Encore un après-midi qui commence
au ralenti. Pourtant il y a pas mal de monde, essentiellement des mecs en plus,
ça craque de partout sur les planchers de l’étage. J’entends aussi une voix de
femme qui vient du bar, et soudain le pas caractéristique des escarpins d’une trav :
ma copine brune, qui apparaît dans les glory holes mais ne fait que passer…
sans manquer de m’effleurer de sa douce main tout de même.
Finalement la température va monter
assez vite – aurait-il pu en être autrement avec tous ces mecs qui
rôdent ? Je me retrouve avec une première queue dans la bouche, pendant un
long moment, puis elle se retire quand une autre apparaît dans le trou voisin
sur ma gauche. Je la trouve très sombre, j’ai du mal à bien discerner… c’est
normal, je m’apercevrai ensuite que c’est la queue d’un black ! En fait,
je vais sucer successivement 15 queues dans les glory holes cet après-midi,
mais celle-ci, à elle seule reviendra cinq fois me voir ! Je les ai
comptées : ce sera la 2ème, la 4ème, la 7ème,
la 10ème… et la 15ème fois, pour le bouquet
final !
Pour toutes les autres, qui
seront des one-shot, pas grand-chose d’original à dire sinon que je les ai
trouvées dans l’ensemble plus grosses que la moyenne, à mon grand plaisir.
Certaines étaient bien longues et/ou bien épaisses : quel plaisir de les
sentir emplir ma bouche, se frayer un chemin vers ma gorge, jusqu’à m’empaler
sur toute leur longueur, mes narines enfoncées dans leurs doux poils pubiens…
Ah si, tout de même, quelque chose d’étonnant : hormis mon black, aucune
ne jouira avec moi, pas même celle qui s’est présentée (la 11ème je
crois) directement équipée d’un préso. Je pensais bien arriver à la faire juter
pourtant, son propriétaire semblait motivé. Mais non, lui non plus ne m’aspergera
pas de son jus. En réalité, j’ai dû en mettre beaucoup en forme, qui ensuite
sont allés sodomiser ma copine trav … Elle est en effet revenue me voir vers la
fin d’après-midi en me demandant si j’avais eu beaucoup de queues à sucer. Je
lui ai retourné la politesse et elle m’a rétorqué : « Oh, moi ce que j’aime surtout, c’est me
faire défoncer le cul… » Et apparemment, elle avait encore des étoiles
dans les yeux, elle a dû se faire défoncer par 4 ou 5 de mes « mises en
bouche » !
Pour l’instant je découvre une
grosse queue sombre au goût musqué, légèrement courbée sur sa gauche et dotée
d’un gland qui ne cesse de se recalotter. Quand je la serre de mes doigts à la
base, le gland reste découvert et je peux lui faire profiter de mes caresses
chaudes et humides avec la langue, mais le plus souvent l’homme « reprend
la main » pour m’imprimer son mouvement d’avant en arrière et il se charge
lui-même de se décalotter. Il me semble assez dominant car il joue avec ma
bouche, se retirant presque puis s’enfonçant tout au fond… jusqu’à ce que
j’enlève mes mains, me cale contre la fente du mur et maintienne ma bouche
ouverte et demandeuse, tel un poisson rouge, au travers du trou. C’est lui,
alors, qui décide de me fourrer, à son rythme et jusqu’où bon lui semble.
En me quittant la première fois,
et les suivantes aussi, il m’a surpris en me remerciant… et en me caressant
gentiment le menton. Je l’ai observé par la fente : c’était donc un black
d’une bonne quarantaine ou cinquantaine d’années, bien en chair avec un petit
bedon et une petite barbe bien taillée.
Pas trop velu, son pubis était un peu broussailleux mais entretenu et pas trop
rêche.
Avec toutes ces queues à sucer,
je n’aurai guère le temps de retourner au bar ni au jacuzzi. Un peu avant 18h,
je me dis que je partirai au plus tard à 18h15 pour passer faire des courses à
la pharmacie avant de rentrer retrouver ma chérie en arrêt de travail. Je
remonte une dernière fois, assez repu et sans trop de conviction, dans les
glory holes. C’est là qu’apparaît mon numéro 15, que je reconnais de suite. Il
est redevenu tout mou le pauvre, je m’échine donc à le remettre en forme, ce
qui ne tarde guère. Nous sommes sur la fente du bord droit et je le vois passer
le bras en contournant l’arête de la paroi pour me toucher. En fait, il ne veut
pas me caresser mais plutôt me saisir la nuque pour me plaquer le visage contre
son pubis !
Je n’ai rien contre l’idée mais
il faut reconnaître que la cloison est un peu gênante, ce n’est pas pratique
pour lui (ni pour moi car j’ai le nez écrasé contre le contreplaqué !). Je
me retire et je fais donc le tour pour le retrouver de l’autre côté. Il
comprend tout de suite et se retourne pour que je le suce là, comme ça, à
genoux devant lui. Mais très vite il me souffle à l’oreille : « Si on allait dans une cabine ?.... »
Ce sera en effet plus pratique
même si le club semble s’être désertifié à cette heure avancée de l’après-midi.
Nous nous faufilons vers la petite cabine derrière le « cottage
DSK », l’autre à côté avec le ventilo est hélas occupée…
Mon amant black ferme la porte à
clef, il veut de l’intimité… Je me remets à le sucer à genoux, il est de
nouveau bien gros et bien dur : sa bite est de taille idéale pour m’emplir
la bouche sans réellement m’étouffer lorsqu’il se cale tout au fond. Il se met
à me titiller les tétons et à parler. Apparemment mes « petits
seins » lui plaisent beaucoup, il trouve que j’ai de jolis tétons bien
développées et propose de s’allonger sur le matelas haut pour que je m’occupe
de lui.
Pendant que je le suce à plat il
continue de soupeser mes petits seins dans sa main en coupe, en murmurant que
c’est excitant une fille avec un sexe d’homme. Car il a aussi vérifié de ce
côté-là, mais sans s’y attarder. A aucun moment il ne me masturbera ni ne me
sucera. Il continue de commenter en me disant qu’il est tout à moi, que je peux
me lâcher… Puis il me demande si je souhaite qu’il me prenne. Devant mon
approbation il me propose de m’asseoir sur lui, toujours allongé. Je l’équipe
d’un de nos présos « strong » spécial sodomie, que je lubrifie ainsi
que mon orifice anal. Puis je m’accroupis lentement sur sa queue dressée, face
à ses pieds.
Ouch ! Je pensais y aller
progressivement mais je l’ai senti passer quand même : c’est la première
fois depuis bien longtemps que je ressens une telle douleur à me faire
sodomiser… Il a dû donner un coup de bassin, je le sens qui va et vient dans
mon fondement tandis que je srre les dents en
maintenant mes deux fesses écartées de mes mains. Puis il me dit de
bouger mon joli petit cul, de lui montrer que je suis une salope, que j’aime
ça… Ce n’est sûrement pas moi qui dirais le contraire !
Il finit par ramollir un peu. Je ressors,
croyant qu’il a joui, mais non : il enlève le préso et m’ordonne de
recommencer à le sucer. Je le sens redevenir bien dur et volumineux, emplissant
toute ma bouche d’une joue à l’autre et de mes lèvres à ma glotte. Puis il se
redresse et se met debout, me poussant incliné devant lui. Je prends appui sur
mes avant-bras et lui me saisit les hanches, pour aller et venir avec son gros
brasquemart tout dur entre mes cuisses glissantes. Il alterne sa prise, de mon
bassin aux pointes de mes seins qu’il pinçote doucement. « J’adore tes petits seins, ma salope, tu es
toute à moi, il est à moi ce petit cul. On va aller chez moi et je te ferai
l’amour toute la nuit, tu es ma chose, ma salope … »
Ce n’est pas la première fois qu’un homme me demande en
mariage, je trouve cela plutôt flatteur… tant que ça reste un jeu ! Quand
je suis parti dans un trip de fille comme celui-ci, mon cerveau joue en effet
la salope lubrique, la servile qui accepte tout (dans les limites de l’hygiène
et de la protection bien sûr) et s’entendre dire qu’on est une fille désirée
est particulièrement plaisant.
Mon gros black n’en peut plus, il
se réenfile un préso pour revenir dans mon petit trou. Ca passe mieux cette
fois, je le sens bien dur qui se fraye un passage entre mes fesses brûlantes
(cette température semblait en effet l’émoustiller beaucoup à l’entendre) et me
défonce le cul à grands coups de boutoir, tout en continuant à me prendre les
seins (des bonnets A) dans ses mains en coupe et à en titiller les pointes.
« Tu penses encore les faire
grossir ? » me demande-t-il. Je lui réponds que ça ira comme ça…
Nous restons un long moment
attelés, moi tortillant des hanches et gémissant de plaisir, lui derrière,
ahanant à chaque poussée de son bassin au tréfonds de mon intimité. Mais là
encore, il ne jouit pas. Il se retire en me commandant de le sucer à nouveau.
« Tu avales le sperme ? » me demande-t-il. « Ah non » lui dis-je, pas question
qu’il jouisse dans ma bouche, mais il peut le faire à l’extérieur sur mon corps. Comme il commence à être plus
que mûr, il me fait cesser mes jeux de langue tout en me maintenant à genoux
devant lui de son autre main, et il commence à se masturber vigoureusement sous
mes yeux. Je vois son gros gland violet sombre, énorme, au bout se son membre tendu
à se rompre. Il vient enfin en râlant de plaisir : son foutre chaud et
gluant m’inonde le visage en plusieurs longues coulées que je sens dégouliner
sur mes joues, mes lèvres, mon menton, de grosses gouttes venant même s’écraser
sur ma poitrine. Puis il frotte longuement son gland contre mes joues, comme
pour l’essuyer… Enfin je me relève.
C’est l’heure de la douche.
« A tout à l’heure…» me dit-il.
Mais moi je dois filer, il est déjà 18h30, je me suis emplafonné d’un quart
d’heure !!
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