(Sophia raconte)
Nous avions annoncé notre retour
au 72 pour la fin des vacances d’été, période traditionnellement peu propice au
libertinage dans les clubs en ville. Nous espérions que les vacanciers seraient
enfin rentrés…
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Comme nous étions à Toulouse
seulement pour un passage éclair, notre timing était un peu serré :
déjeuner au restaurant avec notre progéniture, puis après-midi au club – pour
honorer nos prétendants – avant de rejoindre un groupe d’amis verticaux le soir
pour un anniversaire fort arrosé qui se terminerait tard dans la nuit… Autant
dire qu’il valait mieux ne pas traîner et être efficace dans l’enchaînement des
actions !
Ceci aussi pour expliquer que je
n’avais donc pas pu me transformer en Sophia avant d’arriver au club… J’avais
donc un plein sac de voyage pour me métamorphoser au vestiaire en arrivant. Un
jeune homme inconnu mais fort sympathique nous accueille. Après lui avoir
expliqué qui nous sommes (les annonceurs du jour…), nous obtenons deux clefs de
casiers, une chacune. Eh oui, la brune et la blonde ont besoin chacune de leur
casier perso, à la différence des couples purement hétéro qui n’ont qu’un
casier pour deux.
Un de ces couples est justement
en train de se déshabiller quand nous arrivons. Par malchance, nous avons deux
casiers dans un angle, juste à côté du leur : embouteillage… Pour ma part,
je m’écarte un peu avec mon sac car j’ai besoin d’un peu de temps… et du miroir
qui se trouve au fond du vestiaire.
D’emblée je renonce aux
bas : il fait trop chaud en cette fin d’été. Serre-taille rouge bien
serré, robe blanche et noire de Ste Nitouche, soutien-gorge blanc
avec de gros push-ups, perruque blonde de bourgeoise bècebège… Pas de
maquillage non plus, il pourrait rester des traces ce soir… juste un bon rouge
à lèvres bien voyant, bracelets, escarpins noirs vertigineux, sac à main doré.
Je suis prête en un temps record, à peine 15 mn.
Une jeune femme brune entre à ce
moment dans le vestiaire. Elle est seule et très maigre. En y regardant de plus
près je la trouve peu féminine et me dis que ça doit plutôt être une trav. Elle
ne m’adresse aucun regard ni une parole, même pas bonjour. Je la regarde se
déshabiller du coin de l’œil, elle a semble-t-il de petits seins malgré tout…
Mais je ne m’en préoccupe pas davantage. Un homme seul nous parlera un peu plus
tard d’une superbe transsexuelle brune venue dans le jacuzzi, en fait carrément
une shemale avec des seins splendides et un sexe d’homme. J’ai toutefois
quelques doutes que ce soit cette même personne : elle avait peut-être un
sexe masculin mais pas une poitrine que je qualifierais de splendide…
En tout cas, ma brune n’a même
pas eu le temps de vraiment s’installer au bar que je la rejoins en dandinant
du cul devant les 5 ou 6 personnes présentes, y compris la personne du 3ème
sexe qui est sortie du vestiaire un peu avant moi.
Nous partageons un Perrier en
attendant que la machine à café redevienne opérationnelle. Le jeune barman nous
dit que Mélanie est arrivée mais a dû repartir pour le café et pour changer la
sono, elle aussi HS… Sur notre gauche deux hommes seuls, une femme seule et un
couple. La femme seule est très mignonne, plutôt petite, cheveux bruns très
courts mettant en valeur son joli minois, et apparemment beaucoup de caractère.
Elle semble vouloir mettre l’ambiance et réclame des glaçons au barman qui
manifestement sait déjà quelle en sera la destination.
A peine lui a –t-il apporté un petit
seau de glaçons que la belle en saisit deux et les laisse choir dans le café
d’un homme seul à côté d’elle. L’homme sourit d’un air un peu benêt. Il a dû
entamer une discute avec la dame mais ne s’attendait pas à se retrouver au
centre de l’action : il nous dévisage en ayant l’air de se demander ce qui
l’attend !
La brunette lui explique le petit
jeu : elle se hisse sur le bar, s’assied jambes écartées devant lui en
enlevant les pans de son paréo. Il découvre ainsi une vue imprenable sur sa
chatte épilée dans laquelle elle lui demande de faire entrer un glaçon au
café ! L’homme hésite mais ne se dégonfle pas : il prend un gros
glaçon et le lui fourre dans le vagin.
« Maintenant tu vas le chercher avec ta langue » lui dit-elle !
Re-oops, l’homme s’exécute après une courte hésitation, il commence à fourrer sa langue entre les lèvres de sa vulve.
« Maintenant tu vas le chercher avec ta langue » lui dit-elle !
Re-oops, l’homme s’exécute après une courte hésitation, il commence à fourrer sa langue entre les lèvres de sa vulve.
Mais rapidement, il se redresse
en déclarant :
« C’est impossible ! »
« C’est impossible ! »
« Mets-en un
autre » lui dit-elle.
Elle lui en fait ainsi introduire cinq d’affilée…!! L’homme semble éberlué :
« Mais combien on peut en mettre là-dedans ??? »
A dire vrai, comme la brunette nous l’avouera ensuite, les glaçons fondent tellement vite à l’intérieur que l’on peut continuer à en mettre longtemps ! A condition toutefois de ne pas lui faire attraper un rhume…
« Mais combien on peut en mettre là-dedans ??? »
A dire vrai, comme la brunette nous l’avouera ensuite, les glaçons fondent tellement vite à l’intérieur que l’on peut continuer à en mettre longtemps ! A condition toutefois de ne pas lui faire attraper un rhume…
Ce petit jeu a en tout cas bien
brisé la glace, tout le monde est hilare. Nous avons terminé notre Perrier et
décidons d’aller dans notre coin aux glory holes voir si de belles queues y
piaffent d’impatience. Mais horreur ! Nous arrivons devant une zone de
travaux : le coin des glory holes est en réfection complète, il n’est pas
du tout utilisable ! Inutile de s’enfermer dans le coin couples :
nous n’aurions sûrement aucune possibilité d’interaction car il y a une
majorité d’hommes seuls. Pas question non plus d’aller au jacuzzi quand je suis
travesti en fille. Nous finissons donc par opter pour l’ancienne salle de
cinéma, reconvertie en coin câlin à barreaux avec un faux feu de cheminée et de
grands miroirs…
Ahhhh ! Le retour de la brune. Toujours aussi chaud. J'adore
RépondreSupprimerOui, les glaçons ne suffisent clairement pas à rafraichir l'atmosphère...
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