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Sur ce blog nous racontons notre vie de libertins. Nos récits parlent de nos sorties et de notre vision du libertinage... Les lieux et endroits sont "améliorés", les repas "enrichis", l'histoire est parfois romancée afin que toute ressemblance avec la réalité ne puisse qu'être fortuite. Bonne lecture.
Caresse et Alpha
On this blog we are unveiling our swinger lifestyle. Our stories tell about our swinger parties and develop our vision of this particular way of life.
Places and meals are sometimes "improved", names are changed and the story itself may be "adapted" or even fully invented...
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Caresse (she) and Alpha (him)

dimanche 10 avril 2016

Road-trip autour de Toulouse (1/2)


(Alpha raconte)

Pour le pont de l’Assomption, nous avons décidé de nous faire un programme éclectique tournant autour de deux concerts publics d’un groupe dont nous sommes fans. Nous avions leurs dates et c’était celles du weekend du 15 août qui nous convenaient le mieux : une première date le 15 même aux confins de la Haute-Garonne et de l’Ariège, puis une autre deux jours plus tard, le samedi 17, à Rabastens dans le Tarn.

Nous avions évité les grands axes de circulation et préféré les chemins de traverse… Une petite halte gastronomique et récréative à Belvès, dans le Périgord Noir, augurait bien de ce weekend de détente ! Ma chérie s’endormit dans la voiture, bercée par les virages entre Villefranche-du-Périgord et Cahors… Peu de monde sur l’A20, nous atteignîmes notre fabuleux B&B juste à temps pour piquer une tête dans la grande piscine du parc, avant de gagner la place du village où se déroulait la fête attendue.

Rentrés à 1 heure du matin, nous nous octroyons une bonne grasse matinée dans le calme de la campagne ariégeoise, puis un solide petit déjeuner avec nos hôtes. Nous avons renoncé à aller faire nos provisions au marché de Muret, nous filons donc directement sur Toulouse, ma miss a envie de sushis…

Bien évidemment, le 72 étant à deux pas du restaurant japonais, quoi de plus normal que d’aller y trouver de la fraîcheur et de l’ombre alors que l’après-midi toulousain s’annonce une nouvelle fois accablant de chaleur ? Nous avions réalisé, il y a plusieurs années, qu’un jacuzzi libertin à l’ombre est en effet un bon plan pour se rafraîchir en été, étonnant non ?

La rue du 72 est quasi-vide, pas de surprise nous sommes le 16 août. C’est Sébastien qui nous accueille, heureux de nous voir semble-t-il car la fréquentation est basse… Nous passons au bar prendre le café que nous avons omis au restaurant japonais puis direction le jacuzzi. Pas grand-monde en effet, un couple et deux hommes seuls… Sébastien nous rejoint alors que nous sommes déjà dans le bassin et plonge sa main derrière nos fesses pour placer une sorte de bouchon. Intrigués nous lui demandons ce qu’il fait : c’est un filtre qu’il replace sur une bouche aspirante, mais il me dit que je peux aussi, si je préfère, y mettre ma queue, effet garanti !!

Vu le peu d’action dans le jacuzzi – les hommes seuls semblent en hibernation – je me demande en effet si ce n’est pas ce que je vais faire ! Non, finalement nous préférons aller dans le coin des glory holes, qui sait, peut-être une queue en déshérence viendra-t-elle tenter sa chance dans l’un des trous ?

Nous passons un bon moment à nous câliner sans rien voir arriver. Mais ma chérie ne veut plus attendre, ça fait plusieurs jours que nous n’avons pas eu le temps de faire l’amour avec nos rythmes de vie trépidants ! Elle décide de me ligoter comme à la maison, sur la tranche droite, pieds et poings liés, collier de chien, bâillon-boule, cockring et pinces de seins… Après m’avoir goulûment sucé pour me mettre en forme, elle ne peut résister à l’envie de s’empaler en cuillères sur ma queue énorme.

C’est alors qu’apparaît, dans le trou devant elle, une grosse queue un peu molle, quelle aubaine ! Ma miss la prend dans sa menotte et la masturbe pendant que je continue de la prendre par-derrière. Entravé comme je le suis, je ne peux guère bouger que mon bassin d’avant en arrière, mais c’est amplement suffisant pour lui déclencher un premier orgasme vaginal qui apparemment excite davantage l’homme qu’elle tient dans sa main.

L’homme bande ferme maintenant, sa bite est grosse et dure et ma chérie cherche de sa main libre notre pochette à préservatifs : elle équipe le membre en érection d’un joli tube en latex transparent qu’elle a un peu de mal à dérouler sur toute sa longueur tant ce braquemart est gros. Elle le prend dans sa bouche sans avoir à aucun moment cessé de remuer ses hanches autour de ma propre queue, tendue à se rompre.

Je me demande si elle ne va pas être tentée de faire entrer l’homme, en fait je n’ai pas tellement voix au chapitre avec le bâillon-boule bien serré dans ma bouche. Mais elle ne semble pas intéressée, plusieurs fois elle sort la queue de sa bouche et se remet à la masturber à la main. Elle regarde aussi dans le trou voisin, sur sa gauche, il y a apparemment un autre candidat… Elle m’expliquera ensuite qu’elle avait vu le nouveau venu tenter de caresser la grosse queue du type qu’elle suçait, ce qui lui a fait penser qu’il devait être bi, à la différence du premier qui continue de bander comme un taureau.

Elle ne tarde d’ailleurs pas à l’achever, l’homme rugit sourdement et éjacule à longs traits dans le préservatif qui se remplit de sa semence blanche. Ma miss le lâche aussitôt et se présente à l’autre trou en demandant : « tu veux entrer ? »  Je suis très surpris car elle n’a pas encore joué avec l’homme et bien sûr j’ignore le petit jeu qui s’est produit quelques minutes auparavant. Elle se lève et va lui ouvrir la porte.

Un homme d’une quarantaine d’années entre et se présente : Jean-Paul, il constate avec amusement mon état de soumis ligoté tandis que ma chérie lui explique que c’est un petit jeu que nous affectionnons. Cela ne semble aucunement rebuter Jean-Paul qui monte sur le matelas à genoux devant ma Caresse qui saisit sa queue et se met à le sucer. A ce moment, je suis spectateur passif de leur duo mais aussi offert à leurs regards, ma bite dressée bien dure dans le cockring en cuir qui l’enserre, je ne risque pas de débander après le traitement que m’a fait délicieusement subir ma chérie…

Jean-Paul s’intéresse d’ailleurs à ma queue, il la prend dans sa main droite, semble l’évaluer et la masturbe doucement pendant que ma miss suce ardemment la sienne. Mais elle se redresse et lui dit qu’elle n’aime pas que je m’ennuie, aussi lui propose-t-elle de me donner sa queue à sucer ! Aussitôt dit, aussitôt fait, Jean-Paul s’avance à genoux et vient me fourrer sa bite en érection sous le nez, tandis que ma chérie fait glisser mon bâillon-boule vers le bas. Jean-Paul avance encore et prend possession de ma bouche avec son braquemart turgescent auquel il imprime un mouvement d’avant en arrière.

Ma chérie s’est glissée derrière lui et vient lui titiller les couilles en passant sa petite main entre les cuisses de l’homme. Jean-Paul est disert :
Ouh, il suce bien… ! 
- Oui, c’est une bonne suceuse, lui répond-elle
- Aaaah, c’est dur… !!
Il n’a pas le temps d’achever sa phrase qu’il éjacule puissamment dans ma bouche, y reste encore un moment puis se retire. Il voulait sans doute dire que c’était dur de résister, et en effet il n’a pas tenu longtemps, moins de deux minutes en tout ! Ma miss lui confirme que nous sommes redoutables quand nous nous y mettons à deux…

Jean-Paul s’excuse d’avoir joui si vite, mais franchement cela ne nous dérange pas, l’essentiel est de s’amuser et de prendre du plaisir ensemble. Il s’éclipse vers la douche et nous reprenons nos jeux à deux. Mais nous avons piqué une suée, il est difficile de s’y remettre : retour au bar puis dans le jacuzzi !

Devant le peu d’action et malgré la fatigue naissante, je fais valoir à ma chérie que nous n’aurons pas beaucoup de temps à nous ce soir encore et qu’il vaudrait mieux retourner jouer dans le coin câlin… Il est vrai que nous n’en pouvons plus, les câlins nous manquent depuis trois jours !

Cette fois nous n’allons pas dans les glory holes mais dans une alcôve au fond du coin couples. Au autre couple est dans l’alcôve voisine mais ils partiront 5 mn après notre arrivée. Nous en profitons donc pour nous faire un long câlin à deux, comme nous aimons, et nous atteindrons ainsi un délicieux orgasme à deux. Le manque des derniers jours ? L’ambiance du 72 après une longue absence ? Un plaisir très intense qui ne s’explique pas, mais se savoure !


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