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Sur ce blog nous racontons notre vie de libertins. Nos récits parlent de nos sorties et de notre vision du libertinage... Les lieux et endroits sont "améliorés", les repas "enrichis", l'histoire est parfois romancée afin que toute ressemblance avec la réalité ne puisse qu'être fortuite. Bonne lecture.
Caresse et Alpha
On this blog we are unveiling our swinger lifestyle. Our stories tell about our swinger parties and develop our vision of this particular way of life.
Places and meals are sometimes "improved", names are changed and the story itself may be "adapted" or even fully invented...
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Caresse (she) and Alpha (him)

dimanche 1 mai 2011

...Et Alpha donne un cours intensif de langue française ! (2eme partie)

(Alpha raconte)

(suite des retrouvailles à Valladolid)

La journée de retrouvailles avec nos amis espagnols n’est pas finie… Nous nous reposons un peu, nous douchons et nous apprêtons pour sortir dîner et découvrir Valladolid by night….. Les dames se sont faites belles, les messieurs aussi : Maria a enfilé une petite robe noire sexy à fines bretelles et ma chérie son haut en dentelle noire et son fuseau moulant noir échancré sur les côtés, immettable à Paris, avec des escarpins noirs haut perchés ! Roberto, classique, a revêtu une veste gris-bleu sur une chemise noire, et moi ma chemise noire à arabesques blanches de notre boutique coquine sur mon pantalon blanc et mes chaussures italiennes.

Le taxi nous dépose 5mn plus tard dans le centre-ville, juste devant le restaurant El Trebol, au bord de la rivière. Ce restaurant ne paie pas spécialement de mine et aucun touriste ne s’y aventurerait. Mais nous sommes ici en compagnie de connaisseurs locaux… Nous ne serons pas déçus par la qualité de ce que nous allons y trouver ! Nous nous installons en terrasse et Roberto commande un Ribera de Duero bien frais… Un Tabula 2005, pour être précis, qui accompagne à merveille les mets locaux choisis par nos hôtes : cassolette de coques en sauce (un peu comme la cataplana portugaise que nous découvrirons plus tard) et bacalao aux petits légumes.

Entre la poire et le fromage, Roberto sort de sa poche un curieux petit objet : une sorte d’oeuf, rond et noir, avec une petite télécommande… Nous comprenons rapidement à quel usage coquin ce jouet est destiné et Maria a déjà les yeux qui brillent d’excitation. Malgré le va-et-vient des serveurs et la présence, aux tables voisines, de clients curieux qui n’ont cessé de reluquer les tenues sexy de nos chéries depuis le début du dîner, Maria a hâte de placer le petit oeuf dans son intimité. Seul un petit détail arrête Roberto : il n’y a pas de lien pour retenir le sextoy au cas où Maria l’«avalerait » un peu trop loin au fond de son vagin. Une idée nous vient : le cordon des clefs de ma voiture est doté d’un petit mousqueton, que nous avons tôt fait de fixer à l’anneau de l’oeuf vibrant. Maria n’y tient plus, elle soulève discrètement le bas de sa courte robe et s’enfile l’oeuf dans le vagin, seul le cordon bleu dépasse…

Roberto commence à jouer avec la télécommande…. Séquence de vibrations, intensité… Mmmmm, Maria semble aimer, certaines séquences plus que d’autres, et le volume pas trop à fond car cela paraît vite intenable… L’un des serveurs doit avoir capté qu’il se passe des choses à notre table, mais il reste discret et ne le montre pas. A la vue de Maria, ma miss a commencé à s’exciter, elle veut absolument essayer le petit oeuf elle aussi !!! Maria s’absente dans les toilettes du restaurant pour retirer l’objet, le nettoyer et, à son retour, le passer discrètement à Caresse qui l’enfile sans hésiter. Roberto continue ses essais et ma miss a ainsi tout loisir d’expérimenter l’ensemble des possibilités. Ce jouet est démoniaque, digne d’une BD de Manara !

Pendant que Roberto fait essayer le sextoy à ma chérie qui lui fait face, j’ôte mon soulier droit et je viens titiller, sous la table du restaurant, le bas-ventre de Maria avec mes orteils. Celle-ci est déjà très excitée d’avoir testé l’oeuf, elle se repositionne légèrement de façon à bien appuyer son clito sous mon gros orteil, tout en relevant un peu sa robe. Je n’ai pas beaucoup d’expérience dans ce nouveau jeu et suis clairement bien plus maladroit qu’avec mes doigts. Mais Maria m’aide beaucoup en ondulant lentement, les regards de nos voisins à la table de derrière se font plus fréquents et moins discrets. Les ondulations de Maria s’accélèrent et elle commence à gémir faiblement, mais elle doit se retenir, nous sommes dans un lieu public de la prude Castille ! Elle jouit rapidement, mais le plus silencieusement que nous lui ayons jamais vu faire !

Ce petit jeu m’a beaucoup plu et passablement émoustillé. Quand ma chérie ressort l’oeuf de son intimité et me restitue le cordon de mes clefs, parfumé au nectar de leurs deux chattes, je lui promets de ne pas le laver et au contraire de m’en enivrer tous les matins avant de démarrer ! Il est grand temps pour nous de régler
l’addition et de nous déplacer vers un autre lieu nocturne de cette grande ville encore accablée de la chaleur du jour, d'autant que les clients voisins nous semblent passablement agités à notre vue....

Nos amis nous font faire un tour du centre-ville illuminé, et nous faisons au passage quelques photos de charme, notamment avec deux statues complaisantes et bien membrées d’une fontaine publique… Nous entrons dans un bar-lounge éclairé de rose et de bleu pour nous rafraîchir. Il est vrai que nous sommes en milieu de semaine et que l’ambiance n’est pas au top, mais il y a tout de même pas mal de monde. Ce bar est surtout fréquenté par des jeunes, en mode « vertical ». Nous ressortons donc et nous dirigeons vers un bar en sous-sol réputé plus « libéral » et « gay-friendly ». Très peu de monde, nous prenons un verre et le patron, à la demande de Roberto, nous fait visiter une sorte de discothèque clandestinement dissimulée derrière une lourde tenture, avec full bar, barre de pole dance, recoins sombres… Malheureusement, ce club n’est actif que les weekends. Nous restons donc dans la partie bar à vin, elle aussi dans la pénombre et Roberto ressort son petit oeuf pour cette fois l’essayer lui-même ! Ce petit jeu amuse beaucoup les dames… qui veulent bien sûr me le faire essayer à moi aussi. Et sincèrement, je confirme qu’il ne faut pas régler le volume à fond, c’est intenable !

Il est déjà presque minuit trente quand nous ressortons du bar en sous-sol et appelons un taxi pour rentrer à notre hôtel-monastère. Revenus dans notre suite, et toujours altérés, nous sortons une bouteille de champagne français que nous avions mise à rafraîchir dans le minibar. J’officie avec Roberto qui s’est coiffé avec le chapeau en cuir de ma chérie, je ne vais pas le sabrer cette fois, de peur de casser quelque chose…

Comme nous avions laissé la clim à fond avant de partir, nos deux chéries prétendent avoir froid lorsqu’elles se déshabillent et elles se réfugient toutes les deux nues sous la couette, elles se réchauffent l’une l’autre avec plaisir… Roberto assure le « room service », la bouteille à la main, nu avec le chapeau sur la tête, et propose à Maria et Caresse de se désaltérer soit au goulot, soit…à son sexe bien tendu ! Maria choisit sans hésiter de laisser le goulot de champagne à Caresse pour enfourner immédiatement la queue de Roberto avec gourmandise ! Le champagne est finalement servi dans les coupes, nous trinquons tous les quatre à nos retrouvailles épicuriennes et à la beauté de la vie.

Les deux femmes se sont bien « réchauffées » sous la couette. Roberto et moi nous empressons de les rejoindre, mais elles ont envie d’un petit spectacle érotique pour retrouver leur température de service. Elles nous enjoignent de leur offrir le spectacle d’un petit 69 à deux, Roberto et moi, ce que nous ne saurions refuser, demandé si gentiment. Nous nous exécutons de bonne grâce, sachant l’effet produit sur nos deux chéries. Roberto s’allonge sur le dos, moi par-dessus et nous nous suçons l’un l’autre avec application, en rythme, engloutissant la queue qui se présente à nous jusqu’à la garde.

Vu l’état dans lequel sont déjà nos dames, ce jeu ne peut durer bien longtemps. Caresse s’est allongée au milieu de nous sur le lit et les trois autres entreprennent de la câliner. Caresse est sur le dos, je suis entre ses jambes, je lui décerne un cunni comme nous aimons tant tous les deux… nous savourons ce partage de plaisir avec un bonheur incroyable, Maria est sur le côté droit, elle mordille les seins de ma Miss, pendant que Roberto situé de l’autre coté, lui mordille l’autre téton ! Caresse gémit et se tord dans tous les sens… je sens son plaisir monter, je titille son clito avec bonheur, tout en plaçant deux doigts dans sa douce intimité… Je la sens vibrer terriblement sous la conjonction de nos caresses à tous les trois… hummm, que c’est bon de la sentir « grimper aux rideaux » si lentement, je fais durer le plaisir, mais son excitation est telle qu’elle ne tarde pas à exploser… et à chanter son plaisir !

Maria s’est redressée pour reprendre la queue de Roberto dans sa bouche. Ma Caresse m’a aussi mis en très grande forme avec ses caresses buccales. Aussi, à peine a-t-elle commencé à suçoter les tétons de Roberto que je me présente derrière Maria, agenouillée sur le lit pour sucer son homme, et la prends en levrette. Un délicieux moment pour nous tous, Maria ondule violemment de se sentir prise en double et abandonne momentanément la fellation pour expurger son puissant orgasme. Elle s’affale un instant sur Roberto, et je la laisse reprendre un peu ses esprits en revenant vers la bouche de ma chérie.

J’échange ma place avec la sienne et me retrouve ainsi couché à côté de Roberto. Ma miss organise la suite : elle place dans ma main la queue de Roberto, et ma queue dans la main de notre ami. A charge pour nous de maintenir notre excitation obtenue de si belle manière depuis le début de la soirée ! Elle en profite pour faire quelques photos tandis que Maria reprend peu à peu ses esprits, elle a déjà pas mal puisé dans ses réserves aujourd’hui ! Maria revient se blottir contre Roberto et lui suce les tétons, tandis que Caresse fait de même avec moi. Nous restons ainsi un bon moment à nous caresser tous les quatre.

Puis ma chérie sort un nouveau jouet qui avait intrigué Maria. Nous l’appelons « le gros doigt » : un doigt en silicone qui allonge et épaissit le doigt « normal » sur lequel on le fiche. Caresse le lubrifie bien et s’approche de Maria pour lui faire une démonstration de… caresse anale. Maria semblait très désireuse d’essayer, elle n’est manifestement pas déçue : par trois fois, successivement, ma chérie la fait jouir violemment. Maria n’en peut plus, elle crie grâce et s’étonne que cela ait pu être possible : mais comment Caresse a-t-elle donc fait pour lui arracher trois orgasmes anaux en si peu de temps ? Maria se réfugie à nouveau sur le flanc de Roberto et niche son petit minois contre son bras musclé. Nous ne l’avions encore jamais vue si fatiguée !

Ma Caresse s’allonge dans les bras de Roberto, qui semble fatigué lui aussi. Il la câline tendrement, doucement, elle semble adorer ce moment paisible : même quand on est libertin(e), on n’est pas forcément demandeur(se) de pénétration hard toutes les 5 minutes ! Mais mon côté diablotin ressurgit à ce moment, pauvre Maria, j’entreprends de lui faire un délicat cunni, puisqu’elle a les cuisses offertes sur le bord du grand lit, c’en est presque une invitation au crime libertin !

Le premier cunni, avec juste la pointe de la langue à peine appuyée sur son bouton de plaisir, la fait monter au rideau en moins d’une minute. Je continue cependant, doucement, en enveloppant son clito de mouvements circulaires de ma langue, ce qui a pour effet de la faire jouir une deuxième fois. Je fais une pause, surtout pour elle, car moi je ne suis pas encore fatigué, puis reprends lentement le travail de ma langue, sur le clito et sur les lèvres toutes trempées de son plaisir. Je les lappe avidement, de plus en plus vite, ma langue s’insinue dans la fente humide et lappe aussi l’intérieur, à grands coups, sur toute la longueur.

Maria jouit une troisième fois, elle semble presque au supplice, mais ne se retire pas pour autant et ne me donne pas non plus de signe pour que j’arrête. Je poursuis donc… mais elle ne réagit plus autant, malgré mes coups de langue appuyés qui vont maintenant jusqu’à son petit trou et s’y introduisent. Elle vibre mais ne crie plus, j’insiste et engage un premier doigt dans son vagin, à la recherche du point G. Cette fois, bingo ! Maria se tord de nouveau et crie son quatrième orgasme clitorido-vaginal. Comme on m’a enseigné que l’orgasme vaginal nécessitait d’être maintenu, je ne retire pas mon doigt mais au contraire en ajoute un deuxième… et un troisième, tout en accentuant leur va-et-vient dans la chatte dégoulinante de notre amie.

Ma langue ne s’est pas arrêtée pour autant, elle va de son clito à ses grandes lèvres, en fouillant partout frénétiquement. Maria vient une cinquième fois, dans un râle, elle jouit presque au bord de l’inconscience, elle brûle en fait ses dernières cartouches car elle me supplie cette fois d’arrêter. Elle s’effondre, blottie contre Roberto qui la regarde incrédule : elle ne veut plus jouir, elle veut juste dormir, se blottir, elle n’en peut plus !

Roberto nous dira plus tard qu’il n’en revient pas, il ne l’a jamais vue comme ça, épuisée par le sexe ! Il faut dire qu’elle a, ce soir, cumulé un orgasme clitoridien (au restaurant), un en DP, trois orgasmes anaux et cinq orgasmes clitorido-vaginaux, sans compter ce qu’elle a fait sous la couette avec ma chérie et aussi les petits jeux de l’après-midi. Sincèrement, à 2h30 du matin et en s’étant levée très tôt la veille, elle a bien mérité d’aller se reposer !

Nous nous endormons d’ailleurs tous très rapidement. Mais quelques heures plus tard, alors que le jour est à peine levé, une forme claire s’approche de notre lit et vient s’y pelotonner : Maria est réveillée et vient nous
dire bonjour ! Elle s’est allongée contre ma chérie encore assoupie et la gratifie d’un gentil cunni pour lui souhaiter une bonne journée. Un ange cette Maria……. Et quelle coquine !


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