(suite du récit
précédent, Sophia raconte)
… Une fois Thierry disparu, ma
chérie dit qu’elle va aller se doucher.
Pour ma part, pas question de me déshabiller donc je me contente du Sopalin et
du gel hydro-alcoolique et je retourne dans les glory holes. Comme il y fait
sombre, pas besoin de refaire mon rouge à lèvres qui doit être complètement
vrillé…
Je reprends ma position dans le
couloir sombre devant les 4 fentes du mur. Il y a du passage mais rien de très
décisif. La petite trav blonde passe à plusieurs reprises mais ne reste pas.
Des hommes tournicotent mais ne s’arrêtent pas. Difficile de comprendre ce
qu’ils cherchent. J’en suce un ou deux qui, une fois bien mis en forme,
s’éclipsent à la recherche d’un(e) autre partenaire. Finalement, c’est une
queue de format modeste, mais décidée, qui s’arrête devant moi et je la suce
longuement avec beaucoup de plaisir partagé. Puis une autre apparaît dans le
trou à ma droite et je la saisis de la main tout en continuant de sucer la
première.
La nouvelle venue est beaucoup
plus imposante, bien longue et légèrement pointue, avec une petite courbure
vers sa gauche. La petite bite que je suce depuis un moment ramollit soudain…
j’essaie de regarder à travers la fente, lorsqu’elle se retire : il me
semble qu’elle a joui mais je n’en mettrais pas ma main à couper. Je me
concentre donc sur la queue courbe que je me mets à sucer.
Elle m’emplit beaucoup plus la
bouche, sans être étouffante cependant. Après l’avoir revêtue d’un préso goût
fraise, je la suce avec énergie, aspirant son gland puis la tétant sur toute sa
longueur. Je la sens enfler et durcir graduellement : des gargouillis la
parcourent de temps à autre…
Mais des ombres se faufilent
autour de moi. Des hommes seuls… Certains me regardent en train de sucer
l’homme, une main tente de s’insinuer sur ma droite vers mon tanga rouge. Un
homme se plante derrière moi et me caresse les épaules, je sens son sexe tout
dur contre mes fesses : il commence à aller et venir, ce petit jeu semble
l’exciter particulièrement et je ne peux pas dire grand-chose avec la bouche
pleine !
A un moment où la queue courbe de
mon partenaire se retire un peu, j’en profite pour faire la police derrière
moi. L’homme à la queue courbée fait le tour de la cloison et nous rejoint. Je
le découvre – un jeune homme au crâne rasé, avec un petit collier blanc autour
du cou – et je le reconnais car il porte mon préso à la fraise. Je lui demande
s’il souhaite que nous allions dans une cabine… car je suis un peu harcelé sur
mes arrières ! Il acquiesce et nous retournons dans le coin où nous étions
avec Thierry tout à l’heure.
Nous bouclons la porte derrière
nous mais nous n’occultons pas la vitre : les voyeurs pourront en
profiter… Mon ami – appelons-le Michael - s’installe sur le matelas et je lui
retire le préso fraise car il est tout ratatiné sur son sexe qui a complètement
débandé. J’en prépare un autre et je me remets à le sucer à genoux sur le
matelas. Rapidement il redevient dur, et montre des velléités de me caresser.
Je me rapproche de lui, sans cesser de le sucer, Michael me caresse à travers
mon tanga en satin rouge.
Je me redresse et lui demande
s’il a envie de me sucer, il me fait signe que oui. Je baisse mon tanga sur mes
chevilles et l’enlève, puis je me place en 69, à quatre pattes par-dessus lui.
Je reprends ma fellation sur son sexe courbé, son gland est un peu conique,
légèrement pointu mais volumineux. Il me prend lui aussi dans sa bouche, je
sens une chaleur humide et une langue coquine m’envelopper… Un délice.
Nous restons un long moment à
nous faire mutuellement plaisir de cette façon lorsque soudain des éclats de
voix se font entendre au rez-de-chaussée. Je tends l’oreille, je m’attends à
entendre chanter « happy birthday… »
mais non, rien. Cela étant, je me redresse et suggère à Michael de faire une
pause : il me semble qu’il doit y avoir du gâteau en bas ! Il sourit,
nous nous rhabillons et je redescends. Chaque fois que je descends le grand
escalier, j’ai l’impression de faire le spectacle en bas avec mes talons de 15
cm…
Je retrouve ma chérie sur la
banquette devant le coin fumeurs, assise à côté d’un homme musclé et bronzé :
un nommé Carlo. Nous faisons connaissance et ma miss va gentiment nous chercher
des cafés. Ma miss a rencontré Carlo dans la douche tout à l’heure. Elle se
sentait un peu harcelée par des hommes lourdingues qui voulaient la toucher…
Elle a identifié Carlo comme un type cool et respectueux et s’est donc
rapprochée de lui, ce qui a eu pour effet de disperser les autres ! C’est
assez étonnant et impressionnant de voir comment une femme supposée seule peut
être rapidement ennuyée, même dans un club libertin respectueux comme celui-ci.
Puis Carlo s’éclipse et nous
restons à deux, je prends ma miss dans mes bras.
Soudain, un groupe hétéroclite
d’une dizaine de personnes commence à remonter à l’étage : des femmes seules,
des hommes seuls, des travs… Je décide de remonter dans les glory holes pour
aller voir s’il y a de l’action. En fait, ils sont tous allés dans le grand
coin câlin en L avec des miroirs, où nous nous étions amusés la première fois
que nous étions venues au Container en 2012. L’accès est quasiment impossible,
il y a trop de monde ! Je suppose que c’est le début d’une partouze tous
azimuts mais comme je ne suis pas voyeuse je préfère retourner aux glory holes.
Je prépare mon équipement :
un ou deux présos pré-déballés que je mets dans mon soutien-gorge… Pratique les
vêtements féminins. Ca zappe encore beaucoup dans les glory holes jusqu’à ce
qu’apparaissent un type qui me semble nerveux, brusque… Il s’arrête à l’entrée
du couloir, me voit dans l’ombre et se précipite de l’autre côté de la cloison.
Il ôte immédiatement sa serviette blanche, ne prend même pas le temps de se
masturber en regardant le film de shemales et me présente de suite sa queue
déjà en érection dans l’une des fentes !
Je l’examine, la trouve pas
spécialement parfumée mais pas trop poilue non plus et pas trop grosse…
heureusement, comme nous allons le voir. Je choisis un préso fruité, l’emballe
et le prends dans ma bouche. Tout de suite, il se met à donner des coups de
boutoir sans discontinuer. Pas utile que je bouge la tête, c’est lui qui fait
tout le travail : tantôt il fait des va-et-vient sur un rythme assez
frénétique, tantôt il recule jusqu’au bord de mes lèvres, attend, puis me
fourre d’un coup toute sa bite dans la bouche en essayant d’aller le plus loin
possible. Une fois au fond, il se bloque quelques secondes puis recommence son
manège.
Par chance, il n’est pas trop
gros ni trop long, mais il me fait suffoquer plusieurs fois à cause du réservoir
du préso qui se colle sur ma luette. J’ai des réflexes incontrôlés de
déglutition qui me font verser des larmes. Je me dis qu’il ne doit pas souvent
se faire sucer par une femme car je pense qu’aucune n’apprécierait vraiment
cette façon de faire. J’ai souvent constaté que des hommes avaient en effet des
comportements sexuels plus brutaux avec les travs qu’avec les femmes, ça doit
faire partie du jeu pour eux…
Nous jouons ainsi un bon moment
jusqu’à ce que l’homme se retire et fasse brusquement le tour de la cloison. Je
le vois arriver vers moi, il s’arrête à 50 cm… Je le regarde de côté, je me
demande ce qu’il va faire : partir vers d’autres aventures ou continuer
avec moi ? Je me tourne vers lui, il me regarde sans rien dire, jambes
écartées, sexe dur dans sa main droite… le message est clair, il ne va pas
partir !
Je me mets donc à genoux sur le
sol et je recommence à le sucer Aussitôt il reprend son petit jeu d’avant, mais
cette fois en me prenant la tête à deux mains… Gulp ! il me force à lui
faire des gorges profondes et je ne profite plus de la cloison pour
« gérer » mes respirations… Ca devient parfois un peu difficile, il
faut vraiment avoir une envie de soumission pour continuer de jouer ainsi. Des
ombres vont et viennent autour de nous, d’autres types s’arrêtent pour nous
mater, j’entends les femmes seules hurler d’excitation et de plaisir dans les
autres coins câlins…
Finalement, l’homme s’arrête et se
retire sans avoir joui. Il recule, me regarde et me remercie… Puis il s’en va.
L’un des autres est passé de l’autre côté de la cloison. Quand je me relève, sa
queue frétille déjà, bien dure dans la fente centrale. Je m’y colle à nouveau
et je la prends dans ma bouche avec un joli préso noir au chocolat. Sa queue
est plus épaisse que la précédente et l’homme adopte quasi le même
comportement, en moins frénétique toutefois. De nouveau je subis dans ma bouche
les assauts de la bite à travers le mur…
Une deuxième bite apparaît à
droite mais j’ai aussi une autre suceuse qui est apparue : la trav blonde
avec une jolie tenue de soubrette noire et blanche. Elle se met à sucer
goulûment la nouvelle venue, je la regarde du coin de l’œil : elle a l’air
de savoir y faire. Rapidement l’homme qu’elle suce fait lui aussi le tour de la
cloison et la met à genoux pour se faire sucer. Puis il la relève et l’emmène
dans une cabine, sans doute pour la sodomiser…
Mon galant s’est mis à s’exciter
pour de bon, il donne de furieux coups de hanches contre la cloison qui bouge
dangereusement… Finalement, il se retire et fait lui aussi le tour : il
arrive devant moi, la bite en érection et cette fois je comprends instantanément
le message : je me mets à genoux et le reprends dans ma bouche.
L’homme recommence ses mouvements
excités en me tenant la tête lui aussi. Vu le nombre de gorges profondes et de
nausées que cela m’a occasionnées depuis tout à l’heure, je me dis que mon
maquillage doit être complètement détruit… Finalement l’homme rugit et se
bloque au fond de ma gorge : il jouit longuement puis se retire, le préso
rempli de crème blanche… Il me remercie et disparaît.
Je me retrouve seule, en vrac…
J’essaie de me recoiffer un peu, mon maquillage doit être mort. Je décide de
redescendre retrouver ma Caresse. De nouveau, ma descente d’escalier fait le
spectacle. Je trouve ma miss allongée sur la grande banquette en cuir noir,
dans les bras de Carlo, son protecteur. Le gâteau d’anniversaire est bien
arrivé mais il n’en reste déjà presque plus. Je parviens quand même à en saisir
une part avant de m’asseoir à côté d’elle.
Ma miss me raconte que les femmes
en couples et la petite trav brune très fine ont passé tout leur temps à se trémousser
sur la piste de danse depuis mon départ. A un moment, me dit-elle, ils ont
passé une chanson humoristique de Kenn’v : « Conte de fées » dont le refrain était :
J'préfère la fée "Lation"
La fée "Lation" c'est ma copine
Et quand elle passe à l'action
Elle me soulage où tu devines
La fée "Lation" c'est ma copine
Et quand elle passe à l'action
Elle me soulage où tu devines
Il commence à se faire tard, nous
songeons à rentrer. Mais le patron, nous voyant partir, nous propose un nouveau
verre de punch… pour rester encore un peu. Finalement, nous repartons après le
punch, il est déjà minuit et demi.
Je reste habillée en fille, avec
mes bottes et l’imperméable mais sans le pantalon, les cuisses gainées de
résille à l’air. Un épais brouillard est tombé sur Bordeaux, on sent que
l’automne arrive… La voiture n’est pas loin, 20 mn après nous sommes rentrées à
la maison et nous nous jetons dans notre lit confortable pour un gros dodo
reconstituant ! Cette nuit changement d’horaire et demain, grasse
matinée !
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