Pour nos vacances, nous reprenons la route de l’Espagne. Nos amis espagnols nous ont proposé de les rejoindre à Valladolid, ils semblent tous deux très excités à l’idée de nous revoir. Pour nous aussi, depuis 3 semaines, la pression est montée, et c’est avec beaucoup de plaisir que nous prenons la voiture et franchissons la frontière à Irun.
Nous passons la nuit dans notre hôtel préféré à Burgos, avec une splendide vue sur la cathédrale. Après une délicieuse grasse matinée et un succulent buffet de petit déjeuner, il ne nous reste qu’une heure sur l’autovia de Castille pour rejoindre notre destination.
Nous y parvenons à l’heure du déjeuner. La ville est assommée sous le soleil, mais notre hôtel est splendide, installé dans un ancien monastère au bord de la rivière Pisuerga. Notre ami Roberto nous l’a recommandé. Il est déjà là et nous accueille chaleureusement dans le hall d’entrée. Ce hall est magnifiquement aménagé dans l’ancien cloître du monastère, avec son puits central en pierre blanche et sa verrière le couvrant entièrement. Maria n’est pas encore là, elle travaille, elle nous rejoindra pour le déjeuner. Roberto nous informe qu’il a pris la liberté de changer notre réservation pour obtenir une suite à quatre, au lieu de deux chambres séparées! Hummm… ! Sur ce, nous visitons les beaux jardins qui descendent en pente douce vers la rivière, avant de nous installer au restaurant gastronomique de l’hôtel pour boire un verre de « vino de la casa » en attendant Maria qui ne saurait tarder.
Elle nous rejoint en effet alors que nous avons juste commencé nos verres. Elle a mis une robe très printanière dans des tons bleus et verts. Caresse a revêtu une jolie tunique-pantalon bleue qu’elle a dénichée il y a peu. Après quelques brèves effusions de retrouvailles, nous commandons notre déjeuner de plats typiques à partager, arrosés d’un Ribera de Duero méticuleusement choisi par Roberto, très sourcilleux sur la température de service. Un délice épicurien ce déjeuner et un tel plaisir de retrouver nos amis, tant de choses à nous raconter dans nos trois langues d’usage : espagnol, anglais, français !
Mais nous sommes tous, les uns autant que les autres, pressés de remonter dans notre somptueuse suite du 1er étage donnant sur le cloître. L’hôtel n’est pas complet en cette saison, quelques rares hommes d’affaires et des couples y séjournent. Roberto, qui est connu ici, a dû inventer une réunion de travail entre nous pour donner le change à la réception et expliquer pourquoi il nous fallait une suite avec chambres communicantes… Le réceptionniste nous a d’ailleurs respectueusement indiqué que, si nous avions le temps après le travail, il y avait dans l’hôtel une superbe piscine et un hammam / club de fitness dont nous pourrions faire usage… Il n’était peut-être pas complètement dupe et effectivement, il ne s’est pas trompé, nous n’avons absolument pas eu le temps d’y faire un tour !
Parvenus dans nos appartements, nous passons immédiatement aux choses sérieuses : présentation de nos nouveaux jouets depuis la dernière fois, essayage d’escarpins récemment acquis, puis quelques photos de ces dames si joliment vêtues et qui s’effeuillent lentement l’une l’autre devant nos objectifs pour notre plus grand plaisir. Assez vite, nos belles se retrouvent vêtues de leurs seuls sous-vêtements et de leurs chaussures à talons hauts, leurs sourires illuminent nos objectifs d’appareils photos.
Roberto semble avoir déjà très chaud… Il suggère que les dames continuent leurs jeux ensemble pendant que lui et moi passons dans l’autre chambre. Je me demande un peu où il veut en venir… Nous discutons et manipulons ses nouveaux jouets et il me demande de lui fixer les bracelets de cuir avec les chaînes à ses poignets et ses chevilles, tandis qu’il se déshabille. Je m’exécute et l’aide à se préparer, tout en enlevant moi-même ma chemise, puis il s’allonge sur le lit, vêtu seulement des parures que je viens de lui ajuster. Il est déjà très en forme, l’attente puis la séance photo l’ont visiblement excité…
Je finis de me déshabiller debout à côté du lit et Roberto s’empare aussitôt de mon sexe pour le caresser. Je fais donc de même, pour lui rendre la politesse : nous nous sommes déjà aperçu à Tolède lors de notre première rencontre (voir récit : "Rencontres madrilènes: Tolède") que Roberto avait besoin d’être en très grande forme avant de se présenter devant les dames, surtout devant une française comme ma miss… ! Il gémit doucement dans ma main, rejetant sa tête en arrière sur l’oreiller et fermant les yeux à demi. Moi-même je suis maintenant très excité par sa manière experte de me masturber et je comprends très bien ce qu’il attend de moi : je m’assieds sur le bord du lit tandis qu’il continue de me masturber vigoureusement et approche ma bouche de son sexe.
Je le lèche doucement puis descends progressivement mes lèvres sur son gland puis sa hampe. J’entame un léger va-et-vient sans toutefois relâcher la pression et les enlacements de ma langue, son membre durcit encore davantage et Roberto se met à onduler du bassin, lentement puis de plus en plus fort. Cette délicieuse fellation dure un bon moment, Roberto continue de me masturber par intermittence, ce qui maintient mon excitation à un niveau supportable. Lui, en revanche, ondule avec violence, je n’ai plus besoin de bouger la tête, son sexe va et vient dans ma bouche sur toute sa longueur, de mes lèvres à ma gorge, je l’enfourne jusqu’à la garde avec délectation. Au moment où il ralentit un peu ses mouvements, je me redresse et lui demande s’il ne serait pas temps de rejoindre les dames dans l’autre pièce : il acquiesce, nous nous relevons et ouvrons la porte de communication…
Caresse et Maria, dans l’autre pièce, sont en train de discuter sagement...! Caresse a étalé nos jouets sur la table basse située devant le grand lit tout en les montrant à Maria qui s’amuse terriblement de tout ! Caresse lui dit en désignant le gode rose qu’elle n’est pas une adepte de la pénétration… Maria la rassure en lui disant qu’il n’y a pas de souci, que ce qui est bien avec nous c’est justement que chacun se sente à l’aise de faire ce qu’il aime et de dire ce qu’il n’aime pas… que c’est un vrai plaisir de pouvoir être bien comme ça avec des amis ! Hummm… ma miss m’avouera avoir été grandement rassurée par les mots de Maria… en effet en avril, Angel, un libertin madrilène (voir récit "Rencontres madrilènes: Madrid"), l’avait pénétrée avec un gros gode et Caresse n’avait pas aimé !
Les deux femmes tournent la tête à notre arrivée, surprises… agréablement de nous voir nus et en grande forme tous les deux, Roberto équipé, de plus, de ses bracelets en cuir noir reliés à des chaînes. Les dames ne se font guère prier pour se débarrasser l’une l’autre de leurs sous-vêtements… et Caresse équipe Maria de bracelets blancs aux poignets et d’un collier de soumise.
Roberto s’allonge sur le dos dans notre lit mega king size (emperor size ?) qui pourrait aisément nous accueillir tous les quatre pour la nuit entière. Maria entreprend aussitôt de le sucer, pour profiter de cette belle érection prometteuse. Je m’allonge également et ma chérie fait de même sur moi. Hmmmm, quel délicieux moment pour faire monter un peu la pression ! Après quelques instants, les dames décident d’échanger : Caresse prend la place de Maria et Maria la sienne : je redécouvre ainsi toutes les subtilités de la langue espagnole, surtout lorsqu’elle est très coquine et entreprenante comme celle de Maria…… quel délice !
Caresse s’est redressée et se met à lécher l’entrejambes de sa complice qui est toujours en train de me sucer avidement. Pour ne pas le laisser de côté, je me mets à caresser Roberto de ma main gauche, lui saisissant le sexe et le masturbant avec vigueur mais dextérité, comme je le ferais pour moi-même. Maria interrompt alors son ouvrage et retourne vers son homme qu’elle se remet à sucer voluptueusement. Elle a vraiment beaucoup d’appétit aujourd’hui, Maria… La langue espagnole n’a jamais été aussi vivante !
Il est vrai – nous l’avions déjà constaté la fois précédente – que nos amis espagnols se parlent beaucoup pendant les coquineries. Tout un vocabulaire de petits mots doux et choisis dont voici un florilège à l’usage des libertins internationaux tentés par l’exploration de la péninsule ibérique :
Sigue, mas : continue, encore
Puta : même mot qu’en français, difficile à traduire: salope? chérie ? les deux en même temps ?
Que pasa, puta ? Qu’est-ce qui t’arrive chérie ? (au moment où elle commence à gémir fortement)
Estupendo (estupenda) : formidable, extraordinaire
Huevos : couilles (« oeufs »)
Mira, como te la come bien : regarde comme il (ou elle) te la mange bien (ici manger a plutôt le sens de « sucer » en français)
Ma chérie, coquine, a continué de lécher la chatte de Maria pendant tout ce temps, notre amie a déjà eu un ou deux orgasmes clitoridiens violents qui l’ont obligée à momentanément interrompre ses jeux de langue. Je me redresse et relaie ma miss entre les cuisses de notre amie castillane, pas besoin de me faire prier, c’est un vrai régal et Maria est extrêmement réactive aux caresses. Ma Caresse se dirige vers la queue de Roberto pour aider son amie Maria a le sucer, tout en embrassant Maria par la même occasion. Cette douce séquence de plaisir partagé dure un bon moment au cours duquel je parviens à faire jouir Maria quatre fois de suite, de la langue et des doigts, de plus en plus fortement. L’hôtel étant quasiment désert, le personnel de la réception doit être édifié sur notre dure « séance de travail » de l’après-midi !
Caresse a changé de position et s’est placée en 69 avec Roberto. Ce dernier profite de l’occasion pour aussi visiter le petit trou de ma chérie, tandis que Maria lui caresse et lui suce les couilles. Je continue quant à moi mes léchouilles sur la vulve et l’anus de Maria. Ma chérie ondule et gémit fortement, elle atteint l’orgasme anal avec soulagement, mais Roberto continue de s’activer sans relâche et la fait jouir encore deux fois de cette façon. Waouh ! Quel pied elle a pris, décidément l’hôtel va finir par envoyer la police !
Maria se dégage doucement de mes caresses et retourne sucer Roberto. Ma chérie revient vers moi pour me sucer un moment, puis je rejoins Maria pour sucer Roberto avec elle. Hmmm, ce genre de situation semble l’exciter terriblement ! Maria y ajoute les deux mains, l’une pour lui malaxer les couilles, l’autre pour le doigter dans le fondement. Ma chérie s’occupe quant à elle de nos deux amis, leur prodiguant caresses et bisous au gré des envies.
Je reviens vers l’entrejambes de ma belle et me remets à lui lécher la chatte avec application. Allongé de côté sur le lit, ma queue s’offre de nouveau à la bouche insatiable de Maria tandis que Roberto s’est remis à la caresser et à la doigter par-derrière. Pour boucler la boucle, ou plutôt le carré, il ne reste plus à ma miss qu’à enfourner le membre de Roberto dans sa bouche, ce qu’elle fait avec délectation. Nous restons un long moment dans cette position carrée, dans un concert de gémissements et de halètements… jusqu’à ce que Maria laisse bruyamment libre cours à sa jouissance, suivie de peu par Caresse….. E=mc2 , pas de doute : Espana = mucho (calor)2
Nous défaisons notre figure géométrique et Maria revient de nouveau vers la queue de Roberto. Je passe derrière elle et lui prodigue un anulingus appuyé qui l’amène très rapidement à une nouvelle jouissance. Roberto suce les beaux seins lourds de Caresse, pendant que je lui refais mon célèbre cunnilingus. Maria se joint à nous et doigte ma miss avec vigueur par les deux trous. Elle parvient ainsi très rapidement à un nouvel orgasme particulièrement violent, stimulée de partout par les trois autres coquins. Incroyable comment nos deux femmes sont sensibles et savent se lâcher dans nos jeux !
Roberto s’est subrepticement éclipsé pour saisir un préservatif. Il revient et prend ma Caresse en levrette, tandis que Maria vient lui masturber le clito et regarder la queue de son chéri aller et venir dans la chatte de ma chérie. J’en profite pour sucer les pointes des seins de ma miss, tout érigés par les orgasmes successifs non-stop depuis le début de cet après-midi de folie libertine. Ma Caresse prend de nouveau son pied, irrésistiblement, et s’affale sur le lit.
Roberto s’allonge de nouveau sur le dos, tandis que Maria s’empale sur sa queue rigidement dressée et que je m’allonge également à côté de Roberto pour caresser les jolis seins de Maria. Ma chérie, fatiguée, trouve encore la force de venir me sucer pendant un long moment d’éternité voluptueuse. Puis Roberto se redresse, il semble au bord de l’apoplexie, il passe derrière Maria et la pénètre en levrette sous nos yeux, tandis que nous poursuivons nos caresses partagées. Il finit par retourner la belle castillane sur le dos pour la prendre avec furie en missionnaire, jambes relevées, ce qui lui permet de la pénétrer encore plus profondément. Maria gémit de plus en plus fort : "Mas, sigue, mas !" Caresse passe alors derrière notre bel hidalgo et le sodomise avec son doigt, tandis que je passe derrière elle et lui lèche abondamment la chatte et l’anus. Roberto n’en peut plus et jouit dans un rugissement. Il s’écroule quelques instants sur le lit avant de passer faire ses ablutions à la salle de bains.
Je me retrouve seul, proie évidente pour nos deux anges qui n’ont pas encore dit leur dernier mot. Ma Caresse ressuscite soudain et entreprend pour Maria la démonstration commencée plus tôt de nos jolis jouets. Elle me ligote les pieds, les poignets et les testicules aux quatre pieds du lit, me bâillonne et me place les pinces japonaises sur les tétons, puis invite Maria à me sucer avec elle. Estupendo ! Je veux bien y croire… et estupenda aussi la sensation des deux bouches féminines qui me lèchent, me sucent la queue et me mâchent les huevos, sans que je puisse bouger le petit doigt….. Quel délice paradisiaque, presque insupportable de plaisir ! Il ne leur faudra guère longtemps, à ce régime, pour me faire jouir à mon tour et les gratifier d’un joli collier de perles (pas de Majorque) à se partager !
L’après-midi a été rude, un peu de repos ne sera pas superflu avant de nous préparer pour une délicieuse soirée à quatre dans Valladolid…
(Fin de Valladolid partie 1)
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