Libertinage à Toulouse (épisode 3/3)

Un after aux Bains (Alpha raconte)

Pour conclure en beauté ce long weekend libertin, nous décidons d’aller comme d’habitude dans notre club favori dimanche après-midi. Nous sommes quand même un peu fatigués, la grasse matinée n’était pas de trop. Le temps est gris et déprimant, rien de tel qu’un bon petit jacuzzi pour remonter notre moral d’épicuriens habituellement nourris par le soleil de l’été.

Une nouvelle hôtesse avec un air avenant nous accueille et nous donne les clés 68 et 69. Bon présage que cette clef 69… qui nous indique déjà qu’il y a beaucoup de monde puisque les clés sont distribuées dans l’ordre croissant. En un tour de main nous sommes prêts et immergés dans le bassin en effet très peuplé et toujours plongé dans une sombre pénombre. Nous nous détendons un long moment, en jetant quelques regards circulaires : pas mal de couples qui restent à deux, quelques hommes seuls qui semblent plus entreprenants que d’habitude mais sans trop de succès. Ma miss devra d’ailleurs successivement en refouler cinq qui tentent leur chance ! Ils sont manifestement en manque me dira-t-elle, elle n’aime pas ça du tout ! Ce n’est pas leur jour, nous sommes fatigués et si quelque chose doit se passer aujourd’hui, ce sera avec un couple de toute façon !

Nous changeons de place pour être moins dans le passage. A notre droite, un couple d’âge mûr est paisiblement assis et regarde dans notre direction fréquemment. Mais ma Caresse me glisse à l’oreille que le monsieur ne lui convient pas, à aucun moment depuis que nous les observons du coin de l’œil il n’a embrassé ou caressé sa femme qui semble passionnée par le spectacle d’un couple et d’une femme seule, rejoint par un homme seul qui ne réussira pas à s’intégrer au trio ! (rire) dans le coin câlin jouxtant le jacuzzi…

Un autre couple, lui très brun, elle blonde et grisonnante aux cheveux courts s’approche devant nous dans le bassin bondé. Ma chérie tente une approche en caressant le dos du monsieur qui semble apprécier. Mais soudain il s’éloigne, madame nous regarde à la dérobée et n’a pas l’air d’accord…. Nous reprenons nos jeux en duo, pas la peine d’insister, je me laisse aller à une douce torpeur pendant que ma miss me caresse le sexe comme j’adore.

Au bout d’un petit moment, le couple, que ma miss avait caressé, se fraye un passage et vient s’asseoir à notre gauche, tout près, si près même que j’ai quasiment la cuisse de madame posée sur la mienne ! Nous attendons qu’ils se manifestent, vu l’épisode précédent, peut-être ont-ils changé d’avis, ma miss me glisse à l’oreille que ça ne va pas le faire si monsieur veut forcer madame ! Rien n’arrive, nous sommes un peu désorientés, le message n’est pas totalement clair. Je décide de profiter de ma grande proximité avec la blonde quadragénaire qui continue de se frotter contre ma cuisse pour poser ma main sur celle-ci et la caresser légèrement…

Son mari se repositionne un peu plus vers le bassin pour accéder à la peau de ma chérie qu’il se met lui aussi à caresser. Cette fois ça semble bien parti, nous échangeons de francs regards, des sourires, des prénoms (ils s’appellent Florence et Claude), nous commençons à jouer doucement. Ma miss est caressée par Florence, mais comme elle craint que la jeune femme ne soit pas bi, elle prend sa main et la met sur mon torse. Elle caresse quant à elle, les deux, ne sachant pas trop comment se positionner. Florence se tourne vers moi, tout en gardant une jambe entourée autour de celle de son mari, ce dernier s’est un peu plus tourné vers ma Caresse, mais pas complètement, sa jambe étant croisée avec celle de Florence. Caresse ne peut pas se mettre dans les bras de Claude, son corps est barré par la jambe de Florence. Ma miss n’est pas très à l’aise, la jeune femme semble avoir besoin visiblement d’être rassurée. Ma chérie entreprend donc de lui faire des baisers…

De mon côté, je me suis tourné vers Florence pour mieux l’embrasser et lui caresser les seins et le ventre. Elle a la peau douce, elle est fine et agréable, elle se laisse aller progressivement mais nous sentons qu’elle reste un peu tendue. Ma chérie l’embrasse à plusieurs reprises et finit par lui demander si « elle va bien », elle dit, en souriant de façon enjouée, que oui en demandant « pourquoi », Caresse lui explique que c’est important pour elle que le couple soit bien et de savoir si madame va bien est essentiel pour elle. Je lui susurre en outre de me prévenir si quelque chose ne va pas, il faut que tout le monde se sente bien.

Les propos de ma miss mettent, visiblement, à l’aise Florence, car elle enlève sa jambe entre Claude et Caresse, pour venir se blottir dans mes bras, laissant à Claude toute latitude d’en faire de même avec ma Caresse.

Le moment est doux et sensuel, Claude est tendre, il aime les caresses et il n’est pas intrusif selon Caresse, trop peu même à son avis ! Il n’arrivera pas à la faire jouir, il lui chatouillera son point G, une fois ou deux, mais malheureusement sans rien déclencher d’orgasmique. Pour avoir la paix, Caresse fera semblant de jouir à deux reprises, entraînant un malentendu qui la desservira, donnant l’impression qu’elle est bien, alors qu’il n’en est rien.

Florence se tourne à nouveau vers moi et m’embrasse plus franchement, avec gourmandise même ! Tout en la caressant, je laisse glisser une main vers son pubis épilé et je cherche son petit bouton de plaisir. Assez rapidement il enfle sous mes doigts qui vont et viennent, un endroit me semble particulièrement sensible et j’y reviens fréquemment. Florence continue de jeter des regards inquiets vers Claude qui semble prendre du bon temps avec ma chérie. Mais elle le fait de moins en moins souvent, revient vers les bisous et se met à onduler des hanches.

Je commence à titiller les grandes lèvres de Florence, puis insinue le bout de mon index dans son vagin. Elle n’a pas l’air de détester, je continue un peu plus profond tout en malaxant son clito, maintenant très excité, avec le pouce. Elle ondule plus fort et m’embrasse aussi plus fougueusement, plus longuement, je commence à l’entendre gémir. J’entends aussi ma chérie chanter, je sens qu’elle ne va pas tarder à exploser de plaisir. Pour nous connectés avec Caresse et Claude, je décide d’intensifier mes caresses à pleine puissance…

Florence entend ma chérie jouir, mais elle ne regarde plus son mari, elle est dans son trip à elle, se met à chanter à son tout en ondulant des hanches de plus en plus fort. J’ai senti son vagin, serré au départ, s’ouvrir davantage et j’ai donc aussi glissé mon majeur à l’intérieur, je pense avoir trouvé la zone sensible de son point G et je m’emploie à la faire monter aux rideaux. Elle donne de furieux coups du bassin pour venir s’empaler à fond sur mes deux doigts, tandis que je masturbe son clito sans relâche et que nos lèvres et nos langues ne se quittent plus. Elle crie enfin de jouissance et est secouée de tremblements convulsifs…

Florence a pris son pied, elle me le dit avec un doux sourire quelques instants plus tard, tandis que nous échangeons caresses et bisous à quatre : il est temps de passer dans un coin câlin.

Lorsque nous nous retrouvons à deux, Caresse m’informe qu’elle n’a pas pris son pied du tout, mais ne dit pas qu’elle ne veut pas donner suite, alors que ça la démange grandement. Elle me dira plus tard que, comme je m’amusais, elle n’a pas eu envie de jouer les rabat-joies, elle s’est forcée, car le moment, bien que peu exceptionnel, n’était pas désagréable. Ma Caresse est fatiguée, elle ne profite pas de la soirée comme elle aimerait. Mais je suis, pour elle, « trop dans mon trip » avec Florence pour me rendre compte que ma chérie se force pour me faire plaisir…

Notre coin couple favori est squatté par un groupe de bavards et deux couples silencieux qui font l’amour côte à côte. Nous pressentons qu’ils ne vont pas libérer le coin de sitôt et retournons donc à l’étage : je propose de tenter le coin du fond, assez grand pour quatre mais équipé de glory-holes. Nos nouveaux amis ne se formalisent pas, ma miss passe, à la demande de Florence, à la réception chercher une bouteille d’huile de massage et nous voici tous les quatre dans le coin câlin souhaité.

Nous nous redéshabillons rapidement et Caresse s’allonge au milieu du matelas pour se faire masser le dos à six mains. Florence semble très habituée, elle a des doigts de fée et masse ma chérie des pieds au haut du dos, pendant que Claude s’occupe des épaules et des bras. Je leur avais dit en plaisantant que moi je surveillerais les glory holes, au cas où nous aurions de la visite, mais je me joins à eux pour masser une jambe et le dos de ma chérie. Celle-ci a l’air d’aimer ça !

Nous changeons un peu de positions, nos deux amis sont de part et d’autre de ma miss et continuent de la masser, tout en venant parfois jouer des doigts sur ses cuisses, mais sans toucher son intimité pour autant… Je m’allonge entre ses jambes tandis qu’elle se retourne sur le dos et entreprends de lui faire un cunni.

Nos amis nous ont avertis qu’ils ne voulaient ni cunnis, ni fellations et qu’ils n’en feraient pas non plus. Pendant que je commence à faire chanter ma belle, Claude et Florence lui massent les seins, la gorge, le ventre… J’ai aussi attaqué le point G, ma belle se tortille rapidement en chantant dans les aigus… Elle vient très vite la première fois, il faut dire que si elle n’a pas joui jusqu’alors, elle doit en avoir terriblement envie ! Je relâche un peu la pression mais pas complètement, puis je recommence avec vigueur pour lui soutirer un deuxième orgasme.

Ma belle est fatiguée par ce long weekend, je le sens, elle veut changer de place et Florence prend la sienne. Nous reprenons notre massage à six mains, sur son dos et ses jambes d’abord, en titillant de temps à autre sa vulve et son petit trou… puis elle se retourne, Caresse entre ses jambes, les deux hommes à hauteur de son buste. Ma miss caresse avec expertise son clito et sa chatte, pendant que Florence nous a saisi nos sexes, à Claude et à moi. Elle nous masturbe tous les deux pendant que nous lui malaxons les seins et l’embrassons, lui suçotons les tétons. Florence regrimpe vite aux rideaux dans cette posture excitante et elle nous masturbe de plus en plus fermement, nous faisant bander comme des ânes. Elle crie soudain de jouissance et s’écroule de plaisir en nous lâchant.

C’est notre tour maintenant, Claude et moi nous allongeons côte à côte et les deux femmes nous rendent nos caresses. Je sens Florence s’allonger dans mon dos, elle me le masse en frottant ses seins huilés et en effectuant un mouvement de va-et-vient de tout son buste. Elle alterne ce doux massage dorsal avec un massage manuel de mes mollets et de mes cuisses, reprend de temps à autre mes testicules et mon sexe dans ses mains, joue avec mon petit trou…

Claude a soudain l’idée de se mettre tête-bêche avec moi, non pas pour un 69 entre hommes (lol) mais pour que nous fassions un carré, position agréable que nous avions déjà expérimentée avec nos amis espagnols : nos femmes sucent leur compagnon respectif pendant que Claude, sur le dos, caresse la chatte et l’anus de ma chérie et que je fais de même avec Florence. Nous montons ainsi en puissance pendant un long et délicieux moment… Chaque femme a deux hommes et chaque homme deux femmes, comme quoi l’arithmétique à quatre ne suit plus tout à fait les règles classiques ! 2+2=…….. 8 !

Nos chéries, déjà bien chauffées depuis le début de la soirée viennent les premières, suivies de leurs hommes qu’elles savent caresser avec amour. Il fait une chaleur torride dans ce coin à l’atmosphère confinée, nous dégoulinons de transpiration : il est temps de retourner à la douche puis au bar pour partager un apéro et une pizza bien mérités !