(suite du récit
précédent, Alpha raconte)
…Je me retrouve donc à plat
ventre entre les cuisses de Florence qui s’est placée à quatre pattes pour
mieux sucer son homme. Je me mets à lui pourlécher la raie de haut en bas,
m’attardant tantôt sur son petit trou, tantôt sur ses lèvres humides et gonflées
d’excitation. Elle ondule du bassin pour me montrer combien elle est sensible.
Ma chérie s’est concentrée sur le torse de Pierre pour le caresser et
l’embrasser en même temps.
Puis nous changeons un peu de
positions. Florence s’allonge sur le dos et je me mets à lui faire un cunni
tandis que ma Caresse entreprend de sucer Pierre. Cela ne dure toutefois
pas : le type seul est encore là, en train de se branler et il s’est même
rapproché du matelas en commençant à se déshabiller. L’effet sur Florence est
encore plus radical que sur ma Caresse : ça la démotive complètement, au
point que nous en venons à penser qu’il nous faut changer de pièce. Nous
choisissons de passer dans celle d’à-côté, plus petite certes mais qui a l’énorme
avantage de pouvoir fermer à clef, tout en restant ouverte sur celle-ci à
travers les barreaux de la grille.
Nous ramassons nos vêtements et
déménageons. Au passage Florence explique gentiment au monsieur pourquoi nous
faisons cela, que ce n’est pas lié à lui, juste que nous ne souhaitons pas
jouer de cette façon. Mais l’homme ne semble pas doué d’une grande finesse. Il
lui rétorque : « Mais je ne
vais quand même pas rester ici tout seul à me branler comme un con ? »
Florence reste sans voix et nous rejoint, son absence de réponse est
éloquente : « Ben si, monsieur,
vous allez devoir rester tout seul à vous branler comme un con, ainsi que vous
le dîtes… »
Une fois réinstallés à côté, nous
reprenons nos ébats deux par deux. Je refais mon cunni à ma belle et cette fois
je parviens à la faire jouir deux fois de suite. Puis nous échangeons de
nouveau nos partenaires. Je demande à Florence de se mettre à genoux, dos à la
grille, de façon que je puisse lui attacher les mains dans le dos avec une
corde attachée aux barreaux. Je lui attache aussi le collier de chien aux
barreaux. Une fois ainsi entravée, je lui extirpe les seins du bustier pour les
lécher et les suçoter, puis je me mets debout pour qu’elle me suce. Comme cette
pièce est aussi équipée d’un grand miroir sur le mur opposé à la grille, elle
peut se contempler dans sa posture de
soumise et aussi profiter du spectacle de son homme qui a entrepris de faire un
cunni à ma chérie.
Mais Pierre se redresee et a
envie de pénétrer ma Caresse en missionnaire. Florence, précautionneuse, lui
demande s’il a sollicité l’autorisation. Mais voyant que ma miss et moi ne
disons rien qui aille à l’encontre de son envie, elle le voit s’introduire sans
plus attendre dans la chatte de ma miss et se mettre à la limer en rythme.
Mais elle n’est pas là que pour
regarder. Je lui chuchote à l’oreille qu’il y a beaucoup d’allées et venues
dans la pièce voisine que nous avons quittée : des couples et des hommes
seuls qui la regardent pendant qu’elle est soumise, à genoux, en train de me
sucer… Je sens que cette idée l’excite beaucoup et elle s’applique à bien
m’exciter avec sa langue et ses lèvres.
Soudain je sens quelque chose de
doux me chatouiller entre les cuisses. Je me demande ce que c’est et je
découvre Pierre, passé sous moi pour lécher la chatte de sa Florence, qui se
redresse hilare et frotte ses cheveux sur l’intérieur de mes cuisses. Il
annonce en rigolant : « C’est
une nouvelle technique de fist… » Son idée saugrenue – me fister avec
sa tête – nous fait tous rire et débander. Quel clown… Je détache Florence qui
est à genoux depuis un bon moment maintenant.
Son homme décide de lui refaire
le cunni qu’il avait commencé. Pour ma part je m’allonge sur le dos et ma Caresse
me fait une de ses diaboliques fellations, un délice. Je sens ma queue se raidir
sous la stimulation de sa langue coquine qu’elle enroule autour de mon sexe et
de mon gland, le malaxant et l’humectant abondamment jusqu’à lui faire
quasiment doubler de volume.
Puis elle m’équipe d’un de nos
présos et me dit de m’occuper de Florence, plus précisément de la prendre en
levrette. Notre amie ne se le fait pas dire deux fois. Elle se place à quatre
pattes devant moi, ce qui lui permet de continuer à sucer son homme pendant que
je lui saisis les hanches et m’introduis progressivement dans son vagin. Ma miss a décidé, pour sa part, de s’allonger
sur le côté pour profiter du spectacle de son homme en train d’enfiler notre
nouvelle amie pendant qu’elle-même suce son mari.
Je me mets à bouger des hanches
en cadence, forçant son intimité toujours un peu plus loin jusqu’à venir en
butée contre sa vulve enflée. Mmmm… je sens que Florence est très excitée par
la situation : elle se met à bouger le bassin pour faciliter ma
pénétration et je me mets à la bourriner plus fort, mes couilles enserrées dans
le cockring en cuir venant battre contre son clito. De temps à autre, je
m’arrête, calé tout au fond de son vagin, de façon à ce qu’elle puisse mieux se
concentrer sur la fellation qu’elle est en train de faire à Pierre.
Malheureusement, au bout d’un moment,
Florence me demande de me retirer car le rebord de mon préso la gêne sur une
cicatrice d’accouchement qui est restée très sensible chez elle. Nous changeons
donc à nouveau de configuration : ma Caresse suggère que nous essayions en
missionnaire, mais là aussi c’est un peu difficile avec la chaînette de mes
tétons qui tombe à la verticale de sa chatte. Finalement je me remets dans les
bras de ma chérie, sur le côté gauche, tandis que Pierre et Florence se
remettent à se câliner sur le côté droit.
Ma chérie me reprend dans sa
bouche puis a envie que je la prenne par-derrière sur le côté. Je ne me fais
pas prier et je m’enfonce d’un coup dans son vagin trempé. Rapidement je la
fais jouir, deux fois de suite : elle m’a fait redevenir très dur. Elle me
fait changer de trou et je m’empresse de la sodomiser. Pendant ce temps, nos
amis se font eux aussi des mamours, tout en profitant du spectacle de l’alcôve
voisine où deux couples sont venus s’ébattre. Ils les observent en direct et
aussi dans le miroir où eux-mêmes se reflètent. Ils nous expliqueront plus tard
que les deux couples donnaient l’impression de reproduire un scénario de film
porno : d’abord les deux jeunes femmes, complètement nues, qui s’embrassent
et se pourlèchent. Puis les deux hommes, chacun derrière la sienne qui les
enfilent par-derrière. Mais à un aucun moment nos amis n’ont senti une volonté
d’interaction à travers la grille dont les deux couples d’à-côté ne se sont
d’ailleurs jamais approchés. Comme Florence et Pierre nous ont avoué avoir un
petit côté voyeur, ce spectacle a dû les émoustiller un peu malgré tout.
Au bout d’un moment, ma miss
donnant des signes de fatigue, nous décidons de retourner un peu sur la piste
de danse, pour un dernier verre. Au passage, les couloirs des coins câlins se
sont remplis mais toujours peu d’action dans les alcôves. La grande majorité
des gens sont encore sur la piste de danse. Nous dansons un peu avec nos amis
puis regagnons le vestiaire et la voiture. Il est déjà 3h30 du matin quand nous
quittons le club.
Le dimanche sera marqué par une
longue grasse matinée, pour récupérer un peu. Florence fera quelques essayages
de tenues de soubrette pour nous aider à la cuisine à midi et je les
raccompagnerai ensuite à l’aéroport. Malgré les orages ils rentreront sans
encombre chez eux.
Quel intense weekend nous avons
encore passé…. Nos nouveaux amis sont délicieux et gagnent sans nul doute à
être connus. Vivement qu’on se revoie !
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