Retour au Container, club libertin supposé toutes tendances (hétéro, bi, gay). C’est en fait un ancien sauna gay reconverti en un club à la clientèle plus large. Sauf que ce dimanche, quand j’y arrive vers 15h, il n’y a pas une seule femme en vue. J’entrevois 4 ou 5 hommes seuls qui errent ça et là et j’entends du bruit à l’étage…
Un rapide tour des coins câlins
et de la partie humide me convainc qu’il n’y a, cet aprem, pas un seul couple
ni de femme seule. Que des mecs… je me dis qu’ils doivent au moins être bi,
sinon ils repartiraient de suite !
Comme ça tourne apparemment pas
mal dans les couloirs de l’étage, je décide de ne pas perdre mon temps à
tremper seul dans le jacuzzi et je vais directement dans le coin des glory
holes debout. Dans l’ombre je distingue deux autres « suceuses » (ou
« bottoms »), je me dis que je vais avoir de la concurrence,
zut ! Surtout que les « tops » (ceux qui se font sucer) semblent
aux abonnés absents : mes deux coreligionnaires sont au chômage technique.
Mais ça ne dure pas, du bruit se
fait entendre de l’autre côté, là où les tops se plaquent contre la paroi en
matant un film porno tendance bi (généralement un trio HHF où l’un d es deux H
se fait enculer). Une queue apparaît dans l’une des fentes verticales puis une
autre dans la fente juste devant moi (la deuxième à partir de la gauche). Je
m’empresse de lui témoigner mon intérêt en la caressant et la suçant un peu
puis je la recouvre rapidement d’un préso que j’avais pré-déballé car elle est
déjà bien dure.
L’homme se laisse faire et
commence à s’agiter des hanches. Il a une bite de bonnes dimensions qu’il adore
pousser à fond dans ma bouche jusqu’à ce que mes lèvres viennent toucher son
pubis et ses couilles. Je le suce avec toute mon ardeur habituelle mais sans
avoir besoin de tellement bouger la tête car lui bouge tout le temps. Il
m’imprime son rythme : parfois ressort jusqu’à ne plus me laisser que son
gland entre les lèvres puis il s’enfonce tout à coup au fond de ma gorge et
reste planté là, jusqu’à me faire parfois suffoquer.
Au début je ne le sais pas encore
mais ce petit jeu va durer quasiment une heure ! L’homme ne débande jamais
mais ne jouit jamais non plus. Il est super endurant !! Je me dis qu’il
est hors de question qu’il me sodomise, si on en vient là : ce serait
interminable ! Pendant ce laps de temps qui va durer presque une éternité
pour moi – bien que très agréable – il y a beaucoup de zapping de part et
d’autre de mon glory hole. Je constate en effet que d’autres hommes viennent
sucer à ma gauche et à ma droite, mais ils ne restent guère plus de quelques
minutes chacun. Rapidement ils abandonnent la bite offerte à travers la fente
qui reste là, dans l’espoir de trouver une autre bouche. Malheureusement pour
eux, je suis prise en exclusivité par mon amant endurant. Mais charitablement,
je les prends dans mes mains pour leur conserver leur belle érection en les
masturbant jusqu’à ce qu’une nouvelle bouche s’occupe d’eux.
Je sens des frôlements dans mon
dos, des hommes qui passent derrière moi. Certains s’arrêtent et me caressent
doucement le dos, les fesses… Pour ma part j’ai assez à faire avec la bite que
je suce sans répit.
A un moment, un homme arrive à ma
droite et suce la bite bien dure, équipé d’un cockring, que je tenais dans ma
main droite. Je la lui abandonne un peu à regret : j’aurais préféré qu’il
prenne celle de mon mec et que je change pour garder l’autre. Mais l’homme
semble vouloir de l’interaction avec moi. Il approche sa main, me caresse la
poitrine, le ventre, le sexe puis saisit la queue de mon amant à la base, lui
malaxe les couilles, sans pour autant abandonner la queue qu’il suce.
Puis il prend ma main pour que
j’enserre cette bite à la base pendant qu’il la suce. Ce faisant, il me
masturbe à nouveau. Puis il me reprend la main pour la mettre sur son sexe,
énorme et dur. Je le masturbe à mon tour, sans avoir cessé de faire des gorges
profondes à mon top. Au bout d’un moment, le jeu ralentit enfin. Mon amant se
retire doucement, il n’a pas joui mais j’ai l’impression que l’heure a tourné
pour lui. Il va en effet s’en aller, sans chercher à me voir et il disparaîtra du
club dans la foulée, sans avoir échangé une seule parole avec moi.
Ma voisine suceuse est partie aussi,
j’ai une pause… je décide d’aller faire un peu trempette, c’est le bon moment,
ça permet de remettre les compteurs à zéro. Après cette petite pause
régénérante, je remonte à l’étage.
Je retourne dans mon couloir
sombre, m’adosse à la paroi et j’attends mes clients comme une pute au bois de
Boulogne… Du bruit à nouveau, des silhouettes… Un homme passe dans le coin
vidéo, il regarde le film un instant et je le dévisage par la fente : il
est âgé et un peu bedonnant, pas le genre jeune premier… Mais rapidement il
enlève sa serviette blanche et plaque son ventre contre la troisième fente. J’y
vais prestement et découvre une petite bite enserrée dans un cockring en métal.
Mmm… je la caresse et la suce pour lui donner de meilleures dimensions.
Arrive alors un autre type qui se
place illico dans le premier trou, celui de l’angle sombre. Sa queue est
manifestement, vue de profil, beaucoup plus imposante… mais il est un peu loin
pour que je le prenne dans ma main. Je relâche la petite bite de ma bouche et
m’écarte pour saisir la nouvelle venue de ma main gauche tout en gardant la
petite dans ma main droite. Je vois alors son propriétaire faire signe au
nouveau venu de se rapprocher, de venir se placer devant la deuxième fente… ce
qu’il fait. Mon top a bien compris qu’il n’y avait qu’un seul
« bottom », moi…
Je caresse sa petite bite dans ma
main droite – elle est déjà dure – et me concentre sur la grosse qui vient
d’arriver. Je la suce car elle est très molle, quoique longue. Elle a besoin de
se motiver… Elle commence à prendre une bonne dimension et une bonne rigidité
quand d’autres « bottoms » me rejoignent. Habilement, j’abandonne la
petite bite de droite à un nouveau venu mais celui-ci la sucera à peine avant de
repartir. Je m’apprête à équiper la grosse queue d’un préso quand elle se
retire à son tour… Zut ! Trop de zapping ici encore.
Finalement, une grosse queue un
peu courbe apparaît dans le trou que vient de laisser l’homme âgé au cockring.
C’est encore une nouvelle que je n’ai pas encore vue. Elle est grosse, et bien
dure, légèrement courbée sur sa gauche. Je la suce à cru et, rapidement je lui
mets un préso. Elle est un peu plus courte que la toute première mais un peu
plus épaisse et tout aussi dure. L’homme se comporte de la même manière :
il m’impose son rythme et ses mouvements, me pousse son membre en gorge
profonde, arrêt sur image…
Puis il se retourne, me présente
ses fesses. Je cherche son petit trou avec mon doigt mais je ne le trouve pas.
Il s’écarte et s’éloigne vers le rideau de sortie. Encore un zappeur, me
dis-je…
Erreur : il a fait le tour
de la paroi et me rejoint par le couloir. C’est un homme plus petit que moi,
avec une moustache et un accent méditerranéen. Il me congratule : « Quelle bouche ! Et quelle
langue !... »
« merci » lui dis-je, et je sens ses mains baladeuses
sur mon corps. Mais je suis intérieurement décidé à ne pas aller en duo dans
une cabine, je suis résolu à rester là pour sucer… seulement.
Mais il ne me demande rien. Une
nouvelle queue apparaît dans la fente à côté de moi et je me mets à la sucer
pour bien lui montrer que je n’ai envie que de ça. Il continue de me peloter le
dos, la poitrine et le sexe puis il se met lui aussi à sucer une deuxième queue
apparue dans le trou à côté. Il saisit ma main droite et me fait lui caresser
son sexe encore encapuchonné dans le préso que je lui ai mis. Puis il m’enlève
ma serviette de la taille et me la pose sur les épaules, en faisant un tour,
comme une écharpe.
Mais la bite que je suce se
retire et je décide de m’agenouiller pour me remettre à le sucer. Il apprécie
et me fait encore faire des gorges profondes. Puis il me relève de sa main
impérieuse et me fait me retourner. Je sens son braquemart s’agiter derrière
moi entre mes fesses. Il lâche momentanément la bite qu’il suce pour tenter de
m’enfiler. Je n’ai pas mis de lubrifiant mais je l’aide en écartant un peu mes
fesses de mes mains. Soudain je le sens entrer en moi, son membre dur est
planté dans mon cul et il commence des va-et-vient en me tenant les hanches.
Des spectateurs ont commencé à s’agglutiner malgré l’obscurité.
Mais sa bite est plutôt courte et
il ressort de mon petit trou. Il reprend en main la bite qu’il suçait et, de
son autre main, tire ma serviette comme une laisse vers son sexe : je me
remets à genoux et reprends son sexe dans ma bouche, avec en prime le fumet
délicat de mon petit cul qu’il vient de tarauder. Lui se remet à sucer la bite
dans le glory hole en même temps.
Puis il me redresse et me
resserre la serviette autour du cou, j’ai vraiment l’impression qu’il veut me
dominer, me traiter en esclave soumis. Il se met à me pincer les tétons et
constate que ça me fait bander : « ah, tu aimes ça aussi, hein ? » me dit-il et il me pince
plus fort pour raffermir mon érection dans sa main. Cela ne dure pas, car il
est me semble-t-il bien chaud. Il me retourne face à la cloison et repasse
derrière moi pour m’enculer. Cette fois il me pénètre quasi du premier coup, il
a dû trouver le bon angle.
Devant moi une grosse queue
longue apparaît dans le trou. Tout en me sodomisant, l’homme me prend la nuque
et me pousse la tête en avant en me disant : « allez, vas-y, suce-le ! » Il
m’oblige à prendre cette nouvelle
bite dans ma bouche et rapidement je sens celle-ci durcir et s’allonger.
L’autre continue de m’enculer en me poussant la tête vers l’avant. Je sens le
gros gland inconnu enfler et l’homme, derrière la paroi, se mettre à onduler
des hanches. Je commence à être un peu inquiet car je n’ai pas pu lui mettre de
préso…
Heureusement, il se recule un peu
à un moment, et j’en profite pour dégager ma tête et sortir un préso. Je dis à
l’homme qui est en train de me prendre par-derrière que je ne continue pas de
sucer l’autre sans préso. Il me répond : « Il va vouloir te prendre si tu lui mets un préso… ». Je lui
rétorque que ce n’est pas sûr, on verra bien. C’est un de nos délicieux nouveau
préso aux fruits : l’homme se laisse faire pendant que je le déroule avec
mes ongles en tenant le gland entre mes lèvres.
Puis je reprends ma position :
mains à plat sur la paroi, bouche grande ouverte plaquée contre l’ouverture
pendant que l’homme moustachu me sodomise par derrière. Je passe ainsi un long
moment à subir les assauts de mes deux fougueux amants, l’un dans le cul et l’autre
dans la bouche…
Celui qui m’encule finit par
ressortir de mon petit trou, il me remet à ses genoux et m’oblige à le sucer de
nouveau tandis que lui se remet à sucer l’autre homme. Puis je sens qu’il est
presque sur le point de non-retour. Il se tourne un peu mieux vers moi, me
prend la tête à deux mains et se met à me labourer les amygdales en rythme et
en profondeur. Il se bloque plusieurs fois de suite au fond de ma gorge, mes
lèvres plaquées sur son pubis épilé et ses couilles. Enfin, vers la quatrième
ou cinquième fois de ce petit jeu, je l’entends pousser un petit râle de
contentement : il jouit dans ma bouche longuement, son pieu fiché tout au
fond tandis qu’il me tient la tête appuyée contre son bas-ventre. Puis il se
retire satisfait… me regarde avec un sourire et s’en va.
Je sucerai encore d’autres queues
ce soir-là, sept en tout. Dont une que j’aurais partagée avec un autre
« bottom » qui déclinera mon offre en me disant qu’il l’avait déjà
sucée un peu plus tôt… Il se concentrera à me caresser le dos et à m’embrasser
les fesses pendant que je sucerai cette grosse queue.
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