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Sur ce blog nous racontons notre vie de libertins. Nos récits parlent de nos sorties et de notre vision du libertinage... Les lieux et endroits sont "améliorés", les repas "enrichis", l'histoire est parfois romancée afin que toute ressemblance avec la réalité ne puisse qu'être fortuite. Bonne lecture.
Caresse et Alpha
On this blog we are unveiling our swinger lifestyle. Our stories tell about our swinger parties and develop our vision of this particular way of life.
Places and meals are sometimes "improved", names are changed and the story itself may be "adapted" or even fully invented...
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Caresse (she) and Alpha (him)

vendredi 30 septembre 2016

Jeux sexuels entre hommes bi (2/2)



(suite du récit précédent, Alpha raconte)

…Nous sortons de notre conduite intérieure de marque Citroën et allons aux glory holes… Yes ! La cabine est libre, mais il faut nous y enfermer car les piranhas rôdent dans le couloir et certains ont déjà des vues sur les charmes de ma chérie. Je m’allonge sur le matelas, tête vers le troisième trou du mur et ma miss me fixe les pinces japonaises sur les pointes de seins… Mon excitation augmente en flèche, d’autant qu’elle se remet à me sucer goulûment en tirant sur la chaînette des pinces et simultanément sur mes couilles.

Mais hélas, pas la moindre queue en vue dans les glory holes. Je place ma main gauche dans l’ouverture du troisième trou et je sens à deux reprises une autre main me la frôler mais toujours pas de queue en vue. «  Waaaaa, tu es gros et délicieux » me dit ma Caresse… Ben oui, et si elle continue encore un peu, je vais éjaculer dans sa bouche en direct !

Je décide de me redresser, je me mets debout et je tente de passer ma bite dans le quatrième trou, le principe du glory hole inversé, comme nous l’avions fait déjà plusieurs fois auparavant. Bingo ! A peine ma queue est-elle offerte que je sens une main puis une bouche humide la lécher dans le noir. Presque au même moment, une grosse queue claire apparaît, dure, dans le troisième trou que je viens d’abandonner. Ma miss s’est repliée pour se reposer au fond du matelas et elle me suggère de masturber cette bite avec ma main droite pendant que je me fais sucer dans le trou d’à-côté.

Mon suceur s’y entend en la matière, il alterne masturbations manuelles délicates et succions humides, sans me mettre de préservatif. Waaaaouh, je suis à cran, il m’excite comme pas possible, j’ai l’impression que je ne vais pas tarder à lui éjaculer dans la bouche s’il continue. Ma chérie savoure de me regarder prendre du plaisir, ça lui suffit et elle n’a envie de rien d’autre.

Elle me passe un préso déballé, à destination de ma queue : elle me fait valoir que c’est l’un de nos derniers présos au chocolat, l’heureux élu qui me suce va se régaler !!! Sauf que je ne parviens pas à me l’enfiler de la main gauche pendant que je masturbe l’autre queue de la main droite !! Je le pose donc sur la tablette du ventilateur, en me disant que je le récupèrerai plus tard.

Je suggère dans l’intervalle à ma miss de s’occuper de la grosse bite que je masturbe depuis un bon moment de la main droite pour que je puisse me concentrer sur les sensations que me procure la fellation reçue. Ma Caresse se rapproche à nouveau et équipe l’homme du troisième trou d’un préso pour le sucer.

Je me plaque tout entier contre la paroi, tendu comme un arc, je sens les pinces japonaises me tirer les tétons vers le bas et cette douleur qui m’est aujourd’hui familière contribue à accroître notablement mon excitation. Je m’accroche de la main gauche au trou voisin, l’homme a passé son bras par ce trou et saisi ma fesse gauche qu’il malaxe tout en me plaquant le bassin contre la paroi du mur. Ainsi, la totalité de mon sexe et de mes couilles passent de l’autre côté ce qui lui permet de doser la profondeur de sa succion et aussi de me serrer les couilles déjà entravées dans le cockring en cuir.

Je bande très dur et je sens que je ne vais plus durer très longtemps à ce petit jeu-là. Curieusement, l’homme ne me met toujours pas de préso et je ne peux pas en enfiler moi-même car je n’ai plus accès à mon sexe. Ca me gêne un peu pour lui, il alterne masturbation et fellation, je pourrais très bien venir subitement à un moment où il aurait ma queue dans sa bouche… Je décide donc de me retirer doucement, avec l’idée de le faire entrer dans le coin câlin avec nous.

Ma chérie en profite pour me repasser la grosse queue qu’elle a rendue bien dure. Je la prends dans ma bouche gourmande, elle est grosse et dodue, pas tout à fait aussi épaisse que celle de Daniel mais c’est quand même déjà un bon calibre. Ma miss se repositionne au fond du coin câlin pour se reposer. Je suce avec délectation cette grosse bite qui est aussi très couillue : une paire de couilles XXL bien épilées passe à travers le trou et je peux les prendre dans ma main pour les serrer en même temps que je suce le membre sur toute sa longueur.

Mais au bout d’un long moment, l’homme semble donner des signes de faiblesse, sans pour autant qu’il se retire du glory hole : sa bite ramollit quelque peu et, malgré tous mes efforts, je ne parviens pas à la ranimer. Je finis donc par la lâcher, et je la vois se retirer dans l’ombre.

Mais je n’ai pas dit mon dernier mot, ça fait maintenant presque deux heures que je suis super excité, je retourne proposer ma bite gonflée dans le quatrième trou, celui à ma gauche devant lequel je peux me tenir debout. Instantanément, je sens une bouche qui me l’aspire. Waaouh, ça recommence, je me plaque de nouveau contre la paroi mais je sens que je vais finir par venir dans la bouche de cet inconnu.

Je me retire de nouveau, prends le préso au chocolat que j’ai laissé à côté et je m’agenouille devant le trou. L’homme me présente sa grosse queue, ce n’est pas celle que j’ai laissée à côté, c’en est une autre, peut-être celle de l’homme qui m’a sucé tout à l’heure dans ce même trou. Il a dû attendre que je revienne vers lui, la bisexualité n’est pas forcément un jeu très courant, même dans ce club, et des hommes seuls nous ont avoué qu’ils avaient souvent du mal à trouver des partenaires bi vraiment joueurs.

Je lui enfile le préso au chocolat à ma manière : j’encapuchonne le gros gland puis, le tenant entre mes lèvres, je déroule le tube de latex chocolaté des deux côté du braquemart jusqu’à la garde, ou du moins le plus loin possible. Et c’est moi qui vais profiter du bon goût de chocolat…

Je me mets à le sucer à genoux, il est encore plus gros que le précédent et il se plaque le plus possible contre la paroi, comme moi tout à l’heure, de sorte que j’ai toute la longueur de son membre à ma disposition. En revanche, il ne me présente pas ses couilles qui restent de l’autre côté.

Je le suce ardemment, jouant des lèvres et de la langue, tétant son gros gland joufflu, tout en me masturbant de la main droite et en m’agrippant de la gauche au cinquième trou du mur. Ma miss profite du spectacle et de mon plaisir visiblement intense. Le sexe de l’homme est gros et tendu à se rompre, pointant bien droit vers le haut. Je l’engloutis petit à petit jusqu’au bord du préso, puis encore un peu plus loin jusqu’à la garde. Mes lèvres viennent se plaquer contre son pubis épilé, je sens sa grosse bite enfoncée jusque dans ma gorge sans que cela m’empêche de respirer. Je peux donc rester ainsi une bonne dizaine de secondes à chaque fois, avec sa queue avalée tout entière dans ma bouche.

Je sens qu’il se raidit encore davantage au fur et à mesure que mon plaisir grandit lui aussi. Je finis par m’immobiliser tout à fait, la bouche plaquée contre son bas-ventre au moment où j’éjacule abondamment dans ma main. Je sens alors qu’il se raidit et décharge lui aussi par saccades dans le fameux préso au chocolat… Mmm, quel moment intense, et ce n’est pas seulement à cause du goût du chocolat !

Nous mettons fin à nos jeux, il est temps de passer à la douche, de reprendre un dernier café au bar puis, pour moi, un petit passage au sauna avant de regagner nos pénates. Encore un dimanche après-midi de plaisir où nous n’avons pas perdu notre temps !!!






mardi 20 septembre 2016

Jeux sexuels entre hommes bi (1/2)


(Alpha raconte)

C’est un weekend pluvieux et triste de début janvier, nous avons passé pas mal de temps à finaliser notre premier livre mis en ligne sur Amazon en début d’après-midi ! Nous avons mérité d’aller nous détendre dans notre club libertin favori.

Miss en a envie depuis que le stress que lui a donné la publication est retombé à zéro. Cela dit, elle n’est toujours pas en grande forme, ses « scrongneugneu » ne la lâchent pas et elle reste anémiée, carencée en oligoéléments. Pour ne rien arranger, elle a voulu s’épiler le minou sous la douche et s’est fortement irrité la chatte avec l’épilateur… Biafine est son amie depuis deux jours !

Nous arrivons sans encombres dans la rue du club sous une pluie battante. Comme nous arrivons plus tard que d’habitude, le stationnement n’a pas l’air simple… Et un break immatriculé dans les Landes me grille la politesse au carrefour pour s’enquiller dans la rue du club en ayant l’air de chercher à se garer !! Grrr… ma miss me dit que je n’aurais pas dû le laisser passer. Mais j’ai mes raisons : j’avais vu, incongru, posé à cheval sur le trottoir et la chaussée de la rue étroite du club, un vieux canapé en simili cuir marron clair : manifestement je ne pouvais pas passer avec la voiture sans le déplacer. Mais ayant laissé passer l’autre voiture devant nous, c’est l’un de ses passagers qui a dû se dévouer pour sortir sous la pluie battante hisser le canapé sur le trottoir…  Hilares, nous le remercions d’un signe à travers le pare-brise !

La voiture devant cherche en effet à se garer mais elle n’ose pas se mettre à cheval sur le trottoir de la petite rue perpendiculaire car ce n’est pas clairement autorisé et ils ne sont manifestement pas du coin. Nous, nous savons que c’est la pratique courante ici, nous prenons donc cette belle place sans sourciller.

Nous sommes ainsi à deux pas du club et la pluie s’est atténuée. Nous arrivons au guichet et avisons la jeune Anabelle qui nous ouvre. Nous trouvons pas mal de monde à l’intérieur, accoudés au bar, et les plateaux viennent d’être rechargés en sucreries…

Du monde aussi dans le vestiaire des couples… Nous nous changeons, je m’équipe tout de suite de mon précieux cockring en cuir noir, puis nous passons prendre un café et décidons d’aller directement aux glory holes sans passer par le jacuzzi. Oops, la cabine des glory holes est fermée à clef ! Nous faisons le tour pour regarder par les trous… Il y a du monde dans le couloir obscur et étroit, ma miss a du succès à frôler tous les hommes seuls qui s’y bousculent…

Je réussis à me faufiler derrière trois hommes seuls qui matent à travers les trois premiers trous et j’atteins le quatrième (mon préféré quand je suce de l’autre côté…). Je jette un œil à l’intérieur : un couple de trentenaires s’envoie en l’air mais manifestement la jeune femme ne s’intéresse pas du tout aux glory holes, elle ne suce personne… Quel gâchis ! Au moins je me dis que nous aurons notre chance quand nous y reviendrons tout à l’heure…

Je ressors du tunnel tout noir, vois un couple s’installer dans le coin câlin aux grands miroirs mais je ne trouve plus ma miss dans la pénombre. Soudain, je l’entends qui m’appelle du côté de la DS. Je m’approche et la trouve debout à la portière avant droite, me disant que nous avons un partenaire potentiel à l’intérieur. Je regarde et vois un jeune homme souriant, allongé sur le dos, avec une belle érection… « Il s’appelle Daniel et il est bi » me dit-elle.

Nous entrons dans la berline avec lui. Ma miss prend illico la « chose » en main pendant que je m’installe sur le matelas à côté de Daniel, accoudé à la portière arrière droite. Rapidement, ma chérie sort un préservatif de notre sac à malices et me demande de continuer la stimulation de notre nouvel ami. J’empoigne la grosse queue de Daniel, le gonze est sacrément membré malgré sa carrure plutôt chétive : un bon 8 pouces et surtout une belle épaisseur… Un engin comme je les adore !

Ma miss commence ensuite une fellation sur ce pieu démesuré mais très vite, je m’en doutais, elle déclare que c’est trop gros pour elle, c’est plutôt ma spécialité. Elle vante d’ailleurs mes mérites à Daniel en me présentant comme « le roi de la pipe »… Mmmm, c’est flatteur même si mon véritable titre est plutôt celui de « reine de la pipe » quand je suis en Sophia.

Je me place entre les cuisses de Daniel et embouche son gros gland entre mes lèvres. Il est vraiment énorme et délicieux, j’entame un bon va-et-vient le long de son braquemart : il m’emplit toute la bouche en largeur, j’en ai les bajoues gonflées ! Et je parviens seulement avec un peu de difficulté à l’avaler jusqu’à la garde… Gloup, pas facile mais c’est bon, et le plus dur c’est la première fois, après ca glisse mieux.

Nous avons toute une troupe de voyeurs agglutinés aux portières de la DS, hommes seuls et couples. Ma miss est venue me prêter assistance en suçant les coucougnettes de notre ami, ce qui le fait grimper aux rideaux et aussi dans l’échelle de la dureté. Un couple, une femme blonde et un homme aux cheveux ras grisonnants, semble avoir des velléités de nous rejoindre par la portière avant gauche. Ma miss leur dit d’entrer, plus on est de fous plus on rit… Monsieur s’engage le premier sur le côté gauche de Daniel et madame le suit en restant sur la banquette côté conducteur.

L’homme semble surtout intéressé par les seins de ma miss, pour le reste elle a judicieusement gardé son paréo car elle ne veut pas qu’on la touche en bas. La femme blonde se met à sucer son compagnon qui bandait déjà en arrivant et l’homme essaie de peloter ma chérie. Du coup, je me retrouve à sucer Daniel seul, pendant que celui-ci me caresse doucement le sexe encagé dans le cockring en cuir. Très vite, l’homme suggère de passer dans une cabine car la température monte vite à cinq dans l’habitacle exigu de la voiture. Mais nous ne semblons pas empressés de donner suite :  l’homme repousse alors sa femme dehors et sort à sa suite.

Daniel se redresse et commence à caresser ma miss en disant qu’il est chaud comme la braise et a envie de la prendre. Elle lui répond que ce n’est pas possible mais qu’il peut me sodomiser s’il en a envie. Il préfère s’abstenir, remercie et sort lui aussi de la voiture.

Finalement, nous restons seuls, même les spectateurs sont partis.  Qu’à cela ne tienne, ma miss me fait bénéficier de l’agréable fellation diaboliquement efficace qu’elle avait commencée sur Daniel et qui  me fait bander comme un taureau. Plusieurs hommes seuls tournicotent autour de la voiture mais ils repartent quand ma chérie leur dit que « les hommes c’est pour monsieur… »

Sauf un, qui s’approche debout de la vitre arrière droite, le sexe en érection déjà emballé dans un préso transparent. Ma miss m’enjoint  de le sucer, sans interrompre pour autant sa diabolique fellation sur moi. Je me tourne vers l’homme et embouche son sexe, de dimensions raisonnables. Je le serre à la base entre mes doigts et je le sens très dur, l’homme apprécie manifestement cette caresse.

Ma miss soudain s’interrompt et je la vois sortir de la voiture. Elle passe derrière l’homme et se met à lui caresser le dos. Etonnamment, je l’entends murmurer : « Ouiii, je vais jouir, je vais jouir… » et il me demande de le masturber plus fort, tout en le gardant dans ma bouche. J’obtempère, accoudé à la portière et je sens d’un seul coup le sexe viril juter puissamment entre mes lèvres… Je me recule un peu, le préso est rempli de foutre blanchâtre. L’homme recule à son tour, remercie et disparaît.

Ma miss revient dans la DS et se remet à me sucer jusqu’à ce qu’un nouveau groupe arrive, à la suite d’une femme d’un certain âge, complètement nue, qui déclare en nous voyant dans la DS : «  Ah ben, c’est bien, pour une fois que cette voiture est utilisée ! »… Nous lui faisons un signe mais ni elle ni sa suite ne nous rejoignent pour autant. Après une traversée rapide du coin obscur, nous les voyons ressortir et repartir comme ils sont venus vers l’autre partie du club. Les gens nous semblent parfois un peu incompréhensibles…

Je me suis décalé vers la partie gauche de la banquette arrière, le meilleur endroit car on voit bien arriver les nouveaux venus des deux côtés de la voiture. Ma chérie me suce encore jusqu’à me faire presque jouir, en me pinçant un peu les tétons et en me tirant fortement sur les couilles. Mais plus personne en vue…  je lui propose d’aller voir maintenant si les glory holes ont été libérés…

(à suivre, fin de la première partie)


samedi 10 septembre 2016

Partouzes entre couples bisexuels (2ème partie)

(Suite du récit précédent, Alpha raconte)


… Après avoir laissé nos nouveaux amis, Caresse et moi décidons de retourner dans le jacuzzi. Nous y trouvons une animation hors du commun : tous les yeux sont en effet rivés sur le coin câlin en surplomb où nous distinguons un enchevêtrement de corps nus d'où s'échappent des gémissements et des cris. En nous approchant, nous pouvons mieux distinguer : il s'agit apparemment d'une partouze d'une dizaine de personnes dont 3 jeunes femmes. Nous réussissons à nous asseoir sur la banquette en contrebas, ce qui nous permet de profiter du spectacle quasiment aux premières loges. A notre gauche, nous avons un trio de gens assez âgés mais ils ne font rien, aucune action, la partouze des jeunes a l'air beaucoup plus amusante.

Les trois jeunes femmes ont une trentaine d'années, elles sucent à tout va et se font prendre en levrette, les jeunes hommes autour sont comme fous, hypnotisés, de vrais zombies. Ceux qui sont encore dans l'eau n'ont qu'une obsession : monter sur le matelas pour avoir leur tour. Ils ne quittent pas la scène des yeux, sont totalement insensibles à leurs voisins dans l'eau et n'entendent rien. Pourtant, ça rigole bien dans le bassin, et nous ne sommes pas les derniers, car une des filles à commencé à beugler : « oh ouiiiiiii, c'est bon, prends-moi comme çaaaaa !!!! » Juste à côté de moi, un jeune homme a réussi à s'asseoir sur le rebord du matelas en y étendant les jambes, adossé au mur. Il se masturbe mollement, juste pour entretenir son érection, car de temps en temps l'une des brunettes en train de se faire mettre par derrière penche la tête vers lui pour le sucer.

Les plaisanteries vont bon train parmi les spectateurs, l'ambiance est complètement débridée, c'est plutôt rare ici. Soudain, une des jeunes femmes demande à haute voix : «  Chériiiii ??? Tu es où, chériiiii ? » Pas de réponse... dans le brouhaha qui suit, on comprend que « chéri » n'est pas dans les parages, il faudrait que quelqu'un aille le chercher. Apparemment, un jeune homme se dévoue pour sortir du jacuzzi... Il revient peu après avec « chéri » - on ne sait pas trop où il est allé le récupérer, peut-être au sauna ou au hammam ? L'homme pointe le bout de son nez derrière l'arête du mur de l'escalier du jacuzzi, mais ne semble pas enclin à descendre dans l'eau et encore moins à rejoindre sa dulcinée sur le matelas. Finalement, il se résout à descendre l'escalier, sous la pression du volume vocal de sa miss mais, une fois dans l'eau, il s'assied sur la banquette derrière lui, diamétralement opposée au matelas où la partouze, ou plutôt le gang bang, bat son plein.

Quelqu'un lui demande de monter sur le matelas mais il répond, avec un sourire vaguement gêné que non, il n'a pas envie... Et même qu'il a peur, car il y a trop d'hommes là-haut sur le dos des filles – on sent une pointe d'humour dans cette réponse, son sourire en dit long mais il ne montre cependant aucune velléité de rejoindre le groupe. Avec ma chérie, nous nous demandons ce qui peut le pousser à rester loin alors que sa chérie est en train de prendre son pied avec 6 ou 7 jeunes mecs virils et vigoureux... C'est peut-être une nympho et il est content de la voir se rassasier, il n'aura pas à « mouiller la chemise » pour elle ce soir en rentrant …

Finalement, sa copine descend pour venir le rejoindre dans l'eau, tandis qu'une autre se laisse glisser dans l'eau à ma droite, plus ou moins dans les bras du type à côté de moi qui semble être son mec attitré : elle l'embrasse longuement et lui fait une petite pipe. Au bout d'un moment la troisième fille les rejoint dans l'eau et elles sortent en disant à la cantonade : « bon ben voilà, le spectacle est fini, on change d'endroit... » A peine ont-elles monté l'escalier que le jacuzzi se vide : la cohorte des zombies les suit, à la queue leu leu les uns derrière les autres, le regard toujours aussi vide... Hilarant, et vaguement hallucinant tout de même. Pour nous qui voulions ensuite tester les glory holes, nous nous disons que ça ne va pas le faire : ces jeunes meufs vont « rincer » tous les mâles esseulés, nous n'aurons plus un seul candidat pour une fellation anonyme dans les trous du mur...

Mais la soirée nous réserve encore des surprises. Ma Caresse va prendre possession du coin câlin aux glory holes pendant que je passe vite fait aux toilettes. Je ne me suis pas absenté plus d'une demi-minute mais quand je rejoins ma chérie je trouve deux autres personnes avec elle dans le coin câlin... Ah ? C'est curieux, pas le style de ma chérie ...

Debout à ma gauche se trouve un homme d'une petite quarantaine d'années et sur le matelas je distingue vaguement ma miss avec quelqu'un allongé dessus! Bizarre, ça ne lui ressemble pas. Je referme doucement la porte derrière moi en vérifiant avec l'homme debout que nous mettons bien le verrou, il acquiesce. En y regardant de plus près, la personne brune et nue sur ma chérie est... une femme ! Il s'agit en fait d'un couple, ce que me confirme l'homme : ils sont bien en couple et madame a flashé sur ma Caresse, elle lui a instantanément sauté dessus quand elle est entrée dans le coin câlin ! Ma miss lui avait pourtant bien dit qu'elle n'était pas seule et que j'allais arriver mais pas de problème pour eux, la brunette – une trentenaire – avait semble-t-il vraiment trop envie d'une autre femme. Amusant, nous nous dirons ensuite, comment certaines personnes qui ne font sans doute pas grand-chose en matière de sexualité plurielle ou atypique pendant le reste de l'année ont une irrépressible envie de se lâcher en vacances ou dans les moments un peu fatidiques comme le Nouvel An...

Pour l'instant, la jeune brunette a enlacé ma chérie, l'a embrassée fougueusement mais très vite elle a manifesté son envie d'aller la goûter plus bas. Quand je grimpe sur le matelas, elle en est déjà à lui lécher le minou avec gourmandise et son homme monte à genoux derrière elle. Un peu interloqué, je m'allonge vers ma miss et l'embrasse, lui caresse les cheveux, les seins... L'homme caresse sa miss mais vient aussi de l'autre côté de la mienne pour m'imiter et lui caresser les seins. Il faut dire que sa poitrine opulente, depuis quelque temps, exerce un effet magnétique irrésistible sur la plupart des hommes, même en couple.

Rapidement, j'entends ma Caresse chanter sa chanson de plaisir et avoir un premier orgasme sous la langue insatiable de la jeune femme. Celle-ci semble alors un peu désemparée, elle se redresse et constate que son homme commence à s'affairer sur ma chérie. Un peu à contrecoeur, il me semble, elle se tourne donc vers moi et commence à me caresser le torse et le sexe. Je ne me fais pas prier, c'est une jolie jeune femme, avec des cheveux noirs mi-longs qui, sans un mot, embouche mon sexe et me fait une agréable fellation.

Je me suis assis, la jambe gauche un peu repliée sous moi. La brunette me suce à quatre pattes mais ses cheveux la gênent un peu car ils retombent sur les côtés et viennent dans sa bouche, un grand classique – il m'arrive la même chose quand je suis en trav avec mes perruques longues ! Je l'aide donc en lui prenant les cheveux des deux côtés et je les tiens groupés sur sa nuque d'une main tandis que, de l'autre, je lui caresse le dos et les seins qui pendent sous elle.

Elle suce bien, mon barreau est dur comme du bois, il est vrai que nous avons déjà pas mal donné aujourd'hui avec l'autre couple une heure auparavant. Mais ma brunette semble être un peu ailleurs, comme si elle avait dessoûlé de son envie de bisexualité, une fois assouvie en un temps record, elle semble se demander : « mais qu'est-ce que je fais là ? » tandis que son homme est à fond avec ma miss, la léchant, la doigtant jusqu'à lui faire avoir encore deux ou trois orgasmes successifs.

Donnant donnant, je lui propose de se mettre à son tour sur le dos, un peu appuyée à la paroi où se trouvent les trous, pour que je lui fasse un cunni. Elle ne dit toujours rien mais elle s'exécute et je m'allonge entre ses cuisses écartées, lui prenant les hanches dans mes bras. Je découvre sa foufoune abondamment velue et complètement détrempée ! Waouh, elle mouille à mort, rien que d'avoir léché ma chérie et peut-être aussi de m'avoir sucé (quoique j'en doute). La pointe de ma langue se fait coquine et elle me la dirige préférentiellement sur son clito qu'elle appuie fortement dessus. Elle bouge bien et ondule des hanches, sans doute pour me faire largement lécher ses lèvres. Cela dit, vu la rapidité avec laquelle elle a fait jouir ma chérie, je soupçonne qu'elle y a aussi mis les doigts, madame doit donc être vaginale elle aussi, ça vaut le coup de tenter le point G.

Son vagin est plus large que celui de Céline, j'y introduis un premier doigt puis un deuxième. Bingo ! La miss s'empale dessus avec vigueur, elle en a très envie et se met à faire un rodéo sauvage en gémissant, avalant mes doigts profondément dans son vagin qui se resserre en rythme à la base, pendant que je continue de la lécher goulûment. Je l'entends gémir et rapidement parvenir à l'orgasme, au moment où son homme l'a rejointe pour l'embrasser à pleine bouche.

Je cesse mes stimulations et la jeune femme se redresse puis passe à quatre pattes face au grand miroir mural dans mon dos. Son homme la prend en levrette – ma miss me dira ensuite qu'il l'a plusieurs fois fait ralentir sa fellation car elle a manqué de le faire jouir, il voulait se garder pour sa brunette … Il est plus que mûr et il sait qu'il ne va plus durer longtemps. Je rejoins ma chérie et l'enlace, profitant à deux du spectacle de l'autre couple qui s'envoie en l'air devant le miroir. La brunette semble particulièrement apprécier de se voir ainsi prise comme une chienne par son homme... elle le dit d'ailleurs à haute voix, mais cela ne dure pas car son homme rugit et jouit en elle peu de temps après.

Ils s'écroulent puis quittent le matelas en s'enveloppant dans leurs serviettes de toilette. Avec un sourire ils nous remercient puis s'en vont... Nous décidons de partir aussi et nous croisons de nouveau Philippe et Céline en passant au vestiaire. Nous leur souhaitons un bon réveillon et prenons congé.

Quelle soirée nous avons encore passée au club aujourd'hui !