L’appel du 18 juin (2ème partie) : le donjon

(suite du récit précédent, Alpha raconte)

...Nous sommes assis à côté de la petite brunette (Carine), renversée sur un tabouret, la tête en arrière. Un homme s'occupe d'elle comme il se doit : il la lèche et la doigte pendant un "bon moment", elle gémit et crie terriblement, c'est trop excitant pour nous laisser indifférents tous les deux ! Nous décidons de la caresser, nous ouvrons les fermetures éclair de sa robe et nous nous mettons à lui sucer les tétons pendant un long moment… elle prend son pied à plusieurs reprises entre nos six mains, mais pour qu'elle savoure pleinement…nous la laissons profiter des bras de son amant !

D’autant qu’Antoine s’est rapproché de nous, nous discutons un peu avec lui puis ma miss lui dit que je n’ai pas encore eu mon dessert : elle commence à masturber Antoine sous sa jupe à carreaux, tout en s’exclamant : « mais il y a une belle sucette ici ! ». Elle dit à Antoine qu’elle le sent un peu tendu, et qu'une petite pipe pourrait le détendre. Le coquin ne se fait pas prier : « pourquoi pas ? » dit-il… Ma chérie me passe alors sa queue qui a déjà pris des proportions intéressantes, je me mets à la sucer, à genoux, les mains dans le dos… Ma chérie m’aide en la serrant à la base dans sa main et aussi en lui suçant les boules. Antoine bande fort très rapidement et sa queue prend un volume surprenant et inattendu par rapport au point de départ. Waouh !! Mes va-et-vient sur son membre deviennent difficiles, son sexe emplit toute ma bouche jusqu’au fond, et c’est lui qui se met alors à onduler des hanches tandis que je reste immobile...

Mais nous sommes, tous les trois, distraits par des cris provenant du donjon, beaucoup de gens s’y sont rassemblés : Carine est attachée par les poignets aux attaches en cuir du plafond et son Dom est en train de la fouetter avec force. Elle est nue, bandeau noir sur les yeux,  perchée sur ses hauts talons et il l’oblige à se cambrer en permanence : « Cambre toi, je te dis de te cambrer ! Encore ! Mieux que ça ! ». Elle crie beaucoup à chaque fois que le fouet s’abat sur ses fesses ou ses reins, il faut dire qu’il cogne, le bougre. Il fait des pauses de temps à autre laissant sa soumise dans l’attente… Le jeu est troublant, d’autant que le plaisir des deux est visible et qu’il monte crescendo. Le dom applique tantôt des ventouses aspirantes sur les tétons, tantôt de la cire brûlante de bougie sur les reins puis sur les seins de sa soumise. Elle hurle… son plaisir est visiblement extrême!

Le Dom tend avec autorité la bougie à ma miss (une façon de remettre ma miss, trop près de sa soumise, à sa place) pendant qu’il prend un vibro électrique. Il place deux pinces métalliques serrées sur les tétons déjà très sensibles de sa victime et les relie aux lèvres de sa  vulve. Elle crie, mais il se met à appliquer le vibro sur son clito, puis l’introduit dans le vagin. Elle hurle de nouveau dans un ultime orgasme et le supplie d’arrêter.

Ma chérie est particulièrement excitée par l’atmosphère du donjon, son côté domina reprend le dessus et elle décide de m’attacher sur la croix de St André toute proche du Dom. Puis elle se met à me sucer devant tout le monde, tandis que les Carine et son Dom ont repris la séance de martinet. Finalement le Dom détache sa soumise, la câline un peu, ils sortent se détendre au bar.

Soudain, le grand Michel arrive devant la croix, il s’approche de nous et me roule une pelle, tandis que je suis toujours attaché(e) à la croix. Puis il demande avec un air très coquin à ma miss si sa petite soumise le sucerait ? « Pas de souci, elle va adorer…et moi aussi » dit-elle en l’empoignant par sa queue, énorme ! Ma chérie commence à la sucer elle-même, c’est son truc de partager les hommes comme les femmes… mais j’imagine qu’elle va vite la trouver trop grosse pour sa petite bouche et qu’elle va vouloir me la refiler.
En fait, elle me l’avouera plus tard, elle aime tellement que l’on partage nos partenaires homme ou femme, qu’elle prend beaucoup de plaisir au partage d’une belle queue ou d’un joli minou... Cela amplifie la complicité entre nous et donne au moment une couleur libertine que nous aimons terriblement !

Elle me détache et me fait mettre à genoux à côté d’elle, en prenant soin de placer ma bouche à la hauteur de la queue de Michel superbement dressée de bonheur, elle aime me voir me régaler ! J’enfourne cette nouvelle queue dans ma bouche, elle est en effet énorme, son propriétaire est grand, il est vrai, mais il est aussi très, très bien membré ! Je m’efforce d’aller et venir avec application, la serrant dans ma main à la base et alternant succion et masturbation manuelle : dans ces moments-là, ma bouche se contente de lécher et sucer le gros gland tandis que ma main s’active, je sens son sexe se raidir à chacun de mes mouvements dont je varie le rythme.

Ma miss a entrepris de lui sucer les couilles ce qui accroît encore son excitation. Il se met alors à donner des coups de bassin et m’oblige à l’engloutir toujours plus profondément dans ma bouche. Comme il bourrine des hanches, ma miss choisit de passer derrière lui pour jouer avec son petit trou, elle lui dit qu’il nous donne beaucoup de plaisir que nous adorons déguster un bel homme comme lui à deux, que c’est un vrai bonheur! L’excitation de notre partenaire monte encore d’un cran entre les mots de ma miss et nos actions répétées sur son sexe, son anus… Son excitation est telle que je commence à m’inquiéter d’une prochaine éjaculation. Même si nous l’avons déjà vu coquiner deux fois ce soir, Michel semble particulièrement performant et pourrait bien éjaculer une nouvelle fois !

Quelle chance, Béatrice arrive soudain avec Elliott… Elle semble s’intéresser beaucoup à Michel et réciproquement. Il doit être bien mûr, et s’empresse d’ailleurs de l’enfiler en levrette… Ouf ! Je commençais à saturer et à craindre une éjaculation…il ne faut en effet plus longtemps à Michel pour éjaculer bruyamment dans la chatte de Béatrice, à son grand regret, elle aurait visiblement apprécié que ça dure plus longtemps. Elle est une adepte du sexe pluriel et des gang bangs.

Malheureusement pour elle, ce soir, en dehors de Michel et d’Elliott, les hommes se gardent pour leur compagne, ils sont joueurs avec leurs langues, leurs doigts, mais ils ne jouent pas beaucoup des hanches… Caresse avoue que ça lui convient plutôt bien ! Elle n’apprécie pas les ambiances où il lui faut sans cesse surveiller ses arrières !

Elliott, excité par la soirée, a pris ma miss en levrette sur le chevalet en cuir rouge, face au mur. J’ai donc un petit moment de répit, avant qu’Elliott ne me demande de lui mordiller les tétons pour augmenter son excitation. Soumise, ce soir, je m’exécute de bonne grâce.

Elliott demande soudain à ma chérie s’il peut me prendre aussi… Partageuse, elle se redresse pour me laisser sa place ! Je m’allonge donc sur le chevalet de cuir, ma belle me passe un peu de lubrifiant sur mon petit trou. Elliott soulève ma robe et commence à s’introduire, encouragé par ma belle qui lui pince et lui mordille les tétons. Je sens son sexe entrer petit à petit dans mon intimité, fort heureusement il est moins membré que Michel !

Elliott commente beaucoup ce qu’il fait. Il me déclare à nouveau sa « flamme », de me trouver aussi « bandante », il veut m’entendre gémir et crier de plaisir. Les sensations qu’il me procure sont telles que je n’ai pas besoin de me forcer pour lui donner ce plaisir.

Malheureusement, le chevalet fait face au mur et ma tête vient le cogner à chaque fois qu’il s’enfonce en moi d’un vigoureux coup de hanches, à ma demande nous faisons tourner le chevalet de 90 degrés avant de reprendre notre jeu, mais cela ne m’empêchera pas d'avoir une belle bosse le lendemain. Ainsi placé, c’est beaucoup mieux, nous pouvons en profiter un long moment. Je crie de plus en plus car les sensations sont devenues incontrôlables. Ma chérie lui mordille d’abord les tétons puis va lui lécher les couilles pendant qu’il me pénètre, elle peut ainsi profiter en gros plan de cette scène excitante.

Elle me dira ensuite que nous avons d’ailleurs fait le spectacle pour les autres : plusieurs personnes, qui nous voyant du bar, sont entrées dans la pièce regarder de plus près notre trio, je ne me suis aperçu de rien, trop "pris" par le plaisir !

Antoine a d’ailleurs ouvert de grands yeux ronds quand il a réalisé qu’elle était derrière notre ami… et que par conséquent c’était moi qui étais devant sur le chevalet ! Il aurait peut-être apprécié d’être à la place d’Elliott ou à la mienne ! Nous ne le saurons pas ce soir là en tout cas !

Au bout d’un long moment, Elliott n’en peut plus, il est fatigué et nous décidons de passer tous les trois prendre un verre au bar. Les desserts sont arrivés, petits éclairs au chocolat et au café, petits fours sucrés. Nous discutons à nouveau avec Sophie, son compagnon, Michel, lui a déjà raconté notre délicieux moment à trois.

Une nouvelle venue, blonde en vinyle noir, est accroupie à ma droite en train de faire un cunni à une femme qui suce son mec. Je tends ma main droite et lui caresse le clito, elle va et vient sur mes doigts et je la sens rapidement devenir humide. Notre début de jeu s’arrête là, car elle se redresse avec un sourire et nous nous levons pour danser un peu.

Sophie est intriguée par ma poitrine opulente, elle l’inspecte pour en découvrir les secrets, puis me demande de lui remettre sa boucle d’oreille. Avec une complicité toute féminine, elle  me fait ensuite un petit cours sur la façon de se déplacer quand on est une femme perchée sur des talons… Je la remercie de contribuer à ma toute jeune éducation féminine.

Nous dansons un peu sur la piste, mais ma chérie donne des signes de fatigue. Je vois aussi que la plupart des participants ne sont plus très actifs, je me dis que l’ambiance risque de ne pas repartir à cette heure avancée de la nuit.

Nous faisons donc nos adieux, nous avons un avion à prendre le lendemain midi… Et il est déjà 4h du matin !!!! Mais pour sûr, nous ne manquerons pour rien au monde la prochaine soirée… surtout que le thème annoncé est  « fetish night »…… Nous adorons déjà !

Quelle merveilleuse soirée de lâcher prise nous avons passée !