Vélo à Toulouse... |
Nous y étions déjà revenus la
semaine précédente en fait. Nous avions ainsi découvert de nouvelles
installations : le coin couples rénové et réaménagé, avec de nouveaux
glory holes (4) jouxtant la chaise gynéco, et 2 autres dans le coin à droite en
entrant. Tout au fond du club, l’ancienne salle cinéma, qui avait déjà été
équipée d’une croix de St André et d’une cheminée avec un faux feu surplombant
le matelas derrière la grille, a été complétée par une « fucking machine » et une grille
servant de porte à l’ensemble, pouvant être fermée de l’intérieur comme un
véritable donjon. D’autres aménagements ont été réalisés également au niveau du
bar : chaînes et bracelets de cuir par-dessus une barre de pole dance et
sur un plan incliné en bois dans un coin câlin semi-ouvert équipé de voilages
dans un angle de la salle bar-discothèque…
Pour l’heure nous sommes heureux
de retrouver le chaud jacuzzi qui nous enveloppe de son doux bouillonnement. Je
ne me suis en effet pas travesti car Sophia est en vacances en été… Peu d’hommes
seuls avec nous, et très respectueux, aucun ne tente une approche.
Puis nous passons à la douche et
gagnons le coin couples dont la serrure a également été modernisée avec une
clef magnétique comme dans les hôtels. Nous nous installons dans le coin à
glory holes où nous éteignons la lumière… Très vite, de l’agitation se fait
entendre de l’autre côté de la cloison et on distingue à grand peine des choses
qui obstruent la faible luminosité extérieure filtrant à travers les trous du
mur. Ici c’est un nez, là une main… enfin, une queue en érection !
Nous en trouvons quelques-unes
qui se présentent à la queue leu leu ( !) et nous nous régalons à les
sucer avec énergie. Pendant que ma miss m’en repasse une chocolatée dont elle
n’a plus envie, je continue de masturber de la main droite celle que je tenais
dans mon glory hole. Je n’aurai pas le temps d’achever mon barreau chocolaté
que cette queue me giclera abondamment dans la main… me la poissant bien,
doigts et paumes, au point que je devrai sortir pour aller me nettoyer à l’eau
et au savon dans les toilettes !
Nous avons entendu du
remue-ménage dans les autres alcôves du coin couples et avons distingué deux ou
trois autres couples, dont un de jeunes (moins de trente ans), s’ébattant à
côté. Après mes ablutions, je suis revenu rejoindre ma miss qui, un peu
fatiguée, s’est allongée sur le matelas. Je reprends position vers la cloison
où piaffent encore deux belles bites. Mais à peine ai-je commencé à m’en
occuper que j’entends des voix qui se rapprochent et des silhouettes se
profilent dans l’embrasure de notre porte. Ma chérie décide de rallumer pour
voir qui arrive…
C’est le couple de jeunes :
lui un beau gars tout bronzé, apparemment déluré et décidé, qui montre à sa
copine, elle aussi bronzée intégrale, ce que c’est qu’un glory hole… Il
explique à ma miss que sa copine – Sandra – a très envie d’essayer. Et ma miss
ne se fait pas prier pour les inviter à venir partager avec nous !
Ils me rejoignent au fond du
matelas et la jeune femme se saisit d’une de mes deux queues, la masturbe énergiquement
avant de l’emboucher. Pendant que je contemple son joli corps de naïade aux
longs cheveux noirs, son ami continue de plaisanter avec ma Caresse. Il ressort
de cette conversation qu’il ne serait pas bi… mais n’aurait rien contre une
petite pipe de ma part – ma miss lui ayant vanté mes grandes qualités en la
matière !
Je m’approche et commence à le
caresser à la main puis je prends entre mes lèvres son gros gland décalotté. Je
me mets à le sucer et je le sens durcir dans ma bouche, tandis que ma chérie se
rapproche de lui et commence à lui tripoter les boules et, j’imagine, son petit
trou par-derrière. Sandra est restée à quatre pattes et n’a pas cessé de sucer
la queue dont elle s’occupait à travers la paroi.
Nous nous occupons ainsi du jeune
homme pendant un long moment, jusqu'à ce qu’il n’en puisse plus : il me
fait arrêter en disant qu’il va jouir si je continue comme ça et qu’il lui faut
absolument prendre sa miss maintenant. Comme elle est toujours à quatre pattes
sur ma gauche, il n’a aucun mail à l’enfiler directement en levrette. Il se met
à la bourriner furieusement tandis que je me rallonge le long de la jeune femme
qui commence à avoir un peu de mal à garder la grosse bite inconnue dans sa
jolie bouche, vu ce que son ami lui fait subir.
J’en profite pour lui caresser
les pointes des seins, érigées sous l’excitation qu’elle ressent, pendant que
je masturbe une autre queue apparue dans un trou sur ma gauche. Nous jouons
ainsi un moment mais ma miss s’est rallongée au fond du matelas et je ne
voudrais pas qu’elle se sente exclue. J’abandonne donc ce que j’étais en train
de faire pour venir lui prodiguer un petit cunnilingus dont j’ai le secret.
Elle ne tarde pas à chanter son cantique de plaisirs, et me demande d’ajouter
un doigt dans sa chatte. Rapidement, c’est le feu d’artifice : elle
atteint deux ou trois fois de suite l’orgasme, à l’unisson de la jeune femme
brune que son ami ne cesse de ramoner. Puis elle me demande de cesser, me
disant que je ne tirerais plus rien de son clito…
Le jeune couple s’est aussi un
peu calmé et, apparemment, quoique Sandra ait joui deux ou trois fois, son
homme lui n’a pas eu d’orgasme. Sandra s’est allongée sur le dos et masturbe
mollement deux queues à travers la paroi. Ma miss me suggère de m’occuper
d’elle maintenant et son ami lui demande : « Tu as envie qu’Alpha s’occupe de toi ? »… Elle acquiesce
d’un sourire, ces deux jeunes gens sont vraiment très joueurs, ça faisait
longtemps que nous n’avions rencontré un couple aussi sympa !
Elle écarte doucement les cuisses
pendant que je prends position entre elles. Je commence par lui lécher
doucement le clito et je sens ses lèvres bien épilées s’humidifier petit à petit.
Elle continue de branler les deux inconnus pendant que son homme lui caresse les seins et l’embrasse. Je la sens
onduler de plus en plus et je me mets à lui lécher la vulve également. Puis
j’introduis mon index et mon majeur droits dans son vagin bien lubrifié jusqu’à
trouver une petite zone granuleuse derrière l’os du pubis. Je me dis que ça
doit être un bon candidat pour le point G…
Je poursuis mes léchouilles en y
ajoutant maintenant la pression de mes doigts par l’intérieur. La fille se
cambre de plus en plus et elle se met à gémir. Chaque fois qu’elle se cambre
vers le haut, elle rencontre la pointe de ma langue sur son clito puis elle se
détend et ce sont alors mes doigts qui exercent la pression sur sa zone
sensible de l’intérieur. A ce régime-là, Sandra ne peut résister très longtemps.
Elle finit par se cambrer plus
violemment et pousse un râle de plaisir tandis que son ami lui susurre :
« Hummm, il te fait du bien, Alpha,
dis donc… » Mais je ne relâche pas ma pression : je continue de
la lécher délicatement et de la presser de mes deux doigts. Elle se cambre une
seconde fois et jouit encore plus fort… Puis une troisième fois dans un
paroxysme d’insupportabilité. Je la relâche alors et l’accompagne dans son
atterrissage sur le matelas, en retirant précautionneusement mes doigts. Son
ami l’a prise dans ses bras, elle a le regard vitreux…
Je rejoins ma chérie et nous
prenons congé des jeunes tourtereaux qui ont décidé de rester dans ce coin
câlin. Après un passage au bar, nous décidons d’aller dans le coin donjon avec
le faux feu. Nous fermons la grille avec une corde car nous ne voulons pas être
dérangés : j’ai très envie d’essayer la « fucking machine » !!
Après quelques préparatifs, je
confie la télécommande à ma chérie qui est une pro des zapettes à la maison. Il
faut une grande confiance en l’autre pour lui confier ainsi les rênes, tandis
que le gode en silicone commence à se frayer un passage à l’entrée de mon anus
abondamment lubrifié de gel. Ma chérie teste différentes vitesses de la
machine… Il s’avère que c’est une vitesse plutôt lente qui me fait le plus
d’effet (la taille du gode joue aussi bien sûr). La sensation est incroyable et
même meilleure qu’avec une véritable bite si la vitesse est bien dosée :
car la machine ne fatigue pas et ne débande pas ! Et, à vitesse lente, on
sent qu’elle veut vraiment s’enfoncer dans le petit trou même quand celui-ci
résiste un peu… Bref, cette « fucking
machine » est un amant implacable.
Je devrai malheureusement faire
arrêter ma chérie avant d’atteindre le mythique orgasme anal : la sensation
me devenait trop insupportable ! Je suppose qu’il faudra qu’elle me ligote
et me bâillonne pour continuer au-delà de cette limite si je dois un jour parvenir
à faire cette expérimentation !!!
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