(1ère partie : Sophia raconte)
Cette fois nous sortons un samedi – bissex comme les lundis – mais ma Caresse a pris rendez-vous pour se faire une French manucure à 14h... Dilemme, sachant que le club ferme entre 19 et 21. Et qu’il me faut 2 heures pour me transformer en blonde... vu notre heure de lever après la grasse matinée, nous sommes « à la bourre » !
Nous déjeunons et partons à l’arrache, je n’ai pas eu le temps de me changer complètement: j’ai mis mes faux seins et mes sous-vêtements de fille mais pas eu le temps de vraiment me maquiller. Je donne le volant à ma chérie, bien m’en prend car en sortant de chez nous la voisine aère sa literie à la fenêtre et nous regarde ostensiblement... Avec ma perruque blonde ça ne le fait pas ! Elle reconnaît ma brune au volant mais doit vraiment se demander qui est assise à la place du passager, sans doute une copine de passage...
Nous parvenons chez la manucure. Je laisse descendre ma chérie et prends le volant, la manucure lui a dit qu’elle en a pour une heure et demie... Je décide d’aller pendant ce temps terminer mes préparatifs dans notre club préféré, je reviendrai la chercher en temps utile. Je parviens à me garer dans la rue du club, pas trop loin de la porte d’entrée mais un type est en train de rôder le long des voitures et autour du distributeur de tickets de parking... Ca ne m’inspire pas, j’attends un peu et il finit par retourner dans son véhicule stationné quelques places derrière moi, alors qu’un couple vient d’entrer au club.
Je sors de la voiture avec notre sac d’accessoires et mon petit sac doré d'Ibiza (qui fait très pouffe). Oops... Le rôdeur est ressorti presque sur mes talons mais il n’ose pas m’aborder quand je sonne à la porte du club qui s’ouvre presque immédiatement. Notre ami Michel officie, je lui explique ma situation de blonde « temporairement » sans ma brune: il me donne une clef de vestiaire pour que j’aille me changer.
Dans le vestiaire je tombe sur le couple aperçu dans la rue. L’homme me reluque ostensiblement et nous finissons par échanger quelques mots anodins pendant qu’ils se dévêtent et enfilent leurs peignoir / paréo. Je me maquille dans le petit salon du fond du vestiaire mais je garde mes bottes et mon pantalon de fille car je vais devoir ressortir chercher ma belle. Puis je me rends au bar où des couples et des hommes seuls sont assis en train de siroter leur cocktail ou leur café.
Le programme TV sur le grand écran plasma est un défilé de mode plutôt sexy pour une fois, dommage que les journalistes demandent aux mannequins et aux couturiers de s’exprimer dans le micro, ça gâche toute la magie du défilé. Je discute un peu avec Michel et une jeune femme qui se demande de quoi son cocktail – « Blue Mimi » - est fait. Son ami l’a rejointe et nous échangeons agréablement pendant un bon moment jusqu’à ce que je m’éclipse pour retourner chercher ma Caresse avec ses nouveaux ongles tout neufs.
Juste le temps d’un aller-retour... par chance nous retrouvons une place de parking encore plus près de la porte du club. Nous entrons et retrouvons Michel, passons au vestiaire. Nous croisons le couple que j’y ai rencontré en début d’après-midi, ils sont déjà en train de se rhabiller pour partir, des rapides... Cette fois je quitte le pantalon pour montrer mes bas résilles et je chausse mes bottines noires à lacets et talons. Je fais ainsi une blonde nettement plus sexy... « pétasse à donf » comme dit ma miss !
Nous retournons au bar et tombons sur la jeune femme avec qui j’avais discuté tout à l’heure, ainsi que son compagnon, charmant également. Nous discutons un moment puis nos interlocuteurs décident d’aller dans le jacuzzi. Pour notre part nous passons dans les coins câlins car il se fait déjà tard... Nous nous installons dans le coin à glory holes. Dans le coin câlin du fond nous avons entendu des soupirs de plaisir d’un couple: il s’avérera que c’est un couple de « masseurs » qui ne se mélangent pas avec les autres, comme nous le dira un coquin un peu plus tard. Ils y resteront longtemps, à tel point que nous les avons à un moment soupçonnés de s’être endormis !
Nous entamons un petit cunnilingus lesbien comme nous aimons, aussi dans le but que les hommes mateurs de l’autre côté de la paroi se « motivent » un peu... De fait, quelques queues en semi-érection apparaissent dans les trous du mur. L’un des propriétaires se met à siffler, à agiter le doigt genre « viens par là ! » en désignant sa queue mollassonne dans le trou, du style « je siffle mon toutou pour qu’il vienne illico sucer ma queue ». Ce genre de procédé a le don pour faire monter ma chérie dans les tours mais pas de façon positive: elle le rembarre d’emblée d’un ton qui n’appelle aucune réplique. Le gros lourd essaiera ensuite plusieurs fois de passer son bras par les trous pour nous « caresser », en fait nous tirer par les membres avec rudesse! Il a tout faux celui-là, dommage que nous n’ayons pu l’identifier avec précision pour le faire virer définitivement du club, il ne perd rien pour attendre !
Ma chérie finit par choisir une bite pas trop grosse et rapidement la fait bander très dur puis elle l’équipe d’un préso. Elle prend plaisir à la sucer avec le préso au chocolat mais désire la partager avec moi et m’invite à la prendre à mon tour en bouche. Cette queue est en effet très dure et je trouve qu’elle bande très « vertical » comparé aux autres, c’est carrément gênant avec la paroi tellement elle est dressée verticalement, difficile de l’enfourner bien profond dans la bouche.
Je la repasse à ma chérie car une autre queue, plus volumineuse, est apparue sur ma gauche. Je la motive de ma main puis, quand elle a atteint un certain degré de maturité je l’emballe de latex. Ma technique consiste à coiffer le gland puis je le prends entre mes lèvres et je déroule le reste du préservatif avec mes deux mains tout en suçant la tête de la bite. C’est assez efficace pour mettre en place rapidement la protection sans faire débander le partenaire.
Mais ma chérie semble avoir des problèmes : plusieurs fois j’ai entrevu son partenaire retirer sa queue et lui prendre la main en lui chuchotant quelque chose. Elle finit par s’écarter et me rejoint pour partager ma grosse queue. L’autre, me dit-elle, est lourd, il lui lèche les doigts sans arrêt et insiste pour entrer mais elle n’en a aucune envie ! Elle avise en revanche une grosse bite de black dans un trou et entreprend de la « renifler ». Elle revient illico vers moi en disant que non, décidément cette queue a une odeur qui ne lui plaît pas !
Je retourne sucer la première queue car la mienne s’est mise à débander durablement. Mais de nouveau elle se retire et l’homme prend ma main pour sucer mes doigts vernis... ! Puis me chuchote, avec un accent du sud-ouest des Pyrénées, qu’il brûle d’envie de m’ « encouler ». Je décline gentiment, malgré son insistance. Nous finissons par abandonner la partie, il se fait un peu tard et aujourd’hui, manifestement, la qualité des hommes seuls n’est pas au rendez-vous. Nous décidons de retourner prendre un café au bar.
Nous ouvrons la porte du coin couples pour sortir et tombons nez à nez avec un petit homme rond et grisonnant qui nous demande avec une lueur lubrique dans les yeux s’il peut entrer avec nous – alors que nous sommes justement rhabillées et en train de sortir ! Nous reconnaissons son accent, style portugais, c’est l’homme à la queue verticale du glory hole qui voulait m’ « encouler », ce qui nous donne encore plus envie de fuir. L’homme profite de l’étroitesse du couloir pour peloter les seins de ma chérie, tout en lui demandant de retourner sur ses pas pour le sucer. Mais elle se dégage, il jette donc son dévolu sur moi en me prenant les hanches par-derrière et en me pelotant les fesses ! Trop c’est trop !
Nous revenons au bar et dénonçons l’individu à Michel qui ne tarde pas à l’identifier, réfugié dans le jacuzzi, et à l’expulser définitivement du club. Nous commentons cet incident au bar avec le couple rencontré une heure auparavant et un autre couple qui s’est ajouté à la conversation. Le patron avait failli virer un autre homme seul, Philippe, à cause de son origine portugaise connue, mais ce n’était clairement pas lui le fauteur de troubles et nous l’avions innocenté. De ce fait Philippe nous rejoint au bar pour discuter lui aussi avec nous...
(fin de la première partie, à suivre...)
Voilà une sortie qui ne commençait pas sous les meilleurs augures !
RépondreSupprimerJ'espère pour vous que la suite vous a comblé.
Bises libertines à la blonde et à la brune.
Philippe
C'est vrai que ça partait un peu bizarrement... mais on te rassure, on s'est bien rattrapées après. la suite dans le prochain récit, avec le titre en avant-première: "partouze avec une trans opérée?"
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