(Alpha raconte)
C’est dimanche après-midi,
l’envie nous prend d’aller passer un moment en club libertin malgré le beau
temps printanier. Nous avions un peu traîné pour déjeuner, je n’étais pas trop
chaud pour aller en ville en voiture car ce weekend était marqué par un événement
qui attirerait les foules, l’inauguration d’un pont flambant neuf sur la Garonne : le pont
Chaban-Delmas… Je me disais qu’avec les badauds immanquablement attirés par ce
genre d’événement nous aurions peut-être du mal à circuler et à nous garer, le
club étant situé près des quais. C’est effectivement ce qui s’est passé !
L’artère principale était
embouteillée, toutes les rues menant vers les quais étaient interdites aux
voitures. Nous avons tourné ainsi pendant 45 mn, au risque de renoncer et
rentrer à la maison, car ma miss « grognait » d’impatience, c’est son
attitude juste avant l’énervement et le mode « insupportable » comme
elle le dit elle-même avec un air crapule du style « c’est à prendre ou à
laisser »… Mais c’est un amour par ailleurs, on ne peut que lui pardonner
ces rares moments d’impatience, d’autant que j’ai souvent les même réactions à
d’autres moments !
Soudain, nous nous sommes rappelés
de notre première fois dans ce club avec notre amie bordelaise (un délicieux trio FFH, voir ce récit
publié le 22 août 2012): elle nous avait conseillé le parking d’un supermarché
à quelques pas du club. Miracle, nous tombons dessus sans le vouloir et, même
si le supermarché a changé d’enseigne, le parking est toujours là et ouvert à
tous gratuitement les dimanches après-midis. Quelle aubaine, nous jurons de
désormais nous garer là si nous ne trouvons pas immédiatement une place devant
le club lui-même !
Deux hommes nous accueillent dans
l’entrée, discrète, du club. Nous ne voyons pas trop de monde à l’intérieur
mais cette impression va vite disparaître. Il y a moins de gâteaux appétissants
que la dernière fois, mais toujours les friandises et autres brownies au
chocolat. Nous prenons un coca pour les accompagner avant d’aller nous divertir
côté club !
Après la douche nous filons
direct au jacuzzi. Il est bien rempli : des couples en majorité et 4 ou 5
hommes seuls. Nous nous installons d’abord à droite de l’escalier, puis nous
bougeons vers une position plus centrale, sur la gauche du déversoir, devant le
coin câlin en surplomb.
Comme bien souvent maintenant,
nous ne voyons guère d’interactions, ça coquine un peu par deux, en couple…
Nous nous décalons un peu plus sur la droite, vers le fond obscur du bassin, et
je propose à ma chérie de lancer le mouvement en me faisant une fellation dont
elle a le secret. Je me hisse sur le rebord du jacuzzi et ma Caresse commence à
me sucer avec enthousiasme.
L’homme seul a ma droite commence
à laisser balader sa main sur le dos de miss, celui de gauche, bien qu’assis
très près, reste peu entreprenant. On entend une femme jouir dans le noir
derrière ma miss... mais à peine la dame a-t-elle crié son plaisir que le couple sort
du bassin! L’un des hommes seuls qui étaient avec eux rapplique aussitôt dans
le dos de ma chérie…
Je me trouve donc assis en
surplomb à me faire sucer par miss et à surveiller les trois hommes autour
d’elle, surtout celui qui est arrivé derrière elle car il a l’air d’être le
plus excité des trois. Soudain, ma chérie lâche mon sexe et va, à mon grand
étonnement, « innover » en matière de sélection. Je la vois se
pencher successivement vers l’oreille des trois hommes pour leur chuchoter
quelque chose que je n’entends pas mais que je devine. Le premier, sur ma
droite, s’entend répondre : « ah ? dommage… »
Le second sur la gauche : « bonne pioche ! » … Quant au troisième, celui qui
était le plus « en forme » : « Ah non, mauvaise pioche ! »
La question était : « Est-ce que tu es bi ? … Parce que les
hommes, nous les partageons avec mon chéri… » Nous faisons plus ample connaissance avec
l’heureux élu – il s’appelle Jean-Paul – pendant que les deux autres
s’éclipsent. Il s’étend un peu sur la banquette du bassin, la tête inclinée
vers moi et commence à me masturber de la main gauche pendant que ma miss lui
rend la politesse. Je la vois ensuite changer de position, je devine qu’elle se
rapproche des fesses de notre ami pour tester son petit trou, ce qui semble en
effet lui procurer d’intenses sensations à en juger par ses soupirs et sa tête
qui s’abandonne de plus en plus contre mon épaule. Pour ma part je me concentre
sur le clitoris de ma chérie et vais également lui doigter un peu l’anus car je
sais qu’elle apprécie cette caresse.
Jean-Paul me semble un peu « parti »,
il ferme les yeux et s’abandonne sur mon bras gauche qui soutient le haut de
son corps, sa tête appuyée contre mon épaule. Il a cessé de me caresser mais je
peux le masturber à mon tour, je constate en effet que le fait de se faire
doigter l’anus par ma miss le fait débander – ce qui ne m’étonne pas car la
sodomie me fait exactement le même effet. Nous jouons ainsi un long moment…
Finalement, ma Caresse propose que nous allions continuer dans un coin câlin.
Après une douche rapide, nous
passons dans le grand coin câlin proche de la fameuse DS, celui qui a un grand
miroir et surtout un ventilo, car il fait vraiment une chaleur torride dans ce
club ! Nous décidons de fermer la porte car notre ami préfère ainsi et
cela m’évitera de faire la police pour gérer les allées et venues des hommes
seuls. Jean-Paul s’allonge sur le dos en travers du matelas et ma chérie se met
à le sucer et le masturber. Je m’occupe un peu de ses fesses et de sa chatte
mais je sais qu’elle va vite me demander de partager avec elle la belle queue
en érection.
Je lui passe un préservatif au
chocolat et je viens l’aider à sucer Jean-Paul : je m’occupe de sa queue
pendant qu’elle se concentre sur ses couilles. Je me suis placé à 45 degrés de
notre ami pour lui permettre d’accéder facilement à mon sexe s’il le désire,
mais à part me caresser un peu de sa main gauche il ne montre aucune velléité
de me sucer en 69. Je me suis quant à moi d’abord concentré sur son gland
gonflé de désir avant de descendre le long de sa hampe et de l’avaler tout
entière dans ma bouche, jusqu’à la garde. De l’intérêt d’avoir des partenaires
soigneusement épilés, je déteste manger des poils !
Ma bouche va et vient le long de
son sexe tandis que ma langue s’enroule autour de son gland, l’aspire, le
pompe… Il pousse des soupirs d’extase, se raidit de temps à autre, ma miss
n’est pas en reste à lui sucer les couilles et lui malaxer le petit trou… ce
qui recommence à le faire débander, dommage pour moi, elle me casse la baraque !
Elle essaie de lui pincer les tétons, ce qu’il semble beaucoup apprécier à
l’entendre, mais son érection ne revient pas autant qu’il le faudrait : je
m’échine à le sucer mais décidément ça ne vient pas et moi je pique une belle
suée malgré le ventilo !
Je me redresse pour faire une
petite pause et m’essuyer le front. Miss demande alors à Jean-Paul s’il
souhaite me prendre ! Je suis un peu dubitatif au vu de son érection
affaiblie. Devant l’accord de Jean-Paul, ma Caresse prépare le lubrifiant… miss
me dira ensuite qu’elle lisait une grosse envie dans ses yeux – mais je reste
sceptique pour l’instant. Je me positionne néanmoins à quatre pattes, comme une
fille, les fesses tendues vers Jean-Paul, tandis que miss me passe un peu de
lubrifiant dans la raie du cul.
Je sens Jean-Paul me saisir par
les hanches et commencer précautionneusement à s’introduire dans mon petit
trou. Curieusement je le trouve maintenant bien dur, même s’il n’entre qu’un
peu dans mon intimité, je n’ai pas la sensation d’un membre mou comme tout à
l’heure. Ma chérie ne cesse en effet de le stimuler, sur le sexe, les couilles,
les pointes de seins… en l’encourageant également de la voix : « regarde cette salope, comment elle aime ça,
vas-y, prends-la bien profond… »
Je sens l’homme accélérer son
mouvement et me prendre de plus en plus profondément, il commence à me donner
des coups de boutoir et à me soutirer des gémissements de plaisir et des petits
cris aigus. Comme il n’est pas trop membré, je le sens qui s’enfonce en moi
jusqu’à la garde, son pubis vient cogner contre mes fesses et je sens également
la main de ma chérie qui vient me saisir la bite et me la masturber. Jean-Paul
me sodomise ainsi en levrette pendant un long moment, m’écartant les cuisses
avec les siennes, je ne l’aurais pas cru si endurant ! Heureusement qu’il
fait de temps en temps quelques pauses, cela me permet de souffler car dès
qu’il va et vient en me fourrant de toute la longueur de son pénis désormais
bien dur je ne peux m’empêcher de gémir comme « une fille bien
chaude », c’est très bon, à la limite du supportable.
Enfin, Jean-Paul décharge dans un
râle, je le sens éjaculer dans mon intimité, enfoncé le plus loin possible en
me tirant les hanches vers son bassin. Waouh… !!! Quel pied on a pris, et
ma chérie a adoré ce jeu à trois, elle apprécie véritablement le spectacle de
deux hommes entre eux quand elle a de surcroît la possibilité d’y participer à
sa guise, sans aucune contrainte de notre partenaire de jeu !
Nous repassons à la douche puis Jean-Paul
s’éclipse vers le sauna, nous ne le reverrons pas ensuite, sans doute est-il
parti. En repartant, vers 21h, je décide finalement de modifier notre
itinéraire pour nous rapprocher des quais, j’ai envie de faire une surprise à
ma chérie et la chance est avec moi : nous arrivons devant le pont
Chaban-Delmas illuminé au moment même où il se lève pour laisser repartir vers
la haute mer le navire-école « Belem »… Superbe apothéose d’une
excellente soirée épicurienne dans notre nouveau club bordelais !
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