(Alpha raconte)
C’est un weekend pluvieux et
triste de début janvier, nous avons passé pas mal de temps à finaliser notre
premier livre mis en ligne sur Amazon en début d’après-midi ! Nous avons
mérité d’aller nous détendre dans notre club libertin favori.
Miss en a envie depuis que le
stress que lui a donné la publication est retombé à zéro. Cela dit, elle n’est
toujours pas en grande forme, ses « scrongneugneu »
ne la lâchent pas et elle reste anémiée, carencée en oligoéléments. Pour ne
rien arranger, elle a voulu s’épiler le minou sous la douche et s’est fortement
irrité la chatte avec l’épilateur… Biafine est son amie depuis deux
jours !
Nous arrivons sans encombres dans
la rue du club sous une pluie battante. Comme nous arrivons plus tard que
d’habitude, le stationnement n’a pas l’air simple… Et un break immatriculé dans
les Landes me grille la politesse au carrefour pour s’enquiller dans la rue du
club en ayant l’air de chercher à se garer !! Grrr… ma miss me dit que je
n’aurais pas dû le laisser passer. Mais j’ai mes raisons : j’avais vu,
incongru, posé à cheval sur le trottoir et la chaussée de la rue étroite du
club, un vieux canapé en simili cuir marron clair : manifestement je ne
pouvais pas passer avec la voiture sans le déplacer. Mais ayant laissé passer
l’autre voiture devant nous, c’est l’un de ses passagers qui a dû se dévouer
pour sortir sous la pluie battante hisser le canapé sur le trottoir…
Hilares, nous le remercions d’un signe à travers le pare-brise !
La voiture devant cherche en
effet à se garer mais elle n’ose pas se mettre à cheval sur le trottoir de la
petite rue perpendiculaire car ce n’est pas clairement autorisé et ils ne sont
manifestement pas du coin. Nous, nous savons que c’est la pratique courante
ici, nous prenons donc cette belle place sans sourciller.
Nous sommes ainsi à deux pas du
club et la pluie s’est atténuée. Nous arrivons au guichet et avisons la jeune
Anabelle qui nous ouvre. Nous trouvons pas mal de monde à l’intérieur, accoudés
au bar, et les plateaux viennent d’être rechargés en sucreries…
Du monde aussi dans le vestiaire
des couples… Nous nous changeons, je m’équipe tout de suite de mon précieux
cockring en cuir noir, puis nous passons prendre un café et décidons d’aller
directement aux glory holes sans passer par le jacuzzi. Oops, la cabine des
glory holes est fermée à clef ! Nous faisons le tour pour regarder par les
trous… Il y a du monde dans le couloir obscur et étroit, ma miss a du succès à
frôler tous les hommes seuls qui s’y bousculent…
Je réussis à me faufiler derrière
trois hommes seuls qui matent à travers les trois premiers trous et j’atteins
le quatrième (mon préféré quand je suce de l’autre côté…). Je jette un œil à
l’intérieur : un couple de trentenaires s’envoie en l’air mais
manifestement la jeune femme ne s’intéresse pas du tout aux glory holes, elle
ne suce personne… Quel gâchis ! Au moins je me dis que nous aurons notre
chance quand nous y reviendrons tout à l’heure…
Je ressors du tunnel tout noir,
vois un couple s’installer dans le coin câlin aux grands miroirs mais je ne
trouve plus ma miss dans la pénombre. Soudain, je l’entends qui m’appelle du
côté de la DS. Je m’approche et la trouve debout à la portière avant droite, me
disant que nous avons un partenaire potentiel à l’intérieur. Je regarde et vois
un jeune homme souriant, allongé sur le dos, avec une belle érection… « Il s’appelle Daniel et il est bi »
me dit-elle.
Nous entrons dans la berline avec
lui. Ma miss prend illico la « chose » en main pendant que je m’installe
sur le matelas à côté de Daniel, accoudé à la portière arrière droite.
Rapidement, ma chérie sort un préservatif de notre sac à malices et me demande
de continuer la stimulation de notre nouvel ami. J’empoigne la grosse queue de Daniel,
le gonze est sacrément membré malgré sa carrure plutôt chétive : un bon 8 pouces et surtout une
belle épaisseur… Un engin comme je les adore !
Ma miss commence ensuite une
fellation sur ce pieu démesuré mais très vite, je m’en doutais, elle déclare
que c’est trop gros pour elle, c’est plutôt ma spécialité. Elle vante
d’ailleurs mes mérites à Daniel en me présentant comme « le roi de la pipe »… Mmmm, c’est
flatteur même si mon véritable titre est plutôt celui de « reine de la pipe » quand je suis en
Sophia.
Je me place entre les cuisses de Daniel
et embouche son gros gland entre mes lèvres. Il est vraiment énorme et
délicieux, j’entame un bon va-et-vient le long de son braquemart : il
m’emplit toute la bouche en largeur, j’en ai les bajoues gonflées ! Et je
parviens seulement avec un peu de difficulté à l’avaler jusqu’à la garde…
Gloup, pas facile mais c’est bon, et le plus dur c’est la première fois, après
ca glisse mieux.
Nous avons toute une troupe de
voyeurs agglutinés aux portières de la DS, hommes seuls et couples. Ma miss est
venue me prêter assistance en suçant les coucougnettes de notre ami, ce qui le
fait grimper aux rideaux et aussi dans l’échelle de la dureté. Un couple, une
femme blonde et un homme aux cheveux ras grisonnants, semble avoir des
velléités de nous rejoindre par la portière avant gauche. Ma miss leur dit
d’entrer, plus on est de fous plus on rit… Monsieur s’engage le premier sur le
côté gauche de Daniel et madame le suit en restant sur la banquette côté
conducteur.
L’homme semble surtout intéressé
par les seins de ma miss, pour le reste elle a judicieusement gardé son paréo
car elle ne veut pas qu’on la touche en bas. La femme blonde se met à sucer son
compagnon qui bandait déjà en arrivant et l’homme essaie de peloter ma chérie.
Du coup, je me retrouve à sucer Daniel seul, pendant que celui-ci me caresse
doucement le sexe encagé dans le cockring en cuir. Très vite, l’homme suggère
de passer dans une cabine car la température monte vite à cinq dans l’habitacle
exigu de la voiture. Mais nous ne semblons pas empressés de donner
suite : l’homme repousse alors sa
femme dehors et sort à sa suite.
Daniel se redresse et commence à
caresser ma miss en disant qu’il est chaud comme la braise et a envie de la
prendre. Elle lui répond que ce n’est pas possible mais qu’il peut me sodomiser
s’il en a envie. Il préfère s’abstenir, remercie et sort lui aussi de la
voiture.
Finalement, nous restons seuls, même
les spectateurs sont partis. Qu’à cela
ne tienne, ma miss me fait bénéficier de l’agréable fellation diaboliquement
efficace qu’elle avait commencée sur Daniel et qui me fait bander comme un taureau. Plusieurs
hommes seuls tournicotent autour de la voiture mais ils repartent quand ma
chérie leur dit que « les hommes
c’est pour monsieur… »
Sauf un, qui s’approche debout de
la vitre arrière droite, le sexe en érection déjà emballé dans un préso
transparent. Ma miss m’enjoint de le
sucer, sans interrompre pour autant sa diabolique fellation sur moi. Je me
tourne vers l’homme et embouche son sexe, de dimensions raisonnables. Je le
serre à la base entre mes doigts et je le sens très dur, l’homme apprécie
manifestement cette caresse.
Ma miss soudain s’interrompt et
je la vois sortir de la voiture. Elle passe derrière l’homme et se met à lui
caresser le dos. Etonnamment, je l’entends murmurer : « Ouiii, je vais jouir, je vais jouir… »
et il me demande de le masturber plus fort, tout en le gardant dans ma bouche.
J’obtempère, accoudé à la portière et je sens d’un seul coup le sexe viril
juter puissamment entre mes lèvres… Je me recule un peu, le préso est rempli de
foutre blanchâtre. L’homme recule à son tour, remercie et disparaît.
Ma miss revient dans la DS et se
remet à me sucer jusqu’à ce qu’un nouveau groupe arrive, à la suite d’une femme
d’un certain âge, complètement nue, qui déclare en nous voyant dans la
DS : « Ah ben, c’est bien,
pour une fois que cette voiture est utilisée ! »… Nous lui
faisons un signe mais ni elle ni sa suite ne nous rejoignent pour autant. Après
une traversée rapide du coin obscur, nous les voyons ressortir et repartir
comme ils sont venus vers l’autre partie du club. Les gens nous semblent
parfois un peu incompréhensibles…
Je me suis décalé vers la partie
gauche de la banquette arrière, le meilleur endroit car on voit bien arriver les
nouveaux venus des deux côtés de la voiture. Ma chérie me suce encore jusqu’à
me faire presque jouir, en me pinçant un peu les tétons et en me tirant
fortement sur les couilles. Mais plus personne en vue… je lui propose d’aller voir maintenant si les
glory holes ont été libérés…
(à suivre, fin de la première partie)
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