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Sur ce blog nous racontons notre vie de libertins. Nos récits parlent de nos sorties et de notre vision du libertinage... Les lieux et endroits sont "améliorés", les repas "enrichis", l'histoire est parfois romancée afin que toute ressemblance avec la réalité ne puisse qu'être fortuite. Bonne lecture.
Caresse et Alpha
On this blog we are unveiling our swinger lifestyle. Our stories tell about our swinger parties and develop our vision of this particular way of life.
Places and meals are sometimes "improved", names are changed and the story itself may be "adapted" or even fully invented...
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Caresse (she) and Alpha (him)

jeudi 20 juillet 2017

Alpha se dévoue pour faire la fille

Dans les glory holes il y a peu d’action… Deux ou trois suceuses présumées mais rien à se mettre sur la langue. Jusqu’à ce que, à un moment où tout le monde avait disparu, un homme se présente et m’offre sa petite queue courte mais très dure et courbée vers le haut, avec un cockring à la base. Je le suce agréablement, en suivant les mouvements qu’il m’impose mais sans le faire jouir, jusqu’à ce qu’il me rejoigne en contournant la paroi. Il est très câlinant, bisouteur, normalement je n’aime pas trop ça. Mais il se met à me sucer les tétons et à me les pincer assez fort : je me mets à prendre des postures de fille offerte, le buste rejeté en arrière… Au bout d’un moment, il s’éloigne en me remerciant. Parmi les suceuses qui tournicotent dans le tunnel, un jeune avec la serviette sur l’épaule semble m’avoir reluqué à plusieurs reprises.

Je vais un peu plus tard sur le grand matelas de la salle cinéma. Assez vite je vois apparaître la petite queue courbe qui se place dans le glory hole de l’angle, celui où je peux sucer à genoux. Je me suis habitué à elle, je la suce profondément sans appréhension et sans rechigner. De nouveau, l’homme contourne la paroi et me rejoint sur le matelas. Je reste allongé, il reste debout et je le suce ainsi, couché sur la tranche. Il recommence à me caresser, me bisouter et me pincer les tétons. Cette fois, il se penche vers mon sexe et le masturbe puis le prend dans sa bouche. Je me suis équipé de mon cockring en cuir, sa succion me fait bander.

Puis il se redresse pour me faire faire des gorges profondes, toutes relatives car son sexe est court. Je n’ai aucun mal à l’aspirer en entier jusqu’à son pubis. Je sens alors une main inconnue me caresser le sexe puis une bouche me sucer. Je bande de plus belle et devine qu’il y a un autre homme derrière lui. Je me sens offerte comme une fille sur ce matelas entre les deux hommes, un qui prend ma bouche et l’autre qui me suce tout en m’enfilant de son majeur légèrement lubrifié.

Puis mon amant bisouteur s’écarte et s’éloigne. Il laisse la place à l’autre homme : je reconnais le jeune suceur des glory holes qui me fourre sa queue encore molle dans la bouche. Cette bite est nettement plus longue et volumineuse que la précédente, lorsqu’elle a durci elle me fait presque suffoquer. Son gland vient taper au fond de ma bouche et me met en apnée. L’homme commente : « Ah tu aimes la queue, hein salope. Tu aimes ça, tu aimes le jus aussi ?... » Je ne peux guère lui répondre, ma bouche étant complètement empalée sur son pieu.

Finalement nous cessons ce jeu. Je retourne dans les glory holes verticaux où l’attente reprend. Je me dis que je vais peut-être retrouver mon amant à la bite courte. En effet il finit par revenir, passe dans un glory hole puis très vite me rejoint. Il recommence ses caresses et ses pincements, s’agenouille pour me sucer. Notre jeu dans le tunnel attire du monde, surtout des voyeurs, plus une trav brune et l’autre suceur que je reconnais. Comme nous sommes occupés à deux, je suppose qu’il va s’occuper de la trav… Mais non, rien ne se passe et mon amant se relève pour m’embrasser à pleine bouche. D’ordinaire je n’aime pas ça, mais là, je ne sais pas, je ne suis pas dégoûté et je lui rends ses baisers profonds. Ses caresses, son corps parfumé, sa délicatesse… m’ont séduite ? Je me sens 200% fille à cet instant !

Je m’agenouille à mon tour pour sucer mon amant avec application et délectation à la fois. Je vois alors l’autre homme s’approcher, caresser mon amant puis venir se placer sur son côté gauche en me présentant sa bite à hauteur du visage. C’est le moment de faire encore quelque chose de nouveau pour moi : la double pipe !! Je prends les deux bites l’une contre l’autre dans ma bouche grande ouverte et je laisse les hommes imprimer leur mouvement.

Finalement mon amant parfumé finit par se retirer et s’en aller en me remerciant et je me retrouve comme tout à l’heure à subir dans ma bouche les assauts du jeune homme à la grosse queue bien dure. Cette fois je parviens à lui répondre, quand il me propose son jus, que je n’y tiens pas sans préso dans ma bouche.  Il me remerciera en partant, en me disant que je suis une excellente suceuse.

Pas d’éjaculation donc ce jour, mais un bon moment en charmante compagnie, néanmoins !


 

C’est aussi un dimanche, quinze jours plus tard. Ca ne démarre pas très bien, peu de monde circule à l’étage. Personne dans les glory holes sauf un ou deux mecs qui rôdent, du côté des suceuses. En redescendant au bar, je m’aperçois qu’un couple est arrivé… Grrr, va y avoir de la concurrence ! Mais heureusement ils ne semblent pas pressés de monter. Finalement, après une nouvelle attente dans les glory holes, les premiers clients se présentent. Le premier a une bite assez énorme : droite et bien dure comme une rosette de Lyon. L’homme joue le maître avec moi, il m’impose son mouvement et je finis par enlever ma main pour lui abandonner ma bouche, statique et stoïque. Il me fait faire des gorges profondes et alterne avec des suçotements de son gros gland. Je me sens vraiment esclave soumise de son bon vouloir et j’espère secrètement qu’il va éjaculer sur ma poitrine, me faire une abondante douche de sperme. Mais non, il finit par se retirer lentement et disparaît.

Il est rapidement remplacé par un homme assez jeune et mince au crâne rasé. Je le reconnais, c’est Maurice un de mes anciens amants. Je sais qu’il a une grosse queue et je m’en régale d’avance. Il me présente son braquemart dans la fente du mur : une bite XXL légèrement courbée vers le bas (plus facile pour les gorges profondes). Comme le précédent il m’imprime son rythme, et je le suce en toute quiétude, avalant sa longue queue jusque dans ma gorge, mes narines contre son pubis, car je sais qu’il est respectueux et n’éjaculera pas sans prévenir dans ma bouche.

Après un long moment de training « docilité », il se retire, contourne la paroi et vient se présenter devant moi dans l’ombre. Je comprends sans un mot qu’il veut que je continue de le sucer ici : je m’agenouille et m’applique à l’emboucher pour honorer son gros gland de la pression de mes lèvres et avaler sa hampe aussi profond qu’il lui plaira de me l’enfoncer. Je pose mes mains sur mes cuisses pour le laisser mener le jeu et nous jouons ainsi un long moment, espionnés par quelques voyeurs. Puis il se retire, et se met à se masturber devant moi qui suis humblement resté à genoux, mon visage à dix cm de sa queue. Je comprends qu’il veut jouir sur moi et je reste là, attendant la giclée de sperme dont il veut me gratifier. Il ne faut guère longtemps avant que je sente la chaude gelée se répandre sur mon nez et mes joues, couler sur mes lèvres et mon menton tandis que Maurice frotte son gros gland poisseux contre mon visage pour bien étaler le sperme. Mon premier facial ! Puis il s’en va…

Je vais me contempler dans le miroir du coin câlin voisin puis je m’essuie le visage et retourne dans les glory holes. Chic, un nouvel arrivant, un binoclard inconnu doté d’un braquemart monstrueux… Waouh, c’est du XXL !!! Le gland est relativement petit et pointu, par contre le reste est énorme, long et surtout très épais, un peu comme notre ami toulousain, Terrence. Je peine à le prendre en bouche, mais je finis par réussir à empaler ma bouche sur presque toute sa longueur. Quelle sensation : quand il est tout au fond, j’ai la bouche écartelée et bien pleine, un régal ! J’enlève de nouveau mes mains tandis qu’une ombre se glisse derrière moi. Un inconnu commence à me caresser, à me pincer les pointes des tétons, à  prendre dans ses mains en coupe mes petits seins (bonnet A) lisses et doux. Il caresse aussi mon sexe emprisonné dans le cockring en cuir noir. Il doit me prendre pour une shemale… Je sens sa bite dure s’insinuer par-derrière entre mes cuisses pendant que la grosse queue de l’intello continue de me fourrer activement la bouche jusqu’aux amygdales. Puis le binoclard s’en va sans avoir joui, mais pas mon amoureux de derrière. Je me retourne, m’agenouille et je le suce à son tour. Déception, il a une petite queue, nettement en-dessous de la moyenne. Comparé aux trois précédentes, il n’y a pas photo. Il finira par s’en aller à son tour, après un long moment un peu fastidieux pour moi.

lundi 10 juillet 2017

Une excellente suceuse


Arrivé dans les glory holes, il fait très sombre. Trop sombre… l’une des quatre fentes verticales ne laisse absolument pas passer de lumière. Je m’approche, un homme est appuyé contre la paroi. Je tends la main : une grosse queue molle pend dans l’ouverture. Je la palpe, l’évalue, la renifle… Bonne pour le service !


Je commence à la prendre entre mes lèvres. Je passe ma langue sur le gland lisse et parfumé.  Pour l’exciter davantage, je tire de la main la peau vers la base du sexe, de façon à complètement décalotter le gland. La peau fait une surépaisseur du côté gauche (pour moi) mais ça ne me gêne pas pour l’instant : je me concentre à lécher le gland. Celui-ci se met à enfler dans des proportions insoupçonnées au départ : un beau gros fruit pulpeux… Je l’enfourne en entier pour le masser de ma langue coquine, et mes lèvres commencent à descendre sur la peau, en franchissant le barrage du bourrelet à la base du gland...


Je sens la bite qui enfle et durcit. Elle devient grosse et surtout épaisse, elle m’emplit la bouche entièrement d’une joue à l’autre ! Je renonce à la tenir dans ma main et je pose mes deux mains à plat sur la paroi, le front appuyé sur le rebord supérieur de la fente, en attendant que l’homme m’imprime son mouvement. Il bouge en effet d’avant en arrière, dosant la poussée de ses hanches et s’enfonçant un peu plus profondément à chaque mouvement. Il se place et se replace pour trouver le meilleur angle et finit par réussir à me l’enfoncer entièrement jusqu’à ce qu’il sente mon nez toucher son pubis et mes lèvres son cockring et ses couilles…



Il est tellement gros que je suis quasiment en apnée quand il est au fond mais je m’efforce de le supporter sans broncher, en brave fille que je suis dans ces moments-là. Pour pouvoir résister à ce bâillon de chair, il me faut doser ma respiration et tenter d’écarter encore un peu plus les lèvres pour respirer par les côtés de la bouche.


Notre petit jeu attire du monde. Deux ou trois nouvelles « suceuses » me rejoignent dans le tunnel, et les trous adjacents se garnissent de nouvelles queues. Mais mes « copines » sont des zapettes. Elles commencent à sucer puis abandonnent, passent à une autre queue ou s’éclipsent. Ma voisine veut échanger sa queue avec la mienne, je me laisse faire mais elle la trouve bien trop grosse pour sa bouche !


Je me retrouve avec une queue plus petite mais très dure et courbée vers le haut. Mes voisines veulent encore zapper mais cette fois je ne lâche plus mon partenaire. D’ailleurs, les autres suçaient tellement bien que les queues se débinent une par une, y compris la grosse que je suçais auparavant ! Seul mon nouveau partenaire reste… Il semble apprécier ma langue et les caresses de ma bouche !


Finalement du monde revient dans le tunnel, des mains me frôlent, me caressent le dos ou me masturbent mollement. Mais la queue courbée finit par se retirer… Je décide alors de passer au jacuzzi. Quand je reviens, c’est encore calme mais je suis bientôt rejoint par une autre suceuse, la serviette sur l’épaule… Toujours pas de clients en vue. Finalement, le petit homme brun commence à venir me caresser. Je me dis qu’après tout on peut s’amuser ensemble, à défaut d’autre chose. Je le caresse aussi, mais il ne bande pas trop bien. Je m’agenouille donc devant lui et j’entreprends de le sucer. Aussitôt il devient dur et se met à gémir de plaisir.


Nous jouons ainsi un long moment et d’autres hommes passent et repassent. Finalement des queues réapparaissent dans les trous du mur. Nous cessons notre jeu et recommençons à sucer à travers le mur. Rapidement cependant, les sucés disparaissent de nouveau un à un. Je me retrouve avec une seule queue, et je la reconnais. C’est la grosse bite de tout à l’heure ! Je la reprends dans ma bouche et la remets en forme. La queue reprend toute son ampleur, le gland  redevient très volumineux et son propriétaire me refait faire des gorges profondes en apnée. C’est vraiment ce qui semble lui plaire le plus.


Au bout d’un moment, l’homme se retire lentement et fait le tour de la cloison par le couloir de gauche. Il jette un coup d’œil vers moi dans le tunnel puis s’éloigne vers un coin câlin. Mais avant que je réagisse un autre homme lui emboîte le pas et le rejoint à l’intérieur. Je me décide à y aller : je les trouve en train de se branloter l’un l’autre…. Mais l’intrus ressort de la cabine en me voyant arriver. Je prends sa place, c’est moi que l’homme attendait. Il est debout, statique, je m’agenouille devant lui et recommence à le sucer. Très vite il redevient dur et se met à soupirer et même à commenter : «  Ah oui, c’est bon… tu suces bien »


Il a laissé la porte de la cabine ouverte. Du coin de l’œil gauche je distingue des silhouettes qui nous matent, certains entrent même. Pour ma part, je suis dans la position d’une vraie salope soumise : à quatre pattes en train de sucer la grosse bite de mon homme en gorge profonde, la croupe relevée et le dos cambré, offrant à nos visiteurs une vue imprenable sur mon petit trou et mes couilles enserrées dans mon cockring en cuir noir.


Mon partenaire a levé sa jambe gauche qu’il appuie sur le matelas haut de la cabine. De cette façon je peux m’insinuer un peu plus loin sous lui, le sucer bien à fond, tandis qu’il se penche en avant sur moi et commence à me doigter l’anus avec son majeur. Il se redresse ensuite pour que le suce un moment pendant qu’il se tient vertical puis recommence son jeu, en enfonçant toujours plus profond son doigt mouillé de salive dans mon intimité. Je finis par gémir la bouche pleine en sentant son long doigt s’enfoncer entièrement dans mon cul en même temps qu’il m’enfonce sa bite dans la bouche jusqu’à la garde. Il arrive à me prendre en DP à lui seul ! Je bande dur comme un âne…


Au final il se redresse et s’installe de côté sur le matelas. Je m’installe le long de son corps et je le reprends dans ma bouche. Des ombres entrent et nous regardent… Puis il pivote un peu pour passer par-dessus moi et se pencher vers mon entre-jambes. A aucun moment toutefois il ne joue avec mon sexe, en revanche il se remet à me doigter l’anus vigoureusement. Encore de la DP… j’en profite pour faire de même avec lui. Malheureusement, si le fait d’avoir la bouche bien pleine d’une bite dure et goûtue me fait indéniablement bander, il n’en va pas de même pour la pénétration anale qui, au contraire, me fait plutôt débander.


Un autre type, plutôt jeune et au crâne rasé, est entré et semble vouloir se joindre à nous. Comme je suis sous mon amant, sa queue toujours en bouche et allongé presque sur le dos, j’offre au regard du nouveau venu mes parties génitales sans protection. Le jeune homme s’en empare et commence à me caresser, puis à me sucer. Il suce pas mal, je me mets à bander de sentir sa bouche chaude aller et venir sur ma queue tandis que je mâche la grosse bite dans ma bouche sans discontinuer. Délicieux moment !


L’homme à la grosse bite finit par se retirer et s’en aller. Je reste avec le jeune homme qui monte à son tour sur le matelas. Il semble avoir envie que je m’occupe de lui… je me mets à le sucer à son tour : il a une queue plus petite que le précédent, avec un gland en forme de champignon. Il est aussi beaucoup plus sensible et réagit énormément à mes caresses buccales.


Nous faisons une pause et il me demande s’il peut disposer de mon petit cul… Agréablement surpris, j’acquiesce et l’équipe d’un préservatif extra strong pendant qu’il prend du lubrifiant. Je me place ensuite debout, jambes écartées, à plat ventre sur le matelas et l’homme se fraye un chemin dans ma raie, entre mes fesses que j’écarte de mes deux mains. Il parvient rapidement à m’enfiler, je sens sa queue dure aller et venir dans mon cul et me soutirer des gémissements de salope en rut. Pour accélérer son mouvement il me saisit par les hanches et se met à ahaner en m’enculant de plus belle. Au bout d’un moment il se retire, j’ai le sentiment qu’il a joui et je m’allonge sur le matelas pour me reposer un peu.


Il me sourit et s’allonge lui aussi un peu plus haut, me présentant sa bite à hauteur du visage. Interloqué, je vois qu’il bande encore bien dur… et il a l’air sec. Je lui demande : « Mais tu n’as pas terminé ? »  Il me sourit en me disant que non, qu’il a juste pris un peu de plaisir. Je me vois donc dans l’obligation de le sucer de nouveau. Il est encore plus sensible que tout à l’heure et donne des coups de boutoir pour enfourner sa queue entièrement dans ma bouche. «  Ah, tu suces bien, c’est bon… » me dit-il puis il me signale qu’il va jouir. Je m’écarte et il se termine à la main, éjaculant quelques perles sur son bas-ventre pendant que je lui lèche les couilles.


En prenant congé, il m’explique qu’il est venu avec sa femme et qu’elle est en train de jouer dans un autre coin câlin avec un copain à eux… «  J’espère que tu ne t’es pas trop ennuyé » lui dis-je. « Pas le moins du monde, bien au contraire ! » me répond-il en riant.