(Alpha raconte)
C’était la fin de nos vacances,
en juin. Nous étions peu sortis pendant notre séjour en Roussillon, juste deux
fois au Triton à Narbonne. C’est donc avec plaisir que nous avons décidé de
retourner au Différent ce dimanche.
Au moment de partir, Caresse se
fait rincer par une forte averse tandis que je l’attends déjà dans la voiture.
Le temps de gagner le quartier des Chartrons et le soleil est revenu… Qui plus
est nous trouvons une superbe place de parking à l’angle de la rue du
club : nickel, car se garer en ville avec le 4x4 ce n’était pas gagné
d’avance !
La patron est ravi de nous revoir
et nous fait remarquer que nous avons été longtemps absents. Nous lui
expliquons que nous revenons de vacances et, dans le feu de la discussion,
ramassons nos serviettes et gagnons le vestiaire… sans payer ! Je m’en
aperçois quand je commence à me déshabiller et le patron apparaît juste à ce moment
pour nous le signaler. Hilares, et avec nos plates excuses, nous lui réglons
notre dîme.
Petit café au bar, le club semble
calme. Nous décidons de zapper le jacuzzi et d’aller direct dans le coin des
glory holes. Petit coup d’œil en passant dans le jacu : je distingue un
groupe de 4 ou 5 personnes dans l’eau et deux ou trois hommes seuls dispersés
en embuscade autour. Pas grand-monde en effet.
Nous arrivons dans notre coin et
décidons de nous boucler à l’intérieur. Miss Caresse n’est pas en grande forme
et n’a pas très envie de coquiner aujourd’hui. Elle s’allonge et je commence à
lui faire un doux cunni sur son minou fraîchement épilé. Ma chérie monte dans
les tours, mais ça monte et ça descend, elle ne parvient pas à la jouissance. Soudain
elle avise une queue qui se présente dans le premier trou, le plus malcommode
car situé dans l’angle. Elle la saisit et me demande un préso qu’elle enfile
directement avant de me la confier.
Ma miss s’écarte pour aller se
reposer un peu plus loin des trous. Je commence à sucer cette bite pas trop
longue ni trop grosse mais bien dure. Son propriétaire semble motivé, il faut
dire qu’il a regardé par le trou et aperçu la frimousse de ma miss, il est donc
persuadé que c’est elle qui le suce. Nous jouons à deux un long moment, il se
pose clairement en maître du jeu car c’est lui qui décide de ses mouvements de
hanches, de la profondeur de sa pénétration et du rythme d’ensemble. Parfois,
il me taquine du bout du gland, sans aller plus loin, parfois il s’enfonce tout
au fond de ma bouche et se maintient ainsi pendant une bonne dizaine de
secondes. Je comprends que je dois me montrer plus actif quand il prend sa
queue dans sa main et me la fait tourner négligemment entre les lèvres. Je me
mets alors à le sucer consciencieusement, en allant et venant sur une bonne
longueur de sa hampe et, en général, il finit par me caler son engin tout au
fond de la bouche ensuite.
Au bout d’un moment, n’ayant
toujours pas joui, il commence à glisser ses doigts et à me titiller les lèvres
et le menton. Je n’aime pas trop ce genre de jeu, ça finit par me lasser. Je
l’abandonne et je viens me caler contre ma chérie allongée derrière moi. Nous
nous faisons un doux câlin et je lui explique la situation. Je ne m’en étais
pas aperçu mais ma miss avait aussi sucé une queue pendant ce temps-là. Elle
s’était placée dans le troisième trou mais l’homme avait souhaité entrer et ma
chérie a refusé. Il est donc parti.
Je demande à ma coquine de me
sucer et je me mets debout. Elle reste à genoux sur le matelas et me suce avec
amour et efficacité comme toujours. Pour amplifier ma stimulation, elle m’a
revêtu de mon cockring en cuir noir et de mes pinces de tétons reliées à mon
sexe. Je me mets à bander très fort et dur, ma miss me mène de ses lèvres au bord
de la jouissance.
C’est à ce moment qu’apparait une
nouvelle queue longue et dure dans le troisième trou, juste à côté de nous. Je
m’en saisis de la main gauche et ma Caresse en profite pour se reposer un peu.
Je m’agenouille à côté de la nouvelle bite et la prends en main. Mais à peine
ai-je effectué un ou deux allers-retours du poignet que je sens un jus chaud et
gluant poisser ma main et couler le long de mon avant-bras. Le type a éjaculé
en un temps record… Il avait dû se masturber longuement en nous regardant, il
n’a pas tenu la distance !
Ma miss me passe du papier
essuie-tout et des lingettes, il y a du ménage à faire. Plus de bite en vue, ma
Caresse se remet à me sucer mais très vite la position lui est inconfortable au
niveau des cervicales, elle préfère que je la prenne en levrette. Je reste
debout et elle se met à quatre pattes au bord du matelas. Sa chatte est trempée
et je m’y glisse comme dans du beurre. « Tu es gros…» gémit-elle… Pas étonnant, je suis excité depuis
le début de nos jeux et je bande comme un âne avec le cockring qui me serre la
base du sexe et les couilles : j’ai dû gagner une taille de sexe, de L à
XL.
Je la sens sur le point de jouir,
je dose mes mouvements tout en m’enfonçant entièrement dans son vagin. C’est à
ce moment qu’apparaît une nouvelle bite dans le glory hole du milieu. Elle a
l’air engageante mais bon, je suis occupé : je la laisse pour l’instant au
risque de la voir partir. Soudain ma chérie se met à crier de jouissance, elle
est ravagée par un puissant orgasme vaginal… puis s’écroule en avant, tandis
que je ressors mon braquemart encore tout dur et détrempé de sa mouille
abondante.
J’approche mon visage du trou
mais point de queue, juste une main qui caresse la mienne. Au bout de quelques
instants, je me dis que ce comportement peut signifier que l’homme de l’autre
côté ne cherche pas à se faire sucer mais plutôt à me sucer… J’introduis ma
queue encore en érection, mouillée et odorante, dans le quatrième trou, celui
où je peux rester debout : immédiatement je sens une main qui la prend
délicatement et une bouche qui se met à la sucer. Une main s’accroche au bord
du troisième trou et ma chérie s’en approche pour la caresser et se faire
caresser en même temps.
Je me suis plaqué contre la
paroi, les bras en l’air, me tenant de la main gauche à la tablette qui porte
le ventilateur et de la droite eu bord supérieur du troisième glory hole. J’ai
fait passer mes couilles de l’autre côté de la paroi pour pouvoir me plaquer
complètement contre elle. L’homme inconnu me suce avec efficacité, il me fait
monter dans les tours. Je le sens aller et venir sur toute la longueur de ma
queue avec ses lèvres et sa langue humide. Il me fait gémir de plaisir, parfois
me reprend un peu dans sa main puis m’enfourne à nouveau dans sa bouche suave.
Pour sa part, il doit se régaler avec le goût de chatte de ma miss que doit
avoir ma queue après avoir trempé dix minutes dans son vagin…
Au bout d’un long moment pendant
lequel il m’a amené au bord de la jouissance, l’homme se retire en arrière. Je
me penche pour regarder et m’aperçois qu’il vient de fourrer son sexe en
érection dans le trou par lequel il me suçait. Je lui rends donc la politesse
et commence à prendre sa bite longue et fine dans ma main puis dans ma bouche.
J’ai à peine entamé quelques va-et-vient que je sens un liquide chaud dans ma
bouche… Je me retire aussitôt et recrache tout par terre. J’ai eu l’impression
qu’il avait éjaculé dans ma bouche sans prévenir, mais je ne suis pas sûr qu’il
ne s’agisse pas seulement de mon abondante salive.
L’homme s’est retiré et a disparu
mais je suis assez inquiet. Je me rince du mieux possible, en repassant sous la
douche, il faudra que j’aille consulter sans tarder. Pour l’instant, nous
retournons dans le coin des glory holes. Ma miss donne des signes de fatigue,
elle s’allonge sur le matelas tandis qu’une nouvelle queue apparaît dans le
trou médian. C’est une queue de belle taille et je commence à m’en occuper mais
ce trou ne me convient pas au niveau confort : je passe mon bras par le
quatrième trou pour tapoter la cuisse de l’homme et lui signifier de plutôt
venir dans ce trou-ci. Il comprend parfaitement et se repositionne dans le
quatrième trou.
Je le reprends dans ma bouche
mais l’homme se retire au bout de quelques instants et présente son visage dans
le trou. Je comprends que lui aussi veut me sucer et je lui présente ma bite
dans son cockring en cuir. Je fais aussi passer mes couilles de l’autre côté et
je m’accroche aux deux glory holes sur ma droite et ma gauche. L’homme me suce
très bien et me refait bander très dur. Je sens alors sur ma main droite la
chaleur douce d’un corps lisse. Je pense d’abord que c’est le bas-ventre d’une
femme, comme cela nous était arrivé la dernière fois, et mes doigts glissent
dessus à la recherche d’un clitoris et des lèvres féminines. Mais non, je ne
trouve rien, une zone certes un peu plus velue, mais rien de féminin.
Finalement mes doigts découvrent une raie entre deux fesses et un petit trou
humide…
Je comprends que c’est mon
partenaire, qui continue à me sucer sans discontinuer, et désire que je lui
doigte l’anus en même temps. Je me tourne vers ma miss pour qu’elle vienne
m’aider mais je l’entends ronfler doucement sur le matelas.. Pas d’aide de ce
côté, il va falloir que je m’en occupe moi-même. L’homme m’aide en écartant ses
fesses, et je n’ai aucun mal à lui introduire mon majeur droit, même si ma
position est un peu vrillée car j’ai encore ma bite dans sa bouche. Nous jouons
ainsi un long moment et j’hésite à le faire entrer pour que nous ayons une
position plus confortable. J’aurais peut-être dû mais je me suis dit que s’il
appréciait les glory holes c’était peut-être pour rester incognito.
Au bout d’un moment, la position
doit être encore plus inconfortable pour lui que pour moi. Il s’écarte, cesse
de me sucer et me présente ses fesses dans le trou en face de moi. Le message
est clair, il veut que je le sodomise… Malheureusement, ma miss dort toujours
et, le temps que je trouve un préservatif, que je l’ouvre, que je prenne du
lubrifiant…. j’ai fortement débandé et je ne parviens pas à m’équiper ! Ma
miss se réveille à cet instant et me trouve ne train d’enfiler un préso tout en
me masturbant pour me redonner de la vigueur. Je lui explique la situation et
elle m’observe amusée, en me voyant reprendre tout mon ampleur : « Mmmm, tu te masturbes bien, tu es gros….. »
mais l’homme s’est éclipsé ! Je n’ai plus qu’à faire profiter ma chérie de
cette érection revenue un peu tard.
Je la reprends en levrette sur le bord du matelas et rapidement je la fais jouir à nouveau. Ses cris de plaisir ont attiré des spectateurs, je retrouve une queue dans le quatrième trou. Je laisse ma chérie et vient détailler la nouvelle venue : je la connais, c’est une grosse bite que j’ai déjà sucé moultes fois. Son propriétaire bande plutôt mou, ne bouge pas du tout et ne jouit jamais.
Je la prends dans ma main droite
pour la mettre un peu en forme, puis dans ma bouche sans préso. Je me dis que
je devrai de toute façon faire un test demain à cause de l’avant-dernier que je
soupçonne avoir joui dans ma bouche et celle-ci, ce toute façon, ne jouit pas…
En effet, après une érection de moyenne qualité, la grosse bite ramollit un peu
– grand bien me fasse car vu sa taille j’aurais du mal s’il bandait
complètement, même molle il me remplit bien la bouche ! Ma chérie s’est
réinstallée en back-office sur le matelas pour profiter du spectacle. Je me
masturbe de la main droite tout en suçant la grosse queue et en lui serrant les
couilles dans la main gauche. Il ne me faut plus longtemps pour que j’éjacule
dans ma main, je sens mon sperme couler entre mes doigts et sur mes cuisses. Il
va falloir faire le ménage de nouveau car je transpire aussi à grosses gouttes
et j’ai beaucoup bavé sur mes jambes et sur le sol…
Nous rangeons nos petites
affaires, nettoyons le coin câlin et décidons de rentrer à la maison.
Une après-midi d’émotions fortes, et encore une belle
collection de queues malgré un départ un peu mou.
Encore une super histoire bien excitante.
RépondreSupprimerQuel dommage que tout ça va bientôt s'arrêter. Sniffff !
Bonne continuation pour vos sorties libertines
Philippe
Ne sanglote pas trop, toute l'année 2017 est déjà programmée, au même rythme qu'auparavant... ;-)
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