(Suite du récit
précédent, Sophia raconte)
Je finis par me lever et renfiler
mes escarpins noirs qui me donnent 15cm de plus. L’un des hommes seuls est une
de nos vieilles connaissances : Pierre, le
libertin-sympa-mais-qui-bande-mou… Lui ne craint pas de nous sourire, nous
parler et venir s’asseoir sans tenter quoi que ce soit sur le matelas à côté de
la brune. Nous plaisantons un bref instant avec lui sur le faux feu de cheminée
qui fait monter la température de la pièce puis je leur dis, à ma brune et à
Pierre, que je passe aux toilettes me remaquiller… mais que j’apprécie qu’ils
me gardent ce joli coin câlin jusqu’à mon retour.
Je me fraye un chemin à travers
la haie d’honneur des hommes seuls, petits et nus autour de moi, grande et
somptueuse dans ma robe blanche qui vole autour de ma taille. Je ne m’éternise
pas à me repeigner et me remaquiller, je sens que j’ai déjà récupéré de
l’énergie. Je retourne ensuite dans le coin aux barreaux et constate qu’il ne
reste plus que Pierre avec ma brune. Nous lui proposons de s’allonger pour que
nous nous occupions de lui à deux coquines, quatre mains et deux bouches… Il ne
se fait pas prier.
Ma miss se concentre sur son sexe
flasque et le masturbe à la main juste ce qu’il faut pour pouvoir lui enfiler
un petit préso à la fraise. Puis c’est mon tour : je prends le membre
fruité entre mes lèvres tandis que ma miss se met à bisouter notre ami qui lui
caresse doucement le minou.
Notre action conjuguée excite
Pierre, visiblement, car il se met à bander dur dans ma bouche et je m’évertue
à maintenir ce début prometteur en l’empoignant de la main à la base du sexe,
ce qui a pour effet de renforcer son érection. Il se met même à soupirer et
gémir lorsqu’il entreprend de lécher la chatte de ma chérie. Cela dure un
moment mais hélas il se remet à débander au bout du compte, malgré mes efforts
soutenus. Il parvient quand même à faire jouir ma chérie qui lui demande ensuite
de cesser pour qu’elle se repose un peu. Il est donc tout à moi et il se
retourne vers mon sexe qu’il a manifestement envie de sucer.
Chacun son tour, je m’installe à
genoux et lui soulève le devant de ma robe pour lui présenter ma queue bien
emballée dans ses deux
cockrings : un en métal argenté à la base de mon service trois-pièces et
mon cockring habituel en cuir noir sur les couilles et la base de ma hampe.
Très vite, il parvient à me faire durcir malgré mon orientation de fille
aujourd’hui (quand je suis en fille dans ma tête j’ai beaucoup de mal à
bander…) et les deux cockrings viennent immédiatement amplifier mes sensations.
J’entrevois à 90° de mon œil gauche des ombres furtives qui viennent nous
observer… quelques hommes et un couple.
Ma miss s’est allongée contre un
coussin, sur la gauche de Pierre, pour profiter aussi du spectacle tout en se
reposant. Je décide de me mettre en 69 avec notre ami car j’ai de nouveau envie
de le sucer et il ne semble pas vouloir me lâcher lui non plus. Nous profitons
ainsi l’un de l’autre pendant un long moment jusqu’à ce que j’entende ma miss
gémir de nouveau : le coquin a recommencé à la caresser de la main et il
finit par lâcher ma queue pour se remettre à lécher ma chérie.
Je me repositionne donc
confortablement entre les cuisses de Pierre, ma croupe accueillante relevée
vers l’extérieur de la cage de sorte que l’on puise me la flatter de la main…
ou d’autre chose. Je le suce avidement, engloutissant la totalité de son membre
dans ma bouche jusqu’à l’entrée de ma gorge. Il est de bonnes dimensions
maintenant : juste assez gros pour bien me remplir la bouche et pas assez
long pour me suffoquer… Je sens par ailleurs des mains baladeuses se promener
sur mes fesses et mes cuisses, l’une d’entre elles, plus insistante, s’attarde
dans ma raie et cherche à s’insinuer dans mon petit trou encore tout humide
d’émotions.
Pierre s’est remis à gémir, nous
ne l’avons jamais vu aussi excité… Il faut dire que ma miss le motive
énormément, il doit sentir sa mouille lui couler entre les lèvres. Je sens
quant à moi qu’il durcit encore plus que tout à l’heure, il se met aussi à
onduler des hanches. Et soudain il se raidit en poussant un cri étouffé :
je le sens dégouliner dans ma bouche, son sperme chaud remplit le petit tube de
latex entre mes joues… Incroyable, il a joui !
Bon, eh bien c’est le deuxième
qui est « game over »… Cette fois nous décidons de quitter cette
pièce pour aller nous rafraîchir au bar du club. Pierre, reconnaissant, nous
remercie. On savait qu’il était tombé amoureux de la blonde et la brune il y a
déjà presque 3 ans mais il est clair que ce n’est pas aujourd’hui que sa flamme
pour nous va faiblir, au contraire !
Au bar il reste encore du monde,
pas les mêmes que tout à l’heure, et la machine à café est réparée. C’est là
que nous retrouvons la brunette aux cheveux courts avec qui, cette fois, nous
entamons la conversation. Elle dit s’appeler Christelle, venir de
Clermont-Ferrand et s’être installée à Toulouse depuis un an. Elle est en
couple depuis 25 ans avec un chauffeur routier prénommé Jean-Claude mais qui
n’arrivera au club que ce soir. Ils vont, dit-elle, mettre le feu et je crois
que nous pouvons lui faire confiance là-dessus. Malheureusement nous ne serons
plus là pour le voir car nous devons aller à l’anniversaire d’un ami en
banlieue toulousaine. Christelle semble momentanément déçue… Mais bon, elle
s’en remettra. Apparemment, notre couple atypique lui plaît beaucoup et nous
lui souhaitons de bien s’amuser en attendant peut-être de se revoir une autre
fois…
Nous retournons vers les coins
câlins et je propose à ma miss d’aller dans la cabine où vont souvent les travs
car elle a une sorte de hublot pour servir de glory hole. Hélas, cette cabine
est occupée et fermée à clef… Nous nous rabattons sur une autre, de nos
débuts : l’une des deux petites cabines avec une banquette et une vidéo,
qui communique avec sa voisine par une large ouverture circulaire - un glory hole d’éléphant. Notre vidéo est
clairement orientée bi car il s’agit de shemales suçant des queues et se
faisant enculer, spectacle ma foi fort divertissant.
Dans le coin voisin, un homme
assis se masturbe en contemplant une vidéo mettant en scène deux lesbiennes.
J’entreprends justement un cunni lesbien avec mes cheveux blonds qui
chatouillent l’entre-cuisses de ma brune assise… mais notre voisin semble
préférer le virtuel au réel et se palucher en regardant la télé. Triste… Il finit
par sortir et disparaître dans le couloir sans avoir eu la moindre velléité de
fourrer sa bite dans notre fenêtre mitoyenne.
Il est immédiatement remplacé par
un autre homme qui lui, au contraire, tourne le dos à la télé et se masturbe à 50 cm de notre fenêtre en
regardant dans notre direction. Il finit par prendre confiance - sans doute se
trouve-t-il présentable en terme d’érection - et il nous présente sa bite dans
la fenêtre. Ma chérie me tapote le crâne pour que j’aille y voir de plus près.
C’est une bite de taille moyenne, plutôt courte et fine mais bien dure. Je
décide de lui mettre un préso au chocolat retrouvé au fond de mon sac doré.
L’homme m’aide à l’enfiler jusqu’à la base tandis que je commence à sucer son
gland parfumé.
Ces présos au chocolat sont toujours
aussi délicieux, ils doivent être de marque belge ou suisse. L’homme bouge peu
mais je sens qu’il est fortement excité : il bande bien dur et soupire
fort. A un moment, il se retire lentement en arrière et me demande en
chuchotant : « Je peux venir
avec vous ? » Je me retourne vers ma brune qui me fait signe OK
de la tête. Je lui réponds que je lui ouvre la porte du couloir.
L’homme fait le tour et se
présente : c’est un petit quinquagénaire grisonnant que je regarde de haut
juchée sur mes talons de 15 cm.
Il s’installe sur la banquette à côté de ma miss et commence à lui peloter
doucement les seins. Je m’agenouille devant lui sur le carrelage et je reprends
sa queue en bouche. Son excitation remonte nettement dans les tours malgré
l’épisode du transfert d’une pièce à l’autre.
Sa queue est plus petite que
celles de Cédric et Pierre. Je n’ai aucun mal à l’enfourner aussi profondément
que je veux. L’homme se raidit davantage et dit à ma belle : « Waouh, elle suce bien ta chérie… Elle va me
faire jouir » Ma miss a à peine le temps d’acquiescer que l’homme
éructe et se tend : il éjacule longuement dans ma bouche et je lui montre
ma gratitude en pressurant son sexe avec mes lèvres et ma langue et en le gardant encore un petit moment dans
mon intimité chaude. Puis il se retire et je m’écarte. Il sort après nous avoir
remerciées pour ce délicieux moment. Et de trois !
(à suivre…)
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