(suite du récit
précédent, Alpha raconte)
…Ma miss décide de déballer nos
petites affaires de notre sac à malices : nos amis ont en effet déjà
manifesté leur envie d’en savoir plus. Nous avons même soupçonné Florence
d’être plutôt émoustillée à l’idée des jeux de ligotage… Pour l’heure, comme
nous ne nous connaissons encore que très peu, c’est moi qui me dévoue pour
faire la victime. Ma miss me pare de mon collier de chien à clous et je revêts
mon cokring en cuir noir et métal : il impressionne beaucoup Pierre et
même Florence, inquiets de savoir si ça me fait mal. Puis ma miss m’allonge sur
un côté du lit et me ligote les chevilles au fer forgé du pied de lit, les
poignets à la tête du lit.
Je me retrouve ainsi étiré tout
en longueur sur le dos. Elle ajoute la corde dite de « karada de
couilles », celle qu’elle serre autour de mes testicules pour les tendre
ensuite au pied du lit. Puis les pinces japonaises sur les pointes de seins,
tendues par-dessous mon sexe avec une chaînette réglable. Elle décide de ne pas
me mettre le bâillon-boule car ma bouche pourrait s’avérer utile pendant les
jeux…
Je suis ainsi écartelé en
longueur sur le lit, offert à la vue de nos amis et des voyeurs qui défilent derrière
le fenestron. Ma chérie s’empresse de s’occuper de moi en me masturbant un peu
à la main puis en me faisant sa fellation diabolique que je connais bien. Elle
humecte abondamment mon gland avec sa bouche et le triture de sa langue experte
tandis que Florence fait de même avec Pierre.
Puis ma chérie me lâche et
m’abandonne en érection à la vue de tous. Elle propose à Florence de
« switcher »…. Aussitôt dit aussitôt fait. Elle l’aide néanmoins à
m’enfiler un de nos derniers présos au chocolat car Florence ne veut pas sucer
sans préso, à juste titre. Vu la dureté de mon membre excité, les deux femmes
n’ont aucun problème à lui dérouler le capuchon de latex parfumé, de couleur
chocolat. Mon sexe ressemble maintenant à celui d’un black TBM… !
Mais je ne peux guère m’agiter,
entravé que je suis de la tête aux pieds. Florence se régale en me dévisageant,
comme une gourmande qu’elle est : à voir ses yeux on dirait qu’elle est
sur le point de se jeter sur un gâteau d’anniversaire. Elle prend doucement mon
sexe en feu dans sa bouche suave et commence à me sucer délicatement. Elle est
très douée à ce jeu et m’expliquera ensuite qu’elle a une longue pratique de
gorge profonde avec son ancien mari. Elle parvient ainsi à gober le gland de
son partenaire jusque dans le début de son tube digestif et à le titiller ainsi
par des mouvements de sa gorge…. Impressionnant ! Il va falloir que
j’essaie aussi !
Pierre semble s’occuper à
merveille de ma Caresse si j’en juge par les soupirs et les gémissements que je
l’entends pousser. Il finit par la faire jouir plusieurs fois de ses doigts et
de sa bouche : il est lui aussi très doué, comme ma miss me l’expliquera
ensuite.
Florence me suce longuement, en
m’avalant de plus en plus profondément, ce qui me fait gémir de plaisir. Puis
elle va fureter de sa langue sur mes couilles et même un peu plus bas, vers mon
plug anal dont ma chérie m’a également équipé. A un moment, elle se redresse et
demande à ma miss si elle peut m’enfourcher. Avec l’assentiment de celle-ci –
je n’ai pas trop voix au chapitre ni moyen de résister à vrai dire – elle se
place à califourchon sur moi et s’empale sur toute la longueur de ma bite rigide.
Vu la façon dont elle s’est empalée quasiment d’un coup, je devine que sa
chatte est complètement trempée d’excitation.
Elle commence ses va-et-vient
délicieux sur mon membre, je sens sa fine toison pubienne venir me caresser le
bas-ventre. Rapidement je l’entends chanter de plaisir et elle jouit une
première fois en à peine une minute. Mais soudain, je vois Pierre arriver
derrière elle. Il a l’air très excité, la pousse à quatre pattes vers moi et
entreprend de la sodomiser – forcément, l’autre orifice est déjà occupé par ma
queue… Florence se penche vers moi et m’embrasse goulûment, pendant que Pierre
force son petit trou sans trop de difficulté.
Ma chérie en profite pour passer
derrière Pierre et lui faire un petit anulingus dont elle a le secret. Je suis
toujours dans l’incapacité de bouger, avec maintenant Florence couchée sur moi,
ses longs cheveux bruns me noyant le visage. En écartant un peu la tête
occasionnellement, je parviens à voir les yeux de Pierre qui me semble comme
fou : il est terriblement excité et se met à fourrager l’anus de sa belle
avec un vigueur incroyable. Presque au même instant j’entends Florence émettre
un râle de jouissance dans mon oreille, elle jouit violemment de se sentir
doublement pénétrée, par la queue de son homme et par la mienne. Je sens pour
ma part les couilles de Pierre venir battre à intervalles réguliers contre la
base de mon sexe. Il ne faut plus très longtemps à notre ami pour jouir à son
tour, il décharge violemment dans le cul de sa chérie qui retombe, pantelante,
couchée sur ma poitrine.
Ma miss est passée sur le côté et
m’a enlevé les pinces japonaises car elle trouvait qu’elles tiraient trop sur
mes tétons, avec les mouvements du bassin de Florence. Elle continue et me
détache petit à petit. Nos amis s’écartent un peu plus loin sur le matelas pour
se remettre de leurs émotions et je finis par me retrouver complètement libéré.
Nous nous câlinons un peu, pour nous détendre et discutons avec nos nouveaux
amis. Florence est très contente d’être parvenue à jouir en DP, c’est un
fantasme qui l’excite beaucoup et elle est heureuse d’avoir pu le réaliser.
Nous sortons du coin câlin pour aller nous rafraîchir au bar. Mais la soirée n’est
pas encore finie.
Florence a maintenant très envie
d’aller tester les glory holes. Nos amis ont eu peu souvent l’occasion de
sortir dans des clubs équipés de ces pièces avec des trous dans le mur et ils
avaient l’impression que les possibilités ainsi offertes n’étaient que très
rarement utilisées – sauf dans nos récits sur ce blog ! Nous leur confirmons qu’en effet, à part
nous, il est rare de voir les glory holes utilisés dans les clubs que nous
fréquentons. Mais ceux-ci, au Différent, reçoivent régulièrement notre visite
et nous avons déjà une « clientèle « d’habitués qui nous connaissent
– l’inverse n’étant pas toujours vrai.
Quand nous arrivons dans la pièce
à trous, nous trouvons un homme seul allongé sur le matelas… Ah, bonsoir… Nous
lui demandons s’il attend quelque chose ou quelqu’un. Il nous dit que non mais
que nous pouvons entrer quand même, du moment que lui peut rester. Nous fermons
la porte derrière nous cinq et je m’approche avec Florence des trous dans le
mur, en lui expliquant qu’elle doit « appâter » les prétendants en se
mettant assez près de la paroi.
L’homme seul se lance dans une
discussion avec ma chérie, dont il ressort qu’il est en fait complètement
hétéro – alors que ce coin câlin se trouve dans la partie bi du club. Il semble
espérer se faire sucer par une des deux femmes mais ma chérie lui explique que
ça ne va pas être possible : elle-même est fatiguée et n’en a pas envie,
quant à Florence elle est avec moi à guetter des queues dans les trous du mur.
Et justement en voici une première, bien dodue, que je saisis et masturbe sous les
yeux de notre amie.
Elle est belle et bien grosse,
comme d’ailleurs toutes celles que nous verrons passer ici ce soir. Je la
revêts d’un joli préso à la fraise et je me mets à la sucer avant de la prêter
à Florence. L’homme seul nous regarde d’un air médusé. Je l’entends continuer à
argumenter avec ma chérie…. qui lui redit que s’il veut se faire sucer il faut
qu’il sorte, fasse le tour de la pièce et vienne présenter sa queue dans un
glory hole ! L’homme proteste, presque scandalisé : « mais je ne veux pas me faire sucer par un
homme ! » « Ah, c’est le risque à prendre » lui
dit ma chérie, « tu vois, mon homme
et ma copine partagent toutes les queues qu’ils sucent… » et
franchement, cela nous sidère toujours que des hommes restent bloqués sur ce
sujet quand on sait combien il est délicieux de se faire sucer par une bouche
chaude et caressante, quelle qu’elle soit !
Stupidement, l’homme ne fera pas
ce que ma chérie lui recommande et il sortira du coin sans avoir participé à
rien. Pendant que Florence et moi suçons ardemment toutes les queues qui se
présentent (il y en aura 4 ou 5 en tout), Pierre vient derrière sa belle pour
la doigter et lui faire un anulingus. Il réussit à la faire jouir de nouveau ce
qui interrompt momentanément ses caresses buccales – je suis bien placé pour
comprendre combien il est difficile de rester concentré par les deux extrémités
à la fois !
Ma chérie décide quant à elle
d’ouvrir la porte de notre cabine, elle trouve que la chaleur animale accumulée
est trop insupportable, même avec le ventilo à fond. Elle reste néanmoins en
faction à la porte où elle voit passer pas mal de monde, dont un couple mixte
qui, fasciné, s’attardera à nous regarder, Florence et moi, sucer avidement les
belles bites érigées dans les glory holes. Au final, ma complice de fellation
parviendra tout de même à faire jouir l’un de nos partenaires à travers les
trous (moi pas, ils repartiront avant). Le jeune homme fera d’ailleurs le tour
de la pièce pour venir la remercier ensuite ! Un vrai gentleman.
Nous proposons d’aller nous
désaltérer au bar mais nos amis ont finalement envie de retourner faire un tour
au jacuzzi. Nous les laissons y aller mais nous les voyons peu après nous
rejoindre au bar : il y avait encore trop de monde dans l’eau et ils ne se
sont pas senti d’y replonger sans nous…
Au bout du compte, nous repassons
au vestiaire et nous rentrons pour une bonne nuit de repos bien méritée :
il est déjà presque 1h du matin…
(à suivre)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Nous adorons vos commentaires, alors n’hésitez pas à nous donner votre avis...