Je commence à la prendre entre
mes lèvres. Je passe ma langue sur le gland lisse et parfumé. Pour l’exciter davantage, je tire de la main
la peau vers la base du sexe, de façon à complètement décalotter le gland. La
peau fait une surépaisseur du côté gauche (pour moi) mais ça ne me gêne pas
pour l’instant : je me concentre à lécher le gland. Celui-ci se met à
enfler dans des proportions insoupçonnées au départ : un beau gros fruit
pulpeux… Je l’enfourne en entier pour le masser de ma langue coquine, et mes
lèvres commencent à descendre sur la peau, en franchissant le barrage du bourrelet
à la base du gland...
Je sens la bite qui enfle et
durcit. Elle devient grosse et surtout épaisse, elle m’emplit la bouche
entièrement d’une joue à l’autre ! Je renonce à la tenir dans ma main et
je pose mes deux mains à plat sur la paroi, le front appuyé sur le rebord
supérieur de la fente, en attendant que l’homme m’imprime son mouvement. Il
bouge en effet d’avant en arrière, dosant la poussée de ses hanches et
s’enfonçant un peu plus profondément à chaque mouvement. Il se place et se
replace pour trouver le meilleur angle et finit par réussir à me l’enfoncer
entièrement jusqu’à ce qu’il sente mon nez toucher son pubis et mes lèvres son
cockring et ses couilles…
Notre petit jeu attire du monde.
Deux ou trois nouvelles « suceuses » me rejoignent dans le tunnel, et
les trous adjacents se garnissent de nouvelles queues. Mais mes
« copines » sont des zapettes. Elles commencent à sucer puis
abandonnent, passent à une autre queue ou s’éclipsent. Ma voisine veut échanger
sa queue avec la mienne, je me laisse faire mais elle la trouve bien trop
grosse pour sa bouche !
Je me retrouve avec une queue
plus petite mais très dure et courbée vers le haut. Mes voisines veulent encore
zapper mais cette fois je ne lâche plus mon partenaire. D’ailleurs, les autres
suçaient tellement bien que les queues se débinent une par une, y compris la
grosse que je suçais auparavant ! Seul mon nouveau partenaire reste… Il
semble apprécier ma langue et les caresses de ma bouche !
Finalement du monde revient dans
le tunnel, des mains me frôlent, me caressent le dos ou me masturbent
mollement. Mais la queue courbée finit par se retirer… Je décide alors de
passer au jacuzzi. Quand je reviens, c’est encore calme mais je suis bientôt
rejoint par une autre suceuse, la serviette sur l’épaule… Toujours pas de
clients en vue. Finalement, le petit homme brun commence à venir me caresser.
Je me dis qu’après tout on peut s’amuser ensemble, à défaut d’autre chose. Je
le caresse aussi, mais il ne bande pas trop bien. Je m’agenouille donc devant
lui et j’entreprends de le sucer. Aussitôt il devient dur et se met à gémir de
plaisir.
Nous jouons ainsi un long moment et d’autres hommes passent et repassent. Finalement des queues réapparaissent dans les trous du mur. Nous cessons notre jeu et recommençons à sucer à travers le mur. Rapidement cependant, les sucés disparaissent de nouveau un à un. Je me retrouve avec une seule queue, et je la reconnais. C’est la grosse bite de tout à l’heure ! Je la reprends dans ma bouche et la remets en forme. La queue reprend toute son ampleur, le gland redevient très volumineux et son propriétaire me refait faire des gorges profondes en apnée. C’est vraiment ce qui semble lui plaire le plus.
Au bout d’un moment, l’homme se
retire lentement et fait le tour de la cloison par le couloir de gauche. Il
jette un coup d’œil vers moi dans le tunnel puis s’éloigne vers un coin câlin.
Mais avant que je réagisse un autre homme lui emboîte le pas et le rejoint à
l’intérieur. Je me décide à y aller : je les trouve en train de se
branloter l’un l’autre…. Mais l’intrus ressort de la cabine en me voyant
arriver. Je prends sa place, c’est moi que l’homme attendait. Il est debout,
statique, je m’agenouille devant lui et recommence à le sucer. Très vite il
redevient dur et se met à soupirer et même à commenter : « Ah oui, c’est bon… tu suces bien »
Il a laissé la porte de la cabine
ouverte. Du coin de l’œil gauche je distingue des silhouettes qui nous matent,
certains entrent même. Pour ma part, je suis dans la position d’une vraie
salope soumise : à quatre pattes en train de sucer la grosse bite de mon
homme en gorge profonde, la croupe relevée et le dos cambré, offrant à nos
visiteurs une vue imprenable sur mon petit trou et mes couilles enserrées dans
mon cockring en cuir noir.
Mon partenaire a levé sa jambe
gauche qu’il appuie sur le matelas haut de la cabine. De cette façon je peux
m’insinuer un peu plus loin sous lui, le sucer bien à fond, tandis qu’il se
penche en avant sur moi et commence à me doigter l’anus avec son majeur. Il se
redresse ensuite pour que le suce un moment pendant qu’il se tient vertical puis
recommence son jeu, en enfonçant toujours plus profond son doigt mouillé de
salive dans mon intimité. Je finis par gémir la bouche pleine en sentant son
long doigt s’enfoncer entièrement dans mon cul en même temps qu’il m’enfonce sa
bite dans la bouche jusqu’à la garde. Il arrive à me prendre en DP à lui
seul ! Je bande dur comme un âne…
Au final il se redresse et
s’installe de côté sur le matelas. Je m’installe le long de son corps et je le
reprends dans ma bouche. Des ombres entrent et nous regardent… Puis il pivote
un peu pour passer par-dessus moi et se pencher vers mon entre-jambes. A aucun
moment toutefois il ne joue avec mon sexe, en revanche il se remet à me doigter
l’anus vigoureusement. Encore de la DP… j’en profite pour faire de même avec
lui. Malheureusement, si le fait d’avoir la bouche bien pleine d’une bite dure
et goûtue me fait indéniablement bander, il n’en va pas de même pour la
pénétration anale qui, au contraire, me fait plutôt débander.
Un autre type, plutôt jeune et au
crâne rasé, est entré et semble vouloir se joindre à nous. Comme je suis sous
mon amant, sa queue toujours en bouche et allongé presque sur le dos, j’offre
au regard du nouveau venu mes parties génitales sans protection. Le jeune homme
s’en empare et commence à me caresser, puis à me sucer. Il suce pas mal, je me
mets à bander de sentir sa bouche chaude aller et venir sur ma queue tandis que
je mâche la grosse bite dans ma bouche sans discontinuer. Délicieux
moment !
L’homme à la grosse bite finit
par se retirer et s’en aller. Je reste avec le jeune homme qui monte à son tour
sur le matelas. Il semble avoir envie que je m’occupe de lui… je me mets à le sucer
à son tour : il a une queue plus petite que le précédent, avec un gland en
forme de champignon. Il est aussi beaucoup plus sensible et réagit énormément à
mes caresses buccales.
Nous faisons une pause et il me
demande s’il peut disposer de mon petit cul… Agréablement surpris, j’acquiesce
et l’équipe d’un préservatif extra strong pendant qu’il prend du lubrifiant. Je
me place ensuite debout, jambes écartées, à plat ventre sur le matelas et
l’homme se fraye un chemin dans ma raie, entre mes fesses que j’écarte de mes
deux mains. Il parvient rapidement à m’enfiler, je sens sa queue dure aller et
venir dans mon cul et me soutirer des gémissements de salope en rut. Pour accélérer
son mouvement il me saisit par les hanches et se met à ahaner en m’enculant de
plus belle. Au bout d’un moment il se retire, j’ai le sentiment qu’il a joui et
je m’allonge sur le matelas pour me reposer un peu.
Il me sourit et s’allonge lui
aussi un peu plus haut, me présentant sa bite à hauteur du visage. Interloqué,
je vois qu’il bande encore bien dur… et il a l’air sec. Je lui demande :
« Mais tu n’as pas
terminé ? » Il me sourit
en me disant que non, qu’il a juste pris un peu de plaisir. Je me vois donc
dans l’obligation de le sucer de nouveau. Il est encore plus sensible que tout
à l’heure et donne des coups de boutoir pour enfourner sa queue entièrement
dans ma bouche. « Ah, tu suces
bien, c’est bon… » me dit-il puis il me signale qu’il va jouir. Je
m’écarte et il se termine à la main, éjaculant quelques perles sur son bas-ventre
pendant que je lui lèche les couilles.
En prenant congé, il m’explique
qu’il est venu avec sa femme et qu’elle est en train de jouer dans un autre
coin câlin avec un copain à eux… «
J’espère que tu ne t’es pas trop ennuyé » lui dis-je. « Pas le moins du monde, bien au
contraire ! » me répond-il en riant.
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