La blonde et la brune viennent présenter leurs vœux

(Sophia raconte)

Nous avions évité de passer le réveillon du Nouvel An dans un club libertin à cause de la surenchère que font les organisateurs en termes de prix, pour une soirée qui est en général plus fade qu’une soirée libertine lambda, dans la mesure où on perd beaucoup de temps en préliminaires « verticaux » (dîner supposé « amélioré », discothèque et nécessité d’attendre minuit avant de pouvoir passer dans les coins câlins). Nous avions fait un réveillon libertin deux ans auparavant et avions trouvé que la soirée était très surfaite, sans compter les « magouilles » de certains organisateurs supposés désintéressés...

En définitive, les 31 décembre, nous nous faisons désormais un délicieux gueuleton en amoureux au coin du feu et allons nous coucher bien avant minuit pour profiter l’un de l’autre avant de nous endormir ! En revanche, nous avions dans l’idée d’aller dès la réouverture le 2 janvier présenter nos vœux dans notre club libertin favori. Nous n’avons pas été déçus !

Nous avions annoncé sur le site internet du club que la blonde et la brune viendraient présenter leurs vœux et recueillir les hommages de ces messieurs. Plusieurs nous avaient répondu qu’ils y seraient et l’attente de ce jour avait fait monter la pression de part et d’autre. 

Pas de place devant le club, nous contournons l’angle de la rue et nous garons derrière, sur la berge du canal. Il y a environ 200 mètres à faire à pied, comme je suis travesti en blonde je revêts mon grand imperméable à capuche, ça tombe bien il pleuviote un peu... Je ne tiens pas trop à attirer l’attention des automobilistes que nous croisons lorsque nous avons à parcourir à pied ces 200m, nous ne vivons pas dans le meilleur des mondes ! 

Le patron est de faction à l’accueil, nous sommes ravies, nous avions envie de lui souhaiter la bonne année, ainsi qu’à sa délicieuse épouse. Arrivés au bar, nous reconnaissons quelques visages ou plutôt ce sont eux qui nous reconnaissent, souvent nous ne connaissons des personnes présentes que leur queue, avec laquelle nous avons fait connaissance dans un glory hole ! L’un des hommes seuls présents s’avance vers nous pour nous saluer, nous reconnaissons Karl, l’un des participants les plus actifs de notre lundi de partouzes échevelées du 19 décembre (récits à venir...).

Nous discutons un moment avec lui, nous l’avions trouvé charmant la dernière fois, et il ne donne pas l’impression de vouloir nous lâcher aujourd’hui. Nous passons donc avec lui dans les coins câlins réservés aux couples...

A peine la porte ouverte, nous sommes stupéfaits, jamais vu ça : les coins couples sont bondés à craquer ! Dans chacune des 4 alcôves il y a 4 ou 5 personnes en train de coquiner, plus quelques hommes dans le petit couloir qui les dessert. Impossible même de refermer la porte derrière nous, il est clair que nous ne pouvons pas nous installer ici !

Nous ressortons et allons vers la salle cinéma. Il y a sur la droite deux petits coins câlins assez sympas pour 3 ou 4 personnes, et ils sont justement vacants. Nous prenons celui où vont souvent les travs : fermé par une porte coulissante, il est équipé de grands hublots qui permettent aux voyeurs de regarder du dehors, voire d’y passer leur queue si on les ouvre. Mais nous n’avons pour l’instant pas envie d’être dérangés, nous les laissons fermés et nous nous installons sur le matelas.

Karl est un libertin qui bande dur et qui est très endurant, comme nous avions pu le constater la dernière fois. Il se place à genoux sur le matelas, la bite déjà bien en érection, et nous nous employons, la brune et la blonde, à souhaiter la bonne année à ce beau membre viril en pleine gloire. Je le prends entre mes lèvres et suce longuement son gland rose violacé, tandis que ma chérie lui avale les couilles et les malaxe dans sa bouche chaude. Notre homme est aux anges, qui ne le serait pas à se faire ainsi sucer par deux nanas sexy et joueuses ?

Nous permutons au bout d’un moment, ma Caresse se consacre à la hampe dure qu’elle suce sur toute sa longueur pendant que je prends le relais sur les génitoires épilées de notre ami. Karl pousse de longs soupirs de contentement, on sent que son plaisir est déjà monté bien haut, il doit se forcer pour se retenir encore... mais il a du mal, il nous demande d’arrêter nos coquineries buccales, sort un préso et manifeste son désir de me prendre.

Ma chérie sort le tube de lubrifiant pour m’enduire le petit trou, pendant que je me positionne à quatre pattes sur le matelas. Karl me prend par les hanches et essaie de forcer le passage, mais ça n’est pas évident, il trouve que j’ai le petit trou bien serré ! Heureusement, avec l’aide du gel, il ne lui faut pas longtemps pour trouver le bon angle et il parvient à enfoncer son gland, puis le reste de son bel engin dans mon petit cul. Il se met à aller et venir en cadence entre mes fesses tandis que je me mets à couiner irrépressiblement. Waouh, qu’il est habile notre ami, sa queue me fait un effet terrible !

Nous jouons ainsi un long moment, ma chérie le stimule en lui pinçant les tétons et en les lui mordillant. Cette caresse a un effet excitant sur lui, il grimpe littéralement aux rideaux ! Je le sens d’ailleurs qui durcit dans mon petit trou, et ses mouvements s’accélèrent : il me fourrage maintenant avec de grands coups de boutoir, sa bite s’enfonce complètement, de toute sa longueur au fond de moi. Enfin, il pousse un râle et s’immobilise profondément fiché dans mon cul, je devine qu’il jouit et éjacule son flot de semence dans mon intimité... puis il s’écroule sur mon dos et se retire. Karl est trempé de sueur, ce n’est pas rien d’être « étalon » dans un club libertin ! Rire !

Nous sommes bons pour une première douche et un passage au bar ! Nous profitons de cette pause pour nous rafraîchir et nous détendre un peu. La conversation avec notre ami est agréable, nous apprécions sa compagnie verticale tout autant qu’horizontale. Assez rapidement toutefois, nos envies coquines remontent à la surface, après tout nous sommes ici pour ça !

Nous retournons vers le coin couples et découvrons que l’alcôve des glory holes a été libérée. Chic, nous nous y installons après avoir fait un peu de ménage – il est fréquent que des coquins irrespectueux laissent les matelas en vrac, avec de suspectes traces humides et des emballages de préservatifs quand ce ne sont pas les présos eux-mêmes ça et là !

Comme nous y arrivons à trois d’emblée, pas besoin de tester les queues à travers les trous : nous nous mettons de suite en triangle, une position pratique et visuellement excitante pour les voyeurs qui matent. Je me remets à sucer la belle bite de Karl pendant qu’il lèche la chatte de ma chérie et que celle-ci me fait une fellation... Chacun y trouve son compte, à la fois stimulé et stimulant un autre partenaire !

Mais notre ami, dès qu’il est excité, a très vite des envies de pénétration, il se redresse et demande à ma chérie de se mettre à quatre pattes devant lui. Il peut ainsi la prendre par-derrière, en levrette, pendant que je me place devant elle pour qu’elle continue de me sucer la queue. Hmmmmmm, un délice, je peux en même temps profiter du spectacle de ma belle Caresse qui se fait prendre par ce bel homme torse nu. Lui en profite pour reluquer la blonde sexy en train de se faire sucer par la superbe brune qu’il est en train de tringler, il en est tout particulièrement excité ! Surtout que le cul de la brune est à se damner !...

Mais ma miss fatigue et, au bout d’un moment lui propose de prendre de nouveau la blonde. Il ne se fait guère prier, tant son excitation est montée haut... Je prends donc la place de ma chérie, à quatre pattes sur le matelas, pendant que Karl en profite pour se mettre debout derrière moi. Il me fait reculer un peu plus sur le bord, m’écarte largement les cuisses et se réintroduit dans mon intimité presque d’une seule poussée. Je suis en appui sur mes mains et me mets à gémir de plaisir, mon collier et mes pendants d’oreille tintent au rythme des mouvements de hanche que Karl m’imprime. Nous entendons des soupirs de plaisir de l’autre côté de la paroi, les hommes qui regardent sont sûrement en train de se masturber, peut-être même de s’enfiler entre eux...

Ma chérie se repose un peu en venant me sucer les couilles, qu’elle engloutit toutes deux dans  sa bouche. Sa langue coquine les malaxe dans tous les sens, elle les aspire et les suce diaboliquement. Puis elle passe aux couilles de notre ami et lui fait la même caresse. Elle alterne ainsi entre nos deux sexes, si proches et offerts à sa gourmandise...

Karl monte en puissance et accélère ses mouvements. Il finit par venir une nouvelle fois en moi, je le sens décharger au fond de mon petit trou... Ma miss se moque gentiment : « mazette, la blonde, tu le pompes bien ce soir... ! »

Il est temps de retourner à la douche et au bar !

(fin de la première partie)