort de cette conversation qu’il ne serait pas bi… mais n’aurait rien contre une petite pipe de ma part – ma miss lui ayant vanté mes grandes qualités en la matière !

Je m’approche et commence à le caresser à la main puis je prends entre mes lèvres son gros gland décalotté. Je me mets à le sucer et je le sens durcir dans ma bouche, tandis que ma chérie se rapproche de lui et commence à lui tripoter les boules et, j’imagine, son petit trou par-derrière. Sandra est restée à quatre pattes et n’a pas cessé de sucer la queue dont elle s’occupait à travers la paroi.

Nous nous occupons ainsi du jeune homme pendant un long moment, jusqu'à ce qu’il n’en puisse plus : il me fait arrêter en disant qu’il va jouir si je continue comme ça et qu’il lui faut absolument prendre sa miss maintenant. Comme elle est toujours à quatre pattes sur ma gauche, il n’a aucun mail à l’enfiler directement en levrette. Il se met à la bourriner furieusement tandis que je me rallonge le long de la jeune femme qui commence à avoir un peu de mal à garder la grosse bite inconnue dans sa jolie bouche, vu ce que son ami lui fait subir.

J’en profite pour lui caresser les pointes des seins, érigées sous l’excitation qu’elle ressent, pendant que je masturbe une autre queue apparue dans un trou sur ma gauche. Nous jouons ainsi un moment mais ma miss s’est rallongée au fond du matelas et je ne voudrais pas qu’elle se sente exclue. J’abandonne donc ce que j’étais en train de faire pour venir lui prodiguer un petit cunnilingus dont j’ai le secret. Elle ne tarde pas à chanter son cantique de plaisirs, et me demande d’ajouter un doigt dans sa chatte. Rapidement, c’est le feu d’artifice : elle atteint deux ou trois fois de suite l’orgasme, à l’unisson de la jeune femme brune que son ami ne cesse de ramoner. Puis elle me demande de cesser, me disant que je ne tirerais plus rien de son clito…

Le jeune couple s’est aussi un peu calmé et, apparemment, quoique Sandra ait joui deux ou trois fois, son homme lui n’a pas eu d’orgasme. Sandra s’est allongée sur le dos et masturbe mollement deux queues à travers la paroi. Ma miss me suggère de m’occuper d’elle maintenant et son ami lui demande : « Tu as envie qu’Alpha s’occupe de toi ? »… Elle acquiesce d’un sourire, ces deux jeunes gens sont vraiment très joueurs, ça faisait longtemps que nous n’avions rencontré un couple aussi sympa !

Elle écarte doucement les cuisses pendant que je prends position entre elles. Je commence par lui lécher doucement le clito et je sens ses lèvres bien épilées s’humidifier petit à petit. Elle continue de branler les deux inconnus pendant que son homme lui  caresse les seins et l’embrasse. Je la sens onduler de plus en plus et je me mets à lui lécher la vulve également. Puis j’introduis mon index et mon majeur droits dans son vagin bien lubrifié jusqu’à trouver une petite zone granuleuse derrière l’os du pubis. Je me dis que ça doit être un bon candidat pour le point G…

Je poursuis mes léchouilles en y ajoutant maintenant la pression de mes doigts par l’intérieur. La fille se cambre de plus en plus et elle se met à gémir. Chaque fois qu’elle se cambre vers le haut, elle rencontre la pointe de ma langue sur son clito puis elle se détend et ce sont alors mes doigts qui exercent la pression sur sa zone sensible de l’intérieur. A ce régime-là, Sandra ne peut résister très longtemps. Elle finit par se  cambrer plus violemment et pousse un râle de plaisir tandis que son ami lui susurre : « Hummm, il te fait du bien, Alpha, dis donc… » Mais je ne relâche pas ma pression : je continue de la lécher délicatement et de la presser de mes deux doigts. Elle se cambre une seconde fois et jouit encore plus fort… Puis une troisième fois dans un paroxysme d’insupportabilité. Je la relâche alors et l’accompagne dans son atterrissage sur le matelas, en retirant précautionneusement mes doigts. Son ami l’a prise dans ses bras, elle a le regard vitreux…

Je rejoins ma chérie et nous prenons congé des jeunes tourtereaux qui ont décidé de rester dans ce coin câlin. Après un passage au bar, nous décidons d’aller dans le coin donjon avec le faux feu. Nous fermons la grille avec une corde car nous ne voulons pas être dérangés : j’ai très envie d’essayer la « fucking machine » !!

Après quelques préparatifs, je confie la télécommande à ma chérie qui est une pro des zapettes à la maison. Il faut une grande confiance en l’autre pour lui confier ainsi les rênes, tandis que le gode en silicone commence à se frayer un passage à l’entrée de mon anus abondamment lubrifié de gel. Ma chérie teste différentes vitesses de la machine… Il s’avère que c’est une vitesse plutôt lente qui me fait le plus d’effet (la taille du gode joue aussi bien sûr). La sensation est incroyable et même meilleure qu’avec une véritable bite si la vitesse est bien dosée : car la machine ne fatigue pas et ne débande pas ! Et, à vitesse lente, on sent qu’elle veut vraiment s’enfoncer dans le petit trou même quand celui-ci résiste un peu… Bref, cette « fucking machine »  est un amant implacable.

Je devrai malheureusement faire arrêter ma chérie avant d’atteindre le mythique orgasme anal : la sensation me devenait trop insupportable ! Je suppose qu’il faudra qu’elle me ligote et me bâillonne pour continuer au-delà de cette limite si je dois un jour parvenir à faire cette expérimentation !!!



samedi 30 septembre 2017

Un black veut m’épouser !!!


Encore un après-midi qui commence au ralenti. Pourtant il y a pas mal de monde, essentiellement des mecs en plus, ça craque de partout sur les planchers de l’étage. J’entends aussi une voix de femme qui vient du bar, et soudain le pas caractéristique des escarpins d’une trav : ma copine brune, qui apparaît dans les glory holes mais ne fait que passer… sans manquer de m’effleurer de sa douce main tout de même.

Finalement la température va monter assez vite – aurait-il pu en être autrement avec tous ces mecs qui rôdent ? Je me retrouve avec une première queue dans la bouche, pendant un long moment, puis elle se retire quand une autre apparaît dans le trou voisin sur ma gauche. Je la trouve très sombre, j’ai du mal à bien discerner… c’est normal, je m’apercevrai ensuite que c’est la queue d’un black ! En fait, je vais sucer successivement 15 queues dans les glory holes cet après-midi, mais celle-ci, à elle seule reviendra cinq fois me voir ! Je les ai comptées : ce sera la 2ème, la 4ème, la 7ème, la 10ème… et la 15ème fois, pour le bouquet final !

Pour toutes les autres, qui seront des one-shot, pas grand-chose d’original à dire sinon que je les ai trouvées dans l’ensemble plus grosses que la moyenne, à mon grand plaisir. Certaines étaient bien longues et/ou bien épaisses : quel plaisir de les sentir emplir ma bouche, se frayer un chemin vers ma gorge, jusqu’à m’empaler sur toute leur longueur, mes narines enfoncées dans leurs doux poils pubiens… Ah si, tout de même, quelque chose d’étonnant : hormis mon black, aucune ne jouira avec moi, pas même celle qui s’est présentée (la 11ème je crois) directement équipée d’un préso. Je pensais bien arriver à la faire juter pourtant, son propriétaire semblait motivé. Mais non, lui non plus ne m’aspergera pas de son jus. En réalité, j’ai dû en mettre beaucoup en forme, qui ensuite sont allés sodomiser ma copine trav … Elle est en effet revenue me voir vers la fin d’après-midi en me demandant si j’avais eu beaucoup de queues à sucer. Je lui ai retourné la politesse et elle m’a rétorqué : « Oh, moi ce que j’aime surtout, c’est me faire défoncer le cul… » Et apparemment, elle avait encore des étoiles dans les yeux, elle a dû se faire défoncer par 4 ou 5 de mes « mises en bouche » !

Pour l’instant je découvre une grosse queue sombre au goût musqué, légèrement courbée sur sa gauche et dotée d’un gland qui ne cesse de se recalotter. Quand je la serre de mes doigts à la base, le gland reste découvert et je peux lui faire profiter de mes caresses chaudes et humides avec la langue, mais le plus souvent l’homme « reprend la main » pour m’imprimer son mouvement d’avant en arrière et il se charge lui-même de se décalotter. Il me semble assez dominant car il joue avec ma bouche, se retirant presque puis s’enfonçant tout au fond… jusqu’à ce que j’enlève mes mains, me cale contre la fente du mur et maintienne ma bouche ouverte et demandeuse, tel un poisson rouge, au travers du trou. C’est lui, alors, qui décide de me fourrer, à son rythme et jusqu’où bon lui semble.

En me quittant la première fois, et les suivantes aussi, il m’a surpris en me remerciant… et en me caressant gentiment le menton. Je l’ai observé par la fente : c’était donc un black d’une bonne quarantaine ou cinquantaine d’années, bien en chair avec un petit bedon et  une petite barbe bien taillée. Pas trop velu, son pubis était un peu broussailleux mais entretenu et pas trop rêche.

Avec toutes ces queues à sucer, je n’aurai guère le temps de retourner au bar ni au jacuzzi. Un peu avant 18h, je me dis que je partirai au plus tard à 18h15 pour passer faire des courses à la pharmacie avant de rentrer retrouver ma chérie en arrêt de travail. Je remonte une dernière fois, assez repu et sans trop de conviction, dans les glory holes. C’est là qu’apparaît mon numéro 15, que je reconnais de suite. Il est redevenu tout mou le pauvre, je m’échine donc à le remettre en forme, ce qui ne tarde guère. Nous sommes sur la fente du bord droit et je le vois passer le bras en contournant l’arête de la paroi pour me toucher. En fait, il ne veut pas me caresser mais plutôt me saisir la nuque pour me plaquer le visage contre son pubis !

Je n’ai rien contre l’idée mais il faut reconnaître que la cloison est un peu gênante, ce n’est pas pratique pour lui (ni pour moi car j’ai le nez écrasé contre le contreplaqué !). Je me retire et je fais donc le tour pour le retrouver de l’autre côté. Il comprend tout de suite et se retourne pour que je le suce là, comme ça, à genoux devant lui. Mais très vite il me souffle à l’oreille : «  Si on allait dans une cabine ?.... »

Ce sera en effet plus pratique même si le club semble s’être désertifié à cette heure avancée de l’après-midi. Nous nous faufilons vers la petite cabine derrière le « cottage DSK », l’autre à côté avec le ventilo est hélas occupée…

Mon amant black ferme la porte à clef, il veut de l’intimité… Je me remets à le sucer à genoux, il est de nouveau bien gros et bien dur : sa bite est de taille idéale pour m’emplir la bouche sans réellement m’étouffer lorsqu’il se cale tout au fond. Il se met à me titiller les tétons et à parler. Apparemment mes « petits seins » lui plaisent beaucoup, il trouve que j’ai de jolis tétons bien développées et propose de s’allonger sur le matelas haut pour que je m’occupe de lui.

Pendant que je le suce à plat il continue de soupeser mes petits seins dans sa main en coupe, en murmurant que c’est excitant une fille avec un sexe d’homme. Car il a aussi vérifié de ce côté-là, mais sans s’y attarder. A aucun moment il ne me masturbera ni ne me sucera. Il continue de commenter en me disant qu’il est tout à moi, que je peux me lâcher… Puis il me demande si je souhaite qu’il me prenne. Devant mon approbation il me propose de m’asseoir sur lui, toujours allongé. Je l’équipe d’un de nos présos « strong » spécial sodomie, que je lubrifie ainsi que mon orifice anal. Puis je m’accroupis lentement sur sa queue dressée, face à ses pieds.

Ouch ! Je pensais y aller progressivement mais je l’ai senti passer quand même : c’est la première fois depuis bien longtemps que je ressens une telle douleur à me faire sodomiser… Il a dû donner un coup de bassin, je le sens qui va et vient dans mon fondement tandis que je srre les dents en  maintenant mes deux fesses écartées de mes mains. Puis il me dit de bouger mon joli petit cul, de lui montrer que je suis une salope, que j’aime ça… Ce n’est sûrement pas moi qui dirais le contraire !

Il finit par ramollir un peu. Je ressors, croyant qu’il a joui, mais non : il enlève le préso et m’ordonne de recommencer à le sucer. Je le sens redevenir bien dur et volumineux, emplissant toute ma bouche d’une joue à l’autre et de mes lèvres à ma glotte. Puis il se redresse et se met debout, me poussant incliné devant lui. Je prends appui sur mes avant-bras et lui me saisit les hanches, pour aller et venir avec son gros brasquemart tout dur entre mes cuisses glissantes. Il alterne sa prise, de mon bassin aux pointes de mes seins qu’il pinçote doucement. « J’adore tes petits seins, ma salope, tu es toute à moi, il est à moi ce petit cul. On va aller chez moi et je te ferai l’amour toute la nuit, tu es ma chose, ma salope … »

Ce n’est pas  la première fois qu’un homme me demande en mariage, je trouve cela plutôt flatteur… tant que ça reste un jeu ! Quand je suis parti dans un trip de fille comme celui-ci, mon cerveau joue en effet la salope lubrique, la servile qui accepte tout (dans les limites de l’hygiène et de la protection bien sûr) et s’entendre dire qu’on est une fille désirée est particulièrement plaisant.

Mon gros black n’en peut plus, il se réenfile un préso pour revenir dans mon petit trou. Ca passe mieux cette fois, je le sens bien dur qui se fraye un passage entre mes fesses brûlantes (cette température semblait en effet l’émoustiller beaucoup à l’entendre) et me défonce le cul à grands coups de boutoir, tout en continuant à me prendre les seins (des bonnets A) dans ses mains en coupe et à en titiller les pointes. « Tu penses encore les faire grossir ? » me demande-t-il. Je lui réponds que ça ira comme ça…

Nous restons un long moment attelés, moi tortillant des hanches et gémissant de plaisir, lui derrière, ahanant à chaque poussée de son bassin au tréfonds de mon intimité. Mais là encore, il ne jouit pas. Il se retire en me commandant de le sucer à nouveau. « Tu avales le  sperme ? » me demande-t-il. « Ah non » lui dis-je, pas question qu’il jouisse dans ma bouche, mais il peut le faire à l’extérieur  sur mon corps. Comme il commence à être plus que mûr, il me fait cesser mes jeux de langue tout en me maintenant à genoux devant lui de son autre main, et il commence à se masturber vigoureusement sous mes yeux. Je vois son gros gland violet sombre, énorme, au bout se son membre tendu à se rompre. Il vient enfin en râlant de plaisir : son foutre chaud et gluant m’inonde le visage en plusieurs longues coulées que je sens dégouliner sur mes joues, mes lèvres, mon menton, de grosses gouttes venant même s’écraser sur ma poitrine. Puis il frotte longuement son gland contre mes joues, comme pour l’essuyer… Enfin je me relève.

C’est l’heure de la douche. « A tout à l’heure…» me dit-il. Mais moi je dois filer, il est déjà 18h30, je me suis emplafonné d’un quart d’heure !!                                                                                                                                                               



vendredi 15 septembre 2017

Une suceuse mâle dans les glory holes


(Alpha raconte)
Le passage dans les glory holes debout n’est pas très concluant : deux ou trois queues de passage viennent se faire sucer mais beaucoup de zapping, les intéressés s’éclipsent rapidement après avoir été mis en forme, c’est un peu décevant. Pas beaucoup de suceuses en vue, hormis une un peu bedonnante et avec une haleine d’ail : beurk ! Elle essaie de me tripoter quand elle est désœuvrée mais je ne me laisse pas faire !

Côté mecs, beaucoup d’indécis qui vont et viennent, matent, jettent un coup d’œil à la vidéo mais in fine ne se décident pas à mettre leur queue dans un trou. Finalement, un type âgé, plus décidé que les autres commence par me peloter en me frôlant par-derrière mais, comme je le décourage de continuer en enlevant ses mains baladeuses, il passe de l’autre côté et me présente sa queue.

Elle est longue mais assez fine, et bande déjà à moitié. Je vais la masturber un long moment mais vu comme elle bande déjà je ne veux pas la sucer de suite : je sens des gargouillis à l’intérieur… Impression que le type va décharger sans prévenir ! C’est finalement ce qui se passe, je l’entends causer puis rugir de l’autre côté : il jouit dans ma main et dégouline longuement le long de mon bras. Bon pour une douche.

Quand je reviens, il se passe un long moment sans rien de notable. Puis : surprise ! Mon homme revient et repasse de l’autre côté. Comme je sais qu’il a déjà joui, et pour cause, je m’attends à ce qu’il soit moins fringant cette fois. Il est en effet nettement plus mou mais tout à fait propre, il s’est lavé lui aussi ; cette fois, donc, je le suce et, une fois redevenu bien dur – à mon grand émerveillement – je lui mets un préso. Il ne débande pas du tout et commence même à bourriner comme un malade contre la cloison. Il essaie de me faire des gorges profondes mais il est trop long et le réservoir du préso me donne des spasmes de nausée. Je n’arriverai pas à la prendre entièrement dans ma bouche sauf plus tard quand il aura ramolli un peu. Mes lèvres atteindront alors son pubis… mais je m’arrêterai là, besoin d’une pause car ce petit jeu aura duré presque une heure. Après ma pause, l’homme aura disparu, sans doute a-t-il quitté le club.

Mais moi je n’ai pas fini…

Parmi les types qui tournicotent dans le club, j’en ai repéré un avec des lunettes, genre quinqua intello, dégarni et avec une petite barbe grisonnante. Il passe de l’autre côté et me présente enfin sa queue. Elle est différente de la précédente, fine aussi mais moins longue, un peu en pointe et courbée légèrement vers le haut. Elle est surtout très dure et, apparemment, ne faiblit guère… Je la suce avec application et j’entends l’homme gémir de plaisir. Plusieurs fois il se retire en arrière, sans doute pour évacuer la tension et ne pas jouir trop vite. Puis il guide ma main qui tenait la base de sa queue vers l’intérieur de ses fesses : je comprends qu’il désire se faire doigter l’anus. Mon majeur s’y enfonce sur la moitié de sa longueur, ce qui a pour effet d’accroître visiblement sa jouissance et la dureté de son érection.

Puis il se retire pour de bon, fait le tour de la cloison et me rejoint, nu. Oops, je m’y attendais, mais que va-t-il vouloir maintenant ? Il me fait face dans l’ombre, je suis dos au mur et il me caresse les épaules et la poitrine de ses deux mains. Je sens sa bite dure comme mon bas-ventre, c’est extraordinaire cette sensation : un inconnu qui bande pour vous ! Il se penche en avant et me suçote longuement les tétons, il semble particulièrement apprécier leur volume. En même temps il me masturbe de la main, j’en profite pour enlever la serviette de ma taille et me retrouver nu contre lui.

Il s’agenouille plus bas et se met à me sucer la queue avec efficacité… Puis il se redresse devant moi, jambes écartées et attend. Je comprends que c’est mon tour : je lui suçote les tétons, qu’il a apparemment très sensibles : il se recule en arrière à plusieurs reprises. Je descends à genoux entre ses cuisses et me remets à lui sucer la bite, toujours très dure. Il ondule bien des hanches en ahanant et me fourrant sa queue tout entière dans la bouche. A plusieurs reprises, il  se retire pour se calmer un peu…

Puis il me propose d’aller dans une cabine. J’en ai envie aussi, nous choisissons celle en face du cottage DSK, avec un ventilo et un miroir. Après avoir installé nos serviettes, je me remets à le sucer. Mais rapidement il m’allonge sur le dos et passe en 69 par-dessus moi. Nous nous suçons ainsi l’un l’autre un bon moment en nous stimulant réciproquement les pointes de seins. Je l’entends gémir de plus en plus, il semble bien mûr.  Tout en le suçant, je lui pince un peu les tétons et constate, avec plaisir, que sa toison pectorale, blanche, fleure agréablement bon. Il est certes très velu, mais doux et agréablement parfumé. Une fois qu’il m’a fait bander bien dur avec sa bouche, il me demande de le prendre : je lui réponds que je ne vais sans doute pas y arriver…. Mais qu’a contrario, si ça lui fait envie, mon petit trou est à lui.

Il ne se le fait pas dire deux fois. Je le suce de nouveau pour renforcer encore son érection et je l’équipe d’un de nos présos extra strong, spécial sodomie. De l’autre main je me lubrifie la raie avec du gel puis je me place à quatre pattes devant lui, face au miroir, la tête dans l’oreiller !

Je sens sa bite dure et courbe chercher mon entrée et j’écarte mes fesses de mes mains pour lui faciliter l’accès. Très vite il me pénètre sur toute sa longueur et commence ses va-et-vient. Je me redresse un peu pour trouver le bon angle, du fait de la courbure de sa queue. Il m’agrippe les hanches et se redresse sur ses talons, son mouvement de piston commence à me soutirer des gémissements de plaisir. Assez rapidement, il jouit sans éructer et se retire presque aussitôt. C’est allé vite, je ne l’ai pas senti jouir dans mon cul mais il a ramolli et retire le préso fourré qu’il jette dans la corbeille. Il disparaît vers la douche en me demandant si je vais bien, je lui confirme que oui…

Je suis passé à la douche et au jacuzzi et ai constaté un arrivage de nouveaux clients. Je connais l’un d’eux, Francis, pour l’avoir sucé et fait jouir dans ma main l’autre jour dans ce même jacuzzi. Il est très respectueux et joueur, seul inconvénient : il a une toute petite queue, équipée d’un cockring il est vrai. Je me dis que, s’il m’a vu, il ne va sûrement pas tarder à rappliquer dans les glory holes. En effet, le premier « client » que je vois arriver c’est lui !

Il me présente son petit sexe équipé dans la deuxième fente du mur. Je le suce avec délectation pour le faire grossir et en effet, sous ma langue, il finit par atteindre un petit 8 à 10 cm. Son gland est enflé et délicat, un joli champignon qu’il aime me faire sucer tout partout, spécialement par en –dessous avec ma langue.

Mais une silhouette apparaît à l’angle de mon couloir. Je jette un œil en biais, ce n’est pas une autre suceuse, c’est mon cavalier précédent, l’homme au poitrail parfumé et aux tétons sensibles ! Il passe derrière moi et s’arrête, me caresse et je sens son dard de nouveau bien dur entre mes fesses. Comme je l’ai reconnu, je ne fais pas ma bégueule et je le laisse faire. Il me caresse et se masturbe d’un mouvement de va-et-vient entre mes fesses tandis que je continue de sucer Francis, que j’ai eu le temps d’équiper d’un préso à la banane.

Mais mon amant à la barbe fleurie redevient très entreprenant : il passe sur ma droite et me pinçote les tétons. Je lui rends la politesse de la main droite, en me tournant face à lui, tout en continuant de sucer ma petite banane. Mais mon « ami » devient très insistant… Je lâche la banane, que je prends dans ma main gauche et saisit la bite dure et courbée de l’autre dans ma main droite. Puis je lâche complètement la bite de Francis pour m’agenouiller et me remettre à sucer la queue dure et courbe du barbichu. Incroyable, il est redevenu aussi dur que tout à l’heure, ça m’impressionne ces types qui sont capables de jouir plusieurs fois de suite dans la même soirée, qui plus est en fantasmant sur un autre homme !

Il recommence à me labourer l’intérieur des joues et je n’ai plus qu’à rester passif, en levant juste les bras pour lui pincer les pointes de seins, toujours aussi sensibles. Francis est un peu interloqué que je l’aie abandonné, il fait le tour pour voir ce qui se passe… Et se place derrière mon ami, dans l’ombre. Je ne vois pas trop ce qu’il fait mais l’autre gémit de plaisir, il lui a peut-être doigté l’anus ?

Toujours est-il qu’il se retire soudain prestement de ma bouche et se met à se masturber en se rapprochant de moi qui suis toujours à genoux. Je comprends qu’il veut éjaculer sur moi… je ferme les yeux et la bouche et je sens soudain son liquide chaud me dégouliner sur l’épaule et la poitrine en longues saccades…Un collier de perles, pas mal pour la blonde qui est en moi !

De nouveau il s’éclipse vers la douche et je me retrouve seul avec Francis, lui debout, moi à genoux couvert de sperme. Francis s’avance vers moi, je n’ai d’autre choix que me remettre à le sucer, ce que je fais. Puis, au bout d’un petit moment, je me relève (les genoux commencent à faire mal) et déclare que j’ai besoin d’une petite douche – il le sait bien, il a vu l’autre éjaculer sur moi !

Ce sera la fin de la soirée pour moi, je n’ai plus envie de sucer Francis aujourd’hui et je le sais très endurant. Comme il n’y a pas d’autre suceuses en vue, il est temps que je regagne mes pénates !




jeudi 31 août 2017

Alpha fait la fille dans une partouze 100% mecs…


Cet après-midi commence un peu mal : deux couples et une femme seule sont déjà là quand j’arrive, et j’aperçois une trav en train de s’équiper dans le vestiaire femmes… trop de concurrence pour la suceuse que je suis, je commence par le jacuzzi et le hammam.

Parvenu à l’étage, c’est en effet la Berezina dans les glory holes. Ca tournicote pas mal, car il y a du monde, mais pas le moindre petit bout de gland ou de queue à se mettre sur la langue ! J’entends une femelle se mettre à geindre de plaisir simulé dans une cabine éloignée où elle a dû s’enfermer en 1+1 avec son mec… Vu le niveau de ses hurlements, il est clair en tout cas qu’elle n’a pas une autre queue dans la bouche au moment où le type est en train de la prendre par l’autre bout.

Après un long moment de solitude et le retour de la gent féminine à l’étage inférieur, les choses se décantent un peu. Une queue se présente : le type est un quadra au crâne rasé, pas très grand, comme sa queue d’ailleurs mais bon. Je fais mes meilleurs efforts et je me vois récompensé : sa bite enfle bien, elle atteint une belle longueur même si elle reste fine, elle est suffisamment épaisse à la base pour me faire des sensations. Je la sucerai bien dure pendant un long moment mais l’homme partira sans jouir. Il reviendra peu après la queue molle et je lui offrirai une deuxième fellation AOC mais là encore il repartira ragaillardi sans avoir joui. Dommage…

La concurrence s’intensifie, il y a deux autres suceuses, pas de la première jeunesse, ventripotentes et poilues… Heureusement inconstantes, elles tournicotent quand rien n’apparaît et de ce fait c’est à moi qu’échoit la nouvelle queue soudainement apparue dans l’un des trous du milieu. Elle est bien droite et de belle taille, même au repos, comme je les aime. Particularité, elle ne se décalotte pas d’elle-même, je dois l’aider un peu avec les doigts puis avec les lèvres.

L’homme est tout à fait comme j’adore : c’est lui qui donne le rythme, il me domine et me traite en soumise obéissante, m’offrant tantôt juste son gros gland à lécher et déguster, tantôt toute sa hampe jusqu’à la garde, bloquant son gland charnu à l’entrée de mon œsophage pour me mettre en apnée. Les deux suceuses sont revenues et me matent… Au bout d’un moment, mon « maître » se retire, contourne la paroi et vient se placer derrière moi. Il me prend doucement les pointes de seins entre ses doigts, les pince légèrement et place ses mains en coupe sur mes petites mamelles, tout en venant fourrer son gros barreau bien dur entre mes cuisses. Il va et vient, simulant une sodomie dans la raie de mes cuisses, tandis qu’une belle grosse queue est apparue dans le trou devant moi.

Je la prends aussitôt dans ma bouche et je sens les spectateurs haleter dans la pénombre tout autour. Une deuxième queue apparaît dans le trou de droite et je me mets à la masturber simultanément de la main. Mais mon « cavalier » semble s’exciter derrière mon arrière-train : je le sens ouvrir un sachet de lubrifiant et m’enduire légèrement le petit trou. Puis il sort un préso, l’enfile et vient se présenter à ma porte de derrière. J’essaie de l’aider en confiant la bite de droite à une des deux autres suceuses, et j’écarte mes fesses de mes deux mains tout en me cambrant du mieux possible pour qu’il trouve le bon angle.

Mais j’ai toujours la grosse queue qui durcit dans ma bouche et j’ai du mal à me placer correctement pour que l’homme puisse m’enfiler par-derrière: la queue dans le glory hole est un peu trop haute et il a beaucoup de mal à me pénétrer en levrette, mais il ne débande pas pour autant. Après plusieurs tentatives infructueuses, toutefois, il se lasse et s’éclipse, me laissant seul avec la grosse bite dans la bouche. Je commence à la sentir venir, et je la prends dans ma main juste à temps pour la faire éjaculer abondamment sur ma poitrine. Première douche de sperme du jour… je sens le liquide chaud et gluant s’écouler entre mes pectoraux et sur mon abdomen, ainsi que sur ma main droite.

L’homme s’en va mais il est aussitôt remplacé par un nouveau venu. Un jeune homme, apparemment, avec une queue un peu moins grosse mais bien longue et dure qui lui aussi m’imprime son mouvement dominateur. L’homme bouge bien et semble excité. Je sens soudain un liquide chaud sourdre sur ma langue, je me retire prestement et l’homme dégorge à son tour son jus sur ma poitrine et mes mains…

J’ai l’intention d’aller me contempler dans le miroir de la cabine voisine et de me toiletter quand une nouvelle queue apparaît, bien grosse et dure dans le trou voisin. Je la reconnais, c’est celle qui ne décalottait pas tout à l’heure, mon cavalier infructueux. Je le remets vite en forme, bien gros, bien dur, bien décalotté entre mes lèvres… Et l’homme fait de nouveau le tour de la paroi !

Il y a du monde à nouveau, qui regarde dans l’ombre, et je ne veux pas le décevoir. Pendant qu’il s’équipe d’un nouveau préso, je me lubrifie abondamment la raie puis je lui présente mes fesses : il m’empoigne les hanches et, bien dur, vient s’insérer là où mes mains le guident tout en écartant mes fesses. Il me faut me pencher davantage en avant pour trouver le bon angle, et c’est là que je réalise pourquoi ça ne marchait pas tout à l’heure : mon visage aboutit maintenant sur le rebord inférieur de la fente du glory hole, impossible de sucer une queue dans cette position. Dommage, car il s’en présente justement une : je vois que c’est celle d’une trav blonde. Elle est de belle taille mais toute molle, et repose un long moment sur mon front pendant que mon « maître » se met à me sodomiser vigoureusement.

Cette fois, il est bien entré dans mon cul, je sens son barreau qui va et vient, sous l’œil rond des voyeurs qui n’en perdent pas une miette. Je me sens vraiment salope en cet instant, enculé en public tout en poussant de petits cris de plaisir, avec la bite de la trav qui pend sur mon visage. Mon « maître » profite longuement de mon cul, il est endurant, et je finis par m’accrocher des deux mains aux rebords latéraux du trou pour m’équilibrer sous ses coups de boutoir.

Soudain il rugit et lâche sa purée au fond de mon intimité… Puis il se retire doucement, me caresse le dos de la main pour me remercier, et disparaît. J’halète encore pendant 5 bonnes minutes, j’ai vraiment envie d’une douche, les spectateurs ont commencé à se disperser. Mais une nouvelle queue se présente, épaisse et sombre. Je ne peux pas l’abandonner à sa triste mollesse, bonne fille que je suis : je la saisis puis l’embouche, tout en sentant le foutre  déjà répandu auparavant couler sur mon ventre et l’intérieur de mes cuisses. Cette bite est comme une cerise sur le gâteau : elle devient vite très grosse et dure, avec un gland particulièrement volumineux qui me remplit toute la bouche.

Ce braquemart est équipé d’un cockring à la base, bon signe me dis-je : l’homme doit être bi ou homo… et très endurant. A aucun moment il ne débande, toujours gros et dur, pendant quasiment toute la demi-heure que je passerai à le sucer. Je le sens gargouiller et j’espère secrètement qu’il va éjaculer une grosse dose de plus sur mes seins et mon visage… Mais in fine, il ne jouira pas. Quand il se retirera, je découvrirai que c’est une grande trav brune que j’ai déjà souvent vue ici, Monika je crois. Mais quel engin elle a !!!! Un vrai délice…

mardi 15 août 2017

LE BLOG EST EN VACANCES EN AOUT !!!


Eh oui, nous aussi avons besoin de vacances de temps en temps...

Alors pourquoi ne pas profiter de ce mois d'août pour lire et relire tous les articles que nous avons postés pour vous sur ce blog depuis 2010?

Bonnes lectures... et bonnes vacances !!!

jeudi 20 juillet 2017

Alpha se dévoue pour faire la fille

Dans les glory holes il y a peu d’action… Deux ou trois suceuses présumées mais rien à se mettre sur la langue. Jusqu’à ce que, à un moment où tout le monde avait disparu, un homme se présente et m’offre sa petite queue courte mais très dure et courbée vers le haut, avec un cockring à la base. Je le suce agréablement, en suivant les mouvements qu’il m’impose mais sans le faire jouir, jusqu’à ce qu’il me rejoigne en contournant la paroi. Il est très câlinant, bisouteur, normalement je n’aime pas trop ça. Mais il se met à me sucer les tétons et à me les pincer assez fort : je me mets à prendre des postures de fille offerte, le buste rejeté en arrière… Au bout d’un moment, il s’éloigne en me remerciant. Parmi les suceuses qui tournicotent dans le tunnel, un jeune avec la serviette sur l’épaule semble m’avoir reluqué à plusieurs reprises.

Je vais un peu plus tard sur le grand matelas de la salle cinéma. Assez vite je vois apparaître la petite queue courbe qui se place dans le glory hole de l’angle, celui où je peux sucer à genoux. Je me suis habitué à elle, je la suce profondément sans appréhension et sans rechigner. De nouveau, l’homme contourne la paroi et me rejoint sur le matelas. Je reste allongé, il reste debout et je le suce ainsi, couché sur la tranche. Il recommence à me caresser, me bisouter et me pincer les tétons. Cette fois, il se penche vers mon sexe et le masturbe puis le prend dans sa bouche. Je me suis équipé de mon cockring en cuir, sa succion me fait bander.

Puis il se redresse pour me faire faire des gorges profondes, toutes relatives car son sexe est court. Je n’ai aucun mal à l’aspirer en entier jusqu’à son pubis. Je sens alors une main inconnue me caresser le sexe puis une bouche me sucer. Je bande de plus belle et devine qu’il y a un autre homme derrière lui. Je me sens offerte comme une fille sur ce matelas entre les deux hommes, un qui prend ma bouche et l’autre qui me suce tout en m’enfilant de son majeur légèrement lubrifié.

Puis mon amant bisouteur s’écarte et s’éloigne. Il laisse la place à l’autre homme : je reconnais le jeune suceur des glory holes qui me fourre sa queue encore molle dans la bouche. Cette bite est nettement plus longue et volumineuse que la précédente, lorsqu’elle a durci elle me fait presque suffoquer. Son gland vient taper au fond de ma bouche et me met en apnée. L’homme commente : « Ah tu aimes la queue, hein salope. Tu aimes ça, tu aimes le jus aussi ?... » Je ne peux guère lui répondre, ma bouche étant complètement empalée sur son pieu.

Finalement nous cessons ce jeu. Je retourne dans les glory holes verticaux où l’attente reprend. Je me dis que je vais peut-être retrouver mon amant à la bite courte. En effet il finit par revenir, passe dans un glory hole puis très vite me rejoint. Il recommence ses caresses et ses pincements, s’agenouille pour me sucer. Notre jeu dans le tunnel attire du monde, surtout des voyeurs, plus une trav brune et l’autre suceur que je reconnais. Comme nous sommes occupés à deux, je suppose qu’il va s’occuper de la trav… Mais non, rien ne se passe et mon amant se relève pour m’embrasser à pleine bouche. D’ordinaire je n’aime pas ça, mais là, je ne sais pas, je ne suis pas dégoûté et je lui rends ses baisers profonds. Ses caresses, son corps parfumé, sa délicatesse… m’ont séduite ? Je me sens 200% fille à cet instant !

Je m’agenouille à mon tour pour sucer mon amant avec application et délectation à la fois. Je vois alors l’autre homme s’approcher, caresser mon amant puis venir se placer sur son côté gauche en me présentant sa bite à hauteur du visage. C’est le moment de faire encore quelque chose de nouveau pour moi : la double pipe !! Je prends les deux bites l’une contre l’autre dans ma bouche grande ouverte et je laisse les hommes imprimer leur mouvement.

Finalement mon amant parfumé finit par se retirer et s’en aller en me remerciant et je me retrouve comme tout à l’heure à subir dans ma bouche les assauts du jeune homme à la grosse queue bien dure. Cette fois je parviens à lui répondre, quand il me propose son jus, que je n’y tiens pas sans préso dans ma bouche.  Il me remerciera en partant, en me disant que je suis une excellente suceuse.

Pas d’éjaculation donc ce jour, mais un bon moment en charmante compagnie, néanmoins !


 

C’est aussi un dimanche, quinze jours plus tard. Ca ne démarre pas très bien, peu de monde circule à l’étage. Personne dans les glory holes sauf un ou deux mecs qui rôdent, du côté des suceuses. En redescendant au bar, je m’aperçois qu’un couple est arrivé… Grrr, va y avoir de la concurrence ! Mais heureusement ils ne semblent pas pressés de monter. Finalement, après une nouvelle attente dans les glory holes, les premiers clients se présentent. Le premier a une bite assez énorme : droite et bien dure comme une rosette de Lyon. L’homme joue le maître avec moi, il m’impose son mouvement et je finis par enlever ma main pour lui abandonner ma bouche, statique et stoïque. Il me fait faire des gorges profondes et alterne avec des suçotements de son gros gland. Je me sens vraiment esclave soumise de son bon vouloir et j’espère secrètement qu’il va éjaculer sur ma poitrine, me faire une abondante douche de sperme. Mais non, il finit par se retirer lentement et disparaît.

Il est rapidement remplacé par un homme assez jeune et mince au crâne rasé. Je le reconnais, c’est Maurice un de mes anciens amants. Je sais qu’il a une grosse queue et je m’en régale d’avance. Il me présente son braquemart dans la fente du mur : une bite XXL légèrement courbée vers le bas (plus facile pour les gorges profondes). Comme le précédent il m’imprime son rythme, et je le suce en toute quiétude, avalant sa longue queue jusque dans ma gorge, mes narines contre son pubis, car je sais qu’il est respectueux et n’éjaculera pas sans prévenir dans ma bouche.

Après un long moment de training « docilité », il se retire, contourne la paroi et vient se présenter devant moi dans l’ombre. Je comprends sans un mot qu’il veut que je continue de le sucer ici : je m’agenouille et m’applique à l’emboucher pour honorer son gros gland de la pression de mes lèvres et avaler sa hampe aussi profond qu’il lui plaira de me l’enfoncer. Je pose mes mains sur mes cuisses pour le laisser mener le jeu et nous jouons ainsi un long moment, espionnés par quelques voyeurs. Puis il se retire, et se met à se masturber devant moi qui suis humblement resté à genoux, mon visage à dix cm de sa queue. Je comprends qu’il veut jouir sur moi et je reste là, attendant la giclée de sperme dont il veut me gratifier. Il ne faut guère longtemps avant que je sente la chaude gelée se répandre sur mon nez et mes joues, couler sur mes lèvres et mon menton tandis que Maurice frotte son gros gland poisseux contre mon visage pour bien étaler le sperme. Mon premier facial ! Puis il s’en va…

Je vais me contempler dans le miroir du coin câlin voisin puis je m’essuie le visage et retourne dans les glory holes. Chic, un nouvel arrivant, un binoclard inconnu doté d’un braquemart monstrueux… Waouh, c’est du XXL !!! Le gland est relativement petit et pointu, par contre le reste est énorme, long et surtout très épais, un peu comme notre ami toulousain, Terrence. Je peine à le prendre en bouche, mais je finis par réussir à empaler ma bouche sur presque toute sa longueur. Quelle sensation : quand il est tout au fond, j’ai la bouche écartelée et bien pleine, un régal ! J’enlève de nouveau mes mains tandis qu’une ombre se glisse derrière moi. Un inconnu commence à me caresser, à me pincer les pointes des tétons, à  prendre dans ses mains en coupe mes petits seins (bonnet A) lisses et doux. Il caresse aussi mon sexe emprisonné dans le cockring en cuir noir. Il doit me prendre pour une shemale… Je sens sa bite dure s’insinuer par-derrière entre mes cuisses pendant que la grosse queue de l’intello continue de me fourrer activement la bouche jusqu’aux amygdales. Puis le binoclard s’en va sans avoir joui, mais pas mon amoureux de derrière. Je me retourne, m’agenouille et je le suce à son tour. Déception, il a une petite queue, nettement en-dessous de la moyenne. Comparé aux trois précédentes, il n’y a pas photo. Il finira par s’en aller à son tour, après un long moment un peu fastidieux pour moi.