(Alpha raconte)
Pour le pont de l’Assomption,
nous avons décidé de nous faire un programme éclectique tournant autour de deux
concerts publics d’un groupe dont nous sommes fans. Nous avions leurs dates et
c’était celles du weekend du 15 août qui nous convenaient le mieux : une
première date le 15 même aux confins de la Haute-Garonne et de l’Ariège, puis une
autre deux jours plus tard, le samedi 17, à Rabastens dans le Tarn.
Nous avions évité les grands axes
de circulation et préféré les chemins de traverse… Une petite halte
gastronomique et récréative à Belvès, dans le Périgord Noir, augurait bien de
ce weekend de détente ! Ma chérie s’endormit dans la voiture, bercée par
les virages entre Villefranche-du-Périgord et Cahors… Peu de monde sur l’A20,
nous atteignîmes notre fabuleux B&B juste à temps pour piquer une tête dans
la grande piscine du parc, avant de gagner la place du village où se déroulait
la fête attendue.
Rentrés à 1 heure du matin, nous
nous octroyons une bonne grasse matinée dans le calme de la campagne
ariégeoise, puis un solide petit déjeuner avec nos hôtes. Nous avons renoncé à
aller faire nos provisions au marché de Muret, nous filons donc directement sur
Toulouse, ma miss a envie de sushis…
Bien évidemment, le 72 étant à
deux pas du restaurant japonais, quoi de plus normal que d’aller y trouver de
la fraîcheur et de l’ombre alors que l’après-midi toulousain s’annonce une
nouvelle fois accablant de chaleur ? Nous avions réalisé, il y a plusieurs
années, qu’un jacuzzi libertin à l’ombre est en effet un bon plan pour se
rafraîchir en été, étonnant non ?
La rue du 72 est quasi-vide, pas
de surprise nous sommes le 16 août. C’est Sébastien qui nous accueille, heureux
de nous voir semble-t-il car la fréquentation est basse… Nous passons au bar
prendre le café que nous avons omis au restaurant japonais puis direction le
jacuzzi. Pas grand-monde en effet, un couple et deux hommes seuls… Sébastien
nous rejoint alors que nous sommes déjà dans le bassin et plonge sa main
derrière nos fesses pour placer une sorte de bouchon. Intrigués nous lui
demandons ce qu’il fait : c’est un filtre qu’il replace sur une bouche
aspirante, mais il me dit que je peux aussi, si je préfère, y mettre ma queue,
effet garanti !!
Vu le peu d’action dans le
jacuzzi – les hommes seuls semblent en hibernation – je me demande en effet si
ce n’est pas ce que je vais faire ! Non, finalement nous préférons aller
dans le coin des glory holes, qui sait, peut-être une queue en déshérence
viendra-t-elle tenter sa chance dans l’un des trous ?
Nous passons un bon moment à nous
câliner sans rien voir arriver. Mais ma chérie ne veut plus attendre, ça fait
plusieurs jours que nous n’avons pas eu le temps de faire l’amour avec nos
rythmes de vie trépidants ! Elle décide de me ligoter comme à la maison,
sur la tranche droite, pieds et poings liés, collier de chien, bâillon-boule,
cockring et pinces de seins… Après m’avoir goulûment sucé pour me mettre en
forme, elle ne peut résister à l’envie de s’empaler en cuillères sur ma queue
énorme.
C’est alors qu’apparaît, dans le
trou devant elle, une grosse queue un peu molle, quelle aubaine ! Ma miss
la prend dans sa menotte et la masturbe pendant que je continue de la prendre
par-derrière. Entravé comme je le suis, je ne peux guère bouger que mon bassin
d’avant en arrière, mais c’est amplement suffisant pour lui déclencher un
premier orgasme vaginal qui apparemment excite davantage l’homme qu’elle tient
dans sa main.
L’homme bande ferme maintenant,
sa bite est grosse et dure et ma chérie cherche de sa main libre notre pochette
à préservatifs : elle équipe le membre en érection d’un joli tube en latex
transparent qu’elle a un peu de mal à dérouler sur toute sa longueur tant ce
braquemart est gros. Elle le prend dans sa bouche sans avoir à aucun moment
cessé de remuer ses hanches autour de ma propre queue, tendue à se rompre.
Je me demande si elle ne va pas
être tentée de faire entrer l’homme, en fait je n’ai pas tellement voix au
chapitre avec le bâillon-boule bien serré dans ma bouche. Mais elle ne semble
pas intéressée, plusieurs fois elle sort la queue de sa bouche et se remet à la
masturber à la main. Elle regarde aussi dans le trou voisin, sur sa gauche, il
y a apparemment un autre candidat… Elle m’expliquera ensuite qu’elle avait vu le
nouveau venu tenter de caresser la grosse queue du type qu’elle suçait, ce qui
lui a fait penser qu’il devait être bi, à la différence du premier qui continue
de bander comme un taureau.
Elle ne tarde d’ailleurs pas à
l’achever, l’homme rugit sourdement et éjacule à longs traits dans le
préservatif qui se remplit de sa semence blanche. Ma miss le lâche aussitôt et
se présente à l’autre trou en demandant : « tu veux entrer ? »
Je suis très surpris car elle n’a pas encore joué avec l’homme et bien
sûr j’ignore le petit jeu qui s’est produit quelques minutes auparavant. Elle
se lève et va lui ouvrir la porte.
Un homme d’une quarantaine
d’années entre et se présente : Jean-Paul, il constate avec amusement mon
état de soumis ligoté tandis que ma chérie lui explique que c’est un petit jeu
que nous affectionnons. Cela ne semble aucunement rebuter Jean-Paul qui monte
sur le matelas à genoux devant ma Caresse qui saisit sa queue et se met à le
sucer. A ce moment, je suis spectateur passif de leur duo mais aussi offert à
leurs regards, ma bite dressée bien dure dans le cockring en cuir qui
l’enserre, je ne risque pas de débander après le traitement que m’a fait
délicieusement subir ma chérie…
Jean-Paul s’intéresse d’ailleurs
à ma queue, il la prend dans sa main droite, semble l’évaluer et la masturbe
doucement pendant que ma miss suce ardemment la sienne. Mais elle se redresse
et lui dit qu’elle n’aime pas que je m’ennuie, aussi lui propose-t-elle de me
donner sa queue à sucer ! Aussitôt dit, aussitôt fait, Jean-Paul s’avance
à genoux et vient me fourrer sa bite en érection sous le nez, tandis que ma
chérie fait glisser mon bâillon-boule vers le bas. Jean-Paul avance encore et
prend possession de ma bouche avec son braquemart turgescent auquel il imprime
un mouvement d’avant en arrière.
Ma chérie s’est glissée derrière
lui et vient lui titiller les couilles en passant sa petite main entre les
cuisses de l’homme. Jean-Paul est disert :
- Ouh, il suce
bien… !
- Oui, c’est une bonne
suceuse, lui répond-elle
- Aaaah, c’est
dur… !!
Il n’a pas le temps d’achever sa
phrase qu’il éjacule puissamment dans ma bouche, y reste encore un moment puis
se retire. Il voulait sans doute dire que c’était
dur de résister, et en effet il n’a pas tenu longtemps, moins de deux
minutes en tout ! Ma miss lui confirme que nous sommes redoutables quand
nous nous y mettons à deux…
Jean-Paul s’excuse d’avoir joui
si vite, mais franchement cela ne nous dérange pas, l’essentiel est de s’amuser
et de prendre du plaisir ensemble. Il s’éclipse vers la douche et nous
reprenons nos jeux à deux. Mais nous avons piqué une suée, il est difficile de
s’y remettre : retour au bar puis dans le jacuzzi !
Devant le peu d’action et malgré
la fatigue naissante, je fais valoir à ma chérie que nous n’aurons pas beaucoup
de temps à nous ce soir encore et qu’il vaudrait mieux retourner jouer dans le
coin câlin… Il est vrai que nous n’en pouvons plus, les câlins nous manquent
depuis trois jours !
Cette fois nous n’allons pas dans
les glory holes mais dans une alcôve au fond du coin couples. Au autre couple
est dans l’alcôve voisine mais ils partiront 5 mn après notre arrivée. Nous en
profitons donc pour nous faire un long câlin à deux, comme nous aimons, et nous
atteindrons ainsi un délicieux orgasme à deux. Le manque des derniers
jours ? L’ambiance du 72 après une longue absence ? Un plaisir très
intense qui ne s’explique pas, mais se savoure !
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Nous adorons vos commentaires, alors n’hésitez pas à nous donner votre avis...