(Suite du récit
précédent, Sophia raconte)
… Nous nous installons confortablement sur le matelas rouge
à côté de la belle croix murale en bois sombre. Très vite, des hommes seuls
apparaissent à l’entrée et nous regardent, certains s’asseoient sur un
matelas voisin. Je commence un cunnilingus lesbien entre les cuisses écartées
de ma brune qui est couchée sur le dos, ce qui lui permet de surveiller les
approches. Elle est aujourd'hui intraitable: elle veut que ce soit la blonde
qui fasse le travail et le dit à tous ceux qui tentent une approche. L’un des
hommes se fait rembarrer une première fois – il insistait beaucoup à lui
caresser la cuisse même quand elle avait décliné cette proposition. Il tente
quand même d’y revenir et là elle manque de se fâcher toute rouge et de le
dénoncer à la réception pour qu’il se fasse virer du club. Apparemment, ça le
calme cette fois…
Arrive un grand jeune homme brun qui reste debout à côté de
notre matelas et enlève sa serviette blanche qui lui ceignait les hanches,
dévoilant un braquemart de bon calibre déjà en demi-érection. Ma miss lui sort
le même couplet : « Les hommes c’est pour la blonde… » mais le
jeune homme ne se démonte pas du tout. « Pourquoi pas ? »
répond-il.
De ce fait ma chérie me fait arrêter le cunni et se redresse
pour l’examiner de plus près. Elle prend son membre déjà dur dans sa main et le
caresse un peu pour le faire durcir encore davantage. En quelques secondes, la
bite prend des proportions de compétition, une belle queue bien dure de pas
loin de 20 cm
que ma chérie s’empresse de recouvrir d’un préso au chocolat ( un de nos
derniers !!) avant de m’intimer l’ordre de la sucer. Je suis une blonde
soumise aujourd’hui, pas de discussion possible, il faut y aller.
Je prends le gros barreau chocolaté entre mes lèvres et me
mets à sucer le gland puis à coulisser sur la moitié supérieure du membre.
Pressentant que nous allons passer un bon moment avec Cédric (c’est le prénom
de notre partenaire), je lui suggère de venir s’allonger sur le matelas avec
nous. Je m’aperçois alors qu’il y a au moins cinq ou six personnes debout qui
nous matent dans l’ombre dont un couple. Waouhhh, nous allons devoir faire le
spectacle…
Je me place entre les cuisses de Cédric, à quatre pattes, la
croupe tendue en direction du public de l’autre côté des barreaux en fer forgé
noir. J’ai tout de même conservé mon tanga de satin rouge et la robe par-dessus
pour rester décente… mais il serait très facile à un homme déluré de venir me
caresser les fesses à travers les barreaux.
Cédric a décidé de s’occuper du minou de ma chérie. Il y
emploie sa bouche et ses mains, avec efficacité il me semble car j’entends
rapidement ma miss entamer des vocalises caractéristiques. Je ne suis pas en
reste et je m’applique à bien sucer notre nouvel ami qui parfois se met à
onduler en gémissant et en m’enfonçant son barreau plus profond dans la gorge.
Gulp !
Il parvient à faire mouiller abondamment ma chérie et lui
soutire un premier orgasme vaginal qu’elle expurge bruyamment. Juste après,
Cédric me demande de ralentir ma fellation. Je l’entends dire à ma
caresse : « Houlà, elle suce bien ta copine, elle va me faire jouir
si elle ne ralentit pas… » Ma miss lui rétorque que je suis une blonde
redoutable, la reine de la pipe selon beaucoup d’habitués dans ce club !
Le jeune homme a maintenant envie de pénétrer ma miss, on
sent qu’il est très excité. Mais là encore, elle lui répond que non, s’il veut
pénétrer quelqu’un ici, ce sera la blonde… « Pourquoi pas ? » Il
est vraiment très open ce garçon… Mais là c’est moi qui dis : "Pouce ! J’aimerais bien un peu de lubrifiant d’abord !"
Ma miss s’apprête à tartiner le braquemart de Cédric emballé dans son
préservatif de black mais là c'est lui qui l’arrête car il a besoin d’abord que je le
remotive un peu à la bouche : son érection a faibli lorsqu’il s’est
redressé sur les genoux.
Je me remets à le sucer pendant que ma chérie me débarrasse
de mon tanga rouge et me crème la raie d’une couche de gel à base aqueuse. Très
vite, la queue de Cédric reprend son extension maximale et mes fesses deviennent glissantes comme un moule à gâteaux. « C’est bon, me
dit-il, retourne-toi » J’obtempère et me place à quatre pattes devant lui,
face au faux feu de cheminée. Il me saisit par les hanches, relève ma petite
robe légère et commence à pousser son gros gland à l’entrée de mon petit trou
glissant. Je l’aide en écartant mes fesses de mes deux mains pour qu’il trouve
plus facilement le chemin. Ca ne tarde pas, d’une poussée je le sens entrer dans
mon intimité anale et commencer un mouvement de va-et-vient pour me pénétrer
davantage.
Je dois manquer un peu de pratique, je le trouve plutôt gros
pour une fois et j’ai la sensation qu’il me défonce le cul un peu plus
profondément à chaque mouvement. Il profite de mon serre-taille bien ajusté
pour me tenir par les hanches comme une fille, tandis que je m’efforce de
redresser le haut de mon corps sur mes bras tendus. Cela lui permet de m’attraper de temps en temps par les épaules pour mieux se tenir et trouver un
meilleur angle d’attaque.
Dès le début, je me suis mise à gémir irrépressiblement
sous ses coups de boutoir. Les sensations sont trop fortes, je ne peux rien y
faire, je sens sa grosse saucisse de Toulouse m’enculer sur toute sa longueur,
puis faire mine de ressortir jusqu’au gland avant de me fourrer encore plus
profondément le coup suivant. Par périodes, il accélère son mouvement de manière
furieuse, en éructant : « Ah, tu aimes ça, salope, tu vas prendre ma
queue bien au fond comme ça… »
Je gémis en continu comme une pauvre fille et c’est à ce
moment que ma miss vient devant moi pour que je me remette à la lécher. Je lui
fais non en agitant mes cheveux blonds de gauche à droite, et parviens à lui
dire également, entre deux sanglots, que je ne vais pas y arriver, c’est trop
fort ! Ma chérie qui déteste être inactive n’insiste pas et passe derrière
mon cavalier pour, sans doute, lui doigter l’anus ou lui lécher les couilles. Je
le sens durcir davantage et accélérer encore le mouvement : mes sensations
deviennent par moments insupportables, en d’autres circonstances j’aurais déjà
supplié qu’il arrête. Mais j’ai ma fierté de blonde et je ne veux pas me taper
la honte devant autant de spectateurs que je devine dans la pénombre sur le
côté.
Enfin, je sens mon vigoureux amant rugir d’extase, je
pressens que le dénouement est proche : il me bourrine furieusement sans
plus se reposer, en me tirant fermement par les hanches tandis que son pubis
vient battre la mesure contre mes fesses. Il pousse soudain un long « Aaaaaaaaahhhhh »
en s’immobilisant tout au fond de mon petit cul. Je le sens longuement
décharger son foutre chaud et je m’emploie à légèrement tortiller des fesses
pour lui procurer une ultime caresse jusqu’à ce qu’il se retire lentement, encore
bien dur, le préso noir empli de crème blanche… Je m’écroule alors comme une
chiffe sur le matelas.
Un murmure de contentement passe dans l’assistance. Il
semble que le spectacle ait été apprécié. Cédric ne tarde pas à s’éclipser pour
aller à la douche en nous glissant « A tout à l’heure… » et je sens
quelques regards braqués sur moi tandis que je tente de reprendre
progressivement mon souffle. On n’a pas idée à quel point c’est épuisant de se
faire sodomiser ! On croit que c’est facile, qu’il n’y a qu’à attendre que
ça passe… mais non, c’est au contraire très physique, ça demande d’être à
l’écoute de son partenaire et de bien se tendre et se cambrer pour éviter qu’il
ne ressorte et ne débande. Et cette fois, ça a duré longtemps, je dirais
peut-être 15 mn non-stop (on perd la notion du temps…). Je suis complètement
lessivée et évidemment défaite et dépeignée… Je vais devoir repasser aux
toilettes pour me refaire une beauté !
(à suivre)
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